(Minghui.org) Je vis dans une ferme forestière. En 1996, j’ai vécu le plus grand drame de ma vie – le décès de deux membres de ma famille, ma mère et mon fils de 22 ans. Ma mère est morte de problèmes de santé, et mon fils est mort par noyade. Mon fils était une très bonne personne et était mon enfant préféré. On ne peut qu’imaginer à quel point il était difficile pour moi de faire face à ces malheurs. J’ai commencé à avoir des problèmes mentaux et j’étais souvent en transe. À cette époque, j’étais le directeur d’une usine de bois de construction. Tous les jours, au bureau, je fixais le coin du toit en pensant que mon fils allait bientôt revenir. Lorsque j’appelais mes collègues, le nom de mon fils sortait souvent de ma bouche à la place de leur nom. Personne n’osait en parler.
Ma poitrine, mes aisselles et ma gorge étaient toujours congestionnées. Je pouvais à peine manger, et je me cachais discrètement dans la chambre pour pleurer. Mais après tout, j’étais le pilier de la famille. Pour que ma famille puisse retrouver une vie normale, je faisais de mon mieux pour prétendre que je mangeais quelque chose et que j’allais bien. Cela m’a impacté mentalement et je ne pouvais plus lire.
Fin 1997, un pratiquant de Falun Dafa m’a demandé d’écouter et de lire le Fa. J’ai dit que je ne pouvais plus lire, alors il m’a apporté les conférences enregistrées du Fa, les livres de Dafa et la photo du Maître. Cette nuit-là, je n’arrivais pas à m’endormir, alors j’ai pris un livre de Dafa. Quand je l’ai ouvert, j’ai vu la photo du Maître, et soudain j’ai pu lire à nouveau. Puis, tous les endroits où je me sentais congestionné se sont soudainement ouverts, et j’ai senti que tout mon corps était transparent. Je n’avais jamais ressenti ce genre de confort et de bonheur dans ma vie. C’était incroyable.
Il était près de minuit. Comme je devais travailler le lendemain, je me suis vite endormi avec le livre sur ma poitrine. Lorsque je me suis réveillé, j’ai eu l’impression d’avoir dormi longtemps, mais lorsque j’ai regardé l’horloge, cela ne faisait que dix minutes. Néanmoins, je me sentais plein d’énergie. Le lendemain, j’ai apporté le livre de Dafa au bureau. Je l’ai lu tous les jours et je n’arrivais pas à le poser.
En conséquence, toutes mes maladies ont disparu, et j’ai jeté tous les médicaments que je prenais. J’ai soudain pu cesser de pleurer la perte de ma mère et de mon enfant. J’ai commencé une nouvelle vie, une vie qui était vraiment sans regret. J’ai très bien organisé mon temps. Je lisais beaucoup le Fa tous les jours, et pourtant je travaillais beaucoup avec peu d’efforts.
La protection et les attentions du Maître – tout est là pour le Fa
Notre usine transforme le bois, et j’en suis le directeur depuis sa création. J’ai donc été impliqué dans tout, depuis l’époque où il n’y avait rien, jusqu’à notre activité d’exportation. Nous avons commencé à exporter après que j’ai commencé à pratiquer Dafa. Ce qui est étonnant, c’est que je n’ai jamais eu besoin de chercher des acheteurs. Ce sont toujours eux qui m’ont approché. Ce qui est encore plus étonnant, c’est qu’à chaque fois que notre volume de production augmentait, c’était parce qu’un nouvel acheteur venait nous chercher. De la production de l’atelier, à l’achat de bois et d’autres matériaux, jusqu’à la vente de nos produits finis, je n’ai vraiment pas eu à m’inquiéter.
Un jour, je lisais le Fa dans le bureau, quand soudain une voix a résonné dans mes oreilles : « Les conteneurs sont arrivés ! » J’ai compris que c’était le Maître qui me donnait un indice. J’ai pris le téléphone et appelé le centre de marchandises de la gare. Bien sûr, ils ont dit que les conteneurs étaient arrivés et m’ont dit où ils étaient. À cette époque, il était très difficile de trouver des conteneurs. J’étais le seul à pouvoir les trouver. Après ma retraite, ils n’ont jamais été capables de trouver des conteneurs. Je savais que le Maître veillait sur moi, ce qui me permettait de consacrer plus de temps à la cultivation.
