(Minghui.org) L’exposition d’affiches Arrêter les prélèvements d’organes à vif du PCC a été lancée au musée d’art de la ville de Higashi-Hiroshima dans la préfecture d’Hiroshima, au Japon, le 25 juillet 2023. L’exposition, organisée par le réseau SMG (Stop Medical Genocide – Société pour l’étude des transplantations d’organes en Chine) expose les prélèvements d’organes à vif du Parti communiste chinois (PCC) sur des pratiquants de Falun Dafa. Des membres de l’Assemblée et de la Chambre des représentants (Diète nationale) ont assisté et prononcé des discours lors de l’ouverture de l’événement. Ils ont dit qu’ils espéraient que davantage de personnes seraient informées de ces violations flagrantes des droits de l’homme et travailleraient ensemble pour y mettre fin.

L’exposition d’affiches Arrêter les prélèvements d’organes à vif du PCC a été lancée au musée d’art de la ville de Higashi-Hiroshima dans la préfecture d’Hiroshima, au Japon, le 25 juillet 2023.

Le membre du Congrès, Ishibashi Rintaro (à gauche), le membre de l’Assemblée de la préfecture d’Hiroshima, M. Takehara Tetsu (au milieu), et le membre de l’Assemblée de la ville de Higashi-Hiroshima, M. Ochiumi Naoya (à droite) ont prononcé des discours lors de la cérémonie d’ouverture.

Des dignitaires condamnent les prélèvements forcés d’organes par le PCC

Lors de la cérémonie d’ouverture, Ishibashi Rintaro, membre de la Chambre des représentants de l’Assemblée nationale et représentant adjoint de l’Assemblée locale japonaise du réseau SMG (Stop Medical Genocide – Société pour l’étude des transplantations d’organes en Chine), a prononcé un discours d’ouverture en tant que sponsor de l’exposition.

M. Ishibashi a dit que le but de cette exposition d’affiches était d’arrêter les crimes des prélèvements et de la transplantation d’organes en cours en Chine. Il a dit que les principales victimes sont les pratiquants de Falun Dafa, les Ouïghours, les Tibétains et d’autres groupes. Le PCC les traite comme des criminels et prélève leurs organes alors qu’ils sont vivants.

« Nous, SMG, ne permettrons jamais qu’une telle chose se produise », a déclaré M. Ishibashi. « Mais le problème à l’heure actuelle est que bien que les violations des droits de l’homme par le PCC soient devenues un sujet de grande préoccupation, beaucoup de gens n’ont toujours pas suffisamment d’occasions d’être informés au Japon. Cette exposition d’affiches est d’une importance fondamentale et permet à de nombreux Japonais de comprendre les faits des prélèvements d’organes à vif (par le PCC).

Il a dit qu’un autre objectif était d’exhorter le gouvernement japonais à promulguer des lois sur les transplantations à l’étranger dès que possible. Il était également important de sensibiliser la communauté médicale et le ministère de la Santé, du Travail et des Affaires sociales à cette question.

Le conseiller Takehara Tetsu, membre de l’Assemblée de la préfecture d’Hiroshima, a déclaré dans son discours qu’il partagerait la vérité avec tout le monde. « Après avoir vu ces œuvres, mon cœur est très lourd et je suis plus conscient de notre grande responsabilité. Je pense que c’est une opportunité pour moi de ressentir le poids de ma responsabilité, et je le ressens aujourd’hui à travers ces affiches », a dit M. Takehara.

Le conseiller Ochiumi Naoya, membre de l’Assemblée municipale de Higashi-Hiroshima, a déclaré dans son discours qu’il avait été choqué par la blessure représentée par le symbole monétaire sur une affiche. « En tant que Japonais, je ne savais rien à ce sujet (que le PCC prélève des organes sur des pratiquants de Falun Dafa vivants). J’espère que grâce à l’exposition d’affiches, plus de gens seront informés de cette question », a-t-il dit.

« C’est un meurtre »

Les 30 œuvres exposées sont les créations gagnantes sélectionnées parmi 1049 soumissions provenant de 70 pays. À travers différentes techniques et formes artistiques, les œuvres racontent aux gens comment le PCC tue des pratiquants de Falun Dafa pour leurs organes et promeut l’industrie des prélèvements d’organes dont il tire d’énormes profits. Les personnes qui ont vu les œuvres d’art ont été choquées d’apprendre ces brutalités.

Le conseiller Yamada Manabu, membre de l’Assemblée municipale de Higashi-Hiroshima

Le conseiller Yamada Manabu, membre de l’Assemblée municipale de Higashi-Hiroshima, a emmené sa famille à l’exposition le jour de l’ouverture. « C’est une occasion rare de voir la situation réelle en Chine. C’est incroyable que des gens gentils et innocents soient traités si cruellement », a-t-il déclaré. « C’est un meurtre. Nous devons faire de notre mieux pour informer davantage de gens. »

Mme Hayashi Tomiyo a encouragé les pratiquants à poursuivre leurs efforts.

Mme Hayashi Tomiyo, une habitante de Higashi-Hiroshima, a déclaré : « Voir ces œuvres me fait frissonner. C’est horrible de penser qu’il pourrait y avoir des Japonais qui commandent des organes sans connaître la vérité. » Elle a dit : « S’il vous plaît, continuez votre bon travail. »

L’exposition a été présentée à Hiroshima Est (Higashi-Hiroshima) du 25 au 30 juillet, et s’est poursuivie au Centre culturel du quartier Nishi à Hiroshima Ouest du 3 au 6 août.

Qu’est-ce que le Falun Dafa et pourquoi le PCC le persécute-t-il ?

Le Falun Dafa (également connu sous le nom de Falun Gong) a été présenté pour la première fois au public en 1992 par M. Li Hongzhi à Changchun, en Chine. Cette discipline spirituelle est maintenant pratiquée dans plus de 100 pays et régions du monde. Des millions de personnes ont adopté les enseignements basés sur le principe Authenticité-Bienveillance-Tolérance ainsi que sur cinq exercices doux, et ont constaté une amélioration de leur santé et de leur bien-être.

Jiang Zemin, ancien dirigeant du Parti communiste chinois (PCC), a perçu la popularité croissante de cette discipline spirituelle comme une menace pour l’idéologie athée du PCC et, le 20 juillet 1999, a émis un ordre interdisant cette méthode.

Sous la direction personnelle de Jiang, le PCC a créé le Bureau 610, une organisation de sécurité extralégale ayant le pouvoir d’outrepasser les systèmes policier et judiciaire et dont la seule fonction est d’orchestrer la persécution du Falun Dafa.

Au cours des vingt-quatre dernières années, Minghui.org a confirmé la mort de milliers de pratiquants suite à la persécution et beaucoup plus ont été emprisonnés et torturés en raison de leur croyance. De fait, en raison de la difficulté à obtenir des informations sur ce qui se passe en Chine, on pense que le nombre réel est beaucoup plus élevé.

Il existe des preuves concrètes que le PCC organise le prélèvement des organes de pratiquants détenus, qui sont assassinés pour alimenter l’industrie de transplantations d’organes.

Traduit de l’anglais