(Minghui.org) Ye Lei, professeur d'université et conseiller en santé mentale, a récemment décidé de démissionner du Parti communiste chinois (PCC) et de ses organisations affiliées.
« Quand j'étais jeune, j'ai été trompé par les douces paroles du Parti communiste chinois et j'ai vénéré les esprits communistes – je n'avais pas honte d'eux, j'étais fier d'eux. Un étudiant est venu me parler et m'a dit que sa famille était en difficulté financière et qu'il voulait abandonner l'école. Quand j'ai insisté, il m'a dit que son père avait été arrêté parce qu'il avait critiqué le gouvernement. Pour soudoyer les autorités, sa famille avait dépensé toutes ses économies. Il n'a pas réussi la “vérification des antécédents politiques” et n'était en conséquence pas qualifié pour recevoir une bourse, il n'a donc pas été en mesure de payer les frais de scolarité et les frais », a déclaré Ye dans une déclaration publique sur le site web de Global Tuidang (Quitter le Parti).
« Après avoir entendu son histoire, j'ai eu honte de mon appartenance au Parti. Je déclare par la présente ma démission du Parti communiste chinois et de ses organisations affiliées et j’expie mes péchés. »
Tout comme Ye, de nombreux Chinois ont cru la propagande du PCC qui se présentait comme grand, glorieux et juste. Ils étaient fiers d'être membres du Parti. Ce n'est qu'après avoir vu, entendu et vécu personnellement la brutalité du PCC qu'ils ont réalisé qu'ils avaient été trompés depuis le début et qu’ils ont choisi de quitter le Parti et de ne plus y être associés.
Voici ce que certaines de ces personnes avaient à exprimer dans leurs déclarations sincères sur le site web Tuidang.
« Dénoncer cet acte de génocide »
Xiaochuan de la ville de Chengdu, province du Sichuan, a écrit le 7 mars 2020 : « Je m’appelle Xiaochuan (pseudonyme), je suis un cadre du Bureau de la santé de la province du Sichuan. Au travail, j'ai récemment surpris une conversation secrète entre dirigeants. Pour maintenir le contrôle indéfiniment, les hauts fonctionnaires du PCC se préparent à prélever un lot d'organes humains pour les transplanter sur des fonctionnaires de haut niveau. En fait, il n'y a qu'une poignée de personnes infectées par la COVID-19 dans la province, mais le “traitement” est en fait une opportunité pour le PCC de prélever des organes sains. Les dirigeants ont également souligné la nécessité pour la province de confirmer plus de 1000 “cas” afin de remplir leur “quota” de 200 organes. »
« Je suis un fonctionnaire du PCC et j'ai été choqué d'entendre cela. Je comprends maintenant à quel point le PCC est vraiment pervers. Ma mère âgée a été diagnostiquée atteinte par la COVID-19 et est maintenant piégée dans l'hôpital pour un “traitement” et pas autorisée à en sortir. Je suis vraiment désolé. Je veux démissionner du PCC et profiter de cette opportunité pour dénoncer cet acte génocidaire. »
« Ce n'est qu'aujourd'hui que j'ose dire la vérité à propos du 4 juin »
Hu Shuyue de la province du Liaoning a été témoin du massacre du 4 juin 1989. Dans sa déclaration de démission du PCC et de ses organisations le 8 janvier 2020, il a révélé qu'il était dans l'armée à Pékin pendant le massacre et a vu de première main ce que l'armée communiste chinoise avait fait aux étudiants. Ce dont il a été témoin n'était que la pointe de l'iceberg.
« Après que l'armée a écrasé les étudiants manifestant qui refusaient de quitter la place Tiananmen avec leurs chars, le sol était couvert de cadavres et de leurs affaires. Les soldats ont utilisé des camions pour emporter leurs affaires et des hélicoptères pour transporter les restes. Ensuite, des dizaines de camions de pompiers sont venus laver le sang sur la place Tiananmen, et les autorités interdisaient à quiconque de dire la vérité. En vertu de la loi militaire, quiconque parlait serait sévèrement puni (“réduit au silence” ou “porté disparu”) », a-t-il dit.
