(Minghui.org) Mon père aura 88 ans cette année, mais il a l'air beaucoup plus jeune. Il a le teint sain, le dos droit et l'esprit vif. Grâce à son intégrité et à sa gentillesse, mon père jouit de la confiance et du respect de toute notre famille élargie.
Pendant les vingt années où le Parti communiste chinois (PCC) a persécuté le Falun Dafa, grâce à ses actions justes, de nombreux parents, amis et personnes sont parvenus à une compréhension correcte du Falun Dafa et ont choisi un avenir brillant pour eux-mêmes. J'aimerais partager quelques histoires sur mon père.
Ma mère commence la pratique du Falun Dafa
J'ai eu la chance de commencer à pratiquer en octobre 1995. Plusieurs maladies qui me tourmentaient depuis de nombreuses années ont disparu en moins d'une semaine. J'ai pensé que Dafa était si merveilleux que je devais le faire savoir à plus de gens. J'en ai d'abord parlé à mes parents, à mes jeunes frères et sœurs et à d'autres membres de ma famille. J'en ai également parlé à mes amis, mes collègues et mes connaissances.
Ma mère était constamment malade et souffrait de graves maux de tête. Elle devait tout le temps porter un chapeau. Une anémie sévère et des problèmes gastro-intestinaux la rendaient trop faible pour marcher très loin. À cause de la douleur, elle fronçait constamment les sourcils.
À cette époque, mon père n'était pas non plus en bonne santé. Il a travaillé au sein du gouvernement du PCC pendant des décennies en tant qu'administrateur. L'atmosphère au travail était tendue, les gens étaient en compétition et se battaient constamment. Par conséquent, il rentrait généralement à la maison en colère. Il souffrait de problèmes cardiaques, d'hypertension artérielle, d'hyperlipidémie et de maladies gastro-intestinales.
J'espérais que mes parents allaient commencer à pratiquer Dafa et à vivre heureux à leur âge avancé. Quand je suis rentrée chez moi, j'ai parlé du Falun Dafa à mes parents, et ma mère a dit tout joyeusement qu'elle allait essayer. Mon père n'a rien dit. Quand, plus tard, je lui ai demandé de cultiver, il a dit : « Vous pratiquez d'abord et moi je vais essayer plus tard. » Début 1996, ma mère qui avait dans la soixantaine a commencé à pratiquer le Falun Dafa.
Ma mère n'est allée à l'école qu'une seule année. Quand elle a reçu le Zhuan Falun, elle a été contente mais inquiète, car elle ne pouvait lire que quelques caractères. Quand mon père a vu l'inquiétude de ma mère, il l'a consolée et a dit : « Ne t'inquiète pas. Je vais t'apprendre à le lire. Du moment que tu es déterminée à vouloir apprendre, tu seras capable de le lire. » À partir de ce jour, mon père avait une tâche sacrée – apprendre à ma mère à reconnaître les caractères et apprendre Dafa.
Ma mère a noté les mots qu'elle ne connaissait pas. Mon père les lui a ensuite appris. Parfois, elle avait mal écrit, et mon père notait le caractère correctement afin de le lui montrer. Mon père consultait un dictionnaire quand il trouvait un mot qu'il ne reconnaissait pas. Il lui a appris avec soin, et ma mère s'est appliquée sérieusement. Parfois, mon père a dû lui dire un mot plusieurs fois avant que ma mère arrive à le retenir. Mon père l'a aidée avec patience.
Avec la compassion et les bénédictions du Maître, la lecture s'est rapidement améliorée pour ma mère. Peu de temps plus tard, ma mère a été capable de lire tout le Zhuan Falun. Par la suite, ma mère a pu lire plus de 40 livres différents de Dafa avec fluidité. Plusieurs livres de Dafa étaient en caractères traditionnels.
Au cours des années, ma mère a utilisé toute une pile de carnets de notes pour mémoriser les nouveaux mots. Mon père a souvent lu les livres de Dafa à ma mère. À plusieurs occasions, ma mère nous a dit avec enthousiasme : « Je peux lire le Fa et pratiquer Dafa. Ton père m'aide dans mon xiulian. »
Les matins d'hiver sont sombres, alors mon père accompagnait ma mère pour aller au site de pratique collective dans le parc. Quand ma mère est allée à l'étude du Fa collective pour la première fois, mon père l'a conduite par l'autoroute.
Ma mère, autrefois malade, a retrouvé une bonne santé. Elle a jeté son chapeau et n'avait plus besoin de ses lunettes de lecture. Sa vue était comme celle d'une jeune personne. Son caractère s'est amélioré. Ma mère n'a plus jamais pris de pilule ni d'injection.
