(Minghui.org) Les pratiquants peuvent parfois attirer la persécution lorsque leurs pensées ne sont pas dans le Fa. Nous sommes capables de désintégrer tout facteur négatif si nous répondons à la persécution par la pensée droite. J'aimerais vous raconter comment deux pratiquantes ont géré des situations difficiles.

Le Maître a dit :

« D'un point de vue historique, s'il s'agit vraiment d'une affaire aussi grande, réfléchissez, quel genre de préparation est nécessaire. Les arrangements qui ont été faits ont été en fait très détaillés. Même comment chaque disciple de Dafa doit marcher sur son chemin, lorsqu’il rencontre différentes situations, comment il avance, comment il recule, puis comment il agit lorsque des états non souhaitables apparaissent, tout est arrangé de façon très minutieuse. Quoi qu’il en soit, en tant qu'être, il faut que lui-même décide de son sort; vous voulez cultiver, vous voulez avoir, vous voulez faire, vous ne voulez pas faire, vous ne voulez pas avoir, tout doit être décidé par la personne elle-même, et c'est pour cela que c'est très difficile. » (« Vingt ans d'enseignement du Fa », Enseignement du Fa dans les conférences XI)

L'histoire de Mme Zhang

Lorsque la persécution du Falun Dafa a commencé, Mme Zhang a lu un article d'un pratiquant qui mentionnait que, selon l'arrangement de l'ancien univers, « les pratiquants ne peuvent éviter l'emprisonnement ». Cela lui a fait penser : « Même si je suis emprisonnée, je peux toujours cultiver. » À cause de cette pensée apparemment droite, elle a été emprisonnée pendant huit ans. En apparence, elle a été arrêtée pour avoir distribué des documents d'information sur le Falun Dafa.

En plus d'être brutalement torturés, les pratiquants risquent également d'être séparés de leur famille. Les agresseurs s'en servent souvent comme d'un levier et demandent aux pratiquants : « Choisissez-vous Dafa ou votre famille ? » Certains pratiquants sont tombés dans le piège et répondent « Dafa ». En réalité, ils ont accepté la persécution. Mme Zhang savait qu'elle devait utiliser le Fa pour résister à la persécution et surmonter les tribulations.

Le Maître nous a dit :

« … vous ne devez pas aller jusqu’au divorce à cause de la pratique de gong. » (Sixième Leçon, Zhuan Falun)

Mme Zhang a refusé d'être « transformée » et de porter l'uniforme de la prison. Pendant les huit années de son incarcération, elle n'a pu voir son mari que trois fois, et même pas une fois pendant les cinq dernières années.

Lorsque la torture brutale ne fonctionne pas, les facteurs négatifs d'autres dimensions tentent de briser les familles des pratiquants. Certaines pratiquantes emprisonnées craignent que personne ne s'occupe de leur mari, tandis que d'autres craignent que leur mari ait des liaisons. Un grand nombre de conjoints de pratiquants ont divorcé.

Mme Zhang a dit que sa seule pensée était : « Les pratiquants de Dafa ne font rien de mal en étant de bonnes personnes. Mon mari m'attendra. » Une femme a poursuivi le mari de Mme Zhang pendant deux ans. Elle lavait son linge et cuisinait pour lui. Il acceptait la nourriture, mais ne se laissait pas tenter. Au moment où Mme Zhang a été libérée, il avait non seulement élevé leur fils et l'avait envoyé à l'université, mais il avait aussi économisé 50 000 yuans. Cette femme a dit à Mme Zhang : « Votre mari est le meilleur homme du monde. S'il était ébranlé ne serait-ce qu'un peu, il serait à moi aujourd'hui ! » En fait, la pensée droite de Mme Zhang a aidé son mari.

