(Minghui.org) Bonjour Maître. Bonjour compagnons de cultivation

J’ai 21 ans et je pratique le Falun Dafa avec ma mère depuis mon enfance. C’est la première fois que j’écris mes expériences pour le Fahui de partage d’expériences des pratiquants de Chine par Internet. J’espère que mon expérience pourra aider d’autres jeunes pratiquants.

Le Maître a dit :

« Pouvoir rester persévérant, avancer diligemment sans cesse, c’est ça la vraie diligence. C’est facile d’en parler, mais le mettre en action est terriblement difficile, c’est pourquoi on dit qu’en continuant à cultiver et pratiquer comme au début, on parviendra assurément au fruit juste. » « Je l’ai dit tout à l’heure, ce genre d’environnement de cultivation et pratique, où l’on ne peut pas voir ce qui est devant nous et où l’on est immergé dans une solitude prolongée, est le plus dur à endurer et le plus apte à entraîner une personne à se relâcher. C’est le plus grand test dans la cultivation et pratique. » (« Enseignement du Fa à la Conférence de Loi de la grande région de New York 2009 », Enseignement de Fa dans les conférences IX)

J’ai eu une compréhension plus profonde en lisant les mots du Maître. J’ai réalisé que la cultivation consiste à nous tester pour voir si nous pouvons y arriver ou non, si nous nous perdons dans la société ordinaire et si nous avons une foi ferme dans le Fa dans un environnement compliqué.

Rester ferme au milieu des tribulations

Ma mère disait qu’un enfant né dans la famille d’un pratiquant de Falun Dafa venait pour obtenir le Fa et avait également une grande mission. Lorsqu’elle était enceinte, elle voyait chaque jour deux petits Falun (roues de la Loi) tourner devant son ventre. Ils ont disparu lorsque je suis née. Je pouvais réciter les poèmes de Hong Yin avant de pouvoir marcher.

Après le début de la persécution en 1999, le lieu de travail de ma mère a fait pression sur elle pour qu’elle renonce à sa croyance en Dafa. À cause de la peur, mon père et mes grands-parents ont également fait pression sur elle pour qu’elle abandonne la pratique. En 2002, ma mère a dû quitter la maison pour éviter de nouvelles persécutions.

J’étais encore jeune et je ne me souviens pas de grand-chose. Je me souviens seulement que soudain je n’avais plus de mère. Pour faire face à la pression, mon père a commencé à boire de l’alcool tous les jours. Mes grands-parents ont dû s’occuper de moi. Ils avaient toujours l’air tristes et inquiets. Ma grand-mère maternelle pleurait chaque fois qu’elle me rendait visite.

Deux ans ont passé avant que je ne revoie ma mère. J’avais 4 ans, je ne l’ai pas reconnue et je me cachais derrière ma grand-mère. Ma mère m’a prise dans ses bras et m’a dit : « Je suis ta maman ! » À partir de ce moment-là, j’ai vu ma mère tous les week-ends. Elle vivait dans une autre ville et ne pouvait venir me voir que les week-ends. Quand elle venait, nous lisions le Fa et faisions les exercices. Je sortais aussi avec elle pour distribuer des documents de clarification de la vérité afin de sensibiliser les gens.

À cause de la persécution, j’ai perdu ma famille. Ce que le PCC (Parti communiste chinois) a détruit, ce n’est pas seulement ma famille, mais aussi mon environnement de cultivation. Chaque semaine, après le départ de ma mère, je devais retourner chez mes grands-parents, où je ne pouvais ni étudier le Fa ni faire les exercices. Sans les conseils du Fa, j’avais l’impression d’être devenue une personne ordinaire. La seule chose que je pouvais faire était de réciter « Falun Dafa est bon » dans mon cœur et de réciter quelques poèmes que j’avais mémorisés du Hong Yin.

Quand j’étais au collège, ma mère m’a donné un livre électronique et un lecteur MP3 pour que je puisse étudier le Fa et écouter les conférences du Maître. Je me conduisais selon les principes de Dafa. Ce n’était pas facile, car je n’avais pas d’interactions avec d’autres pratiquants. En tant qu’élève du collège, ma compréhension du Fa était très superficielle. Mon chemin de cultivation était lent et maladroit, et je devais faire face à des circonstances complexes tous les jours.