Ce qui est encore plus incroyable, c'est que plusieurs des maladies de mon père ont également disparu alors qu'il n'avait pas encore commencé à pratiquer le Falun Dafa – il a simplement assisté ma mère. Tout cela est dû à la compassion du Maître. Mon père savait que le Falun Dafa était bon, mais il ne voulait pas encore pratiquer.
Tenir tête à un bourreau
En 1999, le PCC a lancé la persécution. La police de la localité m'a enlevée chez moi et a pris des documents d'information sur le Falun Dafa et d'autres objets. J'ai été emmenée dans le sous-sol du poste de police. Un policier connu pour être mauvais a essayé de me forcer à dénoncer d'autres pratiquants, mais je n'ai pas coopéré. Il m'a giflée sévèrement. Tout mon visage était brûlé par la douleur et je n’ai pas pu dormir la nuit.
Juste avant l'aube, j'ai soudain vu mon père arriver au sous-sol. À une distance de plus de trois mètres, il m'a demandé à voix haute : « Qu'est-il arrivé à ton visage ? » J'ai répondu : « J'ai été battue par le policier. » Quand mon père a entendu cela, l'expression de son visage est devenue sévère et il est parti sans dire un mot.
Un policier qui travaillait avec le policier mauvais m'a appelée plus tard de la cave et m'a dit : « Je vous présente mes excuses en son nom. Il a eu tort de vous battre. Il l'a aussi réalisé. Notre superviseur l'a critiqué et lui a ordonné d'écrire une déclaration de repentir. J'espère que vous pourrez lui pardonner et lui donner une chance de changer. Il a promis qu'il ne vous battra plus. »
J'ai dit : « Pas seulement moi. Il ne devrait pas battre les autres pratiquants de Falun Dafa non plus. Nous pratiquons Authenticité-Bienveillance-Tolérance pour être de bonnes personnes. Nous n'enfreignons pas la loi. C'est injuste de nous arrêter. En violant sciemment la loi, il double ses mauvaises actions. J'espère que vous pourrez lui dire de ne pas participer à la persécution de bonnes personnes. Il devrait penser à son avenir. » Il a dit : « Je vais lui en parler. »
Ma mère m'a raconté plus tard que la nuit où j'ai été battue par la police, mon père, qui souffrait rarement d'insomnie, n’arrivait pas à dormir. Il a dit à ma mère : « Je ne sais pas pourquoi, mais je n'arrive pas à me calmer. J'ai l'impression que quelque chose est arrivé à notre fille. » Avant l'aube, mon père s'est levé et s'est rendu directement au sous-sol du poste de police où j'étais détenue illégalement. Dès qu'il est entré, il a vu mon visage tuméfié. Quand il a appris que j'avais été battue par le policier, mon père, furieux, a failli s'effondrer.
Après avoir quitté le poste de police, mon père s'est rendu directement au Bureau municipal de la sécurité publique. Il a attendu dans la salle de réception l'arrivée des fonctionnaires. Mon père est allé directement au bureau du directeur. Il a d'abord décrit le problème et a insisté avec une attitude très ferme sur le fait que le policier qui m'avait battue devait être sanctionné et que son comportement illégal et criminel ne devait pas se poursuivre. Le directeur était d’accord.
Après avoir quitté le Bureau de la sécurité publique, mon père n'est pas rentré chez lui mais s'est rendu au parquet de la ville et a consulté le personnel concerné. Ils ont dit à mon père que si la personne battue avait des blessures évidentes, le coupable serait condamné à moins de trois ans de prison.
Ensuite, mon père est retourné au Bureau de la sécurité publique et a dit séparément à plusieurs chefs de bureau et commissaires politiques qu'il était déterminé à faire sanctionner l'auteur des faits. Sous l'insistance de mon père, le directeur du Bureau de la sécurité publique a non seulement présenté ses excuses à mon père, mais a également ordonné au policier qui m'avait battue d'écrire une déclaration de repentir.
