Hong Kong : Comment j'ai obtenu le Falun Dafa

(Minghui.org) Note de l'équipe éditoriale : Cette année marque le 29^e anniversaire de la présentation du Falun Dafa au public.

Le Maître a dit :

« Réfléchissez tous calmement. Hong Kong, c'est le front le plus avancé du parti pervers, c'est déjà au bord de ses mâchoires. Dévoiler la perversité à cet endroit, sa haine est telle que ses dents lui font mal jusqu’à la racine, s'il ne faisait pas toutes ces choses perverses, ce ne serait pas normal. » (« Enseignement de Fa à la conférence de Fa dans la grande région de New York 2013 »)

Pendant plus de deux décennies, les pratiquants de Falun Dafa à Hong Kong ont dû relever de nombreux défis pour clarifier la vérité sur le Falun Dafa auprès des gens. Depuis l’adoption de la loi sur la sécurité nationale, ils ont continué de sensibiliser les gens à la persécution. À la fin de l’année dernière, après le démantèlement de l'Association de la protection de la jeunesse de Hong Kong - un groupe sous le contrôle du Parti communiste chinois (PCC) - les pratiquants ont été reconnaissants envers Maître Li (le fondateur de Dafa) pour sa protection et ont réalisé l'urgence de s'améliorer en tant qu’un seul corps, afin de pouvoir éveiller la conscience des êtres plus efficacement.

Récemment, les pratiquants des sites de pratique ainsi que des sites de clarification de la vérité ont discuté à tour de rôle de sujets tels que la manière de progresser dans la cultivation et pratique, comment pratiquer avec autant de diligence qu'au début de la cultivation et comment améliorer leur capacité à clarifier la vérité. Ces discussions sont publiées à l'intention de la communauté élargie des pratiquants.

Veuillez par compassion indiquer toute chose qui n'est pas appropriée.

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Faire un pas dans la cultivation et pratique du Falun Dafa

En 1980, j'ai quitté la Chine pour m'installer à Hong Kong. Dans cette ville au rythme effréné, mon mari et moi avons créé une entreprise. C'était très stressant et la charge financière que nous devions supporter était énorme. Pour ajouter à nos malheurs, après avoir donné naissance à deux enfants, j'ai souffert de maladies gynécologiques et de maux tenaces tels qu'une inflammation de l'urètre, des raideurs et des douleurs dans l'articulation de l'épaule, et ainsi de suite. Alors que j'étais dans la trentaine, je souffrais de fréquents maux de tête.

En février 1997, je suis retournée en Chine pour me faire soigner. Le médecin m'a dit qu’il ne pouvait rien faire et que je devais me prendre en main.

Les pressions de la vie et ma mauvaise santé me perturbaient et je pleurais beaucoup. En août 1997, j'ai eu la chance de connaître le Falun Dafa. Après avoir commencé la pratique du Falun Dafa, ma vie a connu une transformation complète. Toute ma famille en a même bénéficié. En repensant aux circonstances dans lesquelles j'ai commencé la pratique, je suis extrêmement reconnaissante envers les arrangements faits par le Maître.

Un rêve mystérieux

En juin 1997, deux mois avant le début de ma cultivation et pratique de Dafa, mon mari a reçu une lettre de l'ambassade d'Australie l'informant que sa demande d'immigration comme travailleur qualifié était refusée. Il était très contrarié. J'étais également affectée et je voulais lui faire des reproches, mais j'ai changé d'avis.

