(Minghui.org) Je suis une pratiquante de 76 ans. J’étais autrefois tourmentée par onze problèmes de santé insolubles et je souffrais insupportablement. Après avoir commencé à pratiquer le Falun Dafa en 1995, je me suis rétablie de tous ces problèmes sans intervention médicale. Je suis infiniment reconnaissante au Maître et à Dafa.

Malgré la persécution sans précédent, j’ai validé Dafa et clarifié les faits sans avoir peur au cours des vingt dernières années. J’espère que chacun dans le monde pourra éviter la catastrophe à venir et se choisir un avenir radieux.

Valider Dafa sur la place Tiananmen

L’ancien dirigeant du Parti communiste chinois (PCC), Jiang Zemin, et ses partisans ont lancé la persécution du Falun Gong le 20 juillet 1999. J’étais très triste de voir la propagande du PCC calomnier le Maître et le Falun Dafa (également appelé Falun Gong), et j’ai senti que, en tant que pratiquante, je devais défendre et dire aux gens les faits concernant Dafa et demander justice pour le Maître.

En mai 2000, une autre pratiquante et moi avons pris un train pour Pékin afin de valider Dafa. Avant de monter dans le train, nous avons vu l’image du Maître briller de mille feux sur la locomotive, ce qui nous a toutes les deux encouragées et rendues heureuses. Notre pensée droite a augmenté, et nous n’avions qu’une seule pensée en tête : « Valider Dafa ! »

Après notre arrivée sur la place Tiananmen, je me suis arrêtée devant le monument. Un jeune policier s’est approché et m’a demandé : « Madame, est-ce que vous êtes ici pour valider le Fa ? » J’ai répondu par l’affirmative. Il a montré une direction du doigt et m’a dit : « Regardez. Il y a beaucoup de gens là-bas à qui vous pouvez parler. » Je suis allée dans la direction qu’il avait indiquée et j’y ai trouvé une foule de gens et une voiture de police. Je me suis mise à côté de la voiture de police et j’ai commencé à clarifier la vérité aux touristes qui m’entouraient pour m’écouter. Le jeune policier qui m’avait dirigé écoutait aussi.

« Avant, je souffrais de onze maladies différentes », ai-je dit. « Je souffrais et je désespérais que les médecins ne puissent jamais me guérir. Mais après avoir commencé à pratiquer le Falun Dafa, j’ai guéri de toutes ces maladies. Ma famille était très heureuse, et j’ai économisé beaucoup d’argent sur les factures médicales. Après avoir commencé à pratiquer Dafa, je suis devenue sincère et aimable et particulièrement attentive aux besoins des autres. Si je trouvais de l’argent dans la rue, je le rendais à son propriétaire. Mes proches et mes voisins me respectaient, mes supérieurs hiérarchiques étaient satisfaits de moi et mes collègues me faisaient des éloges. »

Je leur ai dit à quel point Dafa était répandu dans ma région. Tous ceux qui effectuaient les exercices en tiraient profit, ce qui s’était rapidement su grâce au bouche-à-oreille. J’ai relaté d’innombrables histoires étonnantes. Des personnes qui avaient souffert du cancer avaient guéri. Une dame âgée dont le dos était courbé à 90 degrés s’était redressée après trois jours de pratique de Dafa. Un homme qui était devenu aveugle de nombreuses années auparavant avait retrouvé la vue. Un homme âgé qui avait été frappé par la foudre s’en était sorti indemne. Le Falun Dafa a aidé le pays et les gens, ne leur apportant que des avantages et ne leur causant aucun tort.

J’ai parlé pendant au moins quarante minutes sans interruption. Puis un autre policier est arrivé en courant, une matraque électrique à la main, en criant : « Toi la vieille, je vais te donner des décharges électriques avec cette matraque électrique si tu continues à parler comme ça. » Il m’a poussée à deux mains dans la voiture de police, et j’ai remarqué que trois pratiquants étaient déjà dans la voiture. On nous a emmenés au poste de police près de la place Tiananmen. Des pratiquants de tout le pays avaient été arrêtés. Des policiers de toutes les provinces étaient là pour ramener les pratiquants à leur poste de police local.

