(Minghui.org) Lorsque Maître Li a publié « Pourquoi l’humanité existe-t-elle » au début de cette année, j’ai compris que le prélude de la rectification du monde humain par le Fa avait commencé. J’ai ressenti un sentiment d’urgence et j’ai consacré encore plus de temps chaque jour à aller parler aux gens de la persécution du Falun Dafa par le Parti communiste chinois (PCC). Je suis de plus en plus convaincue que la plupart des gens sont perdus dans ce monde séculier, en particulier la jeune génération. Mais ils attendent tous d’entendre la vérité.

Aider un élève du collège à démissionner des organisations communistes pour la jeunesse

Un jour, j’ai rencontré un collégien près d’un vendeur ambulant. J’étais un peu perplexe de le voir là, car c’était le milieu de la journée. Pourquoi n’était-il pas à l’école ? J’ai entamé une conversation avec lui et j’ai appris qu’il était en 4e.

Je ne lui ai pas demandé directement pourquoi il n’était pas à l’école. J’ai plutôt dit : « Tu as l’air d’un jeune homme intelligent. Tu dois avoir de bonnes notes. Étudie bien et tu auras un bel avenir. Sois reconnaissant envers tes parents et prends soin d’eux quand tu seras grand. » Il a acquiescé et m’a remercié. J’ai ensuite parlé de la pandémie et je lui ai posé des questions ouvertes.

Je lui ai dit : « La pandémie est toujours en cours, alors prends soin de toi. Les gens de ma génération appellent cela un fléau. C’est la façon dont le ciel punit les humains lorsqu’ils deviennent moralement corrompus. Ce n’est que si les humains se repentent de leurs méfaits qu’ils peuvent profiter d’une seconde chance. Cependant, les gens d’aujourd’hui ont subi un lavage de cerveau avec l’idéologie athée et ne croient pas en l’existence d’êtres supérieurs. »

J’ai demandé : « Qui, à ton avis, peut faire en sorte qu’un petit virus fasse le tour du monde et ait un impact sur la vie des gens à une si grande échelle, indépendamment de leur âge, de leur race, de leur pays ou de leur culture ? N’est-ce pas un avertissement du ciel ? Bien que le fléau soit l’œuvre des êtres supérieurs, la souffrance est causée par les humains eux-mêmes, car de nos jours, les gens ne reculent devant aucun mal. Ils ne se conduisent pas selon les critères du ciel pour les humains, et certains ne respectent même pas leurs propres parents et ne prennent pas soin d’eux. C’est pourquoi ils sont punis. » Le garçon a hoché la tête. Je voyais qu’il comprenait ce que je disais et qu’il semblait croire en l’existence d’êtres supérieurs.

J’ai poursuivi : « Il n’y a pas d’antidote à ce virus et tu dois t’aider toi-même. » Il m’a regardé comme s’il demandait : « Comment ? » J’ai dit : « Tu crois que c’est une punition du ciel, n’est-ce pas ? Alors tu dois suivre les principes moraux du ciel pour l’éviter. Lorsque tu as rejoint les Jeunes Pionniers et la Ligue de la jeunesse communiste, tu as levé la main et juré de devenir un successeur du Parti communiste athée, de t’engager pour la vie et de lutter pour ses causes. Tu dois révoquer ce vœu et vouloir sincèrement démissionner de ces organisations, sinon les êtres supérieurs ne pourront pas te sauver. Une fois que tu auras fait cela, les êtres supérieurs te porteront dans leurs mains et te protégeront des grandes catastrophes. » Le garçon a été très réceptif et a choisi de démissionner des organisations pour la jeunesse du Parti communiste chinois (PCC).

Dafa donne de l’espoir à un adolescent perdu

L’ami du garçon est venu nous rejoindre. Je leur ai parlé de Dafa et de la persécution. Ils se sont regardés tous les deux et ont décidé que la discipline n’était pas du tout ce que la propagande gouvernementale avait dit qu’elle était. L’ami a également accepté de démissionner des organisations pour la jeunesse du PCC.

Je leur ai demandé : « L’école n’est pas ouverte aujourd’hui ? Pourquoi n’êtes-vous pas à l’école ? » Le garçon a répondu : « Il s’est passé quelque chose récemment à la maison, à cause de mon père. Je le déteste à mort ! Je ne veux pas aller à l’école. Je ne veux même plus vivre. Je suis tellement déprimé que je ne sais pas quoi faire. Mon ami s’inquiète pour moi et c’est pour cela qu’il me suit pour s’assurer que je vais bien. »

Mon cœur s’est brisé. Je voyais un garçon sombrer et se débattre pour ne pas se noyer. Si je ne l’aidais pas à se sortir de cet état, qui sait quelle tragédie se produirait ? De nos jours, les jeunes sont enclins à devenir extrêmes dans leurs pensées et leur comportement. Fortement influencés par l’idéologie athée, ils ne savent pas accorder de valeur à la vie. Ce n’est pas une coïncidence si j’ai rencontré ces garçons ‒le Maître a dû s’arranger pour que je sois là et que je puisse les aider.

