(Minghui.org)

Le Maître a dit :

« Les disciples de Dafa sont l'espoir de l'humanité, et ils sont son unique espoir. Sauver les êtres est notre mission, la responsabilité est considérable, c'est seulement en se cultivant bien soi-même qu'on peut bien faire les choses qu'un disciple de Dafa doit impérativement faire. » (Mot de félicitations au Fahui européen à Paris)

Mon cœur pour sauver les gens ne pouvait pas être enfermé

Au début de l’année 2020, le virus du PCC (coronavirus) s'est largement répandu à Wuhan. Des villes, des quartiers, et même des rues ont été confinés dans toute la Chine. Les entrées et sorties des habitants des complexes résidentiels ainsi que leurs activités étaient strictement contrôlées. J'ai téléchargé des documents de clarification de la vérité sur le site Internet de Minghui et j'ai réalisé des brochures, des cartes et des petites affiches autocollantes afin que d'autres pratiquants et moi-même puissions les distribuer chaque jour dans les zones résidentielles. Chaque fois que je sortais, comme je devais m'inscrire à la porte de notre zone résidentielle et que le temps alloué aux sorties était limité, mon mari, qui n'est pas un pratiquant, a également livré des documents et des cartes mémoire à d'autres pratiquants pour moi.

Grâce aux arrangements compatissants du Maître, j'ai surmonté les difficultés et fait les choses que je devais faire.

Un jour, je voulais mettre des cartes de clarification de la vérité sur la porte des gens, mais j'avais peur et je n'osais pas le faire. Quand j’ai pensé sortir pour mettre les cartes sur les portes, j’ai eu des battements de cœur et j’ai senti mes jambes faiblir. J'ai demandé au Maître de me renforcer. J'ai émis la pensée droite pour dissoudre les êtres mauvais et les facteurs qui m'empêchaient de sauver les êtres, et aussi pour dissoudre ma peur. À 2 heures, je me suis rendu compte que j'étais réveillée. J'ai entendu une voix me dire : « Ne rate pas cette bonne occasion. » Je savais que le Maître m'aidait. Je me suis levée et je suis sortie pour mettre les cartes sur les portes des gens.

Quelques jours plus tard, les voisins qui vivent en face de nous et ceux d'en bas ont enlevé les couplets du Nouvel An qu'ils avaient mis sur leur porte, mais ils ont laissé sur leur porte les cartes de clarification de la vérité. En ce moment, ces cartes sont toujours là.

Un amoncellement de difficultés

En 2013, le camarade de classe de mon fils lui a demandé de se procurer une carte de crédit en son nom, car la banque avait refusé sa demande en raison d'un mauvais crédit. Je n'étais pas au courant du type d'accord qu'ils avaient conclu. Mon fils a fait une demande de carte de crédit en utilisant sa carte d'identité. La demande a été approuvée et la carte avait une limite de crédit de 300 000 yuans (environ 38 500 euros). Son camarade de classe a utilisé cette carte et, chaque mois, il remboursait une partie de l'argent à mon fils. Cependant, il a rapidement cessé de rembourser mon fils. Mon fils l'a poursuivi pour cette dette et est également allé voir sa famille, mais ce fut en vain. Mon mari a reçu une dernière notification de la banque disant que mon fils avait trois jours pour rembourser la totalité de l’argent, soit un total de 336 000 yuans, sinon il serait arrêté.

Ce fut un coup dur pour nous. Financièrement, nous ne sommes pas bien nantis. Dans toutes les entreprises que nous avons montées lorsque nous étions jeunes, nous avons fait des pertes, nous n'avions donc pas d'économies. Nous avons contracté un prêt à taux d'intérêt élevé pour rembourser la dette de la carte de crédit. Cette affaire était sur le point d'être réglée lorsqu'un autre incident est survenu.

Mon mari travaillait dans une chaufferie d'un complexe résidentiel. Son contrat arrivait à échéance dans deux jours. Son patron lui avait dit qu'il n'avait pas besoin de dormir dans la chaufferie la nuit, mais mon mari a insisté pour y dormir afin de ne pas avoir à se précipiter au travail tôt le matin.

Ma petite-fille de 4 ans a couru dans la chambre après le dîner. Mon mari était à l'ordinateur dans une autre pièce. Ma petite-fille a couru vers moi et m'a dit : « Mamie, grand-papa ne dormira pas dans la chaufferie. Il restera à la maison ce soir. » J'ai dit : « C'est très bien. »

Mon mari est sorti de sa chambre après 21 heures, tout habillé. Je lui ai demandé pourquoi il avait mis des vêtements. Il m'a dit qu'il allait à la chaufferie. Je lui ai dit : « Notre petite-fille m'a dit que tu avais dit que tu n'irais pas ce soir, que tu resterais à la maison. » Il a dit que ce n'était pas ce qui avait été dit et a quitté la maison.