On m’a emmenée au bureau de liaison de Pékin. Un agent m’a enfermée dans une cellule de 19 h à 3 h du matin. Il m’a poussée contre le mur, m’a obligée à me tenir droite, debout, sans bouger, puis a frappé ma tête contre le mur, en m’injuriant sans arrêt. Puis il m’a demandé : « Est-ce que tu vas encore aller à Pékin pour faire appel ? »

J’ai dit : « Si Jiang Zemin continue à persécuter le Falun Gong, j’irai. Nous sommes de bonnes personnes qui suivent Authenticité-Bienveillance-Tolérance. Il n’y a rien de mal à cela. Maître Li est innocent, et la persécution est un crime. » Le policier m’a poussée, insultée et battue encore plus frénétiquement. J’avais mal à la tête, des étourdissements et j’avais envie de vomir. J’ai gardé mon calme et j’ai appelé en silence : « Maître, Maître. » Les symptômes ont rapidement disparu, mais à ce moment-là le policier a pris sa tête entre les mains et a hurlé : « J’ai mal à la tête ! Ça fait trop mal ! » Il m’a poussée vers la sortie.

La police m’a ensuite ramenée à mon centre de détention local. Ils ont essayé de me faire abandonner le Falun Gong par des moyens méprisables. Un jour, la police et mes supérieurs hiérarchiques à mon travail sont venus au centre de détention. On m’a emmenée dans le hall du deuxième étage. Ils ont fait venir ma fille et l’ont forcée à s’agenouiller devant moi et à me supplier de renoncer à ma foi. Ils m’ont attaché les mains derrière le dos. Un policier m’a donné des coups de pied, m’a disputée, m’a frappée, m’a attrapé par les cheveux et m’a traînée dans le hall. Il m’a insultée et m’a demandé : « Est-ce que tu vas encore faire appel à Pékin ? »

J’ai dit : « Tant que la persécution continuera, j’y retournerai ! » Il m’a agrippée par les cheveux à deux mains, m’a soulevée en me maintenant les jambes vers le bas, a relevé ma tête et a dit des choses méchantes. J’ai dit à ma fille : « Ma chérie, ta mère n’est pas une lâche. Il n’y a rien de mal à vouloir être une bonne personne. Il n’y a rien de mal à ce que ta mère défende la vérité. Le Falun Dafa a renouvelé ma vie quand j’étais désespérée. Tu dois toujours te rappeler que le Falun Dafa est bon. Le Maître est grandiose ! » La police n’a pas réussi, alors ils m’ont battue, poussée et ramenée au centre de détention. Mais en quelques mois, j’ai retrouvé ma liberté.

Persécutée pendant trois ans dans un camp de travaux forcés

Je suis allée à Pékin pour valider Dafa à nouveau en octobre 2001. J’ai été emmenée au poste de police, enfermée dans une petite cellule, et surveillée par deux agents de police, un homme et une femme.

Je leur ai parlé de la grandeur de Dafa, de ma cultivation et des crimes de Jiang Zemin, qui persécutent des personnes bienveillantes. La jeune policière était en larmes : « Mamie, ce que vous avez dit est très bien. Vous êtes comme une Bodhisattva. Vous m’avez convaincue. Le Falun Gong est très bien. Je vais demander à ma mère de le pratiquer. » Elle a dit au policier : « C’est une si bonne personne, nous devrions la libérer. » Le policier a répondu : « Le portail est gardé, et notre chef connaît son cas. Elle serait encore plus en danger si on la laissait sortir. »

« Je ne veux pas vous attirer des ennuis. S’il vous plaît, ne faites pas ça », ai-je dit. La policière a pris ma main dans la sienne et a dit : « Nous nous souviendrons vraiment que le Falun Dafa est bon. Mamie, vous devez vous protéger ! »

J’ai été emmenée dans un camp de travaux forcés et détenue pendant plus de trois ans. Comme je ne me suis pas pliée aux exigences du camp et que j’ai fait une grève de la faim pour protester contre la persécution, on m’a fait faire des travaux forcés et j’ai été torturée. Je n’ai pas été autorisée à dormir pendant sept jours et sept nuits. Pendant cette période, je n’ai pas eu le droit de me laver le visage ni de me brosser les dents. Je n’ai pas eu l’autorisation de voir ma famille pendant plus de trois ans. On m’a forcée à m’asseoir dans la neige, vêtue de vêtements fins, alors qu’il faisait si froid en hiver que l’eau qui coulait se transformait en glace. On m’a forcée à rester debout sous le soleil brûlant de la cour d’exercice en été, et je me suis évanouie. J’ai été nourrie de force, contre ma volonté, et une de mes dents a été cassée. J’ai souvent été torturée car je refusais de porter l’uniforme du camp, d’écrire des rapports de pensée et de chanter des chansons à la gloire du PCC.

