(Minghui.org) Vingt ans se sont écoulés depuis la publication du livre fondamental des Neuf commentaires sur le Parti communiste, et son impact dans le monde entier continue de se faire sentir. De nombreuses activités ont eu lieu cette année pour commémorer cette étape importante.
Le 2 novembre 2024, des pratiquants ont organisé un défilé à Toronto pour marquer le 20e anniversaire de la publication des Neuf commentaires sur le Parti communiste.
Les Neuf commentaires, qui exposent en profondeur l’histoire et la tromperie du Parti, ont déclenché une vague de démission du Parti communiste chinois (PCC) et de ses organisations affiliées pour la jeunesse. À la fin de l’année 2024, plus de 400 300 000 personnes avaient volontairement renoncé à leur affiliation au Parti.
Parallèlement aux Neuf Commentaires, les logiciels qui permettent aux Chinois de Chine continentale de contourner le pare-feu Internet du PCC ouvrent aussi l’accès à de l’information qui n’est pas facilement disponible en Chine. Un Internet sans restriction a aussi mis en lumière les mensonges du Parti et a conduit de nombreux Chinois à renoncer à leur adhésion au Parti. Pendant la pandémie de la COVID-19, les Chinois sont devenus de plus en plus frustrés par les conditions qui règnent en Chine : l’économie chinoise est en déclin, les contradictions et les tensions sociales s’intensifient et la corruption s’aggrave. Sur la base de leurs propres expériences, les gens ont vraiment commencé à se méfier du PCC.
Sur le site officiel où les personnes qui avaient adhéré à une organisation du PCC peuvent déclarer leur dissociation d’avec le Parti, beaucoup, en démissionnant, ont laissé des messages poignants sur les raisons qui les ont poussés à rompre avec le PCC.
Dans sa déclaration de démission du 4 novembre 2024, Hao Ming écrit : « Cela fait vingt ans que les Neuf Commentaires ont été publiés. Au cours des vingt dernières années, et en particulier pendant les trois années de la pandémie, le PCC a pleinement démontré sa vraie nature. Le PCC est sur le point de se désintégrer et je ne serai pas enterré avec lui. Puisse le communisme ne plus jamais exister dans le monde et puisse le Créateur sauver le peuple chinois. Je déclare me retirer de la Ligue de la Jeunesse communiste et des Jeunes Pionniers. »
Des jeunes s’informent sur la nature du PCC en contournant la censure Internet du PCC
Le 8 novembre, Liu Fan, de Nanjing, a écrit : « Lorsque j’étais en cinquième au collège, j’ai reçu mon premier téléphone portable qui pouvait se connecter à l’Internet. À cette époque, j’ai constaté qu’il était impossible d’accéder à de nombreuses plateformes sociales populaires, telles que Facebook, YouTube, etc. J’ai d’abord pensé qu’il s’agissait d’une panne de réseau, mais après avoir éliminé le problème de réseau, c’était toujours la même chose. Plus tard, j’en ai parlé à notre professeur d’informatique. C’est lui qui m’a appris l’existence du pare-feu du PCC. Mais il m’a expliqué qu’il y avait beaucoup de choses négatives sur l’Internet, que ces contenus étaient tous faux, que les États-Unis n’avaient pas renoncé à leur désir de nous détruire, et que l’Internet était donc censuré.
« Mais il n’a manifestement pas réussi à me convaincre. Étant donné que plus de 100 pays dans le monde sont connectés à l’Internet, pourquoi la Chine bloque-t-elle ces choses ? Qu’y a-t-il sur l’Internet ? N’y a-t-il que des mensonges ? Ce doute a duré jusqu’à ce que je sois en quatrième. Parce que j’avais besoin de vérifier des documents pour mes études, j’ai obtenu d’un ami un logiciel permettant de contourner le pare-feu. Je me souviens très bien que la première information bloquée par le PCC que j’ai trouvée concernait le massacre du 4 juin. Un groupe d’étudiants a été écrasé par le PCC à l’aide de chars d’assaut, simplement parce qu’ils réclamaient la démocratie et la liberté. Plus tard, au fur et à mesure que je contournais le pare-feu, j’ai découvert les divers secrets que le PCC s’efforçait de dissimuler, de la collusion avec l’armée japonaise pendant la Seconde Guerre mondiale à la plantation de pavot à opium à Nanniwan, en passant par le siège de Changchun, ses divers mouvements politiques destructeurs après sa prise de pouvoir, les camps de concentration au Xinjiang, la vérité sur la COVID-19 et le confinement de trois ans lors de la pandémie. J’ai compris que l’histoire du PCC est pleine de meurtres sanglants. Le Parti bloque l’Internet pour nous empêcher, nous les Chinois, de connaître son histoire meurtrière, car une fois que tout le monde la connaîtra, le PCC s’effondrera.
