(Minghui.org) J'ai suivi Maître Li (le fondateur du Falun Dafa) pendant la période de la rectification de Fa jusqu'à aujourd'hui, et j'y ai beaucoup gagné, même si j'ai eu des hauts et des bas dans la cultivation. Je peux vraiment cultiver Dafa maintenant.

Bien que j'aie de nombreuses lacunes, je regarde constamment à l'intérieur, je me rectifie dans le Fa, j'exige de moi des critères élevés, je m'améliore et je m'élève dans la cultivation, je deviens de plus en plus mature dans la cultivation. Je sens que notre Maître compatissant me soutient et m'encourage en permanence.

Une seule pensée détermine si l'on est divin ou humain

J'ai compris que la raison pour laquelle nous avons des problèmes et des tribulations sur notre chemin de cultivation est que nous sommes humains depuis trop longtemps et que nous sommes habitués au mode de vie humain, à la mentalité humaine et au raisonnement logique humain. Nos conceptions profondément enracinées contrôlent notre esprit et tous les aspects de notre vie.

Bien que nous croyions en Dafa, notre humanité est bien trop forte. Nous adhérons aux idées humaines et ne nous conformons pas complètement aux principes du Dafa. C'est l'épreuve la plus difficile à passer sur notre chemin de cultivation, et aussi une impasse de l'humanité à la divinité.

Quand j'ai réalisé cela, je me suis considérée comme « divine ». Je me répétais sans cesse : « Je suis divine et non pas une personne ordinaire. » Lorsque cette pensée a été profondément ancrée en moi, j'ai vu les principes du Fa concernant la façon dont nous nous comportons comme un être divin.

Plus tard, j'ai également découvert les principes qui nous permettent de devenir des bouddhas, des daos et des dieux à un niveau supérieur. J'ai ensuite exigé de moi-même d'utiliser ces principes auxquels je m'étais éveillée. J'ai senti que la cultivation devenait plus simple et plus merveilleuse. C'est exactement comme le disait le Maître : « La Grande Voie est très simple et facile » (La Grande Voie de l'Accomplissesment)

Porter attention à l'émission de la pensée droite

La perversité m'a persécutée et a illégalement saccagé mon domicile à plusieurs reprises. Ils ont confisqué mes livres de Falun Dafa, m'ont arrêtée, m'ont détenue et injuriée, et m'ont torturée. J'étais incapable de résoudre ce problème. J'étais bouleversée, je me sentais impuissante et j'avais peur. Je souhaitais qu'il y ait un moyen de me cacher. Pourquoi la cultivation était-elle si difficile ?

Chez moi, j'avais très peur et j'étais sensible au moindre bruit extérieur. Je craignais que la police ne vienne m'arrêter. Plus tard, Maître Li a publié un nouvel article pour nous apprendre comment émettre la pensée droite. J'ai lu les articles de partage sur l'émission de la pensée droite sur le site Minghui.

J'ai commencé à porter attention à émettre la pensée droite. Un jour, après le déjeuner, j'ai émis la pensée droite pendant quarante minutes, au cours desquelles je me suis d'abord purifiée, puis j'ai éliminé l'interférence et la persécution de la perversité. Après avoir fini d'émettre la pensée droite, je me suis sentie légère et sans peur. Je me suis sentie si heureuse.

Un jour, je suis allée rendre visite à une pratiquante dans un village. Sur le chemin du retour, j'ai vu la sœur de mon camarade de classe devant une maison. Je ne l'avais pas vue depuis quelques années. Elle avait deux filles. La plus petite n'avait que deux ans et demi.

Elle m'a proposé d'entrer et de discuter avec elle. C'était le moment d'émettre la pensée droite. Je suis donc entrée et j'ai émis la pensée droite pour éliminer le mal qui persécutait Dafa et les pratiquants, et qui nous empêchait de sauver les êtres.

À ce moment-là, sa fille faible et timide est sortie en courant de la maison et a dit à haute voix au conducteur d'un camion de vente : « Falun Dafa est bon ! Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon ! Vous serez béni si vous récitez ces mots avec sincérité ! » Ensuite, elle m'a dit qu'elle serait une bonne fille.

Sa mère était très heureuse et a dit : « Pendant que tu émettais la pensée droite, ma fille est devenue bonne. Le Falun Dafa est incroyable. Je veux apprendre le Falun Dafa. » Elle a vraiment commencé à le pratiquer à ce moment-là.

