(Minghui.org) Je suis une pratiquante de Falun Dafa de longue date et j’ai commencé à cultiver en 1996. Pendant plus de vingt ans d’étude des enseignements de Dafa, j’ai connu les joies d’obtenir le Fa et de sauver les êtres, et j’ai aussi eu le regret de parfois mal faire les choses qu’un disciple est censé faire. Aujourd’hui, j’aimerais partager quelques histoires sur certaines de mes expériences en aidant Maître Li, le fondateur et enseignant du Falun Dafa, à rectifier le Fa.
Le pouvoir d’une amulette de Falun Dafa
Protégé par les divinités
Mon neveu, Song, est couvreur à Pékin. Un jour d’été, en 2005, il était sur un toit en train de réceptionner du béton, des briques, etc., que deux collègues au sol déplaçaient vers le toit à l’aide d’une courroie métallique. Lorsque mon neveu n’a pas vu de béton frais monter pendant un certain temps, il a regardé en bas et a vu les deux hommes allongés sur le sol. Il les a appelés par leurs noms, mais aucun n’a répondu. Il a pensé qu’ils avaient dû être électrocutés.
Il est immédiatement descendu du toit et a constaté que les hommes étaient inconscients. Il les a traînés l’un après l’autre dans un endroit sûr, a appelé leur patron et les a emmenés à l’hôpital. Les gens sur place lui ont demandé : « Ils ont été électrocutés au sol parce qu’une ligne à haute tension est tombée sur la maison. Pourquoi n’avez-vous pas été touché ? » Il a répondu : « Je porte une amulette. J’ai la protection des divinités, c’est pourquoi je vais bien. » Tout en parlant, il a retiré l’amulette de son cou et l’a montrée à tout le monde.
Une guérison miraculeuse
Mon autre neveu, Jiang, travaillait également à Pékin. Alors qu’il effectuait des travaux de construction, il est tombé du septième étage et s’est cassé cinq côtes, dont l’une a transpercé l’un de ses poumons. Les médecins ont vu la radiographie de la blessure et ont dit : « Il ne survivra pas au choc. Ramenez-le à la maison et apportez-lui des soins palliatifs. » Les autres travailleurs migrants ont supplié le médecin en disant : « Nous venons tous du même village. Qu’allons-nous dire à sa famille si nous le ramenons à la maison comme ça ? S’il vous plaît, sauvez-le. » Les médecins ont accepté de le soigner uniquement en raison de leur demande sincère.
Après avoir passé sept jours en soins intensifs, le médecin a été surpris de constater que Jiang se réveillait, qu’il avait les yeux ouverts et qu’il regardait autour de lui. Le médecin a déclaré qu’en vingt ans de pratique médicale, il n’avait jamais vu une personne survivre à une blessure aussi grave. Jiang a dit : « Avez-vous vu que je portais une amulette ? J’ai la protection des divinités. » Le médecin a dit que son rétablissement était un miracle.
Jiang a été transféré dans un service de médecine générale pendant un mois, puis il est rentré chez lui. Il lui a fallu deux ans de repos à la maison pour se remettre de ses blessures. Après deux ans de convalescence, il a recommencé à faire des travaux physiques lourds. Il fait ce travail depuis plus de dix ans et sa santé reste bonne.
En 2006, je suis allée rendre visite à mon père dans ma ville natale. En me voyant, ma nièce m’a demandé : « As-tu des amulettes avec toi ? » Quand je lui ai dit que j’en avais, elle était enthousiaste et a dit : « S’il te plaît, donne-m’en une, je veux la porter. Je n’ai pas porté la mienne depuis plusieurs jours et je me sens mal à l’aise. » Je me suis sentie confuse, car je lui en avais déjà donné une. Elle a dit que c’est l’un de ses amis qui l’avait. Elle a dit qu’elle ne voulait pas la lui donner au début, mais l’ami allait à Pékin pour travailler et il voulait vraiment avoir une amulette avant de partir. Elle lui a donc donné la sienne. Il était heureux qu’elle la lui donne et a dit qu’il l’enviait d’avoir une tante qui pratique le Falun Dafa.
Clarifier la vérité pour sauver les êtres
Au cours de l’été 2019, je suis allée à la campagne pour clarifier la vérité. Dès que je suis entrée dans un village, j’ai entendu deux personnes parlant de l’enterrement après leur mort. Un agriculteur a dit qu’il aimerait être enterré sur le site de la tombe ancestrale de sa famille après sa mort. Une autre personne a dit qu’elle aimerait être incinérée après sa mort. Je lui ai demandé pourquoi il avait choisi d’être incinéré. Il a répondu qu’il était un chercheur à la retraite qui bénéficiait des avantages liés au poste d’adjoint au maire. Sa famille recevrait 100 000 yuans (environ 14 800 dollars ou 14 500 euros) après sa crémation.
