Scènes célestes des moments de notre cultivation

(Minghui.org) Je pratique le Falun Dafa depuis de nombreuses années. Mon œil céleste s’est ouvert durant ma cultivation et j’ai vu différentes scènes. J’aimerais partager certaines de ces scènes tout en rappelant aux pratiquants que ma vision est limitée à mon niveau de cultivation et que nous devrions toujours prendre le Fa comme guide.

Émettre la pensée droite

Lorsque j’émets la pensée droite quatre fois par jour, dès que je ferme les yeux et que j’entre dans la tranquillité, mes yeux s’ouvrent dans une autre dimension. Je regarde autour de moi et je vois d’innombrables généraux à cheval de chaque côté de moi et d’innombrables soldats derrière moi, tous prêts à partir, regardant vers l’avant avec des expressions résolues. La scène est majestueuse et solennelle.

Je suis également en tenue de général et j’entends quelqu’un à côté de moi dire : « Notre général est de retour ! » Les généraux se penchent alors en avant, prêts à charger.

Je regarde vers le haut et je vois de nombreuses divinités vertueuses et quelques êtres de mon monde (des êtres éveillés dotés de grands pouvoirs divins) dans le ciel, leurs images montrant une lumière illimitée et la splendeur des êtres éveillés. Ils attendent également l’ordre et travailleront ensemble afin de déployer leurs pouvoirs divins pendant la rectification de Fa.

Lorsque je lève la paume de la main, j’ordonne aux divinités de l’autre dimension de combattre la perversité. Je contrôle mon corps dans l’autre dimension pour commander la bataille, menant des milliers de troupes à l’assaut (j’utilise également des pouvoirs surnaturels pour éliminer la perversité). En peu de temps, j’anéantis la perversité avec une force écrasante et je remporte bataille sur bataille.

Parfois, je ne reste que quelques minutes avant de cesser d’émettre la pensée droite. Lorsque mes yeux s’ouvrent de ce côté-ci, mon corps dans l’autre dimension devient immobile. Sur le champ de bataille, quelqu’un crie : « Notre général est parti ! » Les divinités et les généraux se désintéressent du combat et mettent rapidement fin à la bataille.

Chaque fois que j’émets la pensée droite, il y a des greffiers sur le champ de bataille dans une autre dimension qui enregistrent que, tel jour, tel mois et telle année, le général a conduit son armée pour tuer tant de criminels ; le commandant en chef n’est pas arrivé et notre armée a subi tant de pertes ; le commandant en chef s’est enfui de la bataille, et ainsi de suite. Les registres sont très détaillés.

Le Maître nous a dit :

« Un disciple de Dafa, si sa pensée droite est très forte, peut fendre une montagne, une seule pensée suffit. » (« Qu’est-ce qu’un disciple de Dafa ? », Enseignement du Fa dans les conférences XI)

Étude collective du Fa

Lorsque les disciples de Dafa étudient le Fa en groupe, qu’ils soient deux ou trois personnes ou plus, c’est un événement grandiose qui permet de diffuser le Fa dans une autre dimension.

Lorsque les disciples de Dafa s’accordent sur un moment pour étudier le Fa, les bouddhas, les taoïstes et les immortels de tous les horizons répandent la nouvelle et se rassemblent de partout. Ils s’assoient par niveaux autour des disciples de Dafa. Le cercle intérieur est principalement occupé par de grands êtres éveillés à l’image des divinités et des bouddhas, qui méditent et écoutent le Fa avec vénération ; ceux du cercle extérieur qui n’ont pas atteint un niveau supérieur ou qui n’ont pas eu suffisamment d’occasions de s’élever, s’agenouillent ou se prosternent pour écouter les enseignements.

Les disciples de Dafa qui ont un esprit résolu et qui lisent attentivement le Fa s’assoient dans le cercle intérieur. Ceux qui ont l’esprit perturbé s’assoient loin dans le cercle extérieur. Ils ne passeront au cercle intérieur que lorsqu’ils auront calmé leur esprit et étudié le Fa de tout cœur.

Les disciples de Dafa à l’esprit calme peuvent révéler les connaissances du Fa et présenter des merveilles indescriptibles dans d’autres dimensions. Ces merveilles ressemblent parfois à des milliers de fleurs exotiques s’épanouissant dans le champ d’énergie et parfois aux fluctuations d’ombre et de lumière d’un jade émaillé. Il y a d’innombrables Falun dans le champ. C’est un spectacle merveilleux que même les divinités et les bouddhas admirent.

Lors de la lecture de Hong Yin, les divinités et les bouddhas du ciel entier chantent à l’unisson avec les disciples de Dafa et le son résonne dans tout l’univers. C’est extrêmement solennel et émouvant !

