[Célébration de la journée mondiale du Falun Dafa] Compassion et sagesse grâce au Falun Dafa

(Minghui.org) Après avoir commencé à pratiquer le Falun Dafa, j’ai acquis une meilleure santé et une plus grande sagesse, et j’ai pu également prendre avec légèreté la célébrité et les intérêts personnels. En vivant selon le principe de Dafa Authenticité-Bienveillance-Tolérance je suis devenue une personne plus prévenante, optimiste et résistante.

La sagesse de Dafa

J’assurais auparavant des formations pour des grands magasins sur des produits haut de gamme. Un designer qui travaillait depuis longtemps dans ce secteur a dit au directeur du magasin où l’on m’avait récemment demandé de donner une formation : « J’ai assisté à de nombreuses formations de ce genre, mais aucune n’était aussi bonne que celle d’Amy (en parlant de moi). Ses cours étaient intéressants, amusants et captivants. Elle est si bien informée ! Combien de diplômes a-t-elle ? »

Beaucoup d’autres personnes ont ressenti la même chose. Après avoir assisté à ma formation, un directeur commercial d’une marque de marchandises m’a dit : « C’est génial et très pratique. Les représentants commerciaux ne sont pas les seuls à devoir connaître ces choses, les cadres supérieurs et les propriétaires d’entreprise devraient également les connaître. »

Plus tard, dans un grand magasin, j’ai été à la fois directrice des ressources humaines et formatrice, et je formais les directeurs. L’un d’eux, un vice-président chargé du développement commercial, était expert financier. Il a dit à quelqu’un : « Je discute souvent avec des professeurs d’universités renommées et j’assiste à leurs conférences, mais le cours d’Amy est bien meilleur. Quel est son niveau d’études ? »

Il ne savait pas que je n’avais obtenu qu’un diplôme d’études secondaires et que je n’étais jamais allée à l’université. C’est le Falun Dafa qui m’a tellement appris et m’a donné la sagesse.

Dans ces deux cas, je n’avais pas de manuels de formation et personne ne m’a dit ce que je devais transmettre. J’ai compilé les documents en me basant sur ma propre expérience. Certaines grandes marques ont leurs propres équipes de marketing, et un directeur commercial m’a un jour demandé quel livre je suivais, car les retours sur ma formation de la part des représentants commerciaux étaient très positifs. Je lui ai répondu que je n’avais pas d’ouvrages de référence et que je rédigeais souvent moi-même les supports de formation.

En repensant à ces expériences, j’ai également été surprise. En fait, je lis souvent le site Minghui, où je peux trouver des histoires sur la culture traditionnelle chinoise, et j’ai acquis des connaissances en lisant différents magazines. Pour mes formations, je recherchais également des informations sur les sites de Zhengjian (Pureinsight) et The Epoch Times. C’est probablement la raison pour laquelle les participants trouvaient mes formations si impressionnantes.

Une fois, j’ai participé à un « stage d’entreprise » de cohésion d’équipe, où j’étais assistante. Les participants à ce stage de deux jours étaient des fonctionnaires, des dizaines, et ils étaient divisés en équipes de dix avec un animateur assigné pour chaque équipe.

Le premier jour, à la fin de la session du matin, mon équipe a déjeuné ensemble et les participants ont parlé de la formation. Les commentaires étaient négatifs et cela a failli devenir une agression personnelle. Les participants étaient arrogants et leurs remarques étaient dures. Seul l’un d’entre eux, Desi, s’est tu et m’a murmuré : « Ils se plaignent de l’instructeur, pas de vous. S’il vous plaît, ne le prenez pas personnellement. »

Je me suis demandé si je devais me disputer avec eux et leur parler ou si je devais gérer la situation d’une manière différente. Dans le passé, je n’aurais pas cédé, mais à ce moment-là, je me suis souvenue des enseignements du Falun Dafa :

« ...Si vous gardez toujours un cœur de compassion, un esprit paisible et serein, lorsque vous vous trouverez face à un problème, vous agirez bien, car vous aurez de l’espace pour le désamorcer. Vous avez toujours de la compassion et vous agissez avec bienveillance envers autrui ; quoi que vous fassiez, vous vous préoccupez des autres et chaque fois que vous avez un problème, vous vous demandez si les autres peuvent le supporter et si cela peut leur causer du tort ; alors dans ce cas, il n’y aura aucun problème. » (Quatrième Leçon, Zhuan Falun)

