(Minghui.org) Je pratique le Falun Dafa (également connu sous le nom de Falun Gong) depuis plus de vingt ans. Le Falun Dafa apprend aux gens à suivre le principe Authenticité-Bienveillance-Tolérance et à être de bonnes personnes. Ce principe est profondément ancré dans mon cœur.
Abandonner l’appartement qui m’était attribué
Comme mon lieu de travail était sur le point de construire un immeuble résidentiel pour les familles des employés, tout le monde prêtait attention à cette affaire. Le nombre d’appartements étant limité, tous les employés ne pouvaient pas en avoir un, et certains appartements étaient plus grands que d’autres.
Mon entreprise a également mis en place un groupe administratif chargé d’attribuer les appartements. Bien que le plan ait été modifié plusieurs fois, il y avait toujours des gens qui s’en plaignaient. Sur la base du plan, j’étais qualifiée pour obtenir un appartement plus grand.
L’une de mes collègues n’a pas obtenu d’appartement même si elle en avait besoin, car elle travaillait dans notre entreprise depuis peu de temps. En voyant son air avide, mais impuissant, j’ai eu de la peine pour elle.
J’ai pensé : « Après que Dafa a été calomnié et persécuté, elle n’a pas suivi le courant. » Elle m’a toujours saluée chaleureusement, même pendant la persécution la plus sévère. J’ai également pensé à ce que le Maître a dit dans le Zhuan Falun sur la façon dont un pratiquant a géré une situation similaire. Sans hésiter, je lui ai donné mon appartement.
Elle était si enthousiaste et m’a dit : « Tu es sérieuse ? Comment pourrai-je te remercier ? » Quand elle a reçu le formulaire d’inscription d’éligibilité pour le logement, elle a dit : « Je suis vraiment bénie ! » Je l’ai tout de suite corrigée en disant : « Nous sommes toutes les deux bénies par Dafa. Si je ne pratiquais pas, et si tu n’avais pas traité Dafa et les pratiquants avec gentillesse, comment aurais-tu pu recevoir une telle bénédiction ? » Elle a semblé comprendre ce que je disais et a répondu : « Vrai, vrai. Je suis effectivement bénie par Dafa. »
Juste à ce moment-là, un ancien cadre supérieur à la retraite est venu me parler. Il m’a dit : « Je ne peux pas obtenir une unité plus grande. Y a-t-il un moyen pour que je puisse échanger avec la vôtre ? » J’ai répondu : « J’ai déjà donné mon appartement à une telle, pourquoi n’allez-vous pas lui parler ? » Il était abasourdi et a dit : « Tu ne veux pas ton appartement ? » J’ai fait un signe de tête : « C’est exact. » Il m’a dit : « C’est un logement social, il est beaucoup moins cher que les maisons sur le marché. Tu aurais pu le vendre plus tard et en retirer un énorme profit. Comment as-tu pu faire ça ? » J’ai souri et j’ai répondu : « Je n’y ai pas tellement réfléchi, je savais juste qu’elle avait vraiment besoin d’un appartement. »
Mon action a provoqué une certaine agitation dans l’entreprise. Certaines personnes ont dit : « Elle est devenue idiote en pratiquant le Falun Gong. Elle n’a pas voulu de son appartement, ce qui lui a fait perdre beaucoup d’argent. » D’autres personnes ont dit : « Regardez le caractère des personnes qui pratiquent le Falun Gong ! Qui d’autre pourrait faire quelque chose comme ça de nos jours ? Ce ne sont pas que des paroles en l’air – elle a réellement renoncé à son appartement. » Dans l’ensemble, mon action généreuse a gagné la reconnaissance et le soutien de mes collègues et de la direction envers Dafa et ses pratiquants.
Lorsque j’ai été arrêtée pour avoir défendu ma croyance en Dafa, un cadre supérieur est venu me rendre visite au centre de détention. Il a également déposé 500 yuans pour moi. Lorsque je suis rentrée chez moi, il avait déjà quitté son poste. Il m’avait acheté de nouveaux vêtements et avait demandé à mes collègues qui sont venus pour me ramener à la maison de me les donner et de veiller à ce que je porte les nouveaux vêtements lorsque je rentrerais chez moi.
Le soir de ma sortie de prison, quelques collègues proches et ce cadre supérieur avaient réservé une grande table dans un restaurant pour un dîner de bienvenue. Au milieu du dîner, il m’a demandé d’un air perplexe : « Comment se fait-il que tu ne ressembles pas à quelqu’un qui vient de sortir de prison ? »
J’ai répondu : « Alors à quoi est-ce que je ressemble ? »
« Je trouve que tu ressembles plutôt à quelqu’un qui revient d’un voyage d’affaires. »
« Sais-tu pourquoi ? » ai-je dit. « Bien que j’aie été détenue illégalement, je ne me suis jamais sentie coupable, car j’ai suivi ce que mon Maître nous a enseigné – être une bonne personne. J’ai suivi le principe de Dafa : Authenticité-Bienveillance-Tolérance. C’est le Parti communiste chinois (PCC) qui a commis un crime, car il persécute les bonnes personnes. »
« Tante, n’allez pas vers le sud, mais vers l’ouest »
Une fois, une autre pratiquante et moi sommes allées sur les plages pour clarifier les faits aux touristes concernant Dafa. Sur le chemin du retour, ma collègue est passée devant moi. Un jeune homme se tenait sur le bord de la route, après lui avoir donné un dépliant expliquant comment briser le blocus d’Internet, elle a continué à avancer. À ce moment-là, j’ai entendu ce jeune homme crier : « Je ne peux pas le prendre ! »
Après avoir rattrapé ce jeune homme, je lui ai demandé : « Comment se fait-il que tu ne puisses pas le prendre ? » Il a répondu : « C’est ce que je fais pour vivre. C’est le Falun Gong. Je ne peux pas le prendre. » J’ai alors compris qu’il était un agent de police en civil qui suivait spécifiquement les pratiquants et les arrêtait. J’ai alors dit : « Les agents de police doivent également assurer leur sécurité. Vous sauver est encore plus difficile. Savez-vous pourquoi ? Parce que vous êtes trompés et utilisés par l’ancien dirigeant du PCC, Jiang Zemin et, à long terme, vous vous détruisez vous-mêmes. C’est mon Maître qui me demande d’éveiller ta conscience. As-tu entendu parler de Dafa ? »
Il s’est empressé de dire : « Tante, partez vite, je ne vous écouterai pas. Il y a des policiers partout. Ils ne sont pas tous comme moi. Ne vous dirigez pas vers le sud, mais vers l’ouest. Allez ! » J’ai dit : « Bien sûr. » Mais j’ai aussi saisi cette occasion pour éveiller sa conscience. Finalement, il a accepté de renoncer à ses adhésions à la Ligue de la jeunesse communiste et aux Jeunes Pionniers. J’ai dit : « Merci, jeune homme ! Tu auras de la chance ! » Il m’a également remerciée.
