Ma merveilleuse sœur et mon beau-frère

(Minghui.org) Ma plus jeune sœur et son mari sont un couple heureux et honnête. Bien qu’ils ne pratiquent pas le Falun Dafa, ils s’identifient au principe Authenticité-Bienveillance-Tolérance et me soutiennent dans ma pratique. Pendant de nombreuses années de persécution sous le régime communiste, ils m’ont protégé et m’ont donné l’occasion de clarifier les faits concernant le Falun Dafa auprès de leurs amis.

Protéger courageusement le livre

Mon beau-frère, un directeur commercial, allait m’apporter un exemplaire du Zhuan Falun depuis notre ancienne maison à la campagne lorsque les mesures de sécurité à la gare se sont soudainement renforcées en raison du 16^e congrès du Parti communiste chinois.

Inquiète pour sa sécurité, je lui ai demandé de ne pas apporter le livre cette fois-ci. Mais il a insisté et a même apporté des conférences récentes.

Il a mis le livre et les conférences dans la poche de son cardigan, puis il a enfilé sa doudoune et il est monté dans le train. Peu de temps après s'être assis, la sécurité du train a commencé à contrôler tous les passagers, obligeant chacun à enlever son manteau. Lorsqu’il a enlevé sa doudoune, les policiers ont vu le sac dans lequel il avait mis le livre et lui ont demandé de l’ouvrir. Il a répondu calmement : « Il y a de l’argent à l’intérieur. Avez-vous encore besoin de le vérifier ? » La police a répondu : « Oh, non ; laissez tomber. »

Quand il est rentré à la maison et m’a raconté ce qui s’était passé, j’ai été vraiment impressionné par la forte pensée droite qu’il avait ! Avec la protection du Maître, mon beau-frère m’a apporté d’autres livres de Dafa.

Aider un autre pratiquant

Vers 22 h 30 un soir de 2002, quelqu’un a frappé à ma porte. J’ai ouvert et mon beau-frère est entré avec un jeune policier.

Mon beau-frère m’a présenté l’homme en disant : « C’est un de mes clients de notre ville natale. Nous avons mangé ensemble aujourd’hui pour la première fois et j’ai remarqué qu’il parlait un peu différemment de mes autres clients et qu’il ne buvait pas non plus. De nos jours, presque personne ne fait des affaires sans boire.

« Puis il m’a dit qu’il avait commencé à pratiquer le Falun Dafa en 1995 quand il était à l’université et qu’il avait alors arrêté de boire. Bien qu’il ne pratique plus Dafa depuis que la persécution a commencé et qu’il a perdu le contact avec les autres pratiquants, il a dit qu’il essaie toujours de faire ce que le Maître a enseigné.

« Bien, dans ce cas ne buvons pas », lui ai-je dit. Après le dîner, je lui ai proposé de l’emmener voir quelqu’un de spécial et lui ai dit : « Tu peux l’appeler “Petite Sœur”. Comme toi, elle est aussi une pratiquante de Falun Dafa. »

Le policier était très surpris et heureux. Enfin, il a pu rencontrer un autre pratiquant. Nous nous sommes présentés. Quand il est parti, je lui ai donné les nouveaux articles du Maître, la seule série que j’avais à ce moment-là.

Il est ensuite retourné dans sa ville natale et a pris contact avec des pratiquants locaux. Au fil des ans, bien que lui et mon beau-frère ne fassent plus affaire ensemble, ils se contactaient encore régulièrement.

Selon mon beau-frère, ils ont « un lien très spécial ». Il a déclaré : « Parfois, lorsqu’il rencontrait des difficultés et était déprimé, il m’appelait. Je lui donnais des conseils et il me disait : “Je comprends maintenant. Ce que tu as dit était si juste. Avec des mots simples, tu m’as ouvert le cœur”. Il me remerciait encore et encore. »

J’ai dit à mon beau-frère : « Bien que tu ne cultives pas, tu vis déjà dans le Dao. »

Créer des occasions me permettant de clarifier les faits

Lorsque j’ai déménagé dans la ville où vivent ma sœur et mon beau-frère, ils m’ont présenté un grand nombre de leurs amis de tous horizons et m’ont donné l’occasion de clarifier les faits concernant le Falun Dafa.

Une fois, plusieurs collègues et amis de mon beau-frère sont venus lui rendre visite. Il s’est arrangé pour qu’ils dînent ensemble chez lui. Après leur arrivée, mon beau-frère m’a appelé et m’a demandé de me joindre à eux. Lorsque j’ai répondu que je ne viendrais pas, il a dit : « Notre grande table de salle à manger est entourée de gens. » J’ai tout de suite compris et j’y suis allée.

Dès que je suis arrivée, mon beau-frère m’a présentée et tout le monde a commencé à me saluer. Puis il a dit : « Ma sœur se porte très bien. Elle était auparavant assez malade, mais après avoir pratiqué le Falun Dafa, sa santé s’est grandement améliorée et maintenant elle n’a plus besoin de prendre de médicaments. » Cela m’a donné l’occasion de parler de Dafa et de répondre à leurs questions. À la fin, ils ont tous compris les faits et ont démissionné du Parti communiste chinois.

Une autre fois, ma sœur a invité la famille de sa bonne amie à venir dîner et m’a demandé de me joindre à eux. J’y suis allée, j’ai clarifié les faits et toute la famille s’est retirée du PCC.

Ils m’ont fourni de nombreuses occasions comme celle-ci de clarifier les faits dans un cadre détendu et joyeux.

Soutien inconditionnel et sans limites

J’avais pour habitude d’imprimer des documents d’information sur le Falun Dafa à la maison et de les donner aux pratiquants locaux et à ceux d’une autre ville. À un moment donné, une pratiquante locale a eu un accident qui a eu un grand impact sur la région environnante. Pour des raisons de sécurité, j’ai décidé de stocker les documents dans la boulangerie de ma sœur, où les pratiquants pouvaient aller les chercher.

Lorsque je n’ai plus eu de place à la maison pour stocker les documents, je les ai déplacés dans un local de stockage dans la maison de ma sœur.

Pendant de nombreuses années, ils ont apporté une aide inconditionnelle aux disciples de Dafa chaque fois que nous en avions besoin, mais ils ne se sont jamais plaints du travail supplémentaire ou des problèmes de sécurité.

Ces dernières années, ma sœur et son mari ont déménagé dans une autre ville à cause du travail. J’espère sincèrement qu’un jour, ils pourront eux aussi pratiquer Dafa et profiter de cette précieuse occasion, qui ne se présente qu’une fois tous les mille ans, de cultiver dans une Voie juste.

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Traduit de l’anglais