J'ai été stupéfaite et, depuis lors, j'ai accordé plus d'attention à émettre une forte pensée droite pour abandonner mes attachements et mes désirs ainsi que pour éliminer les facteurs maléfiques qui conduisent à l'enlèvement et à l'arrestation des pratiquants.

Avant de sortir pour clarifier la vérité aux gens, j'émettais la pensée droite pour éliminer la perversité qui avait signalé les pratiquants de Dafa à la police. Dans mon esprit, je ne permettais pas à la police d'interférer avec le sauvetage des êtres. Maintenant, la police ne me persécute plus. Je sens que la cultivation n'est pas difficile. Ce qui est difficile, c'est que je dois continuellement m'élever et me comporter strictement selon les exigences du Fa.

Demander l'aide du Maître pour la pensée droite

Nous savons que le Maître nous protège. Lorsque nous rencontrons des tribulations dans la cultivation, nous devons implorer l'aide du Maître en utilisant la pensée droite. De nombreux pratiquants ne sont pas clairs à ce sujet. Ils ne demandent pas l'aide du Maître avec une pensée droite lorsqu'ils sont confrontés à des épreuves et des tribulations. Je ne l'ai pas fait non plus. Lorsque j'ai compris cela et que je l'ai mis en pratique, je n'ai plus été confrontée à la persécution.

La police de la Division de la sécurité d'État est venue me harceler dans mon entreprise à la fin de l'année 2005. Les policiers m'ont demandé si je pratiquais toujours le Falun Dafa. Je ne savais pas comment répondre. Si je répondais oui, ils allaient m'arrêter. Je ne leur ai pas répondu directement, et ils ont exigé que je réponde. Ils m'ont alors arrêtée.

J'ai été menottée à une chaise dans le poste de police. Je ne savais pas ce que je devais faire. Ils ont dit devant moi qu'ils allaient mettre à sac mon domicile. Je ne savais pas comment les en empêcher. Ils ont fouillé chez moi et ont confisqué mon ordinateur, mon imprimante et mes livres de Dafa. Ils m'ont emmené dans un centre de détention et m'ont dit que je serais condamnée à la prison.

J'avais été persécutée à plusieurs reprises. J'avais peur, car je ne pouvais pas étudier le Fa ou faire les exercices dans les centres de détention. Ils allaient me torturer si je pratiquais les exercices. Je ne pouvais plus le supporter.

Je me suis sentie impuissante. J'ai émis une forte pensée droite pour éliminer les facteurs maléfiques et j'ai demandé l'aide du Maître dans mon esprit. J'ai dit : « Maître, je n'irai pas en prison, où les pratiquants de Dafa ne devraient pas aller. Je n'irai pas au tribunal et ne serai pas jugée – c'est là qu'on emmène les mauvaises personnes. Les pratiquants de Dafa sont de bonnes personnes. Je ne permettrai pas à la perversité de me faire un procès. Maître, aidez-moi s'il vous plaît. » J'ai répété cela tous les jours avant d'émettre une forte pensée droite.

J'ai regardé à l'intérieur pour voir mes attachements après l'émission de la pensée droite au centre de détention. J'ai passé en revue le Fa du Maître dans mon esprit.

Le Maître a dit :

« Étant des êtres de l’ancien Univers, y compris tous les facteurs de vie, en ce qui concerne cette affaire de la rectification de la loi, en ce qui concerne mon choix, si tous les êtres peuvent l'harmoniser selon mon choix, sortir vos meilleurs moyens, au lieu de modifier ce que je veux, plutôt l'harmoniser d’après ce que j’ai dit, ce sera la pensée bienveillante la plus grande des êtres de l’Univers. » (Enseignement du Fa au moment de la Fête de la lanterne de l'an 2003)

J'ai compris que si les policiers voulaient être sauvés, ils devaient s'harmoniser selon les exigences du Maître, et c'était le meilleur acte qu'ils pouvaient choisir. Je répétais donc ce Fa chaque fois avant d'émettre la pensée droite quotidienne. J'ai constaté que presque tous les policiers avaient changé et étaient devenus gentils.

Ils n'étaient plus disposés à me persécuter. Ils étaient prêts à m'aider à la place. Ils m'ont aidée à envoyer des lettres à ma famille, ont appelé les membres de ma famille en mon nom, m'ont permis de rencontrer les membres de ma famille, et m'ont également informée de l'avancée de mon dossier.