Pendant mon sommeil, j'ai fait un rêve dans lequel je me tenais près de la maison de mes parents. De l'autre côté de la route, il y avait un groupe de personnes vêtues de vêtements anciens. Certains frappaient des gongs, d'autres des tambours et ils portaient des objets introuvables dans la société d'aujourd'hui. Dans le groupe, il y avait deux adolescents. Il y avait du riz dans l'un des objets qu'ils portaient. Le défilé est passé devant ma maison. Je me suis demandé ce qui se passait. J'ai alors entendu une voix dire : « C'est pour untel et untel. »

Je me suis réveillée et je me suis assise dans mon lit en pensant : « Qui sont les garçons dans mon rêve ? Comment se fait-il qu'ils transportaient autant de riz ? Comment peut-on le faire cuire ? » Je pensais que le riz dans mes rêves symbolisait la prospérité. Deux mois plus tard, après être devenue pratiquante de Falun Dafa, j'ai réalisé que cela faisait référence au Fa. Le « Fa du Bouddha du Falun » avait été livré directement à ma porte par le ciel.

J'ai raconté mon rêve à mon mari et lui ai dit : « Ta demande d’immigration en Australie a été refusée, mais c’est peut-être une bonne chose. » Son moral s'est accru, et il a eu l'air plus détendu. Nous avons commencé à faire des projets pour l'avenir. Nous avions des dettes à l'époque et envisagions de contracter un prêt auprès de la banque pour rembourser la dette. Nous espérions que la banque nous accorderait un délai aussi long que possible pour rembourser le prêt, afin d'alléger la charge qui pesait sur nous. Cela nous donnerait plus de temps pour élever nos enfants. Nous voulions que nos enfants apprennent à être gentils et polis et leur donner une excellente éducation.

Emprunter de l'argent à la banque pourrait être considéré comme un « miracle ». Au départ, en raison du refus de la banque de nous prêter de l’argent, nous devions vendre notre maison. Contre toute attente, après le rêve, mon mari a trouvé une banque qui lui a fait un prêt de 800 000 yuans. C'était plus du double du montant que nous voulions obtenir au départ. La banque a également accepté de prolonger les modalités de remboursement. Cela répondait à toutes nos exigences, et nous n'avons pas eu besoin de vendre notre maison.

Cet événement a ouvert la voie à notre cultivation et pratique sans beaucoup de difficultés. Cela a également permis à nos enfants de recevoir une bonne éducation. Avec le recul, j'ai le sentiment que tout dans ma vie a été arrangé par le Maître avant que je ne commence à pratiquer. Même si nous n'avons pas émigré en Australie, cela m'a donné l'occasion d'apprendre la grande Loi de l'univers !

Rencontrer par hasard des pratiquants de Falun Dafa

Un matin d'août 1997, je me sentais mal et je me suis dit que je devrais retourner en Chine pour voir le médecin. Mon mari était aussi d'accord.

Pour une raison ou une autre, j'ai décidé de reporter le voyage à une semaine plus tard. Entre-temps, je me suis dit que je devrais suivre une voie de cultivation et pratique bouddhiste, espérant que cela traiterait ma maladie. Mon mari et moi sommes allés nous promener dans le parc pour nous vider l'esprit.

Quand nous sommes arrivés au parc Kowloon, tout d’un coup, il s'est mis à pleuvoir à verse. Mon mari a couru vers un pavillon situé sur un terrain plus élevé pour s'abriter. Pour éviter d’être trempée, je me suis dirigée sous un grand arbre. La pluie s'est arrêtée, mais mon mari n'est pas redescendu. Lentement, j’ai gravi la pente pour aller à sa recherche.

Je l'ai vu en train de faire des exercices avec une dizaine de personnes au pavillon. Ils avaient les mains levées au-dessus de leur tête et restaient là sans rien dire. Je les ai observés en silence. Pour encourager mon mari, j'ai commencé à faire les exercices moi aussi. Au bout de quelques minutes, mes mains ont commencé à me faire mal. J'ai pensé : « C'est une bonne chose - passer par la difficulté d'abord et récolter de douces récompenses par la suite. » Avec cette pensée, j’ai senti de la chaleur dans mon dos et plus je pratiquais, plus je me sentais à l'aise. J'ai persévéré pendant près d'une demi-heure et cette expérience m’a ravie.

