(Minghui.org) Le 30 mai 2020, les pratiquants de Falun Dafa se sont retrouvés dans le centre-ville d'Oberhausen, une petite ville de l’ouest de l’Allemagne. Ils sont arrivés tôt pour installer leur stand afin de faire connaître la pratique de méditation à la population locale et expliquer aux gens pourquoi elle est persécutée en Chine.
Après avoir appris l'existence de la persécution, de nombreuses personnes ont signé la pétition appelant le Parti communiste chinois (PCC) à y mettre fin.
Les pratiquants de Falun Dafa réunis dans le centre-ville d'Oberhausen pour informer les gens sur la pratique et la persécution en cours en Chine.
Les habitants d'Oberhausen viennent au stand se renseigner sur la pratique du Falun Dafa.
Une policière demande où apprendre les exercices
Comme le virus du PCC (coronavirus) était encore une préoccupation au moment de demander l’autorisation pour tenir l'activité, les pratiquants se sont vus rappeler de maintenir une distance sociale de 1,5 mètre les uns des autres et de ne pas distribuer de dépliants. Le jour de l'activité, quatre policiers ont été envoyés sur les lieux. Les pratiquants les ont informés de certains bienfaits de la santé de la pratique et de la persécution en Chine. Les policiers ont semblé apprécier leurs efforts et ont autorisé les pratiquants à distribuer des dépliants et recueillir des signatures pour la pétition tant qu’ils portaient des masques et des gants.
Une policière a surpris les pratiquants en demandant où elle pouvait apprendre les exercices du Falun Dafa. Elle a noté le numéro de téléphone de l’un d’eux, et voulait connaître l'heure et l’endroit pour apprendre les exercices.
Elle s'est ensuite arrêtée avec un autre policier. Lorsque d'autres personnes sont venues au stand, les deux policiers se sont écartés pour permettre à plus de gens d’apprendre l'existence de la persécution. Quand ils ont vu les pratiquants faire la méditation assise les jambes croisées en position de lotus, ils ont semblé étonnés.
La pandémie jette la lumière sur la nature perverse du PCC
Les résidents locaux signent la pétition après avoir appris l'existence de la persécution du Falun Dafa qui sévit en Chine.
Une jeune femme à vélo est venue au stand avec son chien. Elle avait remarqué la banderole appelant le PCC à cesser de prélever des organes sur des pratiquants encore vivants incarcérés pour leur croyance, et elle a signé la pétition.
« J'ai entendu parler de ces prélèvements d'organes sur des personnes vivantes », a-t-elle dit. « Les victimes étaient en bonne santé après avoir pratiqué le Falun Dafa. Ce genre de crime est impensable. La pandémie a levé tous les doutes quant à savoir si le PCC est capable de telles horreurs. »
Une femme a entendu un pratiquant parler à un autre passant et est allée signer la pétition. « Du fait de la pandémie, nous savons que le PCC ment au monde entier. Cette signature est le moins que je puisse faire pour aider », a-t-elle dit.
Traduit de l'anglais
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