Les facteurs pervers ont essayé de persécuter Mme Zhang en affectant sa santé. Elle ne pouvait pas manger beaucoup et elle pensait souvent : « Il est temps pour toi de quitter ce monde. » Elle a constamment rejeté cette pensée et a éliminé les interférences dans les autres dimensions. Elle a enduré cette tribulation pendant quatre mois. Elle a compris : « Mon corps m'a été donné par Dafa. Je ne peux pas me laisser aller à cette illusion et mourir. Cela affecterait négativement l'image de Dafa et le salut des êtres. »

Mme Zhang a tiré la leçon de cet épisode et est devenue de plus en plus claire sur le fait de résister à la persécution. Elle a dit : « Nous sommes des disciples de Dafa de la période de la rectification de Fa. Comment pouvons-nous valider le Fa ? Nous devons rejeter tout ce qui n'est pas en phase avec le Fa. Nous sommes des disciples du Maître et nous devons valider le Fa, sauver les êtres et éliminer toutes les mauvaises choses de l'ancien univers, y compris les forces anciennes et le Parti communiste chinois (PCC). »

Mme Zhang suit son chemin de cultivation de manière inébranlable. Beaucoup de ses amis et de sa famille ont commencé à pratiquer Dafa.

L'histoire de Mme Bai

Le PCC mène actuellement la campagne « Plan zéro » à l'égard des pratiquants de Falun Dafa. Après avoir procédé à l'arrestation, ils font pression sur le pratiquant pour qu'il écrive les trois déclarations et accepte d'abandonner la pratique du Falun Dafa. Ils séduisent le pratiquant en lui promettant une libération conditionnelle ou probatoire pour raisons médicales. Après que certains pratiquants ont écrit ces déclarations, ils sont demeurés condamnés. Après que d'autres ont été libérés, ils sont régulièrement contactés et on leur demande d'écrire des rapports à remettre aux postes de police ou aux comités résidentiels. Le but ultime de la campagne « Plan zéro » est de détruire le pratiquant.

Mme Bai faisait bien les trois choses, mais sa compréhension de la façon de nier la persécution n'était pas très claire.

Arrêtée après avoir accepté la persécution

Mme Bai travaillait comme femme de ménage pour une pratiquante âgée. En septembre 2020, le poste de police local a procédé à des arrestations à grande échelle visant les pratiquants. Quatre policiers se sont rendus au domicile de la pratiquante âgée pour confisquer ses livres de Falun Dafa, mais la pratiquante âgée a fermement refusé. Lorsque les policiers ont également trouvé d'autres documents de Dafa utilisés pour clarifier les faits, ils se sont retournés et ont demandé à Mme Bai : « Pratiquez-vous le Falun Dafa ? » Lorsque Mme Bai a répondu par l'affirmative, les policiers ont dit : « Venez avec nous. »

Pendant tout ce temps, Mme Bai n'a pas pensé au Maître ni ne s'est souvenue de ce que le Maître nous a dit :

« Quand des personnes perverses vous demandent si vous pratiquez le Falun Gong, vous pouvez ne pas leur adresser la parole ou employer d'autres moyens d’évitement, il ne faut pas se laisser volontairement emmener par la perversité. » (« Rationalité », Points essentiels pour avancer avec diligence II)

Au lieu de cela, elle pensait : « Le fils de la pratiquante âgée travaille au gouvernement, donc je n'ai pas à m'en faire. » Même au poste de police, elle n'a cessé de penser : « Pourquoi son fils n'est-il pas encore venu me chercher ? » Elle plaçait ses espoirs dans une personne ordinaire. En conséquence, vers 21 heures, elle a été emmenée dans un premier puis un second centre de détention, mais aucun n'a voulu la prendre. Elle ne réalisait toujours pas que le Maître était intervenu en sa faveur. Son esprit n'était pas clair et elle s'est contentée de suivre passivement la police. Parce que son raisonnement était erroné, vers 3 h du matin, un des centres de détention l'a acceptée.

