(Minghui.org) Bonjour estimé Maître et compagnons de cultivation !
J’aimerais utiliser cet article de partage d’expérience pour vous parler de mon chemin de cultivation à partir du moment où j’ai commencé à travailler dans les médias. De plus, j’aimerais parler de l’expérience de cultivation que j’ai acquise pendant les premiers mois où j’ai travaillé dans ce projet.
Cela fait plusieurs années que je voulais toucher autant de personnes que possible à travers les médias sociaux, je voulais clarifier la vérité à propos du Falun Dafa et de l’irrespect du Parti communiste chinois (PCC) et de son traitement cruel de la dignité humaine.
En 2017, j’ai fondé une chaîne média avec d’autres pratiquants sur laquelle nous avons téléchargé un certain nombre de vidéos. J’ai vraiment apprécié le travail d’équipe avec les pratiquants et particulièrement enseigner aux gens de nouvelles façons. Nous avons beaucoup travaillé sur ce projet. Cependant, l’effet n'a pas été ce que j’avais espéré, car il n’y avait que quelques centaines de vues par vidéo. Dans l'ensemble, la quantité de travail ne semblait pas proportionnelle au résultat. Je me suis demandé comment atteindre un meilleur résultat avec les compétences que nous avions acquises.
Un peu plus tard, notre petite équipe a commencé à collaborer partiellement avec nos principaux médias. La portée atteinte était beaucoup plus grande et la main-d’œuvre que nous y mettions mieux utilisée. Ainsi, en 2018, j’ai décidé de soutenir le travail des médias avec un autre jour le week-end. Mais je ne voulais pas abandonner le projet que j'avais fondé au début. Alors que je me trouvais à Berlin pour quelques jours afin de travailler avec les autres sur le projet des médias, le responsable a dit : « À un moment donné, vous devez prendre une décision sur ce que vous voulez vraiment. »
Au cours de la période suivante, je me suis demandé pourquoi j’avais tant de mal à me concentrer totalement sur un projet pour obtenir le meilleur résultat possible.
Le Maître a dit :
« C’est juste comme ce poing qui part – c’est puissant quand tout le monde est serré ensemble. (Le Maître serre le poing). Mais si vous dites que celui-ci veut faire ceci, celui-là veut faire cela, et le suivant quelque chose d’autre (écartant les cinq doigts en montrant chaque doigt), alors ça manque de force, et sitôt parti, il essuie un revers, n’est-ce pas ? » (« Enseignement du Fa à la Conférence de Loi de la grande région de New York 2009 », Enseignement du Fa dans les conférences IX)
Lorsque j’ai regardé en moi-même, j’ai découvert mon entêtement et mon désir de reconnaissance, principalement en voulant monter mon propre projet avec succès. J’ai réalisé que cela faisait de moi un de ces « doigts » têtu qui ignore le poing, ce qui signifie ne pas pouvoir obtenir le meilleur résultat. J’étais plutôt celui qui n’arrivait pas à se focaliser sur la puissance des pratiquants pour développer le corps uni.
Décider de travailler à plein temps dans les médias
Depuis 2018, en plus de mon travail à plein temps, je m’étais impliqué dans le travail des médias, principalement lorsqu’il s’agissait de production vidéo. Travailler dans les médias était vraiment satisfaisant parce que je croyais que c’était une bonne contribution à la clarification de la vérité. Et pas uniquement cela, mais j’apprécie de travailler de manière créative.
Je ne ressentais pas une telle gratification dans mon travail à plein temps. Mon travail me paraissait de plus en plus futile et surtout inutile. Même s’il était toujours clair pour moi que je faisais du bon travail et que je pouvais toujours clarifier la vérité à propos de Dafa, quelque chose manquait. Pendant longtemps, j’ai désiré avoir un travail à plein temps dans les médias. Mais, il y avait toujours un gros problème. La rémunération dans les médias est très modeste et je ne pouvais pas du tout imaginer vivre avec un salaire inférieur.
Le cours de qualification que je suivais dans l’entreprise où je travaillais à l’époque s’est terminé en octobre 2020. En début d’année, j’avais commencé à envisager comment m’organiser pour consacrer plus de temps au travail des médias. Mais je ne voulais pas démissionner de mon travail, qui promettait une augmentation substantielle de salaire après la fin du cours.
Alors j’ai examiné mes possibilités et calculé quel modèle je pouvais utiliser pour réduire mes heures de travail et avoir plus de temps pour mon travail des médias, tout en gagnant suffisamment d’argent. J’ai examiné plusieurs possibilités qui me permettraient de réduire mon temps de travail. J'ai donc examiné un certain nombre de modèles de calcul, y compris les augmentations de salaire, ou le maintien du niveau de revenu actuel. J'ai également inclus parfois plus et parfois moins d'heures pour le travail des médias.