Mon père et ses parents avaient peur de la persécution et ils avaient des incompréhensions sur Dafa. Ils ne voulaient pas que je pratique, alors je ne pouvais qu’étudier le Fa et faire les exercices tard le soir dans ma chambre. Ma mère disait qu’elle me voyait tout le temps voler dans le ciel dans ses rêves lorsque j’étais diligente. C’est ainsi qu’elle savait que je persévérais dans la cultivation.

J’ai rencontré beaucoup d’interférences pendant ces années et j’ai eu toutes sortes de problèmes. Dans mes rêves, je voyais souvent des êtres maléfiques dans d’autres dimensions qui me poursuivaient. Sans l’aide de ma mère, je ne savais pas comment surmonter les interférences. Parfois, je cultivais diligemment et, parfois, je ne réussissais pas. J’ai trébuché sur mon chemin en relevant les défis.

J’avais l’impression qu’on me testait pour voir si je pouvais surmonter les difficultés. Je me disais que je n’abandonnerais jamais la cultivation, quoi qu’il arrive. Lorsque je me sentais seule et impuissante, je me rappelais ce que le Maître avait dit : « C’est difficile à endurer, mais on peut l’endurer, c’est difficile à faire, mais on peut le faire. » (Neuvième Leçon, Zhuan Falun)

Je n’ai pas eu d’environnement de cultivation stable jusqu’à ce que j’aie 17 ans et que j’aille vivre avec ma mère.

Passer un test de vie et de mort pendant l’épidémie

Durant l’hiver 2019, je me suis beaucoup élevée dans ma cultivation et ma compréhension du Fa s’est approfondie.

Un jour, après le début de la pandémie, j’ai soudain eu des symptômes de coronavirus. Au début, je pensais que c’était juste une toux. Je n’avais jamais pris de médicaments. Lorsque je ne me sentais pas bien, j’ai toujours étudié le Fa et fait les exercices, et je me rétablissais rapidement. Cependant, cela n’a pas fonctionné cette fois-ci.

Les symptômes semblaient graves. J’ai eu une forte fièvre et j’ai eu des vertiges. J’avais des quintes de toux fortes et rauques, jour et nuit, et je ne pouvais pas dormir. J’avais la poitrine serrée et lourde et je me sentais souvent essoufflée à cause d’une toux intense. Chaque moment était difficile à supporter.

J’ai pensé à prendre des médicaments, mais je ne voulais pas me comporter comme une personne ordinaire. Je me suis donc contentée d’étudier davantage le Fa et de regarder à l’intérieur pour trouver mes failles.

L’expérience était presque insurmontable, car je n’avais jamais rencontré d’épreuves aussi importantes auparavant. Je ne comprenais pas pourquoi le critère pour moi était soudain devenu beaucoup plus élevé.

Pendant cette période, l’épidémie s’est aggravée, ce qui m’a fait réaliser progressivement que la progression de la rectification de Fa de Maître Li (le fondateur du Falun Dafa) se rapprochait de la fin et que le temps pressait.

J’ai regardé à l’intérieur et j’ai réalisé que, depuis le début, en tant que jeune disciple, je pensais que je pourrais être l’une de celles qui restaient après la période de rectification de Fa. Avec cette pensée, je n’ai pas cultivé diligemment.

Le Maître a dit :

« Si le Maître vous parle de tout cela, c’est pour vous dire, nous sommes aujourd’hui arrivés au dernier stade. Je peux vous le dire clairement, dans les premiers arrangements du Maître, la persécution devait se terminer cette année, (tout le monde applaudit chaleureusement) en comptant avant et après cela fait vingt ans. Bien que les forces anciennes soient intervenues à la fin et aient modifié certaines choses, il ne reste presque plus de charbon dans le four, le feu ne brûle plus assez fort, cette affaire est donc bientôt terminée, alors vous devez d’autant plus bien faire. » (« Enseignement du Fa au Fahui de New York 2019 »)

J’ai réalisé que le Maître avait prolongé la fin de la période de rectification de Fa parce que de nombreux disciples de Dafa avaient pris du retard et que beaucoup de gens attendaient encore d’être sauvés. Je me suis sentie très touchée et très coupable. J’ai réalisé que la prolongation du temps était aussi pour nous, qui sommes nés dans des familles de disciples de Dafa et qui sommes devenus de jeunes disciples de Dafa, pour que nous rattrapions notre retard dans la cultivation. J’ai regretté de m’être relâchée.

