(Minghui.org) Après avoir parlé des faits sur le Falun Dafa aux gens dans le marché d'un bourg isolé, je suis monté à bord d'un bus pour rentrer chez moi.
J'ai parlé avec les passagers du bus et je leur ai dit qu'en plus de la pandémie, d'autres désastres surviendraient. J'ai dit : « Pendant la dynastie Ming, Liu Bowen a prédit que sur 10 000 personnes, seulement 1000 survivraient. » Ceci a capté l'attention des gens et nombre d'entre eux ont accepté les documents expliquant les faits et les petits souvenirs de Falun Dafa. Le contrôleur qui vendait les tickets de bus en a aussi pris un.
Alors que je parlais, le chauffeur ne disait pas un mot. J'avais pris son bus de nombreuses fois auparavant et je lui avais parlé du Falun Dafa, mais il ne semblait pas l'accepter.
Quand j'ai donné un porte-bonheur à une vieille dame assise au premier rang et que je lui ai dit que cela la protégerait, le chauffeur a dit : « Conduire un bus nécessite une bonne protection. Donnez-moi en un s'il vous plaît. » Quand il l'a pris, je lui ai de nouveau demandé de renoncer au PCC (Parti communiste chinois). Cette fois il n'a pas hésité et a accepté de démissionner des Jeunes Pionniers, une organisation affiliée au PCC.
Plus tard, plusieurs personnes ont demandé des documents sur le Falun Dafa et des porte-bonheurs.
Le bus s'est arrêté pour prendre d'autres passagers dans une petite ville. Tout à coup, une voiture de patrouille s'est arrêtée devant le bus et cinq policiers en sont sortis. Ils sont montés à bord et un policier a remarqué une femme d'une cinquantaine d'années qui lisait le prospectus que je lui avais donné. Le policier le lui a arraché des mains et lui a demandé : « Où avez-vous trouvé cela ? »
Elle a dit : « Un inconnu me l'a donné. » Le policier a demandé : « Cet inconnu est un homme ou une femme ? » La femme a changé sa réponse et a dit : « Je l'ai trouvé par terre. »
Le policier a demandé au chauffeur du bus s'il avait vu quelque chose. Le chauffeur a répondu qu'il n'avait rien remarqué.
Les autres passagers sont restés silencieux. Policiers et passagers se sont fait face pendant plusieurs minutes. Puis le chauffeur du bus a demandé aux policiers de partir, car ils retardaient sa tournée. Ils ont quitté le bus à contrecœur.
Quand le bus est arrivé à destination, deux policiers attendaient. Ils sont immédiatement montés à bord et ont commencé à questionner les passagers. Je suis descendu pendant qu'ils étaient occupés et je suis parti.
Je suis heureux pour les gens de ce bus : le chauffeur, la femme d'une cinquantaine d'années et les autres passagers qui ont refusé de me signaler à la police. Je pense qu'ils seront en sécurité pendant la pandémie.
Traduit de l'anglais en France
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