Les informations qu'ils m'ont transmises m'ont été bénéfiques et ils ne m'ont pas fait de mal. J'ai été témoin de la compassion du Maître et j'ai réalisé qu'il était essentiel et important de demander l'aide du Maître en utilisant la pensée droite tout en étant dans le Fa. Le Maître a un pouvoir qui englobe tout. Demander de l'aide au Maître est aussi une démonstration de la croyance dans le Maître et dans le Fa.

Alors pourquoi n'ai-je pas été libérée après avoir demandé l'aide du Maître ? Où était le problème ? J'ai compris que le Maître ne ferait pas la partie que nous devons cultiver nous-mêmes. Le Maître nous sauve, et il n'enlève pas les tests et les tribulations pour nous parce que les pratiquants de Dafa doivent les cultiver et les surmonter.

Éliminer activement le mal

Ce jour-là, le directeur de la section des poursuites publiques est venu m'interroger et prendre des notes. Il a dit qu'ils avaient ratifié mon arrestation. Il m'a critiquée et a dit que je serais sévèrement punie. J'avais l'intention de lui parler des faits, mais je n'ai pas pu placer un mot – j'ai attendu qu'il ait terminé.

Lorsqu'il a commencé à prendre des notes et à me poser des questions, je lui ai alors dit que l'agent de police n'avait pas respecté la loi et avait traité mon affaire illégalement. Il m'a demandé qui était cette personne. Je lui ai dit le nom du chef de la section de la sécurité politique. Il s'est arrêté un moment et a adouci son attitude. Mais il a insisté sur le fait qu'il n'était pas correct que je continue à pratiquer le Falun Dafa.

Le Maître a dit :

« Quand des personnes perverses vous demandent si vous pratiquez le Falun Gong, vous pouvez ne pas leur adresser la parole ou employer d'autres moyens d’évitement, il ne faut pas se laisser volontairement emmener par la perversité. » (« Rationalité », Points essentiels pour avances avec diligence II)

Quand je suis retournée dans la cellule, la détenue Bing était revenue elle aussi. Elle a dit que le parquet l'avait également interrogée. On lui a dit que, selon la loi, elle avait le droit de dénoncer et de poursuivre les agents de la force publique pour traitement illégal des affaires. Mais l'agent ne m'a pas parlé de ce droit. Maintenant que je savais que j'avais ce droit, j'allais les poursuivre en justice.

Quand j'ai eu cette pensée, j'ai senti une puissance monter du fond de mon cœur. J'ai compris que le Maître avait fait une suggestion via la détenue Bing. Ce sont les agents de police qui ont violé la loi. J'avais le droit d'intenter une action en justice auprès du parquet contre les agents de police. Je devais prendre l'initiative d'éliminer la perversité et d'arrêter la persécution. Je savais ce que je devais faire.

J'ai écrit une lettre de plainte et j'en ai fait trois exemplaires. J'ai gardé deux copies et j'allais en envoyer une au parquet. J'ai demandé au policier de prévenir le parquet pour que quelqu'un vienne me voir. Le policier a accepté. J'ai attendu quelques jours, mais aucun agent du parquet n'est venu. Le policier m'a dit que le procureur avait renvoyé mon dossier au Département de police et que personne ne viendrait.

Une détenue m'a dit que si mon dossier était renvoyé au Département de police, cela signifiait que je ne serais pas condamnée, que je pourrais rentrer chez moi. J'ai attendu et émis une forte pensée droite chaque jour pour éliminer la perversité au sein du Département de police. Mais je n'ai reçu aucune information. Soudain, un jour, un agent du Département de police est venu m'interroger et a pris des notes. J'ai répondu à toutes ses questions, mais je n'ai rien reconnu de ce qu'il a dit.

Quelques jours plus tard, deux agents du camp de travaux forcés sont venus m'interroger et ont pris des notes. Ils allaient donc m'envoyer au camp de travail. J'ai émis la pensée droite pour éliminer le mal qui allait me détenir et me persécuter dans le camp de travail. Je ne voulais pas y aller. J'ai demandé de l'aide au Maître.

Plus tard, j'ai compris que le problème venait des notes. J'avais laissé les agents prendre des notes sur ce que je disais. Je n'ai rien reconnu. Mais je n'ai pas annulé complètement leur persécution. Quand j'ai compris cela, j'ai émis une forte pensée droite pour désintégrer l'arrangement de la perversité.

Rompre avec la persécution

Je suis devenue de plus en plus confiante dans le démantèlement de l'arrangement du mal. Mais ils ne m'ont toujours pas libérée. Pendant les huit jours de vacances du 1er mai, le centre de détention a annoncé qu'il allait être confiné. J'ai pensé qu'il n'y avait aucun espoir de rentrer chez moi pendant ces huit jours. Alors j'ai fréquemment émis une forte pensée droite.

