(Minghui.org) Lorsque nous rencontrons soudain des épreuves ou des interférences sur notre chemin de cultivation, nous devons nous souvenir du Fa. Le Fa peut nous aider à maintenir la pensée droite et nous permettre de surmonter les épreuves. J’aimerais vous donner deux exemples.

Empêcher le Bureau 610 de me harceler

Un jour de mai 2017, je suis rentrée à la maison avec un sac rempli de dépliants de Falun Dafa. J’ai posé le sac sur mon lit et je suis allée aux toilettes. Quelqu’un a frappé à la porte et mon mari l’a ouverte sans réfléchir. Six agents du Bureau 610 sont entrés et ont voulu vérifier ma chambre à coucher.

Calme et posée, je les ai tous regardés, j’ai fixé l’agent principal et j’ai dit : « Les pratiquants de Falun Dafa sont honnêtes et dignes de confiance. Vous avez fouillé ma maison il y a quelques jours à peine, et vous voilà à nouveau. Allez-vous continuer à faire de telles perquisitions illégales jusqu’à la fin de nos jours ? Je vous ai dit la dernière fois que vous commettiez un crime. En outre, vous ne m’avez pas rendu les livres de Falun Dafa que vous m’avez confisqués la dernière fois. Vous devez me rendre ce qui me revient de droit. »

L’agent principal n’a rien dit. Lorsqu’il s’est retourné pour partir, ses collaborateurs l’ont suivi. Je les ai poursuivis et j’ai crié : « Quand est-ce que je peux récupérer mes livres ? » Il m’a répondu : « Mardi prochain ». Quand j’ai appelé le mardi, il a repoussé le rendez-vous d’une semaine.

Le jour où je me suis rendue au Bureau 610, j’ai pris un dépliant sur l’illégalité de la campagne nationale de harcèlement « Frapper aux portes ». J’ai demandé à l’agent principal de le lire attentivement et je lui ai clarifié la vérité. Son téléphone a sonné avant que je puisse terminer, et il m’a dit qu’il avait une mission urgente.

« Eh bien, où sont mes livres ? » ai-je demandé. Il est sorti et est revenu avec un plateau rempli de livres et de dépliants qu’il m’avait confisqués. Je lui ai dit qu’ils étaient à moi et je les ai pris. Il est devenu nerveux et m’a dit que je ne pouvais pas tous les avoir. Lorsqu’il a vu que je n’avais pas l’intention de les rendre, il a dit : « Très bien » et a gardé les dépliants. Je lui ai dit : « Vous devriez les lire et nous pourrons discuter du contenu plus tard. »

En quittant le Bureau 610, j’ai vu un compagnon de cultivation qui émettait la pensée droite. Je crois que notre puissante pensée droite a dissout la perversité qui se cachait derrière l’agent du Bureau 610.

À deux doigts de l’arrestation

Au cours de l’été 2018, trois autres pratiquants et moi-même sommes allés dans un village pour distribuer des dépliants de Falun Dafa. Comme nous en avions beaucoup à distribuer, nous avons décidé de simplement les déposer devant les portes des gens et de ne pas leur parler. Nous pensions au départ que la plupart des gens seraient à l’intérieur en ce chaud après-midi d’été. À notre grande surprise, les nuages se sont accumulés et il faisait frais. La plupart des maisons avaient leur porte d’entrée grande ouverte et les gens étaient dehors en train de discuter et de rire en petits groupes. La situation n’était pas idéale pour distribuer les dépliants, et je n’en ai distribué que trois dans une rue.

Avec un sac rempli de dépliants, j’ai décidé d’adopter une approche différente. Dans la rue suivante, j’ai salué les gens que je rencontrais et leur ai tendu les dépliants. S’il n’y avait personne, j’accrochais les dépliants aux poignées de porte. J’ai rapidement distribué tous les dépliants que j’avais.

Après avoir terminé cette rue, j’ai rencontré Bing, qui m’a dit qu’elle n’avait pas eu beaucoup d’occasions de distribuer les dépliants parce que tout le monde était assis à l’extérieur. Je lui ai dit ce que j’avais fait et j’ai pris la moitié de ses dépliants. Nous sommes allées dans une autre rue et nous avons couvert chacune un côté. Dès que nous avons eu terminé, un bus est arrivé. J’étais reconnaissante pour l’arrangement opportun du Maître, car les bus ne passaient qu’une fois par heure environ.

Au moment où nous sommes montées dans le bus, j’ai entendu quelqu’un derrière moi dire : « Quelqu’un a appelé la police pour ces deux-là [c’est-à-dire Bing et moi]. » Je me suis inquiétée pour les deux autres pratiquants qui nous accompagnaient, car je n’avais aucune idée de l’endroit où ils étaient allés. Nous sommes montés dans le bus et avons émis la pensée droite. Nous avons ensuite demandé poliment au chauffeur du bus de s’arrêter pour prendre « nos amis » lorsque nous les verrions, sachant qu’il n’était pas censé faire d’arrêts non prévus.

Peu après, nous avons vu les deux pratiquants poursuivre le bus, et le chauffeur s’est arrêté pour les prendre en charge. Ils avaient tous deux distribué tous leurs dépliants. Plus tard, les villageois m’ont dit qu’une voiture de police était arrivée juste après le départ du bus. Nous sommes tous rentrés sains et saufs grâce à la protection du Maître.

Traduit de l’anglais