(Minghui.org) Un certain nombre de pratiquants de notre région ont été victimes du karma de la maladie au cours des derniers mois, provoquant de faux symptômes de maladie qui ont duré longtemps. Certains ont perdu la vie. Après avoir parlé avec quelques-uns de ces pratiquants, je voudrais vous partager certaines choses.
L’importance de changer ses conceptions
Nous savons tous, d’après les principes du Fa, que les pratiquants ne contractent pas de réelles maladies. Pourtant, j’ai constaté que de nombreux pratiquants n’avaient pas fondamentalement changé leur concept de la maladie, et même ceux qui aidaient les autres en émettant la pensée droite n’en avaient pas conscience. J’ai souvent entendu des pratiquants utiliser des noms de maladies lorsqu’ils parlaient d’un compagnon de cultivation qui avait une épreuve physique, comme l’hypertension, le diabète, le cancer du sein, le cancer de l’estomac, etc., et le pratiquant lui-même utilisait également les mêmes mots. Puis ils disaient qu’ils ne reconnaissaient pas la persécution des forces anciennes, et qu’ils avaient émis la pensée droite pour l’éliminer.
Nous savons tous qu’il y a une cause derrière toute chose. Lorsqu’un pratiquant nomme une maladie, cela signifie qu’il la reconnaît, et émettre la pensée droite tout en la reconnaissant signifie essayer de s’opposer à la persécution tout en la reconnaissant.
De nombreux pratiquants subissant les tribulations ont de fortes conceptions. Dès que quelqu’un se sent mal à l’aise, il pense automatiquement à de nombreuses maladies. Plus il souffre, plus il s’inquiète et, finalement, il cherche des moyens humains pour guérir la « maladie ». Les pratiquants qui aident la personne en émettant la pensée droite pour éliminer les facteurs maléfiques passent également de la confiance qu’ils avaient au début à l’anxiété, puis au sentiment d’impuissance. Parfois, les deux parties savent aussi regarder à l’intérieur et, après avoir longtemps regardé, elles ne réalisent toujours pas l’attachement de donner un nom de maladie à ces symptômes.
Comprendre les principes du Fa est la seule façon d’éliminer l’illusion
Dans de nombreux articles de partage d’expériences sur le site web Minghui, nous voyons les pratiquants utiliser le terme « fausse apparence » ou « illusion de la maladie », qui sont des termes déterminants. Ils représentent non seulement l’essence du problème, mais rappellent également aux pratiquants de garder un esprit clair, de reconnaître et d’éliminer les facteurs pervers dans d’autres dimensions, et de nier véritablement leur effet.
Afin d’éliminer complètement l’interférence de cette illusion, nous devons bien apprendre le Fa et comprendre les principes du Fa afin de sortir fondamentalement de l’épreuve. J’ai contacté des pratiquants qui vivaient des tribulations et j’ai constaté que la plupart d’entre eux n’avaient pas une vision claire du Fa, qu’ils ne l’étudiaient pas bien, et que la plupart d’entre eux ne pouvaient même pas mémoriser « Lunyu ». Lorsqu’ils rencontrent une épreuve, ce ne sont pas les principes du Fa qui leur viennent à l’esprit, mais les choses humaines. Ainsi, ils prennent les illusions pour des réalités, les admettent et les ressentent. Ils ne savent pas comment regarder à l’intérieur, alors ils se contentent de supporter passivement l’épreuve.
Abandonner l’attachement aux tribulations
Beaucoup de ceux qui aident les autres en proie à des tribulations ont souvent cette expérience, c’est-à-dire qu’ils sont affectés par le pratiquant, ne peuvent pas garder un esprit calme, pensent au pratiquant même pendant l’étude du Fa ou en faisant les exercices, et se sentent parfois très fatigués en émettant la pensée droite. Cela indique qu’ils ont développé un attachement et qu’ils doivent faire attention. S’ils ne peuvent pas s’adapter rapidement, non seulement ils auront des problèmes, mais l’attachement sera également utilisé dans une certaine mesure par les forces anciennes pour aggraver la persécution du pratiquant dans l’épreuve. Ainsi, au lieu d’aider, ils pourraient faire du mal. Ce n’est qu’en maintenant un état d’esprit rationnel et sobre, et en abandonnant l’attachement aux autres pratiquants, que nous pouvons vraiment les aider.
