(Minghui.org)

Bonjour Maître ! Bonjour compagnons de cultivation !

En 2020, lorsque le virus du PCC se propageait dans le monde entier, la vie des gens était en danger. Les Pays-Bas, un petit pays de 17 millions d'habitants, figuraient à un moment donné parmi les 10 premiers pays en termes de taux d'infection. En voyant le nombre d'infections et de décès augmenter chaque jour, je me sentais anxieux et angoissé.

Nous savons que lorsque le Ciel élimine le Parti communiste chinois, chacun doit choisir entre le bien et le mal. Des chefs d'État aux gens ordinaires, il n'y a pas d'exception. Ils doivent tous choisir s'ils veulent ou non le Parti communiste chinois.

Le Maître nous a exhortés :

Je sais que les amener à rejeter le PCC et à l'abandonner est un bon moyen de les réveiller et de les sauver, alors j'ai commencé à clarifier la vérité et à recueillir des signatures au début du mois de mai dernier.

Une pensée droite ferme, bien assurer le premier pas

En avril dernier, à la lumière de la montée de l'épidémie et de l'attitude peu claire du gouvernement hollandais, plusieurs de nos compagnons de cultivation ont préparé une pétition pour condamner le PCC pour avoir dissimulé l'épidémie et exiger une compensation du PCC. Le but était d'aider les gens à voir la tromperie du PCC et de recueillir leurs signatures sur la pétition. Nous avons ensuite présenté les signatures au gouvernement et l'avons exhorté à rejeter le PCC, compte tenu de la volonté des gens.

Une fois que tout a été prêt, toutes sortes de préoccupations ont surgi en moi. Cela paraîtrait-il étrange d'installer une petite table là ? Cela créerait-il de la confusion ? Et si je rencontrais des problèmes et que je n'étais pas capable d'expliquer avec mes capacités linguistiques limitées ?

Toutes sortes de pensées humaines m'empêchaient de sortir. Je savais que le spectre pervers du PCC dirige le monde et tient le monde entier en otage. Amener le monde à condamner le PCC et à demander des compensations, c'était comme jeter une bombe dans l'antre de la perversité, et il ferait tout son possible pour interférer avec nous.

Le poème du Maître est apparu dans mon esprit :

    « Étudier la Loi sans relâche,

    on change en même temps

    Croire fermement sans vaciller,

    arrive le fruit juste,

    le lotus s'accomplit »

    (Avancée diligente et éveil juste, Hong Yin II)

J'ai compris que c'était le Maître qui me rappelait de faire ce que je devais faire. Mais mon cœur battait la chamade chaque fois que je voulais sortir et recueillir des signatures. Je ne savais pas ce qui allait se passer. Alors que j'hésitais encore, une autre partie d'un poème du Maître m'a frappé :

    « Si la volonté n’est pas ferme

    Les épreuves sont comme des montagnes

    Comment sortir du monde profane »

    (Couper, Hong Yin II)

Dans l'après-midi du 3 mai 2020, après avoir passé des appels de clarification de la vérité en Chine, j'ai eu la ferme intention de sortir, même si personne ne signait la pétition. Je savais que c'était le Maître qui m'inspirait à aller de l'avant. Ce jour-là, j'étais dans une petite gare et deux personnes ont signé. Après avoir franchi toutes sortes d'obstacles, je n'avais plus peur. Le Maître a ouvert la voie et a dégagé le blocage dans les autres dimensions. Debout là, je me sentais en confiance. J'étais la messagère du salut. Je faisais la chose la plus droite. J'étais heureuse pour les gens qui faisaient le bon choix.

Parce que mon cœur était déterminé à sauver les gens, j'étais capable de gérer calmement les interférences. Une voiture de police patrouillait tous les après-midi autour de la gare. Je pensais que c'était une routine pour eux. Un jour, un policier s'est arrêté devant ma petite table de présentation et a baissé la vitre pour me poser une question. Ne sachant pas ce qu'ils disaient, je me suis retournée pour prendre la pétition et leur ai dit ce que je faisais. J'ai demandé de l'aide au Maître : Maître, ne les laissez pas inconsciemment faire des choses contre Dafa.