J’ai travaillé dans le secteur de l’exportation pendant dix ans et j’ai souvent eu l’occasion de voyager à l’étranger. Cependant, comme les frais de voyage étaient payés par l’usine, je ne voulais pas utiliser l’argent durement gagné par les travailleurs pour voyager. J’ai donc renoncé à de nombreuses occasions, comme des voyages au Japon, à Singapour, en Malaisie et en Thaïlande. Parfois, la province me donnait un quota pour aller à l’étranger, mais j’y renonçais également, ce qui permettait à la ferme forestière d’économiser beaucoup d’argent. Tout le monde le savait.
Pendant toutes ces années d’activité, les acheteurs ne nous ont pas dû un centime, et je n’ai pas dû un centime aux travailleurs. Je ne devais pas non plus un centime à l’entreprise, aux départements de l’industrie et du commerce, à l’administration fiscale ou aux départements du bois. Les travailleurs étaient tous heureux, et les cadres supérieurs étaient également très satisfaits. Ils m’ont rendu beaucoup d’honneurs, ce qui m’a valu une grande réputation dans la région. Tous ces facteurs ont constitué une bonne base pour que je puisse valider le Fa à l’avenir.
Le Maître a dit :
« Toutes les choses des temps immémoriaux sont venues pour la Loi »
(« Un spectacle », Hong Yin II)
À cette époque, quel que soit leur niveau de leadership, je racontais toujours à ceux qui visitaient l’usine comment Dafa m’avait sauvé la vie, et ils étaient tous d’accord. Une fois, un dirigeant est venu dans notre usine et a dit : « On se sent tellement ouvert et large d’esprit ici, que je n’ai pas envie de partir. » Une autre fois, pendant le Nouvel An chinois, un batteur pour un spectacle s’est assis dans mon bureau pendant un moment et a dit : « Directeur, c’est si confortable de s’asseoir ici. » Je savais que c’était parce que je pratique Dafa, et que les êtres peuvent ressentir le grand champ d’énergie.
J’ai également affiché les dépliants et les banderoles de Dafa partout dans notre usine, comme sur les machines, les portes, les fenêtres, les murs, les poteaux téléphoniques, etc. Tous les travailleurs savaient que Dafa est bon. Après que le Parti communiste chinois (PCC) a commencé à persécuter Dafa, quelqu’un est venu enquêter pour savoir d’où venaient ces banderoles, et tous les travailleurs m’ont protégé en disant qu’ils n’en savaient rien.
J’ai été directeur de l’usine pendant plusieurs décennies. Pendant mon mandat, peu importe qu’il fasse froid ou qu’il y ait une tempête, il n’y a pas eu un seul accident où les travailleurs ont été blessés. Le Maître me protège depuis longtemps.
Je n’étais pas avide et je n’ai jamais accepté de pots-de-vin. Je me souciais des travailleurs, et j’ai personnellement recherché des assurances et les ai fournies aux travailleurs de différentes manières. À l’époque, ils n’étaient pas considérés comme des employés officiels de l’État, et c’était donc à l’usine de payer ou non leur assurance. À l’époque, il n’y avait pas d’assurance pour les personnes âgées, mais j’ai pris l’initiative de m’assurer qu’ils avaient tous ce dont ils avaient besoin. Par conséquent, lorsqu’ils ont pris leur retraite à l’âge de 50 ans, ils ont pu recevoir jusqu’à 7000 yuans d’assurance. C’était beaucoup d’argent à l’époque, car le salaire mensuel d’un ouvrier n’était alors que de 100 ou 200 yuans. Je payais également leur pension chaque mois, de sorte que lorsqu’ils prenaient leur retraite, leur pension était presque égale à leur salaire régulier. Beaucoup de gens m’appréciaient vraiment. Maintenant, je comprends que tout cela avait pour but de poser les bases pour que je puisse sauver des gens à l’avenir. Grâce à la gratitude et à la confiance de tous envers moi, il est devenu beaucoup plus facile de leur clarifier la vérité.