Au vu de ces calculs, j’en ai conclu que je gagnerais toujours suffisamment malgré une réduction de 50 % du nombre d’heures de travail, aussi bien avant qu’après l’augmentation de salaire. J’ai donc suivi cette possibilité spécifique.
Ensuite, lorsque j’ai rencontré la direction de mon employeur en août 2020 et que je leur ai fait part de mon projet de réduire mes heures de travail, mon patron s’est montré peu enthousiaste. Mon patron comptait sur moi. Avec la promotion, j’étais supposé assumer davantage de tâches et de responsabilités. Il a dit que ce n’était pas réaliste que je travaille moins d’heures.
Comme je savais que mes résultats professionnels et moi-même étions bien considérés par la direction, j’ai pensé que je pouvais exercer une certaine pression. Alors j’ai dit que j’envisageais de démissionner.
Relativement peu impressionné, mon patron m’a simplement répondu que la décision serait la mienne. En fin de compte, je devais écouter mon cœur et prendre une décision. Après la conversation, j’étais déçu. Parce que mon patron n’avait pas essayé de me garder ni de tenir compte de mes performances professionnelles, j’ai compris que toutes les pensées que j’avais eues à l’avance, utilisant des possibilités de temps de travail, avaient été totalement inutiles.
J'étais maintenant confronté à la décision suivante : rester dans l'entreprise, obtenir une augmentation de salaire, mais continuer à faire des tâches que je considérais comme ennuyeuses et inutiles, ou rejoindre les médias à plein temps pour moins d'argent. Pour ce faire, je poursuivrais une activité qui me comble et que je considère comme importante au plus profond de mon cœur.
Après l’entretien, je n’ai que brièvement réfléchi à tout cela. Il est rapidement devenu clair pour moi que depuis le début de l’année, j’avais fermement souhaité travailler plus pour le média et moins pour ma profession. Je ne pouvais absolument pas imaginer continuer à travailler à plein temps pour mon employeur d’alors. Au contraire, les paroles de mon patron à ce moment-là me trottaient encore dans la tête : je devrais écouter mon cœur et décider par moi-même. Aujourd’hui, je suis certain que c’était une indication du Maître.
Dans une telle situation, n’importe quel directeur sensé aurait fait n’importe quoi pour garder un employé hautement qualifié, surtout quelqu’un en qui l’entreprise avait investi beaucoup d’argent.
Dans mon cœur, je savais que je voulais travailler pour le média. Alors, pendant ma pause déjeuner à Berlin, j’ai appelé le directeur général du média et lui ai dit que mon projet de diminuer mes heures de travail avait échoué, mais que j’aimerais commencer à travailler à plein temps pour le média.
À ce point, je n’avais vraiment écouté que mon cœur. Mon esprit qui s’était inquiété encore et encore à propos de mon avenir financier pendant tout ce temps avec la pensée : « D’une manière ou d’une autre, cela va fonctionner. » Le jour où j’ai eu la conversation, j’ai remis ma démission sur le bureau de mon patron quelque peu étonné.
Rétrospectivement, j’ai compris que je suis un pratiquant de Dafa du plus profond de mon cœur. Cependant, mon esprit considère la situation de façon rationnelle. Alors, lorsque mon cœur est en conflit avec mon esprit, j’ai appris à faire confiance à mon cœur, sachant que Dafa est au plus profond de mon cœur – en ayant confiance dans ce que mon vrai moi veut et en ne donnant pas trop d’espace aux conceptions humaines acquises.
Le défi financier
Sans plus y penser, j’avais décidé de quitter mon emploi sécurisé et bien payé et de démarrer mon entreprise au milieu de la crise de la Covid et de travailler pour les médias. Tous les modèles de calcul précédents étaient maintenant inutiles. Au contraire, je devais regarder comment vivre avec beaucoup moins de revenus dans le futur. Ce faisant, j’avais la conviction intérieure que tout s'arrangerait.
La première chose que j’ai comprise, c’est que je devais réduire mes dépenses fixes. Alors j’ai commencé avec la plus importante – les coûts pour me loger. Avant, j’avais trois grandes pièces pour moi. J’ai demandé à un autre pratiquant de partager mon appartement. Emménager ensemble s’est étonnamment bien passé. Ce pratiquant a trouvé une autre personne, ce qui a aidé à réduire les coûts fixes élevés avant même que je commence à travailler pour les médias. Avant j’avais une chambre séparée, un séjour et un bureau. Maintenant, j’ai seulement une pièce de taille moyenne pour moi, où j’ai dû trouver l’espace pour mes affaires. J’ai compris que je devrais fonctionner simplement sans ce à quoi j’étais habitué et vivre dans une seule pièce.