En fait, j'avais déjà entendu dire qu'un compagnon de cultivation avait été photographié par la police et avait reçu l'ordre de partir alors qu'il recueillait des signatures. Avec une pensée droite, j'ai remis ma pétition aux policiers et les deux hommes se sont regardés et ont dit quelques mots, ont souri et ont fait signe de la main pour me dire de continuer à accomplir mon travail.

Comme il y avait peu de gens qui passaient devant la petite gare, j'ai apporté mon panneau de pétition à Capital Square pour recueillir plus de signatures. À ce moment-là, je n'avais plus peur et je savais que je faisais ce qu'il fallait pour sauver des vies. Il y a eu de nombreuses histoires touchantes qui m'ont inspirée à sortir et à recueillir des signatures chaque jour. Parce que je ne parlais pas la langue, je me tenais à la table de présentation et quand les gens voyaient les documents affichés, ils venaient signer.

Un vieil homme m'a laissé une profonde impression. Avant qu'il ne signe son nom, je lui ai donné un gant, qu'il a serré dans sa main sans s'en servir. Après avoir signé, il a mis le gant dans sa poche et a sorti deux dollars pour me les donner. Il ne semblait pas être très aisé, mais il sortait de l'argent pour faire un don. Sa vie avait peut-être été pour la signature d'aujourd'hui, et aujourd'hui cela se réalisait. Son enthousiasme et sa gratitude étaient exprimés avec les deux dollars.

Le Maître nous a dit :

    « Disciples de Dafa, peu importe combien vous sacrifiez pendant la clarification de la vérité, je vous le dis, à la fin il y a quand même de nombreuses vies qui ne pourront pas être sauvés, elles sont destinées à être éliminées. Je sais qu'en Chine continentale il y aura beaucoup de gens qui vont être éliminés, c’est vraiment effrayant, la quantité est énorme. » (« Enseignement du Fa lors de la tournée en Amérique du nord »)

Durant le processus, certains d'entre eux ne comprenaient pas et m’approchaient avec colère disant des choses que je ne comprenais pas. Certains me faisaient le signe du pouce vers le bas, mais je souriais simplement comme si de rien n'était. Un jour, un homme asiatique d'âge mûr s'est approché de la table de présentation, a pointé du doigt l'affichage, m'a regardé droit dans les yeux avec rage et m'a accusée. Il a parlé si vite que sa salive a presque éclaboussé mon visage. Je ne connaissais pas la langue locale et je continuais à le regarder avec un sourire. Finalement, il m'a appelée dans un chinois approximatif : traître, traître. Et puis il est parti. Je ne me sentais pas lésée, mais désolée pour lui.

Recueillir des signatures à la gare centrale

Le 5 juin 2020, l'Association du Falun Dafa m'a remis une autorisation pour recueillir des signatures à la gare centrale de la ville, et j'ai demandé à mes compagnons de cultivation d'améliorer le formulaire de signatures et la pétition. Je ne pouvais pas quitter la table pendant quatre à cinq heures par jour. Par conséquent, je ne pouvais ni manger ni boire pendant que je me tenais là, et j'ai persévéré jusqu'à la fin.

Le Maître nous a dit :

    « Sans conflits on ne peut pas s'élever. Certains trouvent que leur environnement est très paisible et tout le monde trouve que cultiver de cette façon est très bien. Au contraire, je te dis que ce n'est pas bien. Justement je dois te créer quelques conflits, car ça ne va pas que tu n'en aies pas. C'est seulement au milieu des conflits que tes attachements peuvent être exposés et devenir évidents pour que tu les voies et pour que les autres les voient et pour ensuite les éliminer. S'il n'y avait pas de tels conflits, tes attachements de personne ordinaire ne pourraient pas être éliminés. Surtout faites attention à ceci : dans n'importe quelles circonstances, en particulier quand vous cultivez et pratiquez parmi les gens ordinaires, ce n'est qu'au milieu des conflits, sous les perturbations du xinxing que vous pouvez élever votre xinxing. et par l'interférence du xinxing que vous pouvez améliorer votre xinxing. » (« Enseignement du Fa à la Conférence de Fa de l'Ouest des États-Unis »)