Refuser de se plier aux exigences du centre de détention

Dans le centre de détention, la première chose que l'on a demandé à Mme Bai était de mémoriser le règlement du centre de détention en trois jours. Elle a vu que la deuxième règle était de « soutenir les dirigeants du PCC ». Les autres règles étaient de « se corriger », de « changer sa vision de la vie et du monde », etc. Mme Bai s'est immédiatement réveillée : « En tant que disciple de Dafa, comment puis-je mémoriser cela ? » Elle a donc commencé à réciter le Fa de mémoire et à émettre la pensée droite le reste de la journée.

Il y avait neuf autres pratiquantes dans sa cellule. Trois jours plus tard, le chef de la section est venu vérifier que tout allait bien. Certaines des pratiquantes ont dit qu'elles étaient analphabètes. D'autres ont dit qu'elles ne pouvaient pas mémoriser les règles. Il a dit : « Y a-t-il quelqu'un qui ne veut pas les mémoriser ? » Mme Bai a immédiatement levé la main. En colère, le chef de section a dit : « Vous serez de service jour et nuit ! » Rien ne s'est passé après cela.

Le jour suivant, une policière s'est présentée avec une copie imprimée des trois déclarations. Cette policière a utilisé une stratégie différente. Elle est apparue très gentille et a essayé à plusieurs reprises de les persuader. Elle leur a promis : « Tout ce que vous avez à faire est de copier ce qui est écrit ici. Ensuite, vous serez libérées. Vous pourrez faire ce que vous voulez quand vous rentrerez chez vous. Personne ne se souciera de savoir si vous pratiquez le Falun Dafa. » Mme Bai a fermement refusé d'obtempérer et a dit : « Il m'est impossible d'écrire cela. »

Mme Bai a continué à réciter le Fa de mémoire tous les jours et à nier la persécution. Elle a été transférée dans un centre de détention plus grand vingt jours plus tard et a été placée dans une cellule avec quarante détenues criminelles. On lui a de nouveau demandé d'apprendre par cœur le règlement du centre de détention et d'écrire les trois déclarations. Comme elle a refusé, on ne lui a pas donné de brosse à dents ni de coussin pour s'asseoir. Le centre de détention a souligné que les pratiquantes de Falun Dafa seraient condamnées à de lourdes peines si elles refusaient d'écrire les trois déclarations.

Libération conditionnelle

Le lendemain, Mme Bai a commencé à saigner de ses parties intimes. Ses compagnes de cellule n'arrêtaient pas de lui dire : « Bon sang, j'espère que tu ne vas pas tomber malade à force de t'asseoir sur le sol froid. » Après s'être assise sur le sol froid pendant deux semaines, elle a eu des douleurs à l'estomac. Elle ne savait pas d'où cela venait et pensait : « Est-ce parce que je suis assise sur le sol froid ? » Avec cette pensée humaine, la douleur s'est aggravée. Finalement, elle a été obligée de passer un examen médical et on lui a diagnostiqué un cancer.

Une fois de plus, Mme Bai n'a pas bien compris les principes du Fa. Elle se demandait : « Est-ce que c'est le Maître qui est en train de me faire libérer avec un faux symptôme de maladie ? » Le Falun Dafa est largement loué pour ses bienfaits miraculeux sur la santé. Même si le fait de paraître malade peut faire sortir un pratiquant de détention, cela ne valide pas le Fa, et n'est pas utile pour clarifier les faits ou sauver les êtres. Les facteurs pervers ont à nouveau profité de cette pensée. Mme Bai a rapidement perdu du poids et est devenue extrêmement faible. Elle avait des palpitations cardiaques même après quelques pas.

Les responsables du centre de détention ont intensifié leurs efforts pour amener Mme Bai à écrire les trois déclarations. La directrice, les policières et les prisonnières de surveillance ont tous essayé de la persuader. On lui a dit qu'elle serait libérée pour raison médicale si elle les écrivait. La directrice a également fait pression sur la policière responsable de sa cellule, de sorte que celle-ci est venue l'intimider tous les jours. Mais Mme Bai a dit fermement : « Je ne l'écrirai pas, quoi qu'il arrive. » La policière a donc fini par abandonner.

