(Minghui.org) J’ai 73 ans et j’ai commencé à pratiquer le Falun Dafa en 2004. En me rappelant mon chemin de cultivation, il y a beaucoup de choses que je pourrais dire. Le Maître bienveillant m’a protégée. Il m’est difficile d’exprimer ma gratitude envers le Maître avec des mots.
Heureuse d’avoir obtenu Dafa à la fin de ma vie
J’ai grandi à la campagne. Comme je devais travailler très dur dans les champs, j’ai développé toutes sortes de maladies. Quand mon fils a vu que ma santé se détériorait, il m’a demandé d’aller vivre avec lui en ville, afin qu’il puisse prendre soin de moi. Mais mes maladies ont continué à s’aggraver. Mon poids est passé de 60 kg à 36 kg, je ne voulais plus vivre. À trois reprises, j’ai tenté de me suicider sans succès. Juste avant que ma vie ne soit sur le point de se terminer, j’ai découvert le Falun Dafa.
La persécution du Falun Gong (également appelé Falun Dafa) par le Parti communiste chinois (PCC) a commencé en juillet 1999. J’ai épousé un retraité en 2004. Il pratiquait le Falun Dafa, mais à cause de la persécution, il lisait les livres du Falun Dafa, les nouveaux jingwen du Maître et faisait les exercices à la maison en cachette. Lorsqu’il pratiquait les exercices, je me tenais derrière lui pour regarder ce qu’il faisait et j’essayais de copier ses mouvements.
Un jour, je suis allée dans la cuisine et une voix m’a dit : « Tu as commencé la cultivation véritable. » Quand je me suis retournée, il n’y avait personne. À cette époque, je ne savais pas ce qu’était la cultivation, je me sentais seulement reconnaissante envers le Maître d’avoir enlevé mes maladies et de m’avoir donné une nouvelle vie. Plus tard, quand j’ai commencé à lire le Zhuan Falun, j’ai compris que le Maître m’éveillait.
Mon mari était très autoritaire. Il s’occupait de l’aspect financier de notre foyer et ne me donnait pas d’argent. Je pensais que c’était injuste. À partir du moment où j’ai commencé à cultiver, je ne me suis plus disputée avec lui. Mais comme je n’arrivais pas à lâcher prise, je pleurais durant la nuit. Quand je me suis levée un matin, un bol de riz dans une assiette en bois m’avait été laissé, et une voix a dit : « Tant que tu as quelque chose à manger, ça va. » J’ai pleuré. Le Maître savait tout ce que j’avais dans le cœur. Le Maître s’inquiétait encore à cause de moi.
À partir de ce moment-là, je ne me suis plus souciée de l’argent et j’ai fait tout ce que j’étais censée faire en tant que pratiquante.
Toute ma famille a bénéficié de connaître la vérité sur Dafa
J’ai trois fils. Un jour, alors qu’il était âgé de huit ans, le garçon de mon fils ainé a eu une forte fièvre et a commencé à tousser. Tout ce qu’il mangeait, il le vomissait, y compris les médicaments. En conséquence, il n’a pas mangé pendant trois jours. Lorsque mon fils et ma belle-fille sont partis travailler, il s’est dit : « Je ne vais plus prendre de médicaments, je vais aller chez ma grand-mère. » Puis il a pris un taxi pour venir chez moi.
Quand il était petit, je le gardais souvent. Quand j’étudiais le Fa, il s’asseyait près de moi pour écouter ; quand je méditais, il m’imitait. Cependant, depuis qu’il avait commencé l’école, il était rarement venu chez moi. Cette fois, dès qu’il est entré chez moi, il a dit : « Grand-mère, s’il te plaît, mets-moi vite ton appareil audio. Je veux écouter le Fa. Dès qu’il a écouté les conférences du Maître, mon fils a appelé en disant : « Maman, est-ce que mon fils est chez toi ? Donne-lui ses médicaments, s’il te plaît. S’il te plaît, va lui en acheter. »
Après avoir raccroché, j’ai demandé à mon petit-fils : « Veux-tu prendre des médicaments ou écouter les conférences du Maître ? » Il a rapidement répondu : « Je ne veux pas de médicaments, je veux écouter le Fa ! » Pendant qu’il écoutait, il s’est endormi. Après s’être réveillé, il a bondi d’un seul coup en disant : « Grand-mère, je vais bien maintenant. Je ne ressens aucun inconfort. Je veux manger parce que j’ai faim. » Je lui ai rapidement fait son plat préféré. Il était très heureux et a dit : « C’est tellement délicieux ! »
Je lui ai demandé : « Comment as-tu fait pour aller mieux ? » Il a répondu : « Je me suis élevé en écoutant les conférences du Maître. Le Maître a pris soin de moi. » J’ai dit : « Quand tu rentres à la maison, oseras-tu dire à tes parents que tu n’as pris aucun médicament, mais plutôt, que tu as guéri en écoutant le Fa du Maître ? Que c’est le Maître qui s’est occupé de toi ? » Il a dit : « Bien sûr ! » Après être retourné chez lui, il l’a effectivement dit, ce qui a rendu ses parents très heureux. Après cela, toute la famille a cru davantage en Dafa.