« Qu’est-ce qui se passe ? », ai-je demandé. « Veux-tu m’en parler ? Je suis une pratiquante de Falun Dafa et je crois que Dafa peut t’aider à résoudre n’importe quel problème. » En racontant son histoire, le garçon est devenu très émotif. Il a également fait des commentaires sarcastiques et critiqué le système éducatif en Chine : « Les écoles ne se soucient pas d’enseigner de vraies connaissances et d’explorer de nouvelles choses dans le domaine des sciences. Au lieu de cela, on nous enseigne des choses inutiles et des mensonges tous les jours. Le système s’est complètement égaré. Nous avons même des cours d’éducation sexuelle. À ce rythme, le pays finira par être ruiné. Que sera notre société dans dix ou vingt ans ? »

J’ai été très impressionnée par ce jeune homme. Il avait une bonne logique, soulevait des questions légitimes sur le système éducatif et s’inquiétait de l’avenir du pays. Je l’ai félicité : « Tu vas faire un bon bout de chemin dans la vie, fiston. Tu es intelligent et tu penses de manière indépendante. Je vois que tu as beaucoup réfléchi à ces questions complexes. Chéris l’époque dans laquelle tu vis ‒les grands hommes naissent dans les périodes les plus difficiles de l’histoire. Je ne dis pas cela par hasard. Je ne dis que des choses que je crois vraiment, sinon je ne te rendrais pas service. Tu n’es pas blasé et tu as un grand potentiel. Tu dois poursuivre ta formation. Notre pays a besoin de gens comme toi. Comme nous allons bientôt revenir à nos traditions culturelles, tu seras parmi l’élite de la société. Nous avons besoin de jeunes gens comme toi pour ouvrir la voie ».

Il a senti ma sincérité, a hoché la tête et a levé son pouce en l’air. Puis, l’air inquiet, il a dit : « Je ne peux pas rester à la maison à cause de mon fichu père. » Il voulait en dire plus, mais il s’est arrêté. Le problème devait être très compliqué pour que ce jeune garçon souffre autant. Je n’ai pas insisté sur les détails.

Je lui ai parlé des relations prédestinées complexes que nous avons tous accumulées au cours de nos vies antérieures grâce à la réincarnation. Je lui ai donné des exemples concrets de personnes que je connaissais. « La piété filiale est la forme la plus importante de bienveillance », lui ai-je dit. « Ton père t’a donné la vie. Le grand cycle de la vie est réel et tout dans la vie a une raison. Vous ne seriez pas père et fils s’il n’y avait pas une relation prédestinée. Essaie de ne pas lui en vouloir. » Cependant, le conflit était apparemment profond, et le garçon ne pouvait pas laisser tomber ses sentiments aussi facilement.

Il se trouve que j’avais un livret de Dafa avec moi. Il comporte une image du Zhuan Falun sur la couverture arrière et une ligne imprimée qui dit : « Un livre que les gens recherchent depuis des milliers d’années ». J’ai pointé l’image et lui ai dit : « Jeune homme, ce livre te donnera une orientation. Beaucoup de gens ont découvert le sens de la vie et ont repris espoir après l’avoir lu. Le livret est un périodique qui est également très intéressant à lire. Je n’en ai qu’un seul exemplaire, et tu peux l’avoir. » Il l’a pris et l’a immédiatement mis dans la poche intérieure de sa veste, en disant : « Je ne peux pas laisser la police voir ça. » Je lui ai ensuite donné, ainsi qu’à son ami, une amulette de Dafa et je leur ai appris à se connecter à l’internet malgré le Grand Pare-feu de Chine et à trouver le Zhuan Falun en ligne.

Avant de nous séparer, je lui ai dit que le Falun Dafa l’aiderait à résoudre les problèmes entre lui et son père et à trouver des réponses dans la vie. Avec l’impression d’avoir trouvé un grand trésor, les deux adolescents sont repartis pleins d’espoir.