Je lui ai demandé s’il se souvenait de la première phrase du Manifeste du parti communiste. Il m’a répondu que non. Je lui ai dit que c’était : « Un spectre hante l’Europe : le spectre du communisme. » Selon la culture traditionnelle chinoise, un spectre est un fantôme et un diable.
Il a dit : « Le parti communiste est le parti au pouvoir après tout. Le Falun Dafa peut-il le vaincre ? » Je lui ai répondu : « Le Falun Dafa ne se bat contre personne et il ne vaut pas la peine de vaincre le Parti. Le Falun Dafa concerne la cultivation et sauve les gens. » Il a dit qu’il avait déjà bien vécu et qu’il n’avait pas besoin d’être sauvé. Je lui ai demandé : « Osez-vous dire ce que vous pensez ? Aucun autre parti politique au monde n’exige que les gens y adhèrent ni ne leur permet pas de démissionner. En plus de cela, les membres du Parti communiste chinois (PCC) doivent jurer de se battre pour le Parti pour le reste de leur vie et même être prêts à donner leur vie pour lui. »
J’ai continué à l’encourager à réfléchir davantage à la véritable nature du PCC : « Vous avez traversé de nombreuses campagnes politiques du PCC. Le Parti a tué 80 millions de Chinois innocents au cours de ses mouvements politiques, sans parler des étudiants qui ont été tués lors du massacre de la place Tiananmen et des pratiquants de Falun Dafa qui ont été torturés à mort. Pensez-y, il est temps de se réveiller. »
Il a dit : « Donnez-moi un autre livre et je ferai des recherches sur le sujet chez moi. » Je lui ai répondu : « Vous n’aurez pas autant de temps pour faire des recherches. Si vous démissionnez du PCC, le Bouddha vous protégera ; si vous ne le faites pas, le diable vous contrôlera. Près de 400 millions de personnes se sont déjà retirées du PCC. Les intellectuels comme vous devraient être les plus intelligents et les plus à même de voir les problèmes. » Pendant que nous parlions, le fermier a réfléchi à son adhésion au Parti. Je l’ai encouragé à faire ce que son ami avait fait.
Il a répondu : « Je n’ai jamais pensé à démissionner du PCC de ma vie. Je ne sais vraiment pas quoi faire maintenant. » Je lui ai répondu : « Démissionnez. Les crimes commis par le PCC n’ont rien à voir avec vous ; si vous ne démissionnez pas, vous partagez les crimes que le PCC commet. » Il a dit : « Que pensez-vous que je doive faire ? » J’ai répondu : « Démissionnez du PCC et vivez pour vous. » Il a dit : « D’accord, je vais suivre ce que vous avez dit et démissionner, et je vivrai pour moi-même. Je vais lire ces livres. »
Survivre à une maladie en phase terminale
Un jour d’été en 2016, je suis sortie me promener après le dîner. J’ai vu devant moi un homme qui avait des difficultés à marcher. Il s’est avéré qu’il s’agissait de Damin, un homme originaire du même village que moi. J’ai demandé : « Que vous est-il arrivé, vous n’avez même pas encore 60 ans ? » Il a répondu : « Je suis en train de mourir. Les hôpitaux de Pékin ne peuvent pas traiter ma maladie, alors je me contente d’attendre que mon heure arrive. »
Il a dit qu’il ne voulait pas mourir, qu’il voulait vivre et qu’il en rêvait même. À l’époque, il était encore directeur d’usine et secrétaire. Je lui ai dit que je savais comment il pouvait survivre à la maladie s’il osait faire ce que je lui suggérais. Il a répondu : « J’oserai tout faire tant que je pourrai survivre. » Je lui ai dit de se retirer du PCC et il a immédiatement accepté. Je lui ai donné un pseudonyme et l’ai aidé à démissionner. Je lui ai dit de réciter : « Falun Dafa est bon. Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon. » Il a répété les mots à haute voix. Je lui ai dit : « Quand vous rentrez chez vous, continuez à réciter ces mots. »
Le lendemain, je l’ai vu faire du vélo pas très loin devant moi. J’étais sur mon vélo électrique. En me voyant, il est descendu de son vélo et m’a dit : « Vous m’avez guéri. » J’étais heureuse de le voir en bonne santé, et j’ai dit : « Je n’ai pas une si grande capacité. C’est Maître Li, le fondateur et enseignant du Falun Dafa, qui vous a sauvé. »
Sa famille, ses voisins et ses proches savaient tous qu’il était en phase terminale, et se demandaient comment il pouvait se rétablir si rapidement. Il leur a raconté que je lui avais suggéré de démissionner du PCC et de réciter « Falun Dafa est bon, Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon ». Son rétablissement a permis à plus de cent personnes de connaître la grandeur de Dafa, et la nature maléfique du PCC. Certaines personnes ont dit qu’elles réciteraient également les mêmes neuf mots.