Mon plus jeune fils vivait avec moi. Une nuit, vers minuit, une douleur l’a réveillé. Il s’est mis à arpenter sa chambre, les mains posées sur le ventre. Je lui ai demandé ce qui n’allait pas. Il m’a parlé de ses douleurs au ventre. Quand j’ai regardé son ventre, j’ai remarqué qu’il était gonflé. En fait, il avait le ventre aussi gros qu’un ballon. J’ai dit : « As-tu oublié de réciter les phrases — Falun Dafa est bon ! Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon ! L’as-tu fait ? » Après les avoir criées trois fois, il a commencé à avoir des flatulences. Bientôt, son ventre est redevenu normal. Il a dit avec enthousiasme : « Maman, je vais bien maintenant. La douleur a disparu. Dafa est vraiment miraculeux. J’ai récupéré plus vite qu’en prenant des médicaments ou en ayant des injections. Maître Li m’a sauvé. Je suis très reconnaissant envers le Maître ! »
Je suis allée dans ma ville natale pour rendre visite à ma sœur en mai 2016. J’ai apporté beaucoup de documents d’information, des DVD et un exemplaire du Zhuan Falun. Après être arrivée chez ma sœur, il y avait beaucoup de monde dans la maison. Ma nièce aînée a dit : « Ils sont tous venus voir ma mère. Quand ils ont su que tu allais venir aujourd’hui, ils sont tous venus. » Une fois les tables dressées et tout le monde assis, ils ont levé un toast et ont dit : « Santé à notre tante ! Tante, tu as travaillé très dur ! » J’ai rapidement répondu : « Santé à vous tous ! Aujourd’hui, nous avons l’occasion de nous réunir grâce à notre relation prédestinée. Je souhaiterais dire quelque chose à tout le monde : en démissionnant du Parti communiste chinois (PCC), vous assurerez votre sécurité et échapperez à la calamité ! »
J’ai ensuite poursuivi : « N’avons-nous pas tous porté le foulard rouge quand nous étions jeunes ? Nous avons rejoint soit la Ligue de la jeunesse, soit le Parti, nous avons levé le poing pour faire un serment au PCC dégénéré. Nous avons juré de donner nos vies au PCC et de nous y dévouer. Depuis lors, nous sommes considérés comme l’un de ses éléments et nous sommes devenus son bouc émissaire. Pour toutes les mauvaises actions qu’il a commises, nous devons assumer une part de responsabilité. Maintenant que le Ciel nous donne une chance, la seule façon pour nous de nous protéger est de déclarer que nous démissionnons du PCC et de ses organisations pour la jeunesse. Le but est de rendre nul et non avenu le serment pervers que nous avons prêté à l’époque, afin que nous puissions assurer notre sécurité au milieu des calamités qui se produiront dans le processus d’élimination du PCC. Lorsque nous démissionnons du Parti, cela n’a rien à voir avec la politique, mais c’est plutôt pour sauver les êtres. S’il vous plaît, rappelez-vous la phrase Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon. Si vous la récitez souvent, cela vous aidera à rester en bonne santé et à éviter ces calamités. Comprenez-vous ce que je dis ? »
Ils ont tous dit : « Bien sûr que oui. Bien dit ! Nous ne pouvons pas suivre le PCC et devenir ses victimes. Nous allons le faire maintenant. » Les 17 personnes présentes ont alors décidé de quitter les organisations du PCC. Je me suis sentie vraiment heureuse pour eux. C’est le Maître qui a fait cet arrangement pour qu’ils viennent apprendre la vérité et être sauvés.