Une fois, les gardiens ont enfermé les pratiquants qui refusaient d’être « transformés » dans un atelier. Ils tenaient des pistolets, des grenades et des mitraillettes à l’extérieur de l’atelier et ont dirigé leurs armes sur nous. Ils nous ont donné trente minutes pour réfléchir. On nous a dit que nous serions torturés si nous refusions toujours d’abandonner notre croyance après trente minutes. Ils nous ont alors frappé sur la nuque avec des livres, des ceintures, des serviettes humides, une barre de métal et tout ce qu’ils pouvaient imaginer. Nous avons été suspendus par des menottes, mis dans des camisoles de force et attachés. J’ai vu que certains pratiquants étaient torturés à mort.

Malgré la torture cruelle, j’ai toujours cru au Maître et à Dafa, et mon cœur est resté aussi ferme qu’un roc. Après plus de trois ans, je suis rentrée chez moi dignement.

La vérité se répand largement : les personnes prédestinées sont bénies

Le Maître a propagé le Dafa de l’univers pour tous les êtres, je veux aider le Maître à rectifier le Fa et à répandre largement Dafa afin que ceux qui sont prédestinés puissent comprendre la vérité, bénéficier de Dafa, se tenir loin du PCC, éviter la catastrophe et avancer vers une nouvelle ère magnifique.

Une santé grandement améliorée : une vieille amie a obtenu le Fa

Un jour, je suis tombée sur une amie de longue date alors que je clarifiais la vérité sur le marché. Elle parlait d’une voix faible, en se tenant le bas du dos. Ses cheveux étaient ébouriffés et elle était pâle. Au début je ne l’avais pas reconnue. Je lui ai demandé ce qui lui était arrivé depuis la dernière fois que je l’avais vue. Elle a soupiré : « C’est une longue histoire. Viens chez moi, et je te la raconterai en détail. »

Je l’ai suivie jusque chez elle. Elle s’est assise et m’a dit qu’elle vivait chez sa fille parce que sa propre maison était en mauvais état. Elle avait autrefois eu une famille heureuse lorsqu’elle vivait avec son fils, sa belle-fille et son petit-fils. Trois générations vivaient en harmonie sous le même toit.

Malheureusement, le désastre a frappé un jour. Des malfaiteurs qui prétendaient recruter pour la Troupe acrobatique de Shenzhen ont enlevé son petit-fils. La famille n’a plus entendu parler du petit-fils après cela – cela faisait plus de dix ans. Ils avaient signalé l’affaire à la police, mais celle-ci avait déclaré qu’il y avait trop de cas de ce genre et qu’il était impossible d’ouvrir un dossier et de retrouver son petit-fils.

Sa belle-fille avait divorcé de son fils et avait quitté la famille. Son fils, le cœur brisé, se sentait seul. Il avait quitté la maison et était allé travailler dans une autre ville. Elle avait dû aller vivre avec sa fille. Elle pleurait à chaudes larmes tous les jours. C’était comme si elle se lavait le visage avec des larmes tous les jours. Elle souffrait d’insomnie, de maladie cardiaque, d’engourdissement des articulations et de douleurs dans tout le corps. Au lieu d’être compatissants, ses proches et ses voisins se réjouissaient de son malheur, de sorte qu’elle ne voulait pas les voir ni leur parler, et elle avait souvent pensé à se suicider.