J’ai souri à tout le monde et j’ai senti que je comprenais ce qu’ils pensaient. J’ai dit : « Il est bon que nous puissions tous penser de façon critique. Lorsque j’ai suivi cet atelier la première fois, j’ai ressenti la même chose. Mais plus tard, j’ai réalisé que j’avais tort et que l’instructeur avait raison. Et si nous mettions nos propres pensées de côté pour l’instant et attendions de voir ce qui va se passer ? Nous y reviendrons plus tard. »

Après la fin des jeux de team building le lendemain matin, les membres de l’équipe ont réexaminé la session. Sam, l’un des participants, a dit à un autre membre senior : « Cette animatrice (Amy) est excellente. » Il s’est ensuite tourné vers moi et m’a dit : « Je ne suis pas d’accord avec tous vos points, mais je vous apprécie en tant que personne. »

Dans la trentaine, Sam était confiant et aimait défier l’autorité. Pendant certaines activités de formation, il faisait souvent le contraire de ce qu’on lui demandait de faire. Tous les autres tournaient à gauche comme on le leur demandait, mais lui tournait à droite ; tout le monde se couvrait les yeux alors qu’il poussait son bandeau sur le côté. Mais il s’est beaucoup amélioré au cours de la session et il était drôle.

À l’heure du déjeuner, Sam a dit à plusieurs de ses coéquipiers : « Amy est très douée pour gérer les situations difficiles. Je pense qu’elle est géniale. »

Desi a approuvé : « Elle est toujours très patiente pour faire passer le message. »

Une autre membre de l’équipe, Mary, a déclaré : « Elle est très gentille et aimable, comme un bodhisattva. »

Je n’étais pas comme cela dans le passé. C’est le Falun Dafa qui nous enseigne à respecter tout le monde. Après tout, nous venons du divin et nous ne pouvons y retourner qu’en étant bons.

Un esprit et un corps purs

Une fois, alors que je rencontrais un groupe de personnes pour la première fois, une femme au franc-parler m’a dit : « Vous devez avoir dans les 30 ans. » « J’ai bien plus de 30 ans », ai-je répondu.

« Environ 35 ans ? » a-t-elle demandé. « J’ai 50 ans », ai-je répondu.

« Allez ! Vous me prenez pour une idiote ? » Elle a roulé des yeux. « OK, c’est bon si vous ne voulez pas me le dire. »

Bien que j’aie plus de 50 ans, je ne le dis généralement pas aux gens, car beaucoup d’entre eux sont souvent très surpris. « Quel est votre secret pour rester jeune ? » a demandé quelqu’un.

Maître Li, le fondateur du Falun Dafa, a écrit :

« La cultivation simultanée de l’esprit et du corps peut donner une apparence très jeune, on ne fait pas du tout son âge. » « Juste pour plaisanter : les jeunes femmes font grand cas des soins de beauté, elles veulent une peau plus claire et plus belle. Je vous dis que si vous pratiquez réellement une méthode de cultivation simultanée de l’esprit et du corps, vous y parviendrez automatiquement, je vous assure que vous n’aurez plus besoin d’aller dans un salon de beauté. » (Cinquième Leçon, Zhuan Falun)

En regardant les spectacles de Shen Yun, j’ai une meilleure idée de la façon d’assortir les couleurs de mes vêtements. Mes vêtements sont simples et soignés, et il est arrivé que des gens disent que j’avais l’air pure et élégante.

Ma relation avec mes beaux-parents

J’ai fait déménager ma belle-mère de sa ville natale et je l’ai fait venir vivre avec nous. Au cours de ce processus, les conflits ont été nombreux et j’étais parfois en larmes. Elle semble modeste et impuissante, mais elle aime profiter des gens, surtout de ceux qui la traitent bien. De plus, elle se soucie beaucoup d’elle-même et de sa petite-fille, mais guère des autres.

La sœur de mon père avait l’habitude de dire : « Elle (ma belle-mère) est égoïste. Peu importe à quel point on la traite bien, elle ne sera pas reconnaissante. » De plus, ma belle-mère est très têtue et pense toujours que les autres sont méchants avec elle.

Une fois, elle est tombée chez son fils. Quand sa petite-fille est allée l’aider à se relever, elle a reproché à la fillette de l’avoir fait tomber. Surtout depuis un an ou deux, ma belle-mère est irritable, et ses autres belles-filles en sont tellement contrariées qu’elles doivent prendre des médicaments pour faire baisser leur tension artérielle.