Le fils de ma nièce avait trois ans. Comme il avait mangé trop de viande, vers minuit il s’est mis à pleurer à cause de douleurs au ventre. Alors ma nièce lui a massé l’estomac et lui a mis un patch. Mais il a continué de pleurer. Ma nièce a dit : « Avant, dès que je lui mettais un patch, la douleur passait. Comment se fait-il que ça ne marche pas aujourd’hui ? » Alors elle a pris son fils dans ses bras et s’est mise à faire les cent pas. Son fils pleurait et transpirait énormément. Tout le monde dans la maison s’est levé pour aller le voir.
J’ai dit : « Et si tu me laissais m’occuper de lui ? » Dès que j’ai dit cela, l’enfant est venu vers moi immédiatement. Je l’ai pris dans mes bras, je lui ai tapoté le dos et j’ai dit : « Répète après moi : “Falun Dafa est bon ! Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon !” Allez-y tout le monde, répétez ! » Puis, une fois que tout le monde l’a dit trois fois, l’enfant a cessé de pleurer. Ma nièce a dit : « Viens dans mes bras. Mamie va être fatiguée. » Mais il ne voulait pas aller avec sa mère, il a dit : « Je veux seulement être dans les bras de Mamie. »
Ma nièce a dit : « Tante, je n’ai pas réellement cru ce que tu m’as dit. Même si j’ai démissionné du Parti, ce n’était pas du fond du cœur, mais plutôt pour te faire plaisir. Cette fois, j’ai vraiment été témoin de la beauté du Falun Dafa ! C’est vraiment sauver les gens ! C’est tellement miraculeux ! Comment puis-je te remercier ? » J’ai répondu : « Vous devriez remercier notre Maître. C’est notre Maître qui sauve les gens. » Comme tout le monde avait été témoin de la puissance de Dafa, ils se sont tous levés, ont fait Heshi avec les mains, en signe de respect, et ont dit : « Merci, Maître ! »
Les gens qui apprennent la vérité sur Dafa sont aussi des médias vivants
Un jour, j’ai utilisé mon téléphone portable pour clarifier les faits concernant Dafa à un jeune homme. Dès que j’ai commencé à parler, il a dit : « Enfin ! Vous n’avez rien à me dire, c’est la cinquième fois que je reçois un appel comme celui-ci, je suis clair. Je suis membre du Parti, s’il vous plaît, aidez-moi rapidement à démissionner ! » Je l’ai aidé avec un pseudonyme, et il était très content. Je lui ai dit de trouver un moyen pour aider aussi sa famille à démissionner. Puis il m’a demandé de garder la ligne.
Il a demandé à une collègue dans une autre pièce de venir prendre l’appel. Il a dit : « Quelqu’un est en ligne pour t’aider à assurer ta sécurité et échapper à de grandes calamités. » Dès qu’elle est arrivée, il lui a rapidement passé le téléphone. J’ai dit : « Mademoiselle, vous avez de la chance. Vous avez un bon collègue. Après avoir assuré sa sécurité, il ne vous a pas oubliée. Il est extraordinaire ! Le Ciel le bénira c’est sûr. »
Je lui ai dit qu’en Chine un grand événement s’était produit. Des personnes partout dans le pays, environ 200 000 au total, avaient utilisé leur vrai nom pour contacter la Cour suprême et le parquet afin de poursuivre Jiang Zemin en justice. J’ai ajouté que Jiang Zemin avait utilisé le PCC pour persécuter le Falun Dafa et avait donné l’ordre de prélever les organes des pratiquants pour faire de l’argent. J’ai ajouté que le Falun Dafa est une méthode de cultivation de la Loi de Bouddha et que quiconque persécute le Fa de Bouddha sera puni par le Ciel. Lorsque les Chinois ont rejoint les organisations du PCC, ils ont tous juré de consacrer leur vie au Parti. Dans le monde entier, seul le PCC oblige les gens à prêter un serment aussi diabolique. Lorsque le Ciel éliminera le PCC, ses membres seront également punis. Quelqu’un qui déclare sa démission du PCC, annule ce serment mortel, se sépare des organisations perverses, afin d’être protégé par le Ciel.