J’ai aussi réalisé que les disciples de Dafa comme ma mère ont traversé tellement de choses. Chaque jeune disciple doit assumer sa part de responsabilité pour le sauvetage des gens. Il y a trop de jeunes autour de nous qui n’ont pas encore compris la vérité sur Dafa. Nous, jeunes pratiquants, devons dire la vérité à nos pairs et les sauver. J’ai réalisé que les pratiquants d’âges différents devaient jouer des rôles différents. Chaque pratiquant est essentiel pour sauver les gens, donc les jeunes pratiquants devraient se dépêcher de suivre la progression de la rectification de Fa. Nous devons bien nous cultiver et nous dépêcher de dire la vérité et d’éveiller les gens, car sauver les êtres est notre mission.

Après avoir réalisé cela, j’ai commencé à émettre la pensée droite plus souvent pour éliminer les facteurs pervers dans mon corps. Je me concentrais lorsque j’émettais la pensée droite et demandais l’aide du Maître. Je me suis dit que je refusais l’arrangement des forces anciennes. Ma foi dans le Fa et le Maître est devenue plus ferme.

Quand j’ai émis la pensée droite, j’ai eu l’impression que quelque chose était drainé de mon corps. J’ai vu des lumières blanches devant moi qui continuaient à émettre de l’énergie. J’ai compris que le Maître m’aidait et renforçait ma foi. J’ai augmenté mon temps d’étude du Fa et d’exercice. J’ai également prolongé le temps où j’émettais la pensée droite pour éliminer les interférences.

Chaque jour, j’ai avancé et élevé ma compréhension du Fa. Je me suis rendu compte que j’étais une vraie disciple de la période de rectification de Fa et que je ne pouvais pas m’en tenir aux critères de mon enfance. Peu à peu, j’ai abandonné l’idée d’être malade. J’ai passé cette épreuve en une semaine.

Par la suite, j’ai commencé à sortir et à dire la vérité aux gens. J’ai dit à mes camarades de classe comment rester en sécurité pendant l’épidémie et je leur ai dit que « Falun Dafa est bon et Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon ». Dans le passé, j’ai toujours pensé que j’étais encore jeune et que j’avais beaucoup d’occasions et de temps pour cultiver. Cette épreuve m’a fait comprendre que les exigences pour les pratiquants étaient de plus en plus élevées, que chaque épreuve à laquelle nous sommes confrontés est cruciale.

Une fois, j’ai rêvé qu’il y avait une grande inondation. Dans le rêve, je courais désespérément en avant, l’eau montant derrière moi. Je savais que j’avais un billet pour un bateau qui attendait. J’ai vu beaucoup de personnes qui étaient déjà assises sur le bateau. Le bateau a commencé à actionner son sifflet alors que j’étais encore loin du bateau, je devais donc courir plus vite pour monter à bord et rentrer chez moi saine et sauve.

Lorsque je me suis réveillée, je savais que le Maître me faisait signe de me dépêcher et de cultiver plus assidûment. Je savais que le Maître veillait sur moi et que le jour du retour à notre véritable foyer n’était pas loin. Pendant un certain temps, j’ai souvent rêvé de scènes catastrophiques. J’ai réalisé que nous devions suivre le chemin restant de la cultivation et progresser diligemment, bien faire les trois choses et sauver plus d’êtres.

Surmonter une autre épreuve de vie et de mort

Ma spécialité est le piano. Je voulais étudier à l’étranger, alors j’ai pris des leçons avec un célèbre pianiste qui vivait dans une autre ville. Chaque semaine, je devais voyager entre les deux villes. J’ai également passé beaucoup de temps à préparer les examens d’entrée internationaux et à suivre des cours de langues étrangères.

Ce n’était pas facile de faire l’aller-retour entre les deux villes en train chaque semaine, surtout pendant mes menstruations. Une fois, j’ai pensé que ce serait plus pratique si je n’en avais pas. À cause de cette idée fausse, mes menstruations se sont arrêtées le mois suivant. Je n’y ai pas pensé et je n’ai pas réalisé que quelque chose n’allait pas jusqu’à ce que je n’aie plus de menstruations pendant plus de six mois. J’ai développé de l’acné sur mon visage et j’ai pris beaucoup de poids. Je suis devenue nerveuse et je suis allée à l’hôpital.