La directrice a rapporté l'affaire au parquet. Le personnel du parquet a contacté le fils de Mme Bai et lui a promis une libération conditionnelle si elle était « transformée ». Le centre de détention a fait une exception et l'a autorisée à parler à son fils. Mme Bai n'a pas laissé à son fils la possibilité de la persuader, mais lui a simplement dit : « Ne t'inquiète pas, mon fils. Comme tu le sais, je n'ai pas été malade pendant plus de vingt ans et je vais toujours très bien. » Le centre de détention a pris des dispositions pour qu'elle subisse une opération et une chimiothérapie, mais Mme Bai a fermement refusé d'accepter ce plan. Elle était déterminée à suivre l'arrangement du Maître. Puis un miracle s'est produit. La nuit après qu'elle a parlé avec son fils, le saignement s'est arrêté.

Puisque tous les pratiquants refusaient d'apprendre par cœur les règles du centre de détention, ce dernier a proposé quelque chose de nouveau : elles devaient apprendre par cœur le livre Di Zi Gui (Règles de conduites pour les élèves et les enfants).

Mais cette fois, l'esprit de Mme Bai était clair et elle s'est souvenue du Fa de Maître :

« En tant que disciples de Dafa, la pensée droite vient de la Loi, ce que vous cultivez n’est pas combien votre idée humaine est bonne, ni combien votre manière humaine de faire est excellente, ce que vous cultivez c’est, en traitant un problème, d’utiliser ou non la pensée droite. » (« Avancer encore plus diligemment », Enseignement du Fa dans les conférences, Vol. X)

Mme Bai a pensé : « Je dois utiliser mon temps pour réciter le Fa. Je ne mémoriserai pas Di Zi Gui. » Le centre de détention a alors trouvé une bouddhiste pour parler du bouddhisme. Mme Bai savait que c'était un test. Peu importe ce que la bouddhiste disait, Mme Bai refusait d'écouter ; au lieu de cela, elle répétait en silence les phrases pour émettre la pensée droite.

Plus tard, la bouddhiste a coopéré avec la police pour essayer de persuader Mme Bai d'écrire les trois déclarations. Elle a encouragé toutes les prisonnières à se mettre en colère contre Mme Bai : « Si vous ne l'écrivez pas et que vous finissez alitée, nous devrons nous occuper de vous ! » Au final, la bouddhiste est tombée très malade. Elle est restée alitée pendant trois jours et a dû se faire soigner.

Après avoir vu comment Mme Bai était redevenue normale sans aucun traitement médical, elle a accepté de démissionner du PCC et a mémorisé les poèmes de Hong Yin du Maître. Plusieurs prisonniers du centre de détention les ont également mémorisés.

Le parquet a accordé à Mme Bai une libération pour raison médicale, même si elle refusait d'écrire les trois déclarations. Bien qu'elle ait été jugée quelques jours plus tard et condamnée à six mois de prison, elle a été libérée après seulement un mois. En comparaison, une autre pratiquante s'est inquiétée pour sa belle-fille enceinte et a donc rédigé les trois déclarations. Elle a été condamnée à deux ans et deux mois.

Après sa libération, Mme Bai a dit aux autres pratiquantes que son arrestation et les symptômes de sa maladie étaient dus au fait qu'elle n'avait pas compris les principes du Fa. Les facteurs pervers peuvent tirer profit de nous lorsque notre état d'esprit n'est pas correct.

Une fois que nous avons corrigé notre état d'esprit, le Maître a de nombreuses façons de nous aider. Tout comme le Maître nous l'a dit :

« Comme la persécution a eu lieu, alors j’en profite pour que les disciples de Dafa pendant la validation de la Loi nient la persécution, et qu’à travers cela ils établissent la vertu majestueuse des disciples de Dafa. » (« Avec le bâton et le Khat également », Points essentiels pour avancer avec diligence III)

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Traduit de l'anglais