Après cet incident, l'agresseur s'est beaucoup mieux comporté. Plus tard, j'ai été arrêtée illégalement à plusieurs reprises, et il était impliqué à chaque fois. Mais son attitude était différente et son arrogance avait disparu. Une fois, j'ai été incarcérée dans un centre de lavage de cerveau dans une autre ville et j'ai été détenue illégalement pendant près de 20 jours. Il s'y est rendu plusieurs fois et était poli lorsqu'il me voyait. Plus tard, le responsable du cours de lavage de cerveau m'a demandé : « Pourquoi votre ville est-elle si prévenante à votre égard ? Le policier nous a dit de ne pas vous faire de mal. »
Je savais que le Maître me protégeait. L'action vertueuse de mon père a également joué un rôle dans la dissuasion du mal. Plus tard, lorsque la persécution s'est aggravée, j'ai pensé : « Si les membres de la famille des pratiquants pouvaient être vertueux comme mon père et se lever pour résister résolument à la persécution face à l'injustice, la situation serait meilleure. Le PCC n'oserait pas nous persécuter de manière aussi flagrante. » Les membres de famille des pratiquants constituent également une force énorme pour protéger les pratiquants de la persécution.
Mon père commence à pratiquer le Falun Dafa
Mon père a travaillé dans l'atmosphère de la culture du PCC pendant de nombreuses années et on lui a inculqué l'athéisme pendant longtemps. Il avait donc le concept déformé que « voir c'est croire ». Il ne croyait que ce qu'il voyait et ne croyait pas ce qu'il ne pouvait pas voir.
Il a dit à ma mère et moi : « Le Falun Dafa est en effet une pratique droite et bonne, qui a un grand effet sur l'amélioration de la santé et élève la moralité des gens. Vous pouvez apprendre les exercices pour rester en bonne santé et être une bonne personne. Il n'est pas nécessaire de penser à des divinités. Personne n'a vu des divinités ou des bouddhas. »
J'étais inquiète de l'entêtement de mon père, mais je ne pouvais pas le faire changer d'avis. Plus tard, mon père a été témoin de deux choses miraculeuses, qui l'ont fait changer d'avis.
Il y a dix ans, ma belle-sœur est soudain tombée gravement malade. Après l'opération, le médecin nous a dit qu'elle pourrait vivre encore six mois. Quand notre famille a appris la nouvelle, c'était comme si le ciel était tombé. Ma nièce n'était pas si âgée. Mes parents étaient très tristes et pleuraient souvent. J'étais triste moi aussi. Je savais que seul Dafa pouvait sauver ma belle-sœur.
J'ai réconforté les membres de ma famille et les ai convaincus que le Maître la sauverait. Je suis allée à l'hôpital et j'ai dit à ma belle-sœur : « Récite sincèrement les deux phrases : “Falun Dafa est bon, Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon.” Ça marchera si tu es sincère. Le Maître compatissant te sauvera certainement. » Elle a commencé à réciter les deux phrases tranquillement. Son rétablissement miraculeux a stupéfié les médecins et les infirmières. Son état s'améliorait chaque jour et elle est sortie de l'hôpital en moins de dix jours.
Je lui ai donné le Zhuan Falun et lui ai enseigné les cinq exercices. Très vite, elle s'est complètement rétablie. Dix ans ont passé et elle est toujours en bonne santé. Elle a récemment pris sa retraite et s'occupe de sa petite-fille.
J'ai conseillé à mon père de pratiquer Dafa. Il a dit : « Je vais commencer à pratiquer dès que ta belle-sœur sera guérie. » Un autre événement s'est produit avant qu'il ne décide de commencer à pratiquer.
La fille d'un voisin de ma mère, âgée d'une quarantaine d'années, qui avait toujours été en bonne santé, est soudain tombée malade. Le diagnostic a révélé qu'elle avait un cancer du sein à un stade avancé et qu'elle devait être opérée immédiatement. Mais le médecin a dit à la famille qu'il n'y avait aucune garantie que l'opération enlève le cancer. La voisine de ma mère avait emprunté beaucoup d'argent pour acheter une maison pour le mariage de son fils à Pékin, elle n'avait donc pas d'argent pour le traitement.
Après que sa fille avait appris la gravité de son état, elle n'a pas voulu être soignée. Elle voulait voir ses parents et ses amis tant qu'elle était encore en vie et qu'elle pouvait se déplacer. Dès qu'elle a quitté l'hôpital, elle m'a demandé de l'emmener chez mes parents. Comme je devais m'occuper de quelque chose cet après-midi-là et que je devais partir, j'ai trouvé un jeu de DVD de spectacles de Shen Yun et je l'ai laissée le regarder avec mes parents.
