(Minghui.org) En l’honneur de la Journée internationale des droits de l’homme, les pratiquants de Falun Dafa ont organisé une manifestation pacifique le 12 décembre 2023 devant l’ambassade de Chine à Sofia pour sensibiliser les gens à la persécution par le Parti communiste chinois (PCC).

Depuis 1999, le PCC a mis en œuvre diverses méthodes brutales pour tenter de forcer les pratiquants de Falun Dafa (également connu sous le nom de Falun Gong) à renoncer à leur croyance. Il y a eu plus de 5000 cas confirmés de décès à cause de la persécution.

Les pratiquants sont venus de tout le pays jusqu’à Sofia, la capitale nationale, pour faire entendre leur voix. La population qui sympathisait avec les pratiquants en Chine les a soutenus. Les pratiquants ont installé des banderoles en face de l’ambassade afin qu’elles soient visibles par les employés de l’ambassade. Il est écrit en bulgare, anglais et chinois : « Arrêter les prélèvements forcés d’organes sur les pratiquants de Falun Gong en Chine », « SOS pour les victimes et arrêter les prélèvements forcés d’organes » et « Falun Dafa, une discipline méditative et spirituelle ».

Certains pratiquants faisaient les exercices de Falun Dafa sur le trottoir devant l’ambassade chinoise, tandis que d’autres distribuaient des dépliants d’information aux passants près de l’entrée principale de l’ambassade.

De nombreux conducteurs ont ralenti pour mieux voir ce que faisaient les pratiquants. Beaucoup de gens se sont arrêtés pour discuter avec les pratiquants, et certains ont même pris des photos avec les pratiquants en signe de solidarité.

Les pratiquants font les exercices de Falun Dafa et manifestent pacifiquement, devant l’ambassade chinoise à Sofia, contre la persécution par le PCC.

Les passants découvrent le Falun Dafa et la persécution.

La persécution par le PCC doit cesser

Aleksandra, une pratiquante, a parlé aux passants et à l’ambassade avec un haut-parleur. Elle a exhorté le PCC, qui utilise la torture, le lavage de cerveau et même les prélèvements forcés d’organes, à cesser sa répression brutale des pratiquants en Chine.

Elle a cité la Déclaration universelle des droits de l’homme, signée le 10 décembre 1948, qui interdit « l’arrestation, la détention ou l’exil arbitraires » et donne aux individus le droit à « la liberté de pensée, de conscience et de religion » ainsi qu’à « la liberté d’opinion et d’expression ».

« Le régime communiste chinois, qui s’oppose aux droits de l’homme, tente de détruire le Falun Dafa depuis plus de deux décennies. Il persécute les pratiquants de Falun Dafa et les torture dans ses efforts pour tenter de les “réformer” », a déclaré Aleksandra. « Et comme ils ont refusé de se réformer pendant vingt-quatre ans et continuent de croire au [Falun Dafa] plutôt qu’au Parti, le PCC les tue maintenant pour leurs organes, qu’il utilise dans ses opérations lucratives de transplantation dirigées par l’État. »

Un jeune Chinois qui sortait de l’ambassade a écouté la description du traitement inhumain des pratiquants en Chine, qui dure depuis vingt-quatre ans.

Il a été choqué d’entendre parler des atrocités perpétrées dans les centres de détention et de lavage de cerveau, et de la façon dont le PCC harcèle les pratiquants. Il ne pouvait pas croire que tout cela était possible.

Il a dit qu’il avait été endoctriné dès son plus jeune âge à croire qu’il « devrait être contre le Falun Gong ». Lorsqu’il a entendu parler des prélèvements forcés d’organes, il s’est exclamé : « Il ne s’agit pas seulement de mort ou de meurtre, mais de meurtres visant à détruire l’être profond et l’individu ! »

Une femme (à gauche) a pris une photo avec une pratiquante de Falun Gong pour montrer son soutien.

Lorsqu’une dame a accepté le dépliant qu’on lui présentait et a appris la raison de la manifestation pacifique, elle a souhaité du succès aux pratiquants.

Traduit de l’anglais