Après les exercices, je leur ai demandé : « Est-ce une forme de cultivation et pratique ? » Le responsable a répondu : « La nôtre est une cultivation et pratique de l'école du Bouddha. » J'étais excitée : « Oh ! Mon Dieu, justement à la maison j’ai dit que je voulais apprendre une cultivation et pratique bouddhiste pour guérir ma propre maladie. Et voilà, j'en ai trouvé une. C'est ce que je veux ! »

Ils m'ont prêté le livre Zhuan Falun. J'ai pris le livre à deux mains et l'ai traité avec grand soin. J'ai dit à mon mari : « Je me sens beaucoup mieux maintenant. Je ne me suis jamais sentie aussi heureuse. »

Après mon retour à la maison, j’ai mis le livre dans ma chambre. J'avais hâte de terminer mes tâches ménagères pour pouvoir le lire. Je me sentais mieux et j’avais l’énergie pour faire le ménage. Quand j’ai terminé mes tâches ménagères, il était déjà 15 h. Je suis entrée dans la chambre et j'ai soulevé le livre à deux mains.

Après avoir lu les trois premières pages, j'étais euphorique. J'ai dit à mon mari : « Ce livre est excellent. C'est exactement ce que je veux. Personne ne pourra m'empêcher de le pratiquer. » Il m'a regardée, déconcerté par ma réaction. Après avoir lu sept pages, je lui ai passé le livre. Après avoir lu sept pages également, il a convenu que le livre était bien écrit. C’est ainsi que tous les deux, nous avons commencé à pratiquer Dafa.

Avant d'aller me coucher, j'ai dit à mon mari que je voulais me lever à 6 h le lendemain matin pour aller au parc faire les exercices. Je me suis effectivement levée à l'heure le lendemain. La deuxième nuit, j'ai dit à nouveau que je voulais me lever à 5 h 30. En effet, je me suis levée à 5 h 30. Quelques jours plus tard, j'ai dit que je me lèverais à 5 h 15 et je l'ai fait. Pendant cette période, chaque fois que je disais que je me lèverais à une certaine heure le lendemain, je le faisais. Ce phénomène extraordinaire a duré environ quinze jours. Tous mes malaises ont disparu et mon corps était léger.

Même si nous n'avons pas déménagé en Australie, notre vie à Hong Kong ainsi que notre situation financière se sont progressivement améliorées. Nous avons pu envoyer notre fils faire ses études en Australie. Lorsque nous sommes devenus à court d'argent, nous avons vendu une partie de nos propriétés en Chine. Les prix des maisons avaient alors beaucoup augmenté en Chine. Cela a non seulement résolu nos problèmes financiers, mais n'a pas affecté notre cultivation et pratique, ni nos enfants. Après avoir été témoins de ma transformation autant physique que mentale, mes enfants sont devenus très reconnaissants envers le Maître. Ils remercient le Maître pour les bénédictions reçues et se souviennent de la phrase : « Falun Dafa est bon, Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon. »

Je cultive et pratique depuis vingt-trois ans maintenant. Selon mon expérience personnelle, le Maître a fait pour moi le meilleur arrangement. Je pense qu'en croyant fermement dans le Maître et dans Dafa, en étudiant le Fa avec sincérité et en abandonnant l'attachement à la renommée, à la fortune et à la sentimentalité, notre validation du Fa sera meilleure.

Je termine mon partage avec un poème du Maître :

« Pur lotus dans le monde fangeux, des milliers de milliards de fleurs de prunier

D’une verdeur encore plus vive dans le vent froid

Neige et pluie tombent sans cesse du ciel – larmes des dieux et des bouddhas

Aspirant au retour des fleurs de pruniers

Ne vous perdez pas dans les choses du monde auxquelles vous vous attachez

Soyez fermes dans la pensée droite

De l’antiquité jusqu'à aujourd'hui

Tout n'a été que pour cette fois-ci »

(« Fleurs de prunier », écrit dans le style de la poésie de la dynastie Yuan Hong Yin II)

(Article présenté lors du partage d'expérience des sites de pratique de Hong Kong 2021)

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Traduit de l'anglais