Ce n’est qu’après mon retour à la maison que j’ai appris que des responsables de haut niveau du PCC étaient de passage dans notre ville, qui était donc fortement surveillée partout.
Sauver les êtres au milieu de la pandémie
L’apparition soudaine du virus PCC (alias coronavirus) au début de l’année 2020 a transformé notre ville animée en une ville fantôme. J’ai soudain ressenti l’importance et l’urgence de la responsabilité qui nous incombe en tant que pratiquants de sauver les êtres. En regardant les rues vides avec très peu de véhicules et de piétons, je ne savais pas quoi faire. La tristesse dans mon cœur me donnait envie de pleurer.
Le lendemain matin du Nouvel An chinois, je me suis levée tôt pour faire les exercices. Mais je ne trouvais pas le lecteur de musique. J’ai pensé que je l’avais peut-être laissé dans la vieille maison. À 4 heures du matin, j’ai pris ma voiture pour aller le chercher. Alors que j’étais sur le point d’arriver, un taxi a débouché sur la gauche. Le chauffeur a foncé sur ma voiture comme s’il était inconscient. Quand je l’ai vu, j’ai rapidement tourné à droite, mais sa voiture a quand même éraflé la mienne. Je me suis donc arrêtée pour voir l’état de ma voiture.
C’est comme si le conducteur avait repris ses esprits. Il est venu jeter un coup d’œil à ma voiture. Il a touché ma voiture en disant : « Ma sœur, l’éraflure n’est pas trop grave. Jette un coup d’œil. » En constatant les dégâts, ça faisait quand même mal, car la voiture venait d’être repeinte. Par ailleurs, nous étions les deux seules personnes sur une route aussi large, mais il m’est quand même rentré dedans. J’ai réalisé qu’il devait être venu à moi pour entendre la vérité.
J’ai souri et j’ai dit : « Soyez rassuré. Je suis le principe Authenticité-Bienveillance-Tolérance, je ne vous soutirerai pas d’argent. Avez-vous déjà entendu parler de Dafa ? Savez-vous comment échapper à ce fléau ? Regardez, pour une rue si bien entretenue, il n’y a que nous deux. Nous avons sans aucun doute une forte affinité prédestinée vous et moi. »
Après lui avoir parlé de Dafa et de la persécution, il a renoncé à la Ligue de la jeunesse et les Jeunes Pionniers. Avant de partir, nous avons souhaité à nos familles respectives une bonne année et de rester en sécurité.
Cela semblait être une coïncidence, mais je savais que cela avait été arrangé par le Maître. J’ai eu les larmes aux yeux pour la compassion du Maître qui lui donnait le salut.
Surmonter les obstacles pour rejoindre le groupe d’étude du Fa
Au fur et à mesure que la pandémie se propageait, notre quartier résidentiel était bloqué, et il était donc difficile de se rendre au groupe d’étude du Fa. Le groupe d’étude était situé dans la maison d’un pratiquant, qui était entourée de grillages. Il y avait également un hangar temporaire où les gens devaient s’inscrire pour entrer et sortir. Ce jour-là, je me suis promenée dans la zone où vivait ce pratiquant, j’ai vu que c'était bloqué et je suis rentrée chez moi avec un sentiment de frustration.
Après être rentrée chez moi, plus j’y pensais, plus je me sentais mal à l’aise. L’étude collective du Fa est la forme que le Maître a établie pour nous. Comment pouvons-nous laisser ces obstacles nous arrêter ?
Lorsque le moment est venu d’assister à l’étude du Fa la semaine suivante, j’ai supplié le Maître au plus profond de moi-même : « Maître, aidez votre disciple. Je dois étudier le Fa avec d’autres pratiquants. » En y pensant, j’ai vu qu’un homme âgé était sur le point de sortir de l’endroit. Je suis restée là, à regarder comment il allait sortir.
Il a lentement ouvert le grillage de l’intérieur, puis est sorti, un pas après l’autre. Quand le vieil homme m’a vue, il m’a dit : « Entrez par ici, et faites attention à ne pas vous faire prendre dans le grillage. »
Je me suis donc rendue chez le pratiquant sans problème. À partir de ce jour, j’ai pu rejoindre le groupe d’étude du Fa, faire des documents d’information, clarifier les faits et sauver les êtres avec les autres pratiquants. J’étais vraiment contente !
Le Maître est toujours à nos côtés et veille sur nous à tout moment. Quoi que nous ayons en tête, le Maître le sait et nous donne un coup de main si nécessaire. Merci, Maître !
Traduit de l’anglais
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