Elle m’a dit : « C’est en toi que j’ai le plus confiance, et ça fait longtemps que je voulais te voir, pour pouvoir te dire ce que j’avais sur le cœur. » Je lui ai dit : « Ecoute, tu es confrontée à une adversité dont seul le Falun Dafa peut t’aider à sortir. Comme tu me fais confiance, je vais t’apprendre à pratiquer le Falun Dafa. » Elle a accepté. Je suis rentrée à la maison et j’ai pris un exemplaire du Zhuan Falun, le livre des Neuf Commentaires sur le Parti communiste, des documents clarifiant la vérité, un lecteur DVD et un magnétophone pour qu’elle puisse écouter la musique des exercices. Après avoir regardé ensemble la vidéo clarifiant la vérité, elle a dit : « C’est super de pratiquer Dafa ! S’il te plaît, apprends-moi comment faire les exercices. »

Le lendemain matin, nous avons écouté ensemble l’enregistrement des conférences du Maître, et je lui ai enseigné les exercices. Pendant que nous faisions la première partie du deuxième exercice « Porter la roue devant la tête », elle a dit : « J’ai vu une boule colorée tourner entre mes mains, et je me suis sentie vraiment bien. Aujourd’hui est un jour heureux. Le Fa que le Maître enseigne est tellement merveilleux ! »

En trois mois, elle s’est remise de ses maladies et elle se sentait bien. Elle est allée à l’hôpital pour un examen de contrôle et on lui a dit que tout allait bien. Elle s’est transformée en une nouvelle personne : ses rides ont diminué et elle avait l’air beaucoup plus jeune, non pas comme une femme de 80 ans. Sa fille et son gendre ont été témoins du miracle de Dafa et ont donc démissionné du PCC et de ses organisations pour la jeunesse.

Des gens de ma ville natale retrouvent la santé

J’aimerais partager une autre chose merveilleuse dont j’ai été témoin. Ma sœur travaille dans un des hôpitaux de ma ville. Elle m’a dit qu’un homme d’âge mûr de notre ville natale avait été hospitalisé pour une leucémie. Il était venu en ville pour travailler dans le bâtiment. Son état était très grave. Sa femme et sa sœur étaient venues de leur ville natale lointaine pour s’occuper de lui à l’hôpital où ma sœur travaille. J’ai réalisé que c’était quelqu’un de ma ville natale qui était venu pour entendre la vérité et être sauvé.

Le lendemain, j’ai pris quelques fruits et des documents clarifiant la vérité pour lui rendre visite à l’hôpital. Je l’ai vu allongé dans un lit, sous oxygène. Il était pâle. Je lui ai dit : « Ecoutez, une affinité prédestinée vous a amené ici. Vous avez des problèmes, mais je connais un moyen qui peut vous apporter la bonne fortune. Voici une amulette qui peut protéger les bonnes personnes. C’est écrit : “Falun Dafa est bon, Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon.” Si vous récitez ces mots sincèrement, des miracles se produiront sûrement. Voulez-vous cette amulette ? »

Il a dit d’une voix faible : « Je la veux. » Il a demandé à sa femme de retirer les perles bouddhistes autour de son cou et de lui mettre l’amulette. Il a caressé l’amulette avec la main, a souri et a commencé à psalmodier « Falun Dafa est bon, Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon ».

Je leur ai dit la vérité sur le Falun Dafa et parlé de l’amélioration miraculeuse de ma santé après avoir commencé à le pratiquer. Il a dit : « Mamie, vous parlez avec gentillesse et ce que vous dites fait du sens pour moi. Je me sens si bien après ce que vous avez dit. »

Je leur ai parlé de la persécution du Falun Gong par le PCC et de l’importance de démissionner du PCC pour assurer leur sécurité. Il a compris et a dit : « Le PCC est un démon, et je ne veux rien avoir à faire avec lui. Je déclare que je démissionne du PCC et que je romps définitivement avec le démon ! » Il a joint les mains devant la poitrine et a continué à réciter « Falun Dafa est bon, Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon ». Tout en récitant, il s’est assis et, sans s’en rendre compte, la canule à oxygène a glissé de ses narines – il se sentait bien à nouveau. Il a dit : « Mamie, Dafa est incroyable ! À partir de maintenant, je vais aussi suivre le principe Authenticité-Bienveillance-Tolérance et être une bonne personne. »