Environ dix minutes plus tard, j'étais assise sur le canapé à regarder la télévision avec mon fils et ma petite-fille lorsque le téléphone portable de mon fils a sonné. Il a répondu à l'appel et on aurait dit que quelque chose de grave était arrivé. Il a demandé si la personne allait bien, puis il s'est précipité hors de la pièce. J'ai eu un sentiment étrange et j'ai demandé ce qui s'était passé. Mon fils était déjà en train de courir dans les escaliers et a dit : « Papa a eu un accident de voiture. »

J'ai pris ma petite-fille et je me suis agenouillée devant la photo du Maître et j'ai supplié le Maître d'aider mon mari et de le sauver. Je me suis dit que mon mari devait supporter tout ce qu'il devait supporter, mais que je refuserais tout arrangement fait par les forces anciennes et que j'étais venue pour valider le Fa et rien de négatif ou qui empêchait de sauver des gens n'était permis.

Je ne savais pas quelle était sa situation ni si sa vie était en danger. Je voulais aller à l'hôpital avec ma petite-fille. Mais, à bien y réfléchir, à quoi bon aller à l'hôpital ? Faire bon usage de ce temps précieux, c'était sauver des vies. Alors je me suis assise, j'ai émis la pensée droite et j'ai supplié le Maître de m'aider. Au bout d'un moment, j'ai appelé mon fils. Il m'a dit que la vie de son père n'était pas en danger, mais que l'os sous son genou avait été coupé et qu'il devait être opéré.

J'ai parlé à mon mari et je lui ai dit : « N'aie pas peur, je t'en prie. Je t'aiderai à la maison. Récite “Falun Dafa est bon, Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon”. » Il a répondu : « Je l'ai récité. Je l'ai récité, ne t'inquiète pas. Reste à la maison et occupe-toi de notre petite-fille. Tu n'as pas besoin de venir ici. Je vais bien. »

Cette nuit-là, je n'ai pas dormi. Le lendemain matin, j'ai quand même fait les exercices. J'ai ensuite récité le poème du Maître.

« Parvenir à la plénitude parfaite, obtenir le Fruit de Bouddha,

Prendre la souffrance comme de la joie.

La peine physique ne compte pas comme souffrance,

Cultiver le cœur est le plus difficile à supporter.

Chaque obstacle doit être franchi,

Il y a des démons partout.

Cent épreuves tombent en même temps,

Voyons comment il peut vivre.

Capable d'endurer les souffrances dans ce monde,

Sortir de ce monde, être un Bouddha. »

(« Faire souffrir le cœur et la volonté », Hong Yin)

Le Maître ne me disait-il pas que lorsque les difficultés et l’amertume pleuvent sur moi, c’est que j’ai un grand test à passer ?

Le patron de mon mari ne lui avait pas demandé de rester dans la chaufferie et ma petite-fille avait dit qu'il n'irait pas là-bas. C’était donc dans sa destinée d’avoir cet accident. De toute évidence, c’était arrivé pour lui ôter la vie. Si le Maître ne l'avait pas protégé, il aurait pu rencontrer un plus gros problème. C'était terrifiant. Merci, Maître de lui avoir sauvé la vie !

Abandonner les intérêts et la sentimentalité

Le Maître a dit :

« Quelle que soit l’indemnité qu’on vous donne, pouvez-vous vivre agréablement en passant le reste de votre vie couché à l’hôpital ? Même les badauds ont trouvé cela bizarre : « Quoi, cette femme âgée ne réclame pas d’argent, elle doit exiger de l’argent ! » Pour les gens actuels, les critères moraux se sont déformés. Il est vrai que le chauffeur conduisait trop vite, mais a-t-il heurté la passante exprès ? C’était involontaire, non ? Pourtant les gens d’aujourd’hui réagissent comme ça : si on n’extorque pas d’argent, même les badauds sont indignés. Je vous l’ai dit, aujourd’hui on n’est même plus capable de discerner le bien du mal ; si vous dites à certaines personnes qu’elles ont mal agi, elles ne vous croient pas. » (Quatrième Leçon, Zhuan Falun)