Le 1er mai, un policier m'a appelée pour rencontrer un visiteur. Le responsable de l'entreprise de mon mari est venu me voir et m'a donné 500 yuans. Lorsque je suis retournée dans ma cellule, la détenue Bing m'a demandé si je pouvais rentrer chez moi. J'ai répondu que non.

Mais elle m'a dit : « Oui, tu peux rentrer chez toi », elle l'a répété à plusieurs reprises, et a secoué mon épaule d'avant en arrière. Elle a même préparé mes affaires. J'ai soudain réalisé qu'elle me disait que les pratiquants de Dafa devaient décider eux-mêmes, et ne pas laisser les mauvais facteurs nous contrôler. Le Maître aurait le dernier mot !

Trois jours plus tard, j'ai été libérée. La police m'a demandé de signer la déclaration de libération et j'ai signé. Après être rentré chez moi, j'ai regretté d'avoir signé la déclaration. Le policier m'a dit qu'il y avait une période de libération sous caution d'un an. Je n'ai pas compris ce que cela signifiait et j'ai signé. Quelqu'un m'a dit plus tard que c'était une ruse. La police pouvait m'arrêter si elle pensait que je commettais à nouveau un crime dans l'année qui suivait. J'ai continué à émettre la pensée droite.

Bien que je n'aie pas complètement réussi ce test, j'ai beaucoup appris et compris de nombreux principes. Les pratiquants doivent non seulement étudier le Fa, mais aussi appliquer les principes pour guider notre cultivation. Lorsque nous traversons des épreuves et des tribulations, nous laissons le pouvoir du Dafa entrer en jeu. Cela revient également à valider le Fa.

Nous comptons sur le Maître et le Fa, pas sur quelqu'un d'autre pendant notre cultivation. Après ce test, j'ai pris une habitude. Lorsque je rencontre la police, ma première action est de demander l'aide du Maître et de ne pas leur permettre de faire de mauvaises actions contre moi. Puis j'émets immédiatement la pensée droite pour éliminer les interférences. Si nous mettons notre foi dans le Maître et dans le Fa en action, et pas seulement en paroles, aucune difficulté ou tribulation ne peut nous arrêter.

S'opposer à la persécution et sauver les êtres

J'ai été arrêtée une nuit de printemps en 2004, pour avoir peint des mots concernant le Falun Dafa sur les murs. La police a pris des notes pendant mon interrogatoire et a exigé que je coopère avec elle. Les policiers ont dit qu'ils me tortureraient si je n'étais pas honnête. Ils me choqueraient avec des matraques électriques et m'attacheraient avec des cordes. Ce sont ces deux méthodes de torture que je craignais le plus. Comment le savaient-ils ? Je me sentais désespérée et j'émettais la pensée droite en silence.

Le Maître a dit :

« D'autant plus qu'elles utilisent complètement les vies les plus perverties dans l'Univers pour faire tout cela. Toutes les vies dans l'Univers sont en train de se replacer, l'homme n'a pas la qualification de tester cette Loi, ni les divinités, qui y touche est un criminel, elles voient tout cela aussi. » (« Enseignement de la Loi lors de la Conférence de Loi de la région des Grands Lacs en Amérique du Nord », Guider le voyage)

Alors pourquoi la police m'a-t-elle persécutée ? Où était le problème ? Je ne cessais de répéter l'enseignement du Maître ci-dessus dans mon esprit. Le policier a pris les matraques électriques et les cordes et a exigé que je dise tout, sinon ils allaient me choquer. Mais, son attitude n'était pas si détestable.

Je me sentais toujours impuissante. Je ne sais pas où j'ai trouvé le courage de lui dire : « Ne me choque pas. Si tu le fais, c'est toi qui auras mal à ma place. »

Le Maître nous a dit :

« Que les mauvais policiers utilisent la matraque électrique ou qu’ils injectent des produits pour vous persécuter, vous pouvez toujours utiliser la pensée droite et faire que le courant électrique et les produits agissent sur ceux qui commettent ces violences. » (« Utiliser la pensée droite pour mettre fin aux actes criminels », Points essentiels pour avancer avec diligence III)

C'était efficace, même si j'avais encore peur. Le policier a ri et m'a dit joyeusement : « Vous avez réussi à vous cultiver. Vous avez terminé la cultivation. » Il a posé les bâtons et les cordes et s'est assis. Il a bu son thé et m'a regardée en souriant.

