Le loup qui semait de l’herbe

(Minghui.org) Tout le monde connaît l’histoire du « loup déguisé en brebis », mais peu de gens connaissent celle du « loup qui semait de l’herbe ».

On raconte que lorsque le loup rusé est arrivé en Orient en provenance de l’Occident, il a compris que se faire passer pour un mouton ne fonctionnerait plus, et il a donc changé de tactique.

Le loup a trouvé un haut-parleur et il criait continuellement aux moutons : « J’ai semé toute l’herbe que vous mangez, alors vous devriez me remercier. » Le berger n’a pas prêté attention aux mensonges du loup, mais certains moutons ont été vraiment séduits par ce que le loup disait et ont cru qu’il les nourrissait, de sorte qu’ils ont commencé à s’agglutiner autour de lui. Ces moutons crédules ont même louangé le loup pour sa « gentillesse ».

Au fil du temps, de plus en plus de moutons se sont ralliés au loup, pensant qu’il leur apporterait un sentiment de sécurité et les aiderait à survivre.

Le loup était fou de joie, pensant qu’il n’avait plus besoin de se donner du mal pour chasser sa proie naturelle, car tous les moutons qui se rassemblaient autour de lui acceptaient de « dédier leur vie au loup ». En grandissant à côté du loup, certains moutons ont été influencés par la « culture du loup » et ont commencé à devenir violents. Ils ont appris à se battre et à tuer et ont rejoint le « gang des loups ».

Les moutons qui ont suivi ces loups « semeurs d’herbe » étaient entraînés à suivre les ordres et à être subordonnés, et donc, tôt ou tard, les loups allaient les manger.

Les loups sont des carnivores – c’est tout simplement leur nature et elle n’est pas susceptible de changer. Il est donc évident qu’ils allaient manger tôt ou tard les moutons. L’herbe que les moutons herbivores mangent pour vivre, en revanche, pousse naturellement, c’est un don du ciel.

Vous devez maintenant comprendre que je parle du Parti communiste chinois qui est réellement venu de l’Occident. C’est le spectre maléfique dont Marx a parlé dans le Manifeste du Parti communiste, et il est infiniment plus cruel que les loups.

À quoi ressemblerait un royaume gouverné par ce spectre maléfique ? On peut à peine l’imaginer.

Traduit de l’anglais