Depuis le début de la campagne de signatures, il y a eu des interférences constantes à la fois externes et internes. Je pense que c'était un test visant notre croyance dans le Maître et dans Dafa, ainsi que de nos pensées droites pour sauver les gens. Lorsque nos pensées droites s’unissaient, il était probable qu’il y ait une percée dans le niveau de cultivation, les vies à ce niveau pouvaient être sauvées et l'interférence disparaissait d'elle-même. L'interférence interne, d'autre part, comprenait des facteurs pour notre propre amélioration et l'élévation globale du groupe. Donc ce n'est pas effrayant quand les conflits surviennent. Ce qui est effrayant, c'est quand on perd l'opportunité de s'élever.

Dans le processus de recueillir des signatures à la gare centrale, j'étais seule et je ne connaissais pas la langue. Je n'arrêtais pas de demander, dois-je le faire ? De temps en temps, la pensée de savoir si c'était la bonne chose à faire surgissait. Maintes et maintes fois, le Maître m'a éclairée que c'était la bonne chose à faire. Trois jours de suite, quand j'ai fermé la table de présentation, des gens se sont précipités pour signer la pétition.

En plus de cela, les personnes ayant déjà signé la pétition en ont amené d'autres pour signer, et certaines personnes en ont entendu parler et sont venues le week-end pour inscrire leurs noms. Après avoir partagé cela dans notre groupe, une compagne de cultivation a clairement soulevé son objection à ce type de collecte de signatures, en disant : « Ce n'est pas parce que vous pensez que les gens ont signé et que vous êtes inspirée, que cela signifie que vous faites la juste chose. » Ses paroles ne m'ont pas agacée, car le Maître nous a dit :

Après, j'ai pensé, pourquoi est-ce arrivé ? Premièrement, je devais être ferme dans ma pensée droite de recueillir des signatures pour sauver les gens. Et deuxièmement, j'avais généralement un certain mépris pour cette compagne de cultivation et j'avais tendance à amplifier ses défauts. Après avoir compris les causes, j'ai stabilisé mon esprit et j’ai cru fermement que rien ne pouvait m'empêcher de recueillir des signatures. Quand les gens venaient, je demandais leur soutien et leurs signatures ; quand il n'y avait personne, je récitais les enseignements du Fa ou émettais la pensée droite. Un jour, j'ai recueilli 64 signatures ! Pour les défauts de la compagne de cultivation, j'ai réalisé qu'ils étaient révélés pour que je cultive ma jalousie, mon mépris des autres et mon autosatisfaction. Lorsque j'ai élevé mon xinxing, elle s'est aussi rectifiée. Tout était redevenu calme et paisible.

Le 18 juillet 2020, j'ai commencé à recueillir des signatures en utilisant le formulaire de signatures du Centre mondial Tuidang (Démissionner du PCC). Je suis restée à la sortie de la gare quatre à cinq heures par jour, avec un maximum de 78 signatures par jour. La force d'une seule personne ne suffisait pas. En juillet et août, quand la saison touristique battait son plein, je voulais qu'une autre pratiquante travaille avec moi pour recueillir des signatures, afin que nous puissions sauver plus de personnes.

Le soutien très nécessaire d'une compagne de cultivation

Le 1er août 2020, une autre pratiquante qui avait onze ans de moins que moi (j'avais 69 ans) m'a rejointe. Immédiatement après, elle a conçu une nouvelle banderole pour nous, qui permettait aux gens de voir de loin le message accrocheur « Mettre fin au PCC ». Elle a également conçu d'autres choses et des dépliants que nous pouvions utiliser.

D'autres compagnons de cultivation ont discrètement aidé de diverses manières et ont émis des pensées droites pour nous. Notre campagne de signature a décollé, comme un tigre avec des ailes. Nous avons chéri le temps que le Maître nous a donné et apprécié le dévouement des compagnons de cultivation. Nous n'avions pas le temps de discuter et devions presque courir toute la journée autour du stand pour recueillir des signatures. L'autre pratiquante a expliqué aux autres pourquoi nous collections les signatures et pourquoi il était important de le faire. Le plus grand nombre de signatures que nous avons recueillies en une journée était de 304. Même s'il faisait chaud, nous n'avions pas mangé ni bu de toute la journée et nous étions heureuses du résultat. Il y a de nombreuses histoires touchantes qui nous ont inspirées.