Ce soir-là, quand je suis allée la chercher, j'ai vu qu'elle avait l'air très différente. Elle semblait heureuse et détendue. Elle a souri et m'a dit : « Ce DVD est tellement bien. Je l'ai regardé pendant un moment, puis j'ai soudain eu faim. J'ai mangé beaucoup de nourriture à midi. Je n'avais pas mangé autant depuis plusieurs jours. »
J'ai dit joyeusement : « Tu as vraiment une affinité prédestinée avec Dafa. Dès que tu as regardé le DVD, le Maître a nettoyé ton corps ! » Après avoir entendu cela, elle a dit avec enthousiasme : « Falun Dafa est si bon ! Le Maître est si bon ! Je ne vais pas me faire opérer. Je veux pratiquer le Falun Dafa. »
Elle m'a demandé un livre de Dafa. Quand je me suis levée à trois heures du matin pour faire les exercices, j'ai vu que la lumière était allumée dans sa chambre. J'ai pensé qu'elle avait oublié de l'éteindre. Je me suis approchée et j'ai vu qu'elle était assise sur le canapé, tenant le Zhuan Falun à deux mains et le lisant attentivement. Je l'ai observée pendant un moment, mais elle ne m'a pas remarquée.
Le quatrième matin après son retour à la maison, elle m'a téléphoné et m'a dit qu'elle avait fait un rêve très clair la nuit précédente : un médecin en blouse blanche était venu avec plusieurs médecins et avait retiré des tumeurs de différentes tailles de son sein malade. Le médecin a dit : « Maintenant, toutes les tumeurs ont disparu. »
Quand elle s'est réveillée, ses seins ne lui faisaient plus mal et les tumeurs avaient disparu. J'ai dit : « Le Maître t'a enlevé la maladie, et tu n'es plus malade. Étudie bien le Fa et pratique diligemment. Ne déçois pas la bienveillance et le salut du Maître. » Elle a dit avec enthousiasme : « Je dois étudier le Fa et bien pratiquer. »
Son mari a eu du mal à le croire. Il ne s’est pas senti soulagé et l'a obligée à aller à l'hôpital pour un autre examen. Après le résultat de l'examen, un médecin lui a dit : « Vous n'êtes pas malade. » Beaucoup de gens ont été étonnés par ce qui lui était arrivé, et plusieurs de ses proches ont commencé à pratiquer le Falun Dafa.
Les pensées de mon père ont aussi complètement changé. Il a dit : « Il y a des divinités dans le monde ! C'est juste que les yeux humains ne peuvent pas les voir. » Depuis, mon père a commencé à pratiquer le Falun Dafa. Je ne peux exprimer en paroles ma gratitude envers le Maître. Je peux simplement dire du fond du cœur : « Merci Maître ! »
Clarifier la vérité grâce à l'expérience personnelle
Quand mon père a commencé à pratiquer Dafa, son état physique et mental s'est amélioré au fur et à mesure qu'il continuait à étudier le Fa et à faire les exercices. Mon père a également appris que la cultivation de Dafa n'est pas seulement pour s'améliorer soi-même, mais que nous devons aussi clarifier la vérité pour sauver les gens. C'est ce que demande le Maître. Après que mon père a lu les Neuf commentaires sur le Parti communiste, son esprit est devenu plus sobre, et il a vraiment compris la raison pour laquelle les gens doivent démissionner des organisations du PCC. Ainsi, lorsque je lui ai dit de démissionner du Parti, il a immédiatement accepté.
Au fil des ans, mon père n'a cessé de clarifier la vérité aux autres en leur racontant ses expériences. Tous ceux à qui il parle comprennent. Il m'a dit : « Le Maître nous a demandé de clarifier la vérité sur le Falun Dafa. Je ne peux pas faire les choses de façon superficielle, je veux vraiment sauver les gens. Je veux faire savoir aux gens pourquoi il est si important de démissionner du PCC. Je dois exposer la nature maléfique du PCC et faire connaître aux gens les conséquences de ne pas démissionner des organisations du PCC. Les gens doivent vraiment le comprendre pour être sauvés. Nous ne pouvons pas le faire à la hâte ou en surface. »
J'ai vu mon père clarifier la vérité plusieurs fois. Il était très sérieux. Peu importe s'il parlait à des parents, à d'anciens collègues ou à des voisins, il expliquait avec minutie ce qu'est le Falun Dafa, qu'il se répand partout dans le monde, de ses bienfaits pour la société et les pratiquants, de l'incident des auto-immolations de la place Tiananmen mis en scène par le PCC, des expériences miraculeuses de la pratique du Falun Gong dont il a été témoin, de l'histoire de la lutte du PCC, des désastres dus aux mouvements néfastes du PCC, et la signification de démissionner des organisations du PCC. Les gens ont compris après avoir écouté ses explications.