Il était clair pour moi à ce moment-là que je devais tout simplement m’en passer à certains égards. J’ai pensé que cela m’aiderait à me débarrasser de mes attachements à la richesse et à la prospérité. À ce moment-là, cela a été étonnamment facile pour moi. Mon cœur était assez serein. Mon esprit me disait que j'avais passé facilement le test de l'attachement à la richesse et à l'argent. Cependant, je m'étais trompé lorsque j'ai examiné la situation sur le long terme.
Lorsque j’ai commencé à travailler pour le média, j’ai été confronté soudainement à de nombreuses dépenses élevées. Par exemple, ma voiture avait besoin d’être réparée et a dû être conduite au garage. En plus, mon ordinateur portable avait besoin d’une réparation coûteuse et j’avais besoin d’un certain nombre de produits différents. C’étaient toutes des dépenses que je ne pouvais pas assumer avec mes gains du média des tout premiers mois. Tout ce que je voyais c’était beaucoup de dépenses importantes, mais de si petites rentrées.
Non seulement mes revenus étaient faibles, mais j’ai dû également piocher dans mes économies et il ne semblait pas que je serais en mesure d’économiser à nouveau dans le futur. Cela m’a fait perdre ma sécurité financière.
Après avoir parlé à mes parents de ma situation professionnelle et de la baisse de mes revenus, ma mère m'a demandé si je pouvais m'en sortir, compte tenu de mes revenus. J'ai répondu que j'avais tout sous contrôle et que tout s'arrangerait. Mon père, cependant, m'a dit que cela pouvait suffire pour le moment, mais que je devais aussi penser à l'avenir et à la manière dont je pourrais me débrouiller financièrement si je devais fonder une famille. Cela m'a poussé à réfléchir davantage sur le sujet et j'ai réalisé, grâce au commentaire de mon père, que j'avais encore plus de préoccupations financières cachées en surface que je ne le pensais. Bien que je me sois interrogé sur une telle situation, j'ai pu répondre assez calmement que la situation pourrait encore changer dans un tel scénario.
Le tournant
J’ai fait l’expérience d’un tournant lorsque j’ai voulu vendre mon vieil appareil photo. Il s’est perdu dans l’expédition et je me suis demandé pendant longtemps comment résoudre ce problème. Mais cela a traîné pendant plusieurs semaines sans aucun résultat. À un moment donné, j’ai abandonné l’idée des pertes matérielles constantes et j’ai décidé : « Bon, peut-être que je devrais laisser tomber ce problème. » Alors, j’ai pu accepter les pertes matérielles permanentes beaucoup plus facilement.
Une fois que j'ai abandonné mes craintes de perdre constamment de l'argent, j'ai regardé mon compte bancaire un jour et j'ai été stupéfait. J'avais remarqué un crédit, mais je n'avais aucune idée d'où il venait. Après avoir cherché l'origine de ce crédit, j'ai découvert que j'avais reçu un crédit pour cet appareil photo vieux de douze ans de la grande société de vente par correspondance qui me l'avait vendu il y a douze ans. Il s'agissait du prix d'achat total lorsque j'ai acheté l'appareil photo. Le prix d'achat total d'il y a douze ans était bien plus élevé que la perte que j'avais subie après la disparition de l'appareil photo. Après douze ans, de façon inexplicable, la société de vente par correspondance m'indiquait que je devais retourner l'appareil photo pour le prix d'achat total, même s'il avait été perdu par la poste et qu'il n'entrait certainement pas dans le cadre de la période de retour de trente jours.
Lorsque j'ai réfléchi à ce qui s'était réellement passé, j'ai compris que la perte constante d'argent était un test pour moi. Une fois que j'ai accepté les pertes financières constantes comme inévitables, elles ont cessé, et j'ai même récupéré un peu d'argent. À partir de cet incident, j'ai compris qu'il fallait que je perde un peu pour réussir le test consistant à accepter plus facilement la question de l'argent. Apparemment, j'ai perdu plus d'argent que je n'aurais dû, c'est pourquoi j'en ai récupéré un peu, d'après ce que j'ai compris.
Le Maître a dit :
« Nous, les pratiquants, nous disons qu’il faut laisser les choses se faire naturellement ; ce qui est à vous, vous ne le perdrez pas et ce qui n’est pas à vous, vous ne l’aurez pas, même si vous luttez pour l’avoir. » (Septième Leçon, Zhuan Falun)
Cet incident m'a permis de comprendre que je n'ai pas à me soucier de l'argent, pas plus que je dois me soucier de vouloir réaliser quoi que ce soit de particulier pour me sentir bien.
Dès le début, j'ai cru au Maître et que cela allait « s'arranger d'une manière ou d'une autre ». Mais, la préoccupation réelle de prendre soin de mon bien-être financier par des efforts humains devait être diminuée. Maintenant, je sais que je ne perdrai que ce qui ne m'appartient pas et que je peux avoir une confiance totale dans le fait que j'obtiendrai toujours exactement ce dont j'ai besoin pour ma situation actuelle et ma cultivation.