Ce qui m’a le plus contrariée, c’est que ma belle-mère ne se souciait pas de la propreté. Je mettais des serviettes en papier et des mouchoirs en papier partout – sur le canapé, la table où nous prenions nos repas, les commodes et ainsi de suite – en espérant qu’elle les utilise. Mais elle n’a pas changé.

Étant donné que je me considère comme une pratiquante, je sais qu’il est essentiel de la traiter avec patience et gentillesse et que je dois l’aider au lieu de lui en vouloir. Lorsqu’elle veut s’essuyer la bouche, je lui donne un mouchoir en papier ; lorsqu’elle se nettoie les mains, je lui donne une serviette en papier ; lorsqu’elle va aux toilettes, je lui donne du papier hygiénique ; lorsqu’elle se lave les mains, je lui donne du désinfectant.

Ma tante m’a un jour pris la main et m’a dit : « Tu es si gentille avec elle. Pourquoi en demande-t-elle toujours plus ? » Je pense que je lui dois probablement quelque chose de ma vie antérieure. Si c’est le cas, je devrais me concentrer sur le paiement de mes dettes, quelle que soit son attitude.

J’apporte à ma belle-mère toute la nourriture qu’elle aime et les vêtements dont elle a besoin toute l’année. Elle est bien habillée et ses autres belles-filles sont très reconnaissantes. Je sais que tout cela n’est pas le fruit du hasard.

Une autre chose est la cuisine. Ni mon mari ni moi ne sommes de bons cuisiniers. De plus, nous sommes très occupés par notre travail, alors nous travaillons tard et nous achetons souvent des plats préparés. C’est comme ça aussi pour mon fils. Pour moi, c’est encore plus facile. Je peux simplement manger des petits pains à la vapeur avec des cornichons, ou des crêpes avec du concombre. Mais ma belle-mère aime la soupe et des choses comme les boulettes. Cela m’a obligé à lui préparer trois repas par jour, dont des boulettes et des brioches farcies à la vapeur.

Rétrospectivement, tous ces problèmes ont été pour moi des occasions de m’élever en tant que pratiquante, conformément au principe Authenticité-Bienveillance-Tolérance.

Une famille heureuse

Comme moi, mon mari et mon fils ont également bénéficié du Falun Dafa. Mon fils a trouvé un emploi avant même d’avoir obtenu son diplôme universitaire. Plus tard, il a postulé pour un poste dans une agence gouvernementale et a été embauché. Au travail, il est responsable et compétent et s’entend bien avec ses collègues. Ses responsables et ses collègues l’apprécient tous. Parfois, quand il voit que je ne fais pas bien dans ma cultivation, il me dit : « Maman, est-ce que tu suis le principe Authenticité-Bienveillance-Tolérance ? »

Mon mari est pédiatre en chef dans son hôpital. Lui aussi améliore constamment ses compétences professionnelles pour être meilleur. Contrairement à certains de ses collègues qui font les choses uniquement pour plaire aux hauts fonctionnaires, il s’attache à aider ses jeunes patients et à gagner leur confiance et celle de leurs parents. De nombreux hauts fonctionnaires sont fiers que leurs enfants soient pris en charge par mon mari. Mais il ne s’en préoccupe pas, car il se concentre sur l’aide qu’il apporte aux enfants.

C’est la manifestation en lui d’Authenticité-Bienveillance-Tolérance. Mon mari consacre également beaucoup de temps à la constitution d’équipes et à la formation de jeunes médecins. Beaucoup de ses patients l’ont remercié et lui ont dit : « Beaucoup de médecins se concentrent uniquement sur les revenus ; il est très rare de voir quelqu’un comme vous, vraiment attentif à ses patients. »

Pour ma part, j’essaie d’être une bonne personne. Une fois, on m’a donné un billet de 100 yuans qui s’est avéré être un faux. Une amie qui travaille dans une bijouterie m’a dit : « Ne t’inquiète pas pour ça. Il y a tous les jours beaucoup de transactions dans mon magasin. Je vais le dépenser pour toi. » Mais je ne voulais pas que quelqu’un d’autre soit victime, alors je l’ai simplement remerciée et j’ai détruit le billet.

Je sais que toutes ces choses n’auraient pas été possibles sans le Falun Dafa. Je suis si reconnaissante pour cette pratique et pour le fondateur de Dafa, Maître Li.

Traduit de l’anglais