Un jour, une femme dans la trentaine a signé et a dit que le PCC était mauvais. Elle voulait me parler, mais je ne connaissais pas assez bien la langue pour parler. Nous nous sommes saluées. Plus tard, elle est revenue et a écrit une note pour moi. Alors que j'essayais de demander à deux jeunes femmes assises à côté d'elle de signer la pétition, elle m'a donné la note et m'a fait signe de la montrer à ces deux jeunes femmes. J'ai remis la note, elles l'ont lue et ont signé immédiatement.

J'ai mis sa note devant mon bloc de signatures, quand d'autres ont lu la note, la plupart ont signé leur nom. Un compagnon de cultivation qui parle leur langue m'a dit que la note était écrite de manière claire, avec un ton amical expliquant pourquoi il était important de signer la pétition.

Avant qu'elle n'écrive la note pour moi, j'avais rencontré quelques personnes qui m'avaient posé des questions sur la pétition, mais je ne pouvais pas répondre. Juste alors que je souhaitais avoir une note pour expliquer les choses plus clairement, elle m'a été accordée immédiatement. J'étais presque émue aux larmes ce jour-là, en voyant tant de personnes signer la pétition. En deux mois, j'ai recueilli 3400 signatures avec cette note !

Certains jeunes ont signé leur nom et dessiné un smiley au-dessus de la signature ; d'autres ont dessiné un cœur pour exprimer leur joie ; parfois quatre ou cinq personnes se tenaient devant la petite table de présentation, attendant de signer ; certains signaient leur nom et allaient me chercher des boissons et des glaces.

Après que trois jeunes asiatiques ont signé leurs noms et que je leur ai donné de petites fleurs de lotus, une jeune femme a sauté de joie, comme si elle attendait cela depuis des millions d'années. Au bout d'un moment, les trois se sont à nouveau tenus devant moi. L'un des jeunes hommes a pris une bouteille d'eau glacée et l'a mise dans ma main, avec vingt dollars. Je lui ai dit que je ne pouvais pas l’accepter. Le jeune homme a pointé du doigt le ciel avec des larmes dans les yeux, signifiant qu'il faisait trop chaud. Il a insisté pour la mettre dans ma main. J'étais aussi en larmes pour sa compréhension et son soutien. Cela m'a profondément touchée.

Il y a eu plus de deux cents personnes qui ont signé ce jour-là, et nous avions tous vécu des moments réconfortants à plusieurs reprises. Nous étions reconnaissantes pour la compassion et la bénédiction du Maître !

La compagne de cultivation et moi avons appris l'une de l'autre. Nous nous sommes comprises et nous sommes encouragées. Elle m’a appris plusieurs mots clés. Quand les gens se dépêchaient de passer sans regarder notre table, je disais : le virus du PCC s'en va, le virus de Wuhan s'en va. Alors, ils s'arrêtaient et revenaient pour lire la note sur le bloc de signature. Je soulevais de nouveau la note et leur montrais la vérité et leur lisais : « Le PCC ment, les gens meurent. » Après leur signature, je leur donnais les dépliants et leur disais : faites savoir à votre famille et à vos amis de se tenir à l'écart du PCC pour rester en sécurité.

Cette compagne de cultivation est allée dans une grande ville le week-end pour recueillir des signatures. Je suis restée, car je ne voulais laisser personne de côté. Nous avons toutes les deux eu un certain inconfort physique à certains moments. Nous saisissions le temps pour étudier les enseignements du Fa, faire les exercices et émettre la pensée droite. Je lui ai dit un jour que j'avais encore demandé le renforcement du Maître aujourd'hui. Je pleurais en parlant. Elle m'a encouragée : « Nous comptons tous sur le Maître ! » Nous avons réalisé que sans l’attention compatissante du Maître, il nous aurait été très difficile de persévérer jusqu'à aujourd'hui.