« Maintenant que je suis à la retraite de l'armée depuis des décennies, j'ose dire un peu la vérité aux pratiquants de Falun Gong aujourd'hui. Je crois ce qu'une pratiquante de Falun Gong m'a dit à propos de la persécution de sa croyance et j'ai suivi son conseil de démissionner du PCC et de ses organisations. Que le divin bénisse nos vies avec la paix, la fortune et la sécurité dans les moments difficiles. »
« Stupéfait par ce que j'ai vu à la maison du président du comité du village »
Le 13 mars 2021, Quan Xiaojun, du sud de la province du Guangxi, a écrit : « J'ai toujours cru que le Parti communiste chinois nous amènerait à être riches et forts, afin que la Chine ne soit plus intimidée par les étrangers. Dans cet esprit, j'ai rejoint le Parti, espérant faire ma part pour rendre la Chine riche et forte. »
« Mais récemment, le président du comité du village m'a convoqué chez lui pour une réunion. J'avais pensé que, sous la direction du Parti, tous ses membres seraient honnêtes et droits, mais quand j'ai ouvert la porte de la maison du président, j'ai été abasourdi par ce qui s’offrait à ma vue ! La pièce était somptueusement aménagée et plusieurs jeunes filles vêtues uniquement de lingerie entouraient le président et faisaient des remarques explicites. Quand le président m'a vu, il a même demandé à l'une des filles de me “servir”, mais j'ai refusé. »
« J'ai été très déçu du président. J'en ai parlé à mes amis qui avaient rejoint le Parti, et ils m'ont tous dit qu'ils avaient vécu des expériences similaires. Après avoir entendu cela, j'ai perdu confiance dans le Parti et j'ai eu honte de la façon dont il a trompé les gens. J'ai beaucoup appris sur la sombre histoire du Parti. Je choisis maintenant de démissionner du Parti et de remettre ma vie sur les rails. J'espère que mon expérience convaincra plus de gens à reconnaître la nature perverse du PCC. »
« Je ne veux pas assumer la responsabilité pour l'organisation »
Wang Tianzhen, qui a écrit une déclaration pour démissionner du PCC et de ses organisations le 9 mars 2020, a déclaré : « Je suis un travailleur de la santé. J'ai rejoint le Parti communiste après avoir obtenu mon diplôme, uniquement pour trouver un emploi. En raison de mon appartenance au Parti et de mes liens familiaux, j'ai trouvé un emploi idéal. Après avoir travaillé pendant un an, j'ai remarqué les luttes personnelles acharnées au travail. Les dirigeants ne cessaient de parler des principes du Parti, mais maltraitaient et persécutaient leurs subordonnés à volonté. »
« Deux de mes camarades de classe travaillaient dans le même système et étaient également membres du Parti. Leurs supérieurs abusaient de leur pouvoir, recevaient des pots-de-vin et leur faisaient porter le chapeau lorsque les choses tournaient mal. Mes deux camarades de classe ont fini en prison. »
« J'ai vu le Parti être responsable de trop d'actes sournois pendant de nombreuses années. Par la présente, je déclare mon retrait du Parti communiste chinois et je romps désormais mes liens avec cette organisation crapuleuse. Je ne veux pas devenir un agneau sacrifié ou finir dans une urne. Je ne veux pas prendre la responsabilité de l'organisation. Je ne veux pas aller en prison pour eux et je ne veux pas me battre toute la journée pour gagner ma vie. J'espère bientôt une nouvelle Chine sans le Parti. »
« Mon meilleur ami a été humilié par un responsable du Parti »
Le 16 octobre 2020, un étudiant de 24 ans s’appelant Tian a écrit dans sa déclaration pour démissionner du PCC : « J'avais un bon ami qui était un joueur de football. Il a été humilié en étant déshabillé et forcé d'aboyer comme un chien parce qu'il a heurté une voiture de luxe d'un cadre du Parti. J'ai connu de nombreuses personnes qui ont été persécutées. Notre famille a également été persécutée et a perdu 1 910 000 yuans en conséquence. Je déclare que je me retire du Parti aujourd'hui. »
« Ce ne sont que des menteurs véreux »
Liu Xin a dit dans sa déclaration du 17 décembre 2020 pour démissionner du Parti : « Quand j'étais jeune, j'ai travaillé comme secrétaire de village pendant de nombreuses années, et j'ai à peu près travaillé pour le Parti toute ma vie. Je suis maintenant vieux et en mauvaise santé et je ne suis plus en mesure de travailler. »
« L'année dernière, les cadres du village et de la ville sont tous venus me voir et m'ont demandé de prendre la tête de la démolition de ma maison. Le gouvernement voulait rénover la maison qui était délabrée et a promis de m'en construire une nouvelle. Maintenant la maison n’est plus là, mais personne n'est venu m'en construire une autre, et personne n'en assumera la responsabilité. Je n'ai même plus de logement. Maintenant, je vois à travers le Parti pervers – ce sont des menteurs véreux. Je veux démissionner du Parti pervers et ne plus y être associé. »
Le cri des ouvriers
Le 19 décembre 2020, Xiao En de l'Anhui a déclaré qu'il a grandi dans une zone rurale, là-bas les cadres du village détournaient les subventions des familles à faible revenu et utilisaient les fonds publics à des fins personnelles.