Il semble que ni les pratiquants dans l’épreuve ni les pratiquants qui aident ne puissent prendre au sérieux cette fausse apparence de maladie. La plupart des pratiquants qui ne surmontent pas l’épreuve l’ont prise tellement au sérieux qu’ils n’ont pas pu l’abandonner.
Maître a souvent dit :
« La cultivation dépend de soi, le gong dépend du maître. » (Première leçon, Zhuan Falun)
« Tout le processus de cultivation et de pratique d’une personne consiste à abandonner sans cesse ses attachements humains. » (Première leçon, Zhuan Falun)
« Si vous ne pouvez pas vous débarrasser de cette préoccupation et mettre de côté votre maladie, nous ne pourrons rien faire. » (Première leçon, Zhuan Falun)
L’épreuve n’est qu’une illusion, même si elle semble réelle.
Étudier le Fa avec un esprit calme est essentiel
La chose la plus importante dont a besoin un pratiquant qui subit des tribulations est un environnement permettant d’étudier tranquillement le Fa, et la capacité de se concentrer. Ce n’est qu’en étudiant le Fa avec un esprit calme que l’on peut s’immerger entièrement, corps et esprit, dans le Fa, que tous les mauvais facteurs peuvent être désintégrés et que la vie peut se sublimer dans le Fa. Je le sais par ma propre expérience d’avoir réussi des tests : à part manger et dormir, je passe tout mon temps, chaque jour, à lire, à écouter et à mémoriser le Fa, à émettre la pensée droite et à faire les exercices de Falun Dafa. Il est important de lire et de mémoriser intensivement le Fa, de lire tous les livres de Dafa et d’augmenter le temps et la fréquence à émettre la pensée droite.
Lorsque votre esprit est très calme et que vos pensées sont uniquement sur le Fa, vous vous trouverez vide, tout ce qui vous entoure semblera ne pas exister, et la soi-disant épreuve aura disparu.
Communiquer entre pratiquants
Le partage d’expériences entre compagnons de cultivation doit également servir à renforcer la pensée droite et à accroître la confiance de nos compagnons de cultivation pour surmonter les épreuves. Par conséquent, les pratiquants qui participent au partage doivent être clairs sur les principes du Fa et avoir de fortes pensées droites, sinon cela n’aura pas un bon effet.
La discussion ne doit pas être une simple formalité, et l’effet ne dépend pas du nombre de personnes qui y participent. Nous devons parfois prendre en compte l’environnement et l’endurance psychologique du compagnon de cultivation. Nous ne devons pas forcer ou utiliser la pensée magique, ce qui peut provoquer des malentendus ou mécontenter les membres de la famille du pratiquant.
Personnellement, je pense qu’il n’est pas approprié d’accueillir un grand nombre de personnes au domicile d’une personne, et qu’il est préférable de rendre visite à un compagnon de cultivation en respectant la vie quotidienne des gens et l’étiquette des visites de la société ordinaire. Ainsi, les membres de la famille qui ne pratiquent pas ne seront pas mécontents et nous pourrons profiter de la visite pour leur clarifier les faits.
Quant à la question de savoir s’il faut ou non aller à l’hôpital, qui est une question sensible pour certains membres de la famille, les pratiquants qui partagent leur expérience ne peuvent pas prendre la décision au nom du pratiquant en difficulté. Nous pouvons dire aux membres de la famille que Dafa ne dit pas que nous ne sommes pas autorisés à aller à l’hôpital, y aller ou non est une décision personnelle.
Pour les pratiquants qui sont allés à l’hôpital et qui portent un fardeau psychologique, il est encore plus nécessaire de communiquer du point de vue des principes du Fa, afin que la personne puisse se débarrasser du fardeau mental et renforcer sa confiance.
[Note de la rédaction : Le point de vue exprimé dans cet article représente la compréhension actuelle de son auteur et sert à être partagé parmi les pratiquants afin que nous puissions : « Comparer l’étude, comparer la cultivation. » (« Cultiver réellement », Hong Yin)]
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Traduit de l’anglais
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