Utiliser nos pouvoirs divins pour éliminer la perversité

(Minghui.org) J’ai commencé à pratiquer le Falun Dafa en 1996 pour éliminer mes problèmes de santé. J’ai été témoin de nombreuses choses miraculeuses au fil des ans, mais je ne peux pas toutes les relater. Cependant, j’aimerais partager deux histoires personnelles concernant la validation de Fa.

Pendant les vacances du Nouvel An 2014, j’ai remarqué des panneaux sous forme de caricatures qui calomniaient le Falun Dafa dans la ville où je vivais. Ces panneaux pervers étaient affichés à onze endroits.

Peu de temps après, j’ai remarqué une autre grande caricature diffamatoire dans une ruelle près de chez moi. Elle couvrait tout le mur, qui faisait environ 8 m de long et 2 m de haut. Je me suis inquiété et j’ai pensé qu’il fallait immédiatement la recouvrir avec de la peinture.

Après une brève discussion avec mes compagnons de cultivation, nous avons décidé d’acheter de la peinture en bombe pour recouvrir toute la propagande de la région dès que possible.

Notre première cible a été le mur entourant une agence gouvernementale. C’était à l’intersection la plus fréquentée de la ville. Des gardes de la sécurité étaient en service vingt-quatre heures sur vingt-quatre. Nous avons commencé à émettre la pensée droite pour nettoyer le champ dimensionnel tout en demandant à Maître Li (le fondateur de Dafa) de nous guider. Après 22 heures, il y avait encore des gens qui marchaient dans la rue. Je me demandais ce que nous devions faire. Je pensais qu’il nous restait peu de temps. Un pratiquant a dit : « Utilisons notre pouvoir divin ! »

Je me suis dit : « Ne serait-ce pas merveilleux s’il se mettait tout à coup à pleuvoir ? » Nous avons demandé l’aide du Maître et avons commencé à dire : « Dieu du vent, Dieu de la pluie, Dieu du tonnerre, nous sommes les disciples de Maître Li Hongzhi. Mon Maître rectifie l’univers, et nous l’aidons à sauver les gens. Vous êtes également ici pour vous assimiler à Dafa. S’il vous plaît, aidez à ce qu’il commence à pleuvoir. » Pressant les deux mains ensemble devant nos poitrines, nous avons attendu patiemment.

Peu de temps après, il a commencé à pleuvoir. Les gens dans la rue se sont rapidement enfuis. Les gardes de la sécurité sont également allés à l’intérieur. Nous nous sommes immédiatement mis au travail et avons nettoyé le mur en peu de temps. La pluie a continué pendant que nous terminions le travail. Aucun d’entre nous n’avait de parapluie ou d’imperméable, et nous avions un long chemin à parcourir pour rentrer chez nous. J’ai pensé : « Ce serait bien si la pluie s’arrêtait maintenant ! » Étonnamment, la pluie s’est brusquement arrêtée. Nous étions tous si heureux de ce miracle.

Utilisant ce que nous avons appris lors de notre premier effort, nous avons continué à nettoyer les panneaux à d’autres endroits. Nous emportions des parapluies avec nous pendant la journée. Comme nous utilisions de la peinture en bombe pour recouvrir les caricatures, il fallait secouer les bombes de peinture. Cela produisait un bruit de frappement, particulièrement remarquable la nuit. Cependant, lorsque nous utilisions des parapluies sous une forte pluie, le bruit de la pluie sur nos parapluies masquait le bruit des billes. Selon nous, le Maître a fait ce miracle pour nous protéger.

Un autre miracle s’est produit lorsque nous avons décidé de nettoyer une caricature sous un pont de chemin de fer. La caricature faisait plus de 9 m de long et 2 m de haut. Comme il y avait trois restaurants très fréquentés à proximité, nous n’avons pas trouvé l’occasion de la nettoyer après plusieurs visites.

Nous avons réalisé qu’il semblait impossible d’accomplir notre mission sans impliquer les clients et le personnel du restaurant. J’ai donc décidé de leur clarifier la vérité. J’ai passé une journée entière à rendre visite aux trois propriétaires de restaurant. Je leur ai dit la vérité sur la persécution et les ai convaincus de démissionner du Parti communiste chinois et de ses organisations affiliées. Je leur ai également donné le livre des Neuf commentaires sur le Parti communiste et quelques DVD. Une famille a même demandé un exemplaire du Zhuan Falun.

J’ai dit à chaque restaurant : « Ce soir après minuit, j’ai l’intention de repeindre cette caricature calomnieuse. Êtes-vous d’accord ? » Ils ont tous accepté. Une personne a dit qu’elle soutiendrait mes efforts.

Je suis parti pour la mission après minuit. J’ai promis au Maître que j’achèverais ma mission avant l’aube. C’était le dernier projet et celui qui prenait le plus de temps.

Les employés du restaurant se sont portés volontaires pour surveiller les alentours lorsque j’appliquais la peinture en bombe et m’avertir si quelqu’un arrivait. Après avoir recouvert la caricature de peinture blanche, j’ai commencé à écrire « Falun Dafa est bon » et « Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon » avec de la peinture rouge. Ils sont alors devenus nerveux et sont rentrés.

Juste après avoir terminé d’écrire « Falun Dafa est bon », un étranger est venu me voir et m’a dit : « Comment osez-vous écrire ces mots ici ! Je vais appeler la police. » Il semblait être ivre. Avec un sourire, j’ai répondu : « Vous avez l’air d’une bonne personne, vous n’appellerez pas la police, car ce serait une mauvaise chose à faire. » Il a refusé d’écouter et a décroché son téléphone.

Je me suis tout à coup souvenu de ce que le Maître a dit :

« Par exemple, pour immobiliser un homme mauvais et pervers qui persécute les disciples de Dafa, il suffit de dire “Ding” [arrête-toi] ou de dire “reste -là debout sans bouger”, ou bien de montrer du doigt un groupe d’hommes mauvais, il est alors sûr qu’ils ne parviendront pas à bouger, après quoi il suffit de penser “Jie” [relâcher] pour lever cet état. » (« Qu’est-ce que les pouvoirs de gong », Points essentiels pour avancer avec diligence II)

Alors j’ai tendu un doigt vers cet homme et j’ai ordonné : « Tu restes là et tu ne bouges pas ! » Il s’est immédiatement immobilisé. Après que j’ai fini d’écrire : « Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon », l’homme était toujours debout.

J’ai ensuite rassemblé mes affaires et me suis préparé à partir sur mon vélo électrique. Avant de partir, je lui ai dit : « Il se fait tard, vous devriez rentrer chez vous. » Il s’est retourné et est parti lentement en direction du sud.

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Traduit de l’anglais