Développer des compétences relatives aux médias
Je travaille à plein temps dans les médias depuis septembre 2020. Au début, j’avais déjà quelques compétences en vidéo, ce que j’aime toujours faire. Mais on m’a rapidement assigné de nouvelles tâches. J’ai réalisé que je ne devais pas seulement faire ce que j’aimerais faire, mais ce qui est important pour l’ensemble du projet. De cette façon, en tant que corps uni, nous pouvons atteindre un meilleur résultat dans l'ensemble. En même temps, les nouvelles tâches et les changements de tâches sont toujours liés à ma cultivation.
Au début, je me chargeais volontiers du montage d'interviews vidéo déjà enregistrées. Par exemple, quelqu'un d'autre s'occupait de l'écriture. En raison de ma formation juridique, je n'avais pas de bonnes compétences en matière de rédaction journalistique. J'ai essayé deux fois, mais je n'étais pas particulièrement motivé. Cela me prenait beaucoup de temps et les textes étaient secs et ennuyeux, ils ne convenaient donc pas à un journal.
Après un certain temps, j’ai réalisé comme il était peu pratique de faire écrire par quelqu’un d’autre de l’équipe éditoriale les articles pour mes vidéos. J’ai remarqué que nous n’étions pas aussi efficaces dans le projet que nous aurions pu l’être. Alors j’ai pensé à apprendre à écrire de manière efficace, ce qui aurait un meilleur impact global.
Auparavant, lorsque je n’avais ni le désir ni l’envie d’écrire ces textes, ils devenaient ennuyeux et étaient plus comparables à des mémoires juridiques – ce qui signifie qu’ils n’étaient pas adaptés à la publication. Je dois encore beaucoup m’exercer et m’améliorer dans mon écriture. Lorsque j’ai eu le désir de m’atteler à cette tâche, pour améliorer mon travail éditorial, mes compétences rédactionnelles ont changé. Sans me préoccuper particulièrement de mes compétences en matière d’écriture, ce n’était plus ennuyeux, mais bien plus adapté à la publication dans un journal. Tout à coup, je savais comment mieux écrire.
Le Maître a dit :
« Pour un pratiquant, tout le processus de transformation du gong dans les autres espaces est un processus extrêmement complexe ; cela ne se passe pas uniquement dans un seul autre espace, mais dans tous les espaces, dans chaque espace, le corps change. Pouvez-vous faire cela vous-même ? Non, vous n’en êtes pas capable. Tout cela est arrangé par le maître, c’est le maître qui agit, c’est pourquoi on dit que la cultivation dépend de soi-même, alors que le gong dépend du maître. » (Deuxième Leçon, Zhuan Falun)
Je n’ai jamais appris à écrire dans le style journalistique. Cependant, le Maître m’a donné la sagesse, car j’avais développé un désir sincère d’améliorer le projet de clarification de la vérité.
En somme, j'ai compris qu'il existe de nombreuses façons intéressantes de s'engager dans les médias. Cependant, je ne me contente pas de faire ce que j'ai envie de faire, mais on m'assigne plutôt les bonnes tâches pour me cultiver dans différents aspects à la fois. J'ai également remarqué que de nombreuses nouvelles opportunités se présentent dans mon travail, ce qui me permet d'atteindre encore plus de personnes.
Par conséquent, je suis très reconnaissant d’avoir la possibilité de travailler à plein temps à un projet qui explique la vérité sur cette cultivation et pratique. Je remercie le Maître pour l’opportunité de contribuer et je remercie également mes compagnons de cultivation qui, avec beaucoup de dévouement et de sincérité de cœur, ont été pour moi un environnement inestimable de cultivation.
J’aimerais conclure avec un poème de Hong Yin V du Maître :
« Tous attendant le salut du Créateur à l’étape finale
Avant la corruption et la destruction, les principes du Fa pour sauver les gens sont déjà en train de se transmettre
Pourtant les gens courent après le renom et le gain
Ce qui est acquis au long de toute une vie d’efforts ne peut être emporté avec toi
Tu viens et pars seul
Dans une vie affairée, on ne sait déjà plus pourquoi on est venu ici
Avant de descendre, la plupart étaient empereurs dans leur empire céleste
Abandonnant des corps divins pour sauver les êtres aux cieux
Le profit dans le monde humain est sans importance
Rejoindre l’affinité sacrée, s’accomplir de nouveau
Chercher la vérité, sortir de l’illusion
Seul réaliser le souhait de longue date en venant dans ce monde est ta grande joie »
(« Pourquoi être venu ici », Hong Yin V)
(Présenté à la Conférence de Fa 2021 d’Allemagne)
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Traduit de l'anglais
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