Le Maître m’a protégé pendant la persécution
Le régime de Jiang Zemin a commencé à persécuter ouvertement le Falun Gong (également appelé Falun Dafa) en juillet 1999. Nous avons dû faire face à un environnement de cultivation différent. En 2000, le poste de police avait peur que j’aille à Pékin pour faire appel, et deux agents se sont assis dans mon bureau pour me surveiller tous les jours. Je leur ai simplement fait lire des livres de Dafa. Cette écrasante propagande perverse et cette persécution n’ont pas du tout fait vaciller ma ferme croyance dans Dafa. J’ai brisé toutes les résistances et interférences, et j’ai insisté pour clarifier la vérité et valider le Fa de différentes manières.
Fin 2000, j’ai découvert que la ferme forestière voisine n’avait pas reçu de documents d’information clarifiant la vérité sur Dafa. J’ai appelé un taxi pour y emmener des compagnons de cultivation afin de distribuer ces documents. Comme nous n’y étions jamais allés, nous ne savions rien de la situation locale. Nous nous sommes divisés en deux groupes. Notre groupe est parti du côté nord de la montagne, et l’autre groupe est parti du côté sud. Le groupe du sud a clarifié la vérité à quelqu’un qui nous a ensuite signalés à la police. Mon groupe n’était pas au courant, et nous avons continué comme si de rien n’était. Le soir, nous sommes arrivés dans la cour du poste de police. Les policiers nous recherchaient, et ils nous ont immédiatement détenus dès que nous sommes arrivés à la porte. J’étais calme dans mon cœur et je n’avais pas peur. J’ai vu le Falun tourner au plafond, et j’ai dit au Maître dans mon cœur : Maître, ne vous inquiétez pas, nous allons certainement bien faire.
Les policiers ont commencé à prendre des notes et à passer des coups de fil à leurs supérieurs. Je ne faisais que leur clarifier la vérité. Ils nous ont laissés rentrer chez nous sans condition vers minuit. Quelques jours plus tard, le directeur et le directeur adjoint du Département de police du Bureau des forêts sont venus dans ma ferme forestière et m’ont parlé. Au même moment, le chef du poste de police a emmené ses agents pour saccager ma maison. Mais il s’est avéré que sur leur chemin vers ma maison, il s’est soudainement mis à pleuvoir abondamment, alors que la journée était à l’origine très ensoleillée. Le chef du poste de police a été choqué et a dit : « Je ne peux pas aller contre la volonté du ciel. » Après être arrivés chez moi, ils ont regardé tranquillement autour d’eux.
Plus tard, lorsque le directeur du Département de police m’a parlé dans mon bureau, j’ai demandé au Maître dans mon cœur de m’aider. Le directeur a dit : « Vous avez très bien réussi toutes ces années. Vous êtes célèbre dans la province, et vous avez reçu toutes sortes d’honneurs. » J’ai dit : « J’ai bien réussi parce que je suis le principe Authenticité-Bienveillance-Tolérance pour être une bonne personne. Pourquoi arrêtez-vous les bonnes personnes ? Le PCC est-il devenu maléfique ? Vous êtes également coupable d’être utilisé par les gens pervers pour persécuter les bonnes personnes ! » Dès que j’ai prononcé ces mots, le directeur a presque perdu son souffle. Il n’arrêtait pas de tousser et ne pouvait plus parler du tout, et il a dû se contenter d’un geste pour me demander de partir. Ainsi, la persécution apparemment menaçante a été désintégrée.