Hier, alors que nous lisions le Zhuan Falun, j’ai soudain eu l’impression que le livre était devenu exceptionnellement lourd. Ma vision céleste a montré de nombreux caractères et lettres. Certains ressemblaient à des inscriptions sur os à oracle, d’autres étaient très semblables aux caractères découverts à Sanxingdui (un site archéologique contenant des objets mystérieux dans la province du Sichuan, en Chine), et il y avait aussi des structures de caractères simples et complexes. Il ne s’agissait pas de caractères d’une seule civilisation.

En pensant à l’article du Maître « Sur Dafa », j’ai réalisé que Dafa révèle sa signification dans différentes dimensions en utilisant les cultures de différents mondes. Il donne à tous les êtres des occasions de salut et perfectionne différents mondes. Le Maître est compatissant envers tous !

Guanding

Les disciples de Dafa connaissent une purification corporelle par le guanding. J’ai senti le Maître me faire le guanding un nombre incalculable de fois, avec un courant chaud qui partait du sommet de ma tête et descendait jusqu’à la plante de mes pieds.

Un jour, en faisant le troisième exercice (Canaliser l’énergie des deux pôles cosmiques), j’ai vu que mon corps était un cylindre vide, transparent de haut en bas dans l’autre dimension, s’étendant à l’infini. En regardant de plus près, j’ai vu que les parois du cylindre étaient couvertes de couches de bouddhas, de taoïstes et de divinités. J’ai compris qu’il s’agissait des êtres qui se trouvaient dans le microcosme de mon propre corps. Un courant chaud familier a soudain recommencé à descendre du sommet de ma tête. Je savais que le Maître était à nouveau en train de purifier mon corps par le guanding.

J’ai vu une lumière blanche descendre lentement du dôme au-dessus du cylindre vide. Toutes les divinités et tous les bouddhas étaient agenouillés, les mains jointes, tournées vers le haut et j’ai vu le Maître descendre lentement dans la lumière blanche.

Je comprends que l’énergie du guanding est le gong du Maître, à l’image du Maître. La scène était vraiment sacrée. Pendant un instant, je me suis senti incomparablement ému et bouleversé. Je me suis reproché de ne pas avoir fait assez bien et j’ai eu honte. Toutes sortes de sentiments difficiles à décrire ont afflué dans mon cœur.

Perdre son sang-froid

Lorsqu’un pratiquant perd son sang-froid, deux ou trois ombres grises et ténébreuses apparaissent soudain dans l’espace environnant et s’enfoncent dans le corps du pratiquant. Le pratiquant devient alors encore plus furieux et risque de faire quelque chose de mal. Lorsque les ombres grises s’envolent de son corps, le pratiquant éprouve soudain des remords et de la culpabilité. J’ai réalisé que des forces négatives étaient à l’œuvre lorsque l’on perdait son sang-froid, dominant même son propre corps et ses propres pensées.

Recommencer à cultiver

Un jour, j’ai étudié avec deux anciens pratiquants. Ils n’avaient pas étudié le Fa depuis de nombreuses années, mais ils ont accepté de relire le Zhuan Falun ensemble.

De nombreuses parties du monde de l’une des pratiquantes étaient fragmentées, peu peuplées et présentaient un paysage désolé et stérile. Au fur et à mesure qu’elle étudiait le Fa, les terres fragmentées semblaient se rembobiner comme une vidéo et les zones initialement vides s’embellissaient peu à peu de montagnes et de rivières. Son monde devenait lentement complet, mais le nombre de vies dans son monde n’augmentait pas. J’ai compris que si nous n’étudions pas le Fa et ne nous cultivons pas, de nombreuses vies dans notre univers risquent d’être éliminées et de ne plus exister.

Un autre pratiquant, qui avait commencé à étudier le Fa très tôt et avait une base solide, ressemblait à un bouddha de pierre, un peu comme le Bouddha géant de Leshan (une grande statue de bouddha en pierre sculptée dans la paroi d’une falaise dans la province du Sichuan, en Chine). La statue semblait scellée et immobile. Alors que le pratiquant étudiait le Fa, des éclats de pierre ont commencé à tomber de la tête et du corps du bouddha de pierre. Le corps s’est assoupli et la statue de bouddha a progressivement repris vie et est devenue plus divine.

Le temps presse. Le retour complet du Bouddha à la vie et le rétablissement de la prospérité du monde céleste dépendent de la détermination de ces pratiquants à continuer à se cultiver.

Ceci est ma compréhension à mon niveau actuel ; veuillez me signaler tout ce qui n’est pas conforme au Fa.

Traduit de l’anglais