(Minghui.org) J'ai fait un rêve il y a environ deux semaines qui reste très vivant dans mon esprit. J'escaladais une montagne très haute et abrupte avec un certain nombre d'autres grimpeurs. Beaucoup d'entre eux faisaient de gros efforts pour monter, croyant que le voyage lui-même était un test pour leur détermination. Hélas, j'ai abandonné à mi-chemin et je suis descendu pour attendre que tous les autres aient fini.
Le Maître a chuchoté à un pratiquant que j'avais arrêté de cultiver sérieusement depuis l'année… Je n'ai retenu que le chiffre 3 comme dernier chiffre de l'année. J'ai pensé combien le Maître avait raison, car j'avais vraiment commencé à me relâcher en 2013. J'étais vraiment inquiet à ce moment-là, surtout parce que le Maître a poursuivi en disant autre chose que je n'ai pas compris. J'ai essayé de rejoindre un autre pratiquant pour avoir une explication. Il m'a expliqué, mais je n'arrivais pas à comprendre, alors j'ai continué à le suivre jusqu'à ce que nous arrivions dans une cour. Il a essayé de m'expliquer à nouveau, mais je n'ai tout simplement pas compris. À la fin, j'étais seul dans la cour, je me sentais lamentable, et je regrettais de ne pas avoir bien cultivé.
À cet instant, j'ai entendu une voix claire m'appeler d'en haut : « Eh, espèce de fainéant. » J'ai vite compris que la voix s'adressait à moi. J'ai levé les yeux et j'ai été sidéré. Dans le ciel, les pratiquants de Dafa montaient au paradis. Les femmes, dans leurs costumes traditionnels colorés, volaient dans les airs dans un bain de lumière éblouissante. En regardant avec admiration, j'ai réalisé que le défi de l'escalade de la montagne était, en fait, une véritable épreuve. J'ai pleuré et crié à la recherche du Maître. Alors que je quittais la cour, quelqu'un a appelé mon nom. J'ai levé les yeux et j'ai vu ma femme, qui est une pratiquante. Elle se tenait dans les airs parmi de nombreux autres pratiquants en tenue traditionnelle. Elle m'a dit : « Je suis désolée. » Je savais qu'elle s'excusait de ne pas m'avoir mieux guidé et encouragé. Elle s'est envolée.
Tout en pleurant et en appelant le Maître, j'ai vu de nombreuses personnes qui ne cultivaient pas, mais qui avaient néanmoins été sauvées, en regardant les pratiquants de Dafa monter au ciel. J'ai aussi vu la honte sur le visage de ceux qui n'avaient pas bien cultivé.
Je me suis réveillé en pleurant, j'ai secoué ma femme et je l'ai réveillée. « C'était si horrible ! C'était si horrible ! » ai-je dit en lui racontant mon rêve. Nous avons estimé qu'il était important de partager cette expérience dans l'espoir qu'elle serve de signal d'alarme pour les pratiquants qui ne sont pas diligents dans leur cultivation.
Les mots du Maître me touchent vraiment maintenant :
« Si le jour de la plénitude parfaite arrive réellement, je vous le dis, si vraiment les disciples de Dafa montent aux cieux en plein jour, le monde entier pourra le voir. (Applaudissements) ceux qui n’auront pas pu atteindre la plénitude parfaite, ce jour-là vous n’aurez plus qu’à pleurer en restant assis là ! Pour ceux qui n’auront pas bien cultivé, à mon avis il sera trop tard même pour pleurer. » (« Enseignement du Fa et explication de la Loi lors de la Conférence de Loi du New York Métropolitain », Enseignement duFa dans les conférences III)
Merci, Maître, pour l'avertissement. Je promets que je ferai tous les efforts possibles pour rattraper mon retard.
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Traduit de l'anglais
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