Elle subissait des interférences et ne pouvait pas s'endormir la nuit. Mais elle allait quand même recueillir des signatures le lendemain. Un jour, elle a recueilli plus de 300 signatures et dès qu'elle est rentrée chez elle, elle était si fatiguée qu'elle s'est endormie aussitôt. Après huit mois, elle avait perdu près de 10 kilos. Pour moi, j'ai remarqué que mes mains et mes pieds étaient enflés, et même mes lèvres. Certaines nuits, je me sentais si mal et je me demandais si je pourrais y aller le lendemain. J'ai demandé l'aide du Maître : « Maître, je veux quand même sortir demain, s'il vous plaît, renforcez-moi. »

Quand je me suis réveillée le lendemain, je me suis souvenue des enseignements du Fa du Maître aux disciples australiens. Le Fa m'a donné une force infinie. Même s'il y avait parfois des interférences, je savais que le Maître était juste à côté de moi. J'ai senti que je cultivais et m'élevais chaque jour sous la protection et l’attention du Maître.

Quand j'étais bouleversée et me sentais seule, un arc-en-ciel de couleurs rouge, jaune et bleu est apparu sur la fenêtre de notre petite gare par une journée sombre. Je savais que le Maître m'encourageait, me rappelant que plus nous nous sentons désespérés et seuls, plus l'espoir est devant nous. Après l'orage, c'est la brume colorée qui recouvre le ciel. Quand j'étais affamée, je suis retournée à ma table et j'ai vu des sandwichs et du chocolat au lait posés dessus. Le Maître savait tout, qu’y avait-il encore que je ne puisse pas abandonner ?

Une autre chose vaut la peine d'être mentionnée : le 2 avril de cette année, le temps était nuageux, froid et très venteux. Cinquante à soixante étudiants sont venus d'une ville lointaine, et ils ont pris mon bloc de signature et l'ont fait circuler pour signer. Je savais que c'était le Maître qui les avait envoyés ici de loin, et ils se sont précipités pour accomplir leur souhait depuis longtemps chéri, ce qui m'a rappelé de ne pas me relâcher dans le salut des vies. Pour cette raison, j'ai écrit un poème pour exprimer mon sentiment profond : C'est le Maître qui sauve les gens, c'est le Maître qui aide ses disciples à accomplir leurs vœux.

    Merci, Maître, pour votre grâce salvatrice

    « La peste descend du ciel

    La pandémie sévit dans le monde

    Abandonner le diable rouge pour éviter le fléau

    Les êtres cherchent la vérité

    Le mauvais esprit dresse des barrages

    La protection du Maître est tout près

    Les disciples sont occupés à sauver les gens

    Le four affine le corps véritable »

Afin d'amener plus de pratiquants à participer à la campagne de pétition, je partageais parfois les histoires touchantes avec eux dans le grand groupe d'étude du Fa. Parfois, je postais les histoires sur la plate-forme de communication, ce qui encourageait également plus de pratiquants à se joindre à l'effort. Maintenant, l'un après l'autre, les compagnons de cultivation se joignent à moi pour collecter des signatures.

Ce qui est gratifiant, c'est que les pratiquants ayant de bonnes compétences linguistiques ont activement participé et mis en place plus de sites pour la collecte de signatures. Ils vont dans les parcs, les marchés et à d'autres endroits avec de plus grandes foules. Certains ont apporté le formulaire de pétition sur leur lieu de travail et ont repris le formulaire de signatures après l'avoir rempli. Beaucoup d'entre eux se sont rendus dans des zones surpeuplées et ont pu obtenir 200 à 300 signatures par jour. Certains compagnons de cultivation se sont sentis merveilleusement bien lorsqu'ils sont sortis pour recueillir des signatures.

En mars, nous avons recueilli plus de 80 000 signatures. Les compagnons de cultivation et moi saisirons le temps pour sauver les gens, accomplir notre mission et transformer notre gratitude envers le Maître en actions pour sauver les êtres !

Merci Maître !

Merci, compagnons de cultivation !

Tous les articles, graphiques et contenus publiés sur Minghui.org sont protégés par les droits d'auteur. La reproduction non commerciale est autorisée, mais doit être accompagnée du titre de l’article et d'un lien vers l’article original.

Traduit de l'anglais