Je leur ai rendu visite et leur ai apporté des petits plats et des fruits pendant plusieurs jours d’affilée. Je leur ai donné des gâteaux de lune pendant la Fête de la Mi-automne. Nous avons écouté ensemble un enregistrement clarifiant la vérité et récité ensemble « Falun Dafa est bon, Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon ». Une semaine plus tard, il arrivait à bien manger et dormir. Les larmes aux yeux, il a dit : « Je suis sauvé ! Le Falun Dafa m’a sauvé, et Maître Li m’a sauvé ! »

Il s’est rétabli et est retourné dans sa ville natale. Je leur ai envoyé par la poste d’autres cartes et dépliants clarifiant la vérité, et ils m’ont dit qu’ils les avaient reçus. Il a appelé ma sœur la veille du Nouvel An chinois et a dit qu’il avait recouvré la santé. Il a exprimé sa gratitude à Maître Li encore et encore pour lui avoir sauvé la vie.

Mon collègue gravement malade est rétabli

J’aimerais partager un autre évènement étonnant. J’ai un collègue nommé Daming. Il croyait en Dafa et comprenait la vérité. Lorsque j’ai été détenue, il a rangé en sécurité les livres et les documents de Dafa que j’avais laissés au bureau.

La ville où j’habite était confinée à cause de la COVID pendant le Nouvel An chinois 2020. Un jour, j’ai vu la femme de Daming marcher rapidement, portant une boîte à repas, alors que je clarifiais la vérité au supermarché. Je lui ai demandé ce qui était si urgent. Elle m’a répondu : « Daming est gravement malade. Il est à l’hôpital en unité de soins intensifs. L’hôpital a émis un avis de maladie grave et nous a demandé de nous préparer à ses funérailles. Sur les huit personnes admises dans l’unité de soins intensifs le même jour, sept sont mortes. Seul Daming est encore en vie. » Je lui ai donné deux amulettes et lui ai demandé de réciter « Falun Dafa est bon, Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon ». J’ai dit : « Récitez les deux phrases à l’hôpital, et je ferai la même chose à l’extérieur. Tant que vous les récitez sincèrement, des miracles se produiront ! »

La veille du Nouvel An chinois 2021, ma fille m’a dit : « Daming a appelé. Il veut venir te voir. » Je n’ai pas attendu que Daming vienne me voir – je suis allée chez lui avec des cadeaux. Quand sa femme m’a vue, elle m’a d’abord remerciée, puis s’est mise à genoux, a mis ses mains jointes devant la poitrine et a dit : « Merci, Maître Li ! Le Falun Dafa a sauvé ma famille. Sans Maître Li, aujourd’hui serait le premier anniversaire de la mort de Daming. »

J’ai aidé la femme de Daming à se remettre debout. Elle m’a raconté que lorsqu’il avait été hospitalisé, la plupart de ses organes étaient défaillants et qu’il avait des mucosités coincées dans la gorge, ce qui mettait sa vie en danger. Le médecin voulait faire une trachéotomie, mais la famille n’était pas d’accord. « Comme il pouvait mourir, qu’il subisse ou non l’intervention, nous voulions que son corps reste intact, et nous l’avons ramené à la maison. »

À la maison, tous les membres de la famille ont récité ensemble « Falun Dafa est bon, Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon ». Ce soir-là, vers 22 h, Daming a soudain toussé plusieurs fois et craché une bouchée de mucosité collante. Une semaine plus tard, il pouvait manger et, lentement, il a commencé à parler. Son état s’est amélioré de jour en jour, et il s’est progressivement rétabli. Quatre mois plus tard, lorsqu’il s’est rendu à l’hôpital pour un examen, le médecin lui a dit : « Je pensais que vous étiez mort. Je suis heureux de voir que vous avez récupéré – c’est incroyable ! » Ils l’ont examiné, et sa pensée, sa mémoire et ses actions étaient toutes normales. Les larmes aux yeux, son épouse a dit : « Maître Li est le sauveur de notre famille, et notre famille respectera Dafa pour toujours ! »

Après avoir cultivé pendant plus de vingt ans, j’ai réalisé que la pratique de Dafa était le meilleur choix que j’avais fait dans ma vie. Défendre et valider Dafa est la responsabilité la plus importante de ma vie. Répandre la vérité et sauver les êtres est la meilleure chose que j’ai jamais faite dans ma vie. Merci, Maître !

Traduit de l’anglais