Une autre fois, un chauffeur du Bureau des forêts m’a demandé de l’écorce de bouleau. J’ai répondu : « Nous n’en avons pas pour le moment, mais je vous en donnerai dans quelques jours. » Je lui ai ensuite donné une carte sur laquelle était imprimé « Authenticité-Bienveillance-Tolérance ». Tôt le lendemain matin, deux véhicules du Département de police sont arrivés. Les policiers de l’un des véhicules ont saccagé ma maison, tandis que les policiers de l’autre véhicule ont fouillé mon bureau. Ils ont pris une photo du Maître dans mon bureau et m’ont emmené au Département de police. Le secrétaire de la Commission des affaires politiques et juridiques y avait été transféré seulement deux jours auparavant. Il m’a parlé très poliment et n’a rien dit de mal sur le Maître et Dafa. Après la conversation, le directeur du Département de police lui a demandé ce qu’il devait faire. Le secrétaire a dit de me laisser rentrer chez moi. Lorsque j’ai été arrêté, j’ai apporté avec moi une brosse à dents et des produits de première nécessité, mais j’ai continué à émettre la pensée droite pour le directeur et les autres. En conséquence, le Maître m’a une fois de plus protégé dans cette épreuve, et je suis rentré chez moi sain et sauf. Ma gratitude envers le Maître était au-delà des mots.
C’était comme le Maître a dit :
« Je suis enraciné au plus profond de l’univers ; si quelqu’un était capable de s’en prendre à vous, c’est à moi qu’il s’en prendrait. » (Première Leçon, Zhuan Falun)
Tant que nous suivons les critères du Fa, le Maître et Dafa sont avec nous, et la perversité n’est vraiment rien et ne peut pas du tout émouvoir les pratiquants de Dafa.
En raison de mon travail, j’ai souvent rencontré de nombreux dirigeants de haut niveau et je leur ai toujours clarifié la vérité. Le secrétaire du PCC de la ferme forestière est une bonne personne. Il a accepté la vérité et m’a souvent demandé les nouveaux écrits du Maître. Aucun autre pratiquant de la ferme forestière n’a été arrêté. J’ai également clarifié la vérité aux dirigeants du poste de police local et d’autres lieux de travail et je les ai aidés à se retirer du PCC et de ses organisations pour la jeunesse. Je suis souvent allé au poste de police le dimanche pour leur apporter des documents de Dafa, et ils ne les ont pas refusés. Je les ai également emmenés au domicile du chef du poste de police. Ils ont tous compris la vérité sur la persécution.
La ferme forestière où je vis a changé de dirigeants trois ou quatre fois, et je me suis rendu dans leurs bureaux pour clarifier la vérité. La plupart d’entre eux ont accepté de se retirer des organisations du PCC. Les cas de persécution dans notre ferme forestière ont été très rares. Une fois, une pratiquante âgée a été emmenée au poste de police après avoir distribué des documents à la porte de l’école. Après l’avoir appris, je suis allé parler avec le président de la ferme forestière. Le président m’a dit : « Ne vous inquiétez pas. Elle sera libérée très bientôt. » Il m’a également dit : « Peu importe qui vient vous chercher à l’avenir, ne les rencontrez pas à moins que je ne le sache. » Lorsqu’une personne du Bureau 610 local est venue me voir et a dit que quelqu’un m’avait signalé, je lui ai clarifié la vérité. Il m’a remercié et est parti.
La protection du Maître lorsque je sauve les êtres
Le Maître a dit :
« […] pendant la validation de la Loi, parmi les choses que les disciples de Dafa doivent faire, la plus importante est de sauver les êtres [...] » (« Enseignement du Fa à la Conférence de Loi à New York 2007 », Enseignement du Fa dans les conférences VIII)
Je garde les paroles du Maître à l’esprit, et je n’oublie jamais de valider Dafa et de sauver les êtres partout où je vais. Avant de prendre ma retraite, j’ai aidé tout le monde à se retirer des organisations du PCC. Après ma retraite, je suis sorti pour clarifier la vérité aux gens face à face. Ma famille vivait dans un petit faubourg. J’y ai distribué des documents et clarifié la vérité à chaque foyer. Avec l’arrangement du Maître, j’ai ensuite déménagé dans un autre endroit, où je suis sorti tous les jours pour clarifier la vérité. Chaque semaine, j’aidais 80 à 100 personnes à se retirer des organisations du PCC.