Le médecin a dit que je souffrais d’un trouble endocrinien complet, car j’avais le syndrome des ovaires polykystiques. Il a dit que la cause de cette maladie était inconnue et qu’il n’y avait pas de traitement. Il a dit que même si je prenais des médicaments, mes menstruations pouvaient ne pas revenir. En conséquent, j’ai dû prendre des médicaments pour réguler ma sécrétion endocrinienne pendant une longue période. Le médecin a également dit que si elles ne revenaient pas bientôt, elles pourraient ne jamais revenir. Cela signifiait que je ne pourrais plus être enceinte à l’avenir.

J’avais peur. J’étais si jeune et je voulais me marier et avoir des enfants. J’ai apporté le médicament à la maison et j’ai prévu de le prendre, puis d’ajuster mon état de cultivation plus tard. Je devais prendre le médicament deux fois par jour, mais il était tout simplement trop amer. J’ai regardé à l’intérieur et je me suis dit que je devais me conformer aux exigences du Fa. J’ai donc arrêté de prendre le médicament.

Les vacances d’hiver ont commencé quelques jours plus tard. Je suis rentrée chez moi et j’ai passé plus de temps à étudier le Fa et à faire les exercices. J’ai dit à ma mère que je devrais peut-être arrêter temporairement mes cours de piano et de langues à cause de mon problème de santé. Ma mère m’a demandé : « N’as-tu jamais pensé qu’étudier à l’étranger était quelque chose d’inapproprié dans notre situation financière actuelle ? »

Ma mère et moi avons eu plusieurs discussions pour savoir si je devais faire des études supérieures à l’étranger. Aller à l’étranger coûterait beaucoup d’argent, ma mère devait donc travailler plus pour gagner plus d’argent. Par conséquent, elle avait moins de temps pour pratiquer et sauver des gens. Elle a également eu des problèmes de santé récemment. Ma mère et moi avons réalisé que nous n’étions pas sur le bon chemin dans la cultivation.

Équilibrer la cultivation et les études

J’ai joué du piano dans mon enfance et j’y ai travaillé très dur. J’avais aussi de grandes attentes. À l’université, je me suis classée première à tous les examens professionnels. Avec le temps, j’ai développé beaucoup d’attachements.

Je me suis rendu compte que j’étais une bonne élève, mais seulement une bonne élève dans la société ordinaire. Je ne répondais pas aux critères du Fa parce que j’avais des attachements à mon développement professionnel, à la renommée, à la richesse et à la compétitivité.

Poussée par le désir de réussite, j’étais occupée par le travail scolaire et la pratique du piano tous les jours. La musique doit être pure, et la musique des disciples de Dafa doit être encore plus pure afin de toucher les gens de manière positive. La musique ne signifie pas que l’on doive faire preuve d’une grande habileté. Ce n’est que si je me cultive d’abord, que la musique que je joue sera pure.

Le Maître a dit :

« Mais puisque vous devez rester parmi les gens ordinaires jusqu’à ce que votre cultivation et pratique atteigne la plénitude parfaite, vous devez atteindre l’état où vous possédez quelque chose mais n’y accordez pas d’attention, faites quelque chose mais sans y être attachés. » (« Enseignement du Fa donné à Manhattan », Enseignement de Fa dans les conférences X)

J’ai compris que je devais bien jouer au piano, mais que je ne devais pas chercher à obtenir des résultats. Je devrais renoncer à mes attachements et ne pas entrer en compétition avec les autres en ce qui concerne le classement, la profession ou un meilleur avenir dans la société humaine. Je dois suivre mon chemin sous la direction du Fa. Ce n’est qu’alors que je pourrai être une vraie musicienne. La condition préalable à tout devrait être la cultivation.