Un jour, quand je suis allée à la maison de mes parents, deux anciens collègues de mon père étaient là. Mon père leur expliquait sincèrement la vérité et parlait des précédentes campagnes du PCC contre les gens. Ils ont écouté attentivement et ont continué à hocher la tête.
L'un des deux collègues de mon père a déclaré avec joie : « Ce que vous nous dites est la vérité. Nous l'avons tous vécue [la corruption du Parti]. » Avant de partir, mon père leur a donné des exemplaires des Neuf commentaires sur le Parti communiste.
Un parent ne connaissait pas la nature du PCC et pensait que les gens dépendaient de lui. Mon père lui a expliqué ce qu'il a vécu, comment le PCC a commencé, combien d'innocents ont été tués dans de nombreuses campagnes, combien de travailleurs ont été dépouillés de leur richesse, et comment le PCC a changé les livres d'histoire pour tromper les gens. En fin de compte, ce parent a parfaitement compris ce qu'était le PCC. Il respectait beaucoup mon père, et lui a demandé sincèrement de revenir et de parler un peu plus quand il aurait le temps.
Mon père clarifie la vérité lors des banquets familiaux et des fêtes d'anniversaire. Tous les amis et parents de ma famille comprennent maintenant la vérité. Ils ont tous vu à quel point le Falun Dafa est extraordinaire grâce aux explications inlassables de mon père, et à l'état physique et mental de mon père après avoir pratiqué Dafa.
Chaque fois que mon père rencontre quelqu'un qui calomnie le Falun Dafa, il dit immédiatement : « Comprends-tu vraiment le Falun Dafa ? Ne dis pas de bêtises. Tu fais de mauvaises choses et tu te fais du mal. » L'autre partie devient silencieuse lorsqu'il dit cela.
Respectueux envers les autres
Mes deux parents ont plus de 80 ans. Depuis qu'il a commencé à pratiquer le Falun Dafa, mon père considère toujours les autres en premier et ne se traite jamais comme un vieil homme. Mes parents font eux-mêmes les courses, la cuisine et les tâches ménagères. Lorsque mes frères et sœurs et moi cuisinons, nous leur apportons souvent des repas. Parfois, nous venons leur proposer de faire quelques tâches ménagères, mon père décline poliment. Il dit : « Nous sommes en bonne santé. Faire un peu de travail nous fait du bien. Vous avez tous vos propres choses à faire. »
Mon père est très économe. Lorsque nous lui achetons parfois de nouveaux vêtements, il ne les porte pas pendant longtemps pour qu'ils durent plus longtemps. S'il y a de la nourriture délicieuse à la maison, il la partage avec mes frères et sœurs. Il ne la mangerait jamais seul. Mon père a des exigences strictes pour lui-même, mais il est prêt à aider les autres. Pour les parents et les amis dont les conditions ne sont pas bonnes, il leur donne souvent de l'argent. L'année dernière, le fils d'un voisin est tombé malade et a été hospitalisé. Quand ma mère l'a appris, elle l'a dit à mon père. Il a immédiatement donné plusieurs milliers de yuans au voisin. La famille était émue aux larmes.
Il y a quelques années, mon père est sorti à vélo pour faire des courses. Il a vu un smartphone sur la route. Il ne savait pas comment utiliser un smartphone. Pendant plus d'une demi-heure, il a attendu sur le bord de la route que le propriétaire vienne le chercher. Mais personne ne s'est présenté. Mon père est rentré chez lui. Ma sœur s'est rendue chez mes parents à midi. Mon père lui a donné le téléphone et lui a demandé de trouver le propriétaire le plus vite possible pour le rendre. Ma sœur a rapidement contacté le propriétaire grâce aux informations contenues dans le téléphone.
L'après-midi, le propriétaire du téléphone a apporté des fruits à l'unité de travail de ma sœur et lui a dit avec émotion : « Merci ! Je suis vraiment tombé sur une bonne personne. Je ne m'attendais pas à ce que le téléphone soit retrouvé après que je l'ai perdu. De nos jours, il y a peu de gens qui ramassent les choses et prennent l'initiative de les rendre à leur propriétaire. »
Ma sœur a refusé d'accepter les fruits, mais le propriétaire du téléphone a posé les fruits, pris le téléphone et est parti. Ma sœur a apporté les fruits à la maison de mes parents. Mon père s'est plaint que ma sœur n'ait pas pu refuser les fruits offerts, car rendre le téléphone était simplement la bonne chose à faire, sans rien prendre en retour.
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Traduit de l'anglais
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