Quand je faisais mes courses au marché, j’utilisais toujours des billets avec des messages de Dafa imprimés dessus. Un jour, un homme d’une quarantaine d’années m’a demandé d’échanger un peu de cet argent avec lui. Quand je lui ai apporté une pile de ces billets le lendemain, il a tenu l’argent avec ses deux mains et a crié : « Falun Dafa est bon ! »
Je distribuais aussi des DVD de Shen Yun au marché. Un jour, j’ai clarifié la vérité à un vendeur de légumes et lui ai donné un DVD de Shen Yun. Une autre personne a dit : « Comment osez-vous distribuer cela ouvertement ? Allons-y. Je vais vous emmener au poste de police ! » J’ai dit : « Super ! Je voulais y aller, mais je ne l’ai pas trouvé. Dépêchez-vous de m’y conduire. » Il a eu peur et est parti.
Il y a beaucoup de policiers de la circulation sur les routes des grandes villes. Je n’avais aucun sentiment négatif à leur égard, et je leur ai toujours clarifié la vérité avec gentillesse. Ils l’ont tous compris, se sont retirés du PCC et m’ont remercié. Ils m’ont également demandé de porter attention à la sécurité.
Une fois, j’ai rencontré un homme qui ressemblait à un agent de police en civil. Il m’a dit poliment : « Pouvez-vous me donner un DVD ? » J’ai dit bien sûr. Il l’a soigneusement rangé. Une autre fois, un policier m’a demandé de lui enseigner les exercices à son domicile. Je ne me suis pas senti à l’aise, alors je n’y suis pas allé. Je ne force pas quand je ne me sens pas en sécurité pour quelque chose, et je ne fais pas les choses pour me faire valoir, car en réalité tout est fait par le Maître.
Il y avait plus d’une douzaine de vendeurs de légumes de la campagne qui venaient au marché pour vendre des légumes dans leurs véhicules. Je leur ai souvent clarifié la vérité. Ils ne discutaient jamais avec moi, mais n’exprimaient pas non plus leurs positions. Un jour, j’ai vu à travers mon œil céleste que plusieurs disques tournaient sur le mur. J’ai compris que le Maître me donnait un indice, alors j’ai apporté quelques DVD au marché. Tous ces vendeurs de légumes me connaissaient et ils m’ont dit : « Ils ne nous ont pas prévenus que nous n’étions pas autorisés à vendre aujourd’hui. Qui va payer nos frais d’essence et de légumes ?! Mais qui se soucie de nous de toute façon ?! » Ils ont tous accepté avec joie le DVD. Je savais que le Maître utilisait cette opportunité et avait arrangé les choses pour que je les sauve.
Il y a des endroits où beaucoup de gens attendent qu’on leur assigne un travail. Lorsqu’ils me voient distribuer des DVD, ils font la queue pour en obtenir un. Parfois, les personnes qui se trouvent à la fin de la file ont peur de ne pas en obtenir un, et elles essaient de venir à l’avant. Le côté conscient des êtres attend vraiment d’être sauvé.
Je sors tous les jours pour clarifier la vérité, et j’ai pratiquement couvert tous les endroits proches. Un jour, sur le mur de ma chambre, j’ai soudain vu de mon œil céleste un homme avec une charrette à âne. J’ai compris que le Maître me donnait un indice pour aller à la campagne. J’ai pris des documents, mais je ne savais pas exactement où aller. Je suis donc monté dans un bus et j’ai dit que je descendrais quand nous arriverions dans un village. Lorsque je suis descendu du bus, j’ai clarifié la vérité dans le village à de nombreuses personnes. J’ai parlé à un chrétien qui a pleuré après avoir compris les faits.
Je ne savais pas comment rentrer chez moi, mais une petite voiture est arrivée vers midi. Je leur ai dit bonjour et leur ai demandé où ils allaient. Ils m’ont conduit à la gare, et je les ai aidés à se retirer du PCC. Je les ai payés pour le trajet. Ils ne voulaient pas prendre l’argent, mais j’ai insisté. C’est le Maître qui a organisé cela pour que je puisse aller là-bas et revenir. Je me sens si chanceux d’avoir le Maître !