« Depuis mon enfance, ce monde injuste me laissait perplexe, et lorsque j'étais à l'école primaire, j'ai été contraint de rejoindre les Jeunes Pionniers. L'enseignant m'a encouragé à plusieurs reprises à rejoindre la Ligue de la jeunesse et m'a même menacé de perdre les récompenses que j'avais obtenues si je ne m'y inscrivais pas. Je n'étais pas d'accord avec les méthodes éducatives de type lavage de cerveau utilisées par le PCC et j'ai abandonné l'école primaire. »
« En raison de mon faible niveau d'éducation, je fais principalement du travail manuel. Un de mes patrons ne me payait pas, alors j'ai appelé la police, la ligne directe du maire et le bureau du travail, mais personne ne m'a prêté attention. Lorsque j'ai demandé à mon patron de me payer, il a utilisé ses relations pour me mettre en garde à vue pendant une journée. Une fois dehors, j'ai éprouvé un profond ressentiment pour cette injustice. Ce gouvernement corrompu du PCC absorbe chaque goutte de sang des gens ordinaires. Le droit du travail du PCC n'est qu'une blague ! Le peuple chinois doit se réveiller ! »
Après la perte d'un enfant
En mars 2020, Qiao a fait les « trois démissions » [se retirer du PCC, de la Ligue de la jeunesse communiste et des Jeunes Pionniers] à la fois pour lui et son enfant décédé. Il a dit que, même à l'école primaire, il trouvait étrange les leçons de politique. Lorsqu'il était à l’école secondaire, le « massacre de Tiananmen » a eu lieu et il a appris les mensonges systématiques du PCC. Depuis qu'il a terminé le lycée et est allé travailler, il est vraiment dégoûté du PCC.
« L'année dernière, mon enfant de 8 ans a eu un accident à l'école publique. Aucun des enseignants, ni l'infirmière de l'école ni les cadres de la direction de l'école ne l'ont secouru. L'infirmière était une praticienne sans licence et sans la moindre connaissance [des soins infirmiers]. L'école a collectivement ignoré la vie et esquivé sa responsabilité. J'ai finalement perdu mon cher enfant. Je veux démissionner des Jeunes Pionniers et de la Ligue de la jeunesse pour moi et pour mon enfant mort, je veux quitter les Jeunes Pionniers malveillants qui ont essayé de lui faire un lavage de cerveau et qui ont ignoré sa vie ! »
« Qualifiés de fauteurs de trouble »
Bang Z. Yu du Guangdong a écrit dans sa déclaration pour démissionner du Parti le 20 mars 2021 : « J'ai subi un lavage de cerveau par le Parti communiste chinois quand j'étais enfant et je pensais que rejoindre la Ligue de la jeunesse et le Parti serait glorieux. Quand j'étais à l'université, je ne pouvais pas contourner le pare-feu Internet et j'avais accès à des informations limitées, alors j'ai rejoint le Parti. »
« Après avoir obtenu mon diplôme, j'ai été transféré dans mon village, où j'ai vu le vrai visage du PCC. Les prétendues “élections” sont en fait des nominations internes. Le Parti n'a pas honte de dire qu'il accepte que les gens doivent être supervisés, mais dès que les gens exercent leur droit de superviser le dirigeant, ils sont qualifiés de “fauteurs de troubles”. »
« Visé par la police secrète »
Le 8 avril 2020, Xu Jie, de Tianjin, a déclaré que lorsqu'il était jeune et qu'il étudiait la physique dans l'une des universités chinoises, il a été pris pour cible par la police secrète pour avoir aidé un ami à dénoncer des rapports falsifiés. Les autorités ont exercé des représailles et il n'a pas pu obtenir de licence d'enseignement. Il en a été réduit à donner des cours particuliers parascolaires sans licence pour gagner un maigre revenu.
En 2019, en raison de son mécontentement de la société, il a rendu hommage aux victimes du massacre de la place Tiananmen. L’armée Internet communiste l'a qualifié de « réactionnaire » et il a été attaqué par des propos grossiers sur Internet.
Voyant comment le virus de Wuhan a fait des ravages en Chine ces derniers mois, causant la souffrance d'innombrables personnes, et conscient que le Parti continue de dissimuler des informations pour tromper les gens, il a décidé de se lever et de tracer une ligne claire pour se séparer de ce Parti maléfique.
« Vous pouvez rejoindre le Parti après avoir payé 850 yuans »
Wu Dawei a fait une déclaration le 22 juin 2020 pour démissionner du PCC. Il a dit que lorsqu'il était dans l'armée dans les années 1990, l'instructeur de l'entreprise l'a informé une fois en privé qu'il pouvait facilement rejoindre le Parti en payant 850 yuans. Wu a été choqué et a demandé à son père quoi faire. Son père lui a dit : « Ne rejoins jamais le Parti communiste. » Mais lorsqu'il a pris sa retraite de l'armée, il a été inscrit comme membre de la Ligue de la jeunesse à son insu.
« Mon fils a été interrogé après avoir visité un site web étranger »
Le 18 novembre 2020, M. Yao de la ville de Chengdu, dans la province du Sichuan, a dit dans sa déclaration pour démissionner du PCC : « Je suis un vieux membre du Parti et j'approche de l'âge de la retraite. J'ai participé à la contre-attaque dite d'autodéfense contre le Vietnam, j'ai servi dans l'unité d'artillerie et je travaille maintenant dans une institution publique. Aujourd'hui, je sens que je ne peux plus tarder davantage et que je dois démissionner du Parti ! »
« Ce Parti devient de plus en plus dictatorial. Économiquement, le pays avance, mais le peuple recule. La situation est pire qu'avant. Mon fils a été interrogé par la Sécurité d'État parce qu'il avait contourné la censure d'Internet et visité un site web étranger. Cela a terrifié toute notre famille. C'est une chance qu'ils n'aient pas eu de preuves pour le poursuivre en justice. »
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Traduit de l'anglais
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