Elle a dit qu’elle comprenait. Elle était membre du Parti et a accepté que j’utilise un pseudonyme pour l’aider à démissionner. Elle et ce jeune homme étaient très reconnaissants. J’ai dit : « Si vous voulez remercier quelqu’un, remerciez mon Maître ! C’est Maître Li qui vous a sauvés ! » Tous deux ont dit : « Merci, Maître ! » J’ai dit : « S’il vous plaît, l’essentiel est de vous souvenir que “Falun Dafa est bon ! Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon !” Si vous le récitez souvent, vous échapperez au danger et serez sains et saufs. »
Grâce à cette clarification de la vérité par téléphone, j’en suis venue à comprendre que pour clarifier les faits sur Dafa, je dois y mettre tout mon cœur et faire passer le message correctement. Lorsqu’ils ont été clairs sur la vérité, ils sont devenus une forme de média vivant. En fait, seul le Maître sauve les gens, tout ce que j’ai fait était de faire ce que je devais faire.
Toujours cultiver la bienveillance pour sauver les êtres
Un après-midi, un compagnon de cultivation et moi avons fait équipe en utilisant notre téléphone portable afin de clarifier les faits. Après avoir parlé à une douzaine de personnes, aucune d’entre elles n’a démissionné du Parti. Alors l’autre pratiquant a dit : « Rentrons à la maison. » J’ai dit : « Je vais rester. Je ne peux pas finir ma journée comme ça. »
Quand le Maître a vu mon cœur de sauver les gens, Il m’a envoyé des gens avec qui j’ai une relation prédestinée. Quand j’ai rappelé, un homme dans la trentaine a décroché le téléphone. Quand je lui ai parlé de démissionner du PCC pour assurer sa sécurité, il a demandé : « Comment avez-vous eu mon numéro ? » J’ai dit : « Vous avez reçu cet appel parce que vous êtes une bonne personne. » Il a dit : « Je ne suis pas quelqu’un de bien. Je ne m’intéresse qu’à l’argent et à rien d’autre. Si je devais démissionner, combien me paieriez-vous ? J’ai besoin d’argent maintenant. Celui qui me donne de l’argent, je l’écouterai. »
Je lui ai alors dit : « Si je vous donnais de l’argent, ce ne serait pas aussi bon que de vous sauver la vie. Cet appel est pour vous sauver la vie. Comme le PCC est un spectre pervers, il vous lie par un serment, et vous êtes trompé et ne croyez pas aux bouddhas et aux divinités. Démissionner du PCC signifie que vous ne le reconnaissez pas, mais que vous êtes plutôt prêt à être du côté de la justice et de la gentillesse, et à être lavé des crimes du PCC. »
Je lui ai alors parlé de la raison pour laquelle il faut démissionner du PCC, malgré les difficultés, que ce soit sous le soleil brûlant ou par temps glacial, les pratiquants risquent leur vie en utilisant toutes sortes de moyens pour dire au précieux peuple chinois de se dépêcher d’apprendre la vérité et être sauvé.
Il a demandé : « Avez-vous dépensé beaucoup d’argent pour ces appels ? Votre revenu mensuel est-il élevé ? » J’ai dit : « Je n’ai pas de pension. Mon mari est décédé. Je ne reçois qu’une allocation mensuelle de 196 yuans. Je n’ai généralement pas les moyens d’acheter des fruits ni de bons vêtements. Je veux utiliser mon argent seulement pour sauver notre précieux peuple chinois. »
Il a pleuré et a dit : « Ma tante, s’il vous plaît, n’en dites pas plus, nous souhaitons tous démissionner. Il y a six personnes juste à côté de moi, elles vous ont toutes écoutée et sont émues aux larmes. Elles ont toutes fait signe de la tête pour montrer leur accord de démissionner du Parti. Et nous le ferons avec nos vrais noms. »
Ils m’ont dit qu’ils ne voulaient rien prendre des bonnes personnes, mais seulement aux fonctionnaires corrompus. J’ai dit : « Non, ne faites pas cela. Le Ciel a ses arrangements. Vous ne devriez pas continuer à faire de mauvaises choses. Vous êtes encore jeunes, vous devez trouver un travail et subvenir à vos besoins. De cette façon, vous pourrez dormir sur vos deux oreilles. » Ils ont dit : « Bien sûr, nous allons suivre votre conseil et essayer de trouver un travail dès demain. »
Le plus âgé des sept avait 32 ans, tandis que le plus jeune n’avait que 17 ans. Si le Maître bienveillant n’avait pas fait en sorte qu’ils soient sauvés, il n’est pas difficile d’imaginer les malheurs qui les auraient attendus à cause de leurs mauvaises actions. J’ai fait le signe du Heshi pour remercier le Maître !
Traduit de l’anglais
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