Un matin, je suis allé dans un autre village en bus. Il était presque 14 h quand j’ai fini de distribuer le matériel. Je suis alors retourné à l’endroit où j’étais descendu du bus, et j’ai attendu le bus à cet endroit. Cependant, je ne savais pas que ce n’était pas la gare routière, où je devais aller pour prendre le bus et retourner en ville. Lorsque j’ai clarifié la vérité dans le village ce matin-là, j’ai rencontré un enfant qui m’a demandé de l’aider à se retirer des Jeunes Pionniers du PCC. Je lui ai demandé s’il comprenait ce que c’était, et il m’a répondu que oui, pour m’avoir entendu parler aux autres. Il m’a vu attendre là vers 15 h et m’a dit que ce n’était pas le bon endroit. Il a marché avec moi pendant un autre kilomètre pour arriver au bon endroit, puis il est retourné au village. Je savais que le Maître avait fait en sorte que l’enfant m’aide à rentrer chez moi. Merci, Maître, de toujours prendre soin de moi !
Le Maître a dit :
Il vient en portant la vérité parfaite selon son gré
Va aux quatre coins du monde avec une aisance insouciante
Le principe de Loi se répand partout dans la Voie de ce monde
Pleinement chargé d’êtres, le bateau de la Loi lève la voile
(« Tathagata », Hong Yin II)
Portant les principes du Fa du Maître avec moi, je marche toujours joyeusement et je clarifie la vérité sur le Falun Dafa chaque fois que je rencontre quelqu’un. Je sais que toutes ces personnes ont des affinités prédestinées avec moi, et qu’elles auront une chance d’être sauvées lorsque je leur parlerai. Cependant, ce n’est pas facile, mais je prends les difficultés comme de la joie, car mon cœur est attaché à tous les êtres.
Je ne ressens pas de peur lorsque je clarifie la vérité, et je rencontre donc très peu d’obstacles. Mais j’ai d’autres difficultés. Bien que j’aie été manager pendant la majeure partie de ma vie, je n’ai pas reçu beaucoup d’éducation. Il m’a donc été très difficile d’apprendre à utiliser un ordinateur, par exemple. Lorsque les Neuf Commentaires sur le Parti communiste ont été publiés, j’ai demandé à des compagnons de cultivation d’en faire 500 exemplaires pour moi. Tout le monde était prêt à m’aider, et j’ai fini par en obtenir 1500 exemplaires. Je n’étais pas inquiet de les distribuer tous, mais où les stocker ? Le Maître m’a alors aidé à nouveau, et mon neveu a proposé de les garder dans son entrepôt. Ils y ont été stockés en toute sécurité jusqu’à ce que je les distribue. En conséquence, mon neveu a été béni et son entreprise a continué à se développer.
Il y a quelques années, mon fils a eu une maladie intestinale. Je n’en ai pas été ému ; au contraire, j’ai émis une forte pensée droite pour démanteler la persécution de ma famille par les forces anciennes. Après avoir émis une forte pensée droite pendant trois jours consécutifs, un tourbillon a soudainement soufflé le couvercle en verre de mon pot à sauce dans les airs, puis sur le sol où il s’est brisé. Je savais que les facteurs pervers avaient été désintégrés. Peu après, mon fils s’est rétabli. Merci, Maître, pour votre protection !
J’avais connu de grandes douleurs et souffrances dans le passé. C’est le Maître qui m’a donné une toute nouvelle vie, et c’est grâce au Maître et à Dafa que je vis maintenant une vie sans regret ! Tout dans ce monde va et vient, et seul ce que Dafa nous donne sera glorieux pour toujours ! Merci, Maître ! Merci, Dafa ! En ce dernier moment de la rectification de Fa du cosmos, je vais bien me cultiver et sauver les êtres avec diligence !
Traduit de l’anglais
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