Quelques jours plus tard, je suis allée dans ma ville natale pour assister au mariage de mon neveu. La sœur de Damin m’a vue et est venue immédiatement : « Je vous ai trouvée finalement, sinon je serais allée chez vous pour vous voir. S’il vous plaît, aidez ma famille à se retirer du PCC et de ses organisations pour la jeunesse. Mon mari est membre du PCC. Je suis membre de la Ligue pour la jeunesse et nos deux enfants sont membres des Jeunes Pionniers. »
C’est une bénédiction de se retirer du PCC
Le jour du mariage de mon neveu se trouvait être le 13 mai, qui est l’anniversaire de Maître Li et la Journée mondiale du Falun Dafa. J’avais prévu de me tenir sur les marches de la maison et de raconter aux participants au mariage les faits concernant le Falun Dafa, mais il a plu ce jour-là et les gens sont restés à l’intérieur de la maison. J’ai visité chaque pièce dans laquelle il y avait des gens et je leur ai raconté les faits concernant le PCC. Certains ont dit : « Aujourd’hui, c’est l’anniversaire de Maître Li Hongzhi et c’est une bénédiction de se retirer du PCC et de ses organisations. » Certains ont dit à haute voix : « Démissionner du PCC vous met en sécurité. Le Falun Dafa est bon. » L’ordinateur diffusait une vidéo racontant l’histoire d’une pierre trouvée à Guizhou sur laquelle apparaissent les mots « Le Parti communiste chinois va périr. » Les gens se sont retirés du PCC et de ses organisations pour la jeunesse et le processus s’est bien déroulé. De nombreuses personnes du village et d’autres villages, après avoir entendu les faits, ont également démissionné du PCC. La scène était très touchante.
À la fin, la seule personne qui ne s’est pas retirée du Parti était le secrétaire de la branche villageoise du PCC. Il aidait à recevoir les parents de la mariée. J’avais peur qu’il parte après le banquet, alors je l’ai attendu à la porte. Lorsqu’il est sorti et m’a vu, il s’est rapidement approché de moi. Je lui ai dit : « Je vous attends. » Je lui ai dit pourquoi il devait se retirer du PCC. J’ai expliqué que le PCC était un fantôme de l’Occident, qu’il avait tué 80 millions de Chinois innocents, j’ai décrit le fait qu’il avait commis des crimes odieux contre le monde, et j’ai expliqué qu’il avait dénigré le Falun Gong (également appelé Falun Dafa) et persécuté les pratiquants. Ses crimes ont causé de nombreuses catastrophes naturelles et humaines, dont le PCC est responsable, de sorte que les divinités vont le détruire.
Lorsque j’ai fini de parler, il a accepté de démissionner. J’ai dit : « Vous avez encore deux tâches à accomplir après votre démission. Premièrement, protéger les disciples de Dafa dans le village. Lorsque la police vient pour les arrêter, ne les conduisez pas chez les disciples de Dafa, faites de votre mieux pour les protéger. Vous aurez de la chance et des récompenses dans le futur, et les récompenses peuvent même être données à vos ancêtres. Deuxièmement, si des pratiquants de l’extérieur du village viennent aider les gens à se retirer du PCC ou distribuer des documents clarifiant la vérité, ne leur causez pas d’ennuis. Protégez-les. » Il m’a dit qu’il ferait ces choses et a dit qu’il comprenait ce que je lui avais dit.
Au total, vingt-huit personnes ont démissionné du PCC en deux heures ce jour-là.
Réciter les neuf mots de bon augure de Dafa
En 2015, l’un de mes proches, âgé de 60 ans, était travailleur migrant à Pékin. Il a raconté qu’il récitait à haute voix, « Falun Dafa est bon, Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon », pendant qu’il ramassait les vis sur le sol d’un chantier. Un jour, un tuyau de fer de cinq centimètres de diamètre et de quatre mètres de long est tombé verticalement de la zone de construction située au-dessus. Il est passé le long de sa tête et s’est enfoncé dans le sol. Il a dit : « Un incident dont Maître Li a parlé dans le livre Zhuan Falun s’est produit ici et ce que le Maître a dit est vrai. » À partir de ce moment-là, il a cru encore plus au Falun Dafa.
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Traduit de l’anglais
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