Le Maître du Fa m'a dit ce que je devais faire, mais mon mari n'était pas un pratiquant et nous étions très endettés. Si je voulais que nous payions les frais médicaux, plutôt que de les faire payer par le chauffeur, mon mari comprendrait-il ? Je suis une pratiquante et je dois me conformer aux principes de Dafa. Tous les membres de ma famille me soutiennent dans ma cultivation et pratique et connaissent certains des principes du Fa. Nous en avons discuté et avons décidé que nous ne demanderions pas de dédommagement au chauffeur. L'agent de la circulation avait suggéré que nous poursuivions le conducteur et demandions une indemnisation. Il a dit : « Au moins, vous devez demander le remboursement de vos frais médicaux. »

Nous n'avons pas demandé de remboursement. Au lieu de rembourser notre dette, nous avons utilisé l'argent du prêt pour payer l'opération de mon mari. On a dû lui mettre une plaque d'acier dans la jambe, puis lui plâtrer la jambe. Il a beaucoup transpiré et a crié à cause de la douleur. En voyant sa souffrance, j'ai senti sa douleur. J'ai été touchée émotionnellement. J'ai alors récité le Fa :

« Quand vos amis et vos parents sont dans la souffrance, êtes-vous affecté intérieurement ? Comment mesurez-vous tout cela ? C’est ça, la difficulté d’être un pratiquant de gong ! » (Huitième Leçon, Zhuan Falun)

Selon les principes droits du Fa, il est bon d'avoir des tribulations et de subir des épreuves. Cela permet de rembourser le karma que l'on a accumulé vie après vie. C'est un processus qui consiste à éliminer le karma et à le transformer en vertu. En changeant ma perspective, émotionnellement j’ai réduit mon implication dans cette histoire.

J'ai fait écouter les conférences audio du Maître à mon mari et lui ai demandé de réciter sincèrement : « Falun Dafa est bon, Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon. »

Quoique nous ayons toujours des dettes et que nous ayons des difficultés financières, nous n'avons demandé au chauffeur aucun centime, de toute façon, il ne s’est même pas présenté. Mon mari et moi n'avons pas porté plainte contre lui. Nous l'avons supporté nous-mêmes en silence. Le Falun Dafa m'apprend à prendre « la renommée, l'intérêt et la sentimentalité » à la légère et à devenir un être désintéressé qui pense d'abord aux autres.

Certaines personnes ne comprenaient pas et me demandaient pourquoi j'étais encore heureuse après avoir rencontré une chose aussi importante. Je leur ai répondu : « C'est facile à comprendre. Le Maître a sauvé la vie de mon mari et a également sauvé toute notre famille. C'est une si grande bénédiction. Ne devrais-je pas être heureuse ? Ce n'est pas une mauvaise chose de supporter la souffrance parce que nous remboursons nos dettes. »

Mon fils et sa famille avaient prévu de rendre visite à sa belle-famille dans une autre ville. Ils ne voulaient pas y aller maintenant parce qu'ils voulaient rester et prendre soin de son père. Je leur ai dit d'y aller comme prévu. Je pouvais m'occuper de son père.

De manière inattendue, après leur départ j'ai commencé à me sentir bizarre. J’étais étourdie et sans force. J'avais des douleurs dans la région de mes côtes, à droite. Je toussais jour et nuit et j'avais une faible fièvre. Je transpirais beaucoup la nuit et je n'avais pas envie de manger. J'étais essoufflée et je titubais en marchant. Mais je devais quand même faire les tâches ménagères, les courses et la cuisine, et m'occuper de mon mari. C'était un grand test pour moi.

J'ai continué de réciter le Fa du Maître :

« C’est difficile à endurer, mais on peut l’endurer, c’est difficile à faire, mais on peut le faire. » (Neuvième Leçon, Zhuan Falun)

Je n'ai pas hésité à croire dans le Maître et dans le Fa et j'ai essayé de m'assimiler au Fa. J'ai pris l'amertume comme une joie et j'ai persévéré.

Grâce au renforcement du Maître et à l'aide du Fa, j'ai réussi le test, bien que j'aie perdu beaucoup de poids.

Le Maître a dit :

« En particulier durant ces années de persécution, peu importe ce à quoi vous avez fait face tandis que vous validiez la Loi, je vous l’ai déjà dit, tout cela est une bonne chose, car ces choses sont survenues spécifiquement parce que vous cultivez. Ces épreuves dues au démon et la souffrance – aussi grandes ou brutales qu’elles vous paraissent – sont de bonnes choses car elles surviennent seulement du fait de votre cultivation et pratique. On peut éliminer le karma et rejeter les attachements humains en traversant des épreuves dues au démon, et à travers ces épreuves vous pouvez vous élever. » (« Enseignement de la Loi à la conférence de New York, 2008 », Enseignement du Fa dans les conférences VIII)

Lorsque mon fils et sa famille sont revenus, tous mes symptômes avaient disparu. Le Falun Dafa est vraiment incroyable !

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Traduit de l'anglais