J’ai aussi pensé à ma mère. Je considérais le soutien financier de ma mère comme acquis parce qu’elle est ma mère. J’ai réalisé que la relation entre ma mère et moi n’est pas seulement celle d’une mère et d’une fille, mais aussi celle de compagnons de cultivation. L’argent de ma mère était la ressource de Dafa, pas ma réserve personnelle. L’argent qu’elle a durement gagné nous a fourni un environnement de vie stable pour que nous puissions cultiver. Je ne devais pas détruire notre environnement stable de vie et de cultivation par ma consommation excessive. Je ne devrais pas lui demander de l’argent inconditionnellement juste parce qu’elle est ma mère.

Après avoir réalisé cela, j’ai dit à ma mère qu’elle ne devait pas s’inquiéter outre mesure de mon avenir. Je lui ai dit que j’avais un Maître pour veiller sur moi et que je devais aussi être indépendante financièrement. Le temps presse, et nous devrions parcourir ensemble le chemin final de la cultivation. J’ai décidé de ne pas partir à l’étranger et de laisser la vie suivre son cours.

D’un autre côté, j’ai réalisé que le fait que mes menstruations se soient arrêtées reflétait aussi mon attachement au mariage.

Le Maître a dit :

« Mais les êtres humains peuvent générer du karma, une fois le karma généré, quand il se reflète sur ton corps, il est exactement pareil à une maladie. S’il se reflète sur ton nez, tu as le nez bouché, le nez qui coule, “Eh, je suis enrhumé.” Tu dis que tu as un rhume. (Le Maître rit) Mais ce n’est pas un rhume. Si cette chose se reflète sur ton estomac, tu as mal au ventre, “Ouh là, aujourd’hui j’ai mangé quelque chose de douteux.” (Le Maître rit) Ce n’est pas cela, c’est le karma qui est mis à cet endroit pour toi. Pourquoi est-il mis absolument là ? Ce n’est pas qu’on doit absolument le placer là, peut-être qu’on l’envoie là ou peut-être qu’on l’envoie à un autre endroit. C’est parce que tu as certains attachements, comme on doit t’aider dans le xiulian, le karma est envoyé à cet endroit. » (« Enseignement du Fa au Fahui de New York 2019 »)

J’ai réalisé que j’avais développé un attachement au mariage et aux relations dans l’environnement universitaire où les relations occasionnelles sont la norme. En tant que pratiquante, je dois me conformer aux critères d’une pratiquante, quel que soit l’environnement dans lequel je me trouve. J’ai réalisé que mon problème de santé m’a aidée à me défaire de mon attachement aux relations et au mariage de mes rêves. Je me suis dit que si le mariage ne faisait vraiment pas partie de mon plan de cultivation, alors je ne le poursuivrais pas.

J’ai réalisé que les jeunes disciples de Dafa doivent être stricts envers eux-mêmes dans leurs relations entre hommes et femmes et ne pas avoir de relations sexuelles avant le mariage. Même après le mariage, nous ne devrions pas avoir constamment des pensées lubriques et nous devrions nous tenir à un niveau élevé.

Après avoir affronté et examiné mes attachements et regardé à l’intérieur, mes menstruations sont revenues en une semaine.

Parfois, le problème que je n’osais pas affronter était l’attachement que je devais supprimer. Au fur et à mesure que je supprimais ces attachements, je n’étais plus confuse au sujet de mon avenir. Je savais vraiment comment suivre mon chemin correctement. J’ai compris que ce n’est qu’en cultivant dans le Fa que je pouvais sortir du labyrinthe humain.

Le plan de retraite anticipée de maman

Après que j’ai renoncé à mon projet d’étudier à l’étranger, ma mère a décidé de prendre sa retraite l’année suivante afin d’avoir plus de temps pour clarifier la vérité à davantage de personnes.

Juste après avoir fini d’écrire cet article, ma mère m’a dit que son employeur fusionnait avec une autre société. La nouvelle société a demandé aux employés de prendre leur retraite volontairement et a offert une bonne indemnité de départ. Ma mère a signé et recevra environ 100 000 yuans d’indemnité de départ.

Je me suis rendu compte que le Maître avait pris les meilleures dispositions pour nous. Ma mère et moi ressentons vraiment l’urgence de sauver les êtres.

Je vais bien suivre le chemin final de la cultivation, enlever nos attachements, éliminer les interférences et sauver plus de personnes. Nous ne laisserons pas tomber le salut compatissant du Maître !

Traduit de l’anglais