M’élever après avoir lu « Pourquoi l’humanité existe-t-elle »

(Minghui.org) J’ai commencé à cultiver et pratiquer le Falun Dafa en 1997. Mon mari, ma belle-mère, mon beau-père et mes trois belles-sœurs pratiquaient aussi. Nous avons bénéficié d’un très bon environnement de cultivation dans notre grande famille.

Ma belle-mère boitait d’une jambe et était aveugle d’un œil, mais vingt jours après avoir commencé à pratiquer, elle allait bien. Mon beau-père aussi avait guéri d’une blessure du travail qui l’avait paralysé pendant plus de dix-huit ans. Leurs guérisons miraculeuses ont fait la une des journaux locaux. Témoins de leurs miracles, mes belles-sœurs et moi-même avons également commencé la pratique du Falun Dafa.

Malheureusement, je crois que les forces anciennes ont saisi leurs attachements humains et mon mari, ma belle-mère et mon beau-père sont décédés. Mon mari est décédé un 25 avril et mon beau-père un 20 juillet, les deux dates sont d’une signification particulière pour les pratiquants de Falun Dafa. Leur décès m’ont déprimée et j’ai commencé à me relâcher dans la cultivation.

Le nouvel article du Maître : « Pourquoi l’humanité existe-t-elle ? » a été publié lors du Nouvel An chinois 2023 et a suscité une énorme prise de conscience chez moi. J’ai réalisé que je devais passer d'une attitude négative à une attitude diligente, faute de quoi je laissais tomber le Maître.

Dans le passé, je m’affairais à me créer des revenus et j’avais du mal à lire le Fa et à faire les exercices régulièrement. La version longue d'une heure du deuxième exercice est sortie il y a quelques années, mais je n’ai jamais essayé de la faire. Mon attachement au confort m’a causé une crainte qui me faisait penser qu’il serait trop difficile de le faire.

J’ai pris un congé de deux mois et je suis restée chez moi afin de lire le Fa de façon intensive et de pratiquer les exercices tous les jours. D’autres pratiquants m’ont également encouragée et ont lu le Fa avec moi.

J’ai décidé d’affronter ma crainte de douleur et de la souffrance en examinant la raison pour laquelle j’évitais de faire le deuxième exercice dans la version d'une heure. Je me suis rendu compte que j’étais paresseuse. J’ai également réalisé que ma peur des difficultés ne correspondait pas à ma véritable nature. En fait, la peur était un obstacle qui m’a bloquée pendant des années. Je veux être diligente, je devrais donc supporter les difficultés avec plaisir. Quand j’y pense, faire le deuxième exercice n’était pas une difficulté. Lors de ma première tentative de faire l’exercice pendant une heure, je me suis souvenue de ce que le Maître a dit :

« C’est difficile à endurer, mais on peut l’endurer, c’est difficile à faire, mais on peut le faire. » (Neuvième Leçon, Zhuan Falun)

Je me suis encouragée à persister. Avec la bénédiction du Maître, j’ai fait l’exercice d’une heure d'une seule traite. Plus tard, je me suis sentie très légère et détendue, ce qui était tout à fait différent de ce que je m’étais imaginée par peur. J’étais si reconnaissante envers le Maître !

Maintenant que je continue à étudier le Fa, je peux faire les exercices et mon caractère s’est également amélioré. Je me sens très mal par rapport à tout le temps que j’ai perdu dans le passé.

Merci Maître, pour votre bienveillance et votre protection tout au long de ma cultivation ! Merci compagnons de cultivation, pour votre aide altruiste ! À l’avenir, je travaillerai avec ardeur pour suivre les progrès de la rectification de Fa et je rentrerai à la maison avec le Maître.

Traduit de l’anglais