Enseigner le principe de la nature aux élèves de l’école primaire

Je suis professeur de sciences naturelles dans une école primaire. Chaque fois que je regarde les visages innocents de ma classe, j’éprouve un sentiment sacré d’obligation et de devoir envers eux. Les enfants sont l’avenir, l’espoir de notre nation et la continuation de notre patrimoine et de nos traditions. La culture traditionnelle chinoise est empreinte d’une grande sagesse et d’une grande profondeur. Elle a été transmise de génération en génération et a nourri le peuple chinois pendant des milliers d’années. Cependant, la véritable culture traditionnelle est absente des programmes scolaires. C’est l’une des raisons pour lesquelles les jeunes générations ont tant de problèmes.

Je suis retournée dans ma classe le premier jour d’école après les vacances d’été. La salle était pleine de visages innocents et les enfants semblaient tous heureux d’être là. Je les ai accueillis avec un sourire et leur ai dit : « Bonjour la classe. Je suis ravie de vous voir tous. Aujourd’hui, notre leçon porte sur le “choix de la nature”. Nous sommes assis dans une salle de classe. Au-dessus de nos têtes, nous avons un toit. Sous nos pieds, il y a un sol. Cet espace est notre salle de classe. Si nous sortons, qu’y a-t-il au-dessus de notre tête et sous nos pieds ? »

Les élèves ont répondu que le ciel était au-dessus de nos têtes et que la terre était sous nos pieds. J’ai acquiescé : « Oui, l’espace extérieur est beaucoup plus grand et nous l’appelons la nature. Chacun d’entre vous a sa propre maison et la nature est notre maison. C’est la maison de tout le monde. Pour améliorer notre vie, la nature nous offre un large éventail de ressources et un environnement magnifique. Pouvez-vous citer quelques exemples ? »

Les enfants réfléchissaient rapidement et chacun essayait de me donner sa réponse : les ruisseaux, les rivières, les lacs, les océans, les montagnes, les quatre saisons, les minéraux, les fleurs, les arbres, l’herbe et les nombreux animaux et créatures. J’ai souri et j’ai dit : « La nature prend soin de nous et nous protège en tant qu’êtres humains et, en retour, nous devrions être bons envers la nature et la protéger. Mais est-ce que les gens le font ? »

Cette question a déclenché une discussion animée. Les élèves ont parlé de la raréfaction de l’eau potable, de l’augmentation de la pollution de l’air, de l’abattage des arbres, de la transformation des lacs en dépotoirs et de bien d’autres problèmes. « Pensez-vous que la nature est heureuse de tout cela ? » Tout le monde était d’accord pour dire que la nature devait être contrariée.

J’ai poursuivi : « Dans les temps anciens, les gens appelaient la nature le Ciel tout-puissant. À l’époque, les gens avaient une peur saine de la nature. Les anciennes générations racontaient qu’en cas de sécheresse, les gens s’agenouillaient, brûlaient de l’encens, s’inclinaient et battaient le gong et le tambour pour demander la pluie. Leurs prières étaient souvent exaucées et la pluie arrivait. Le Temple du Ciel à Pékin était utilisé par les empereurs dans ce but précis. »

« À l’époque, tout le monde croyait aux êtres supérieurs. Mais aujourd’hui, les gens ne croient plus aux dieux et ils maltraitent la nature à volonté juste pour faire du profit. Pensez-vous que le Ciel tout-puissant va s’en réjouir ? Regardez la pandémie actuelle et sa propagation. N’est-ce pas une punition du ciel ? » Les enfants ont hoché la tête à plusieurs reprises.

« Les cieux ont des critères pour les êtres humains, et on les appelle les lois de la nature. Nous devons tous nous examiner et réfléchir à cette pandémie. Avez-vous fait quelque chose de mal ou avez-vous nui aux autres ? Si c’est le cas, demandez en silence le pardon du ciel dans votre cœur. Si vous êtes sincère, le ciel vous donnera une nouvelle chance. Le “choix de la nature” signifie que la nature va choisir les bonnes personnes et les protéger des grandes catastrophes. Quel est alors le critère ? C’est que vous essayez d’être une bonne personne en vous conformant au principe Authenticité-Bienveillance-Tolérance. Si vous répondez à ce critère, vous serez en sécurité. Dans le cas contraire, vous serez éliminé. Si vous voulez être choisis par la nature, vous devez avoir ces vertus. »

Je leur ai ensuite raconté quelques histoires pour démontrer que les bonnes personnes seront protégées par les êtres supérieurs et la nature. Les garçons ont beaucoup apprécié. À la fin, je leur ai lu un poème :

« Il est bon d’être une personne authentique et sincère.

Le ciel remarquera votre bienveillance

La tolérance élargira votre chemin dans la vie

Les bonnes personnes recevront des bénédictions »

Le message est qu’Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon et que, tant que nous vivons selon ce principe, nous serons en sécurité et heureux.

La leçon du premier jour d’école a été un grand succès !

Traduit de l’anglais