Il a dit : « Mon chef de section m'a demandé de vous faire passer un mauvais quart d'heure. Nous ne voulons pas le faire. » Le policier qui prenait les notes m'a demandé si j'avais peint les mots et où j'avais trouvé tout ce matériel. Je n'ai rien dit. Il a écrit : « Pas de réponse ».

Je n'étais pas au clair avec les principes à l'époque et je ne savais pas comment réagir face à la police qui prenait des notes. J'ai été condamnée aux travaux forcés. Après ma libération, j'ai découvert que les deux policiers qui avaient pris des notes pendant mon interrogatoire avaient été mutés ailleurs. Ils ont cessé de persécuter les pratiquants de Falun Dafa. Les policiers de la Division de la sécurité d'État ne torturent plus les pratiquants.

La raison pour laquelle je partage cette expérience est que je veux dire que si les pratiquants de Dafa font face et qu'ils éliminent les mauvais facteurs avec la pensée droite, les mauvais facteurs n'existeront plus. De cette façon, les êtres sont sauvés et la vertu et le pouvoir de Dafa sont démontrés.

Les pratiquants doivent courageusement le mettre en action. Il n'est pas bon que les pratiquants aient peur du mal. Nous devons regarder à l'intérieur pour trouver où se trouvent les problèmes lorsque nous sommes dans des tribulations pendant une longue période. Nous ne pouvons pas nous permettre de ne rien faire face aux tribulations ni les supporter passivement.

Le titre de « Pratiquants de Dafa » est le premier titre de l'univers. Lorsque nous avons à l'esprit la pensée « Je suis un pratiquant de Dafa et personne ne mérite de me persécuter », la puissance qui la sous-tend vient du Maître et de Dafa. Seul le Maître prend soin des pratiquants. Donc nous ne reconnaissons aucune des persécutions du mal. Nous nions toutes les dispositions prises par le mal. Lorsque nous nous opposons au mal dans chaque pensée et chaque action, le mal disparaît instantanément.

Lorsque j'ai commencé à envoyer les noms et les coordonnées de l'agent de police sur le site web Minghui, le Bureau 610 et le Département de police ont déterminé que c'était moi qui l'avais fait. Ils ont prévu de saccager mon domicile et de m'arrêter. Mon mari m'a exhorté à quitter la maison immédiatement. J'ai demandé de l'aide au Maître : « Je suis la disciple du Maître. Le Maître s'occupe de moi, pas du mal. Le mal ne mérite pas de me persécuter. Je n'ai pas permis au mal de venir chez moi. » J'émettais la pensée droite à la maison. Mais, mon mari m'inquiétait beaucoup.

J'ai émis une forte pensée droite pendant un bon moment. Le mal ne s'est pas manifesté et n'est pas venu non plus pendant les jours suivants. Mon mari a fini par se calmer. J'avais peur à ce moment-là. Les pensées que la police allait venir continuaient à apparaître dans mon esprit. Mais j'étais certaine que le Maître avait le dernier mot. Quelle que soit la situation, les pratiquants doivent croire dans le Maître et dans le Fa. Nous nous cultivons dans des situations réelles et aidons le Maître à rectifier le Fa.

J'ai désintégré l'arrangement de la police avec la pensée droite. Des situations similaires se sont produites plusieurs fois par la suite. J'ai compris que les éléments mauvais jouaient leur rôle derrière la police. Lorsque j'ai éliminé ces mauvais éléments, les problèmes ont été résolus.

Nous sommes des pratiquants de Dafa et nous ne devrions pas être soumis aux contrôles des êtres humains. Nous devrions laisser les êtres humains nous écouter et aider les pratiquants de Dafa, les laisser faire le bien, et choisir d'être sauvés. Nous ne devrions pas permettre aux facteurs maléfiques de contrôler les humains pour qu'ils fassent de mauvaises actions.

De nombreux pratiquants ne prêtent pas attention à l'étude des articles récents du Maître. C'est une erreur. Étudiez davantage le Fa, et progressivement vous saurez comment vous cultiver. Le Maître attend que nous devenions matures et que nous atteignions la plénitude parfaite plus tôt.

Note de la rédaction : le point de vue exprimé dans cet article représente la compréhension actuelle de son auteur et sert à être partagé parmi les pratiquants afin que nous puissions : « Comparer l'étude, comparer la cultivation. »(« Cultiver réellement », Hong Yin)

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Traduit de l'anglais