« Mais heureusement, de plus en plus de gens ont compris la vérité et réalisé la nature maléfique du PCC. En tant que membre qui a été éveillé, je déclare formellement ma démission des Jeunes Pionniers ! »
En octobre de cette année, Gu Qilei, du Zhejiang, a écrit : « Je suis employé d’une entreprise d’État. Après avoir regardé les nouvelles sur New Tang Dynasty, j’ai eu une nouvelle compréhension des organisations du PCC. Au début, je n’étais pas très convaincu et je pensais qu’il s’agissait d’une rumeur répandue par des forces hostiles à l’étranger. Mais plus tard, j’ai continué à contourner la censure pour accéder à New Tang Dynasty, Apollo, The Epoch Times et d’autres médias, et j’ai vu davantage de méfaits du PCC dans des rapports qui semblaient fondés. J’ai donc commencé à réfléchir et, en interrogeant la génération plus âgée de ma famille et en vérifiant les informations fournies par des tiers, mes idées ont commencé à changer et j’ai peu à peu percé à jour le visage pervers du PCC. Ici, je déclare utiliser mon vrai nom et j’appelle tout le monde à démissionner du PCC, de la Ligue de la jeunesse communiste, des Jeunes Pionniers et de toute autre organisation liée au PCC. Démissionnez du PCC pour rester en sécurité ! »
Des chefs d’entreprise reconnaissent la nature du PCC
Deng Xiao, de Chine, a déclaré le 5 novembre : « Je suis propriétaire d’une entreprise en Chine. En raison de mes origines familiales modestes, j’ai toujours cru que le PCC était un gouvernement juste qui gouvernait pour le peuple. Jusqu’à la crise économique, je pensais bêtement que je ne travaillais pas assez dur et que c’était la raison pour laquelle j’avais accumulé beaucoup de dettes et que j’étais en difficulté. Par hasard, je suis tombé sur le site web de The Epoch Times, j’ai lu des articles sur le PCC et j’ai compris la nature du Parti. J’ai eu du mal à assimiler ces informations et j’ai eu mal à la tête. Après avoir réfléchi, j’ai décidé de démissionner de cette organisation perverse. Maintenant, j’aide aussi plus de gens à comprendre la vérité à ma façon. »
En octobre de cette année, une personne utilisant le pseudonyme « Repenti » a écrit : « J’étais secrétaire adjoint du comité du Parti communiste et secrétaire du comité d’inspection de la discipline d’une usine de la province du Yunnan. Au cours de la soi-disant réforme, certains responsables du PCC ont comploté avec des propriétaires d’entreprises privées et ont repris l’usine d’État qui valait plus de 500 millions de yuans pour une petite fraction du coût, ce qui a entraîné le licenciement de centaines d’employés. Les employés ont soumis d’innombrables pétitions aux services centraux et provinciaux concernés au cours de la dernière décennie, mais ils ont été arrêtés et placés en détention. Les parquets, les tribunaux et les services gouvernementaux à tous les niveaux savaient clairement que ce qui s’était passé était illégal et répréhensible, mais les pétitionnaires ont rencontré des fonctionnaires qui se protégeaient les uns les autres et se dérobaient à leurs responsabilités. Jusqu’à présent, l’affaire n’a pas été résolue et les coupables sont toujours en liberté. Maintenant, je vois enfin la nature perverse du PCC. Ce n’est qu’en renversant le PCC que les gens pourront mener une vie normale et jouir de véritables droits de l’homme. Je déclare solennellement que je démissionne du PCC et de ses organisations pour la jeunesse auxquelles j’ai adhéré. Je ne serai plus de connivence avec le PCC et je démissionne résolument de cette organisation perverse. »
Agents de la police de l’Internet et policiers : Trompés et impuissants, ils démissionnent du PCC
Le 2 novembre, S970 [pseudonyme] du Zhejiang a écrit : « Je suis un agent de la police de l’Internet dans un poste de police. Je pensais pouvoir attraper les méchants et protéger la sécurité de la région comme dans les feuilletons télévisés, mais on m’a chargé de surveiller l’opinion publique en ligne, de supprimer des messages et de désactiver des comptes. Dans le cadre de mon travail, j’ai vu des sites web tels que New Tang Dynasty et The Epoch Times, et j’ai vu beaucoup de vérité. Il s’avère que j’ai grandi dans l’environnement de tromperie des bandits communistes et que j’ai subi un lavage de cerveau complet de la culture perverse du PCC. Je ne pouvais pas juger ce qui est bien et ce qui est mal. Après trois ans de pandémie, je comprends mieux la nature perverse du PCC d’un point de vue idéologique et fondamental. Je suis depuis longtemps mécontent de la série d’actes malveillants du PCC. Après tout, les victimes sont des gens ordinaires, et ce sont tous des gens bien, mais on leur cause du tort sans raison. Par la présente, je déclare officiellement que je démissionne du Parti communiste et que je romps désormais tout lien avec le PCC. »
Chen Xiangren, du Guangxi, aussi policier, a fait part de ses sentiments. Dans sa déclaration de démission, il a écrit : « Je suis policier. Au départ, j’ai rejoint les forces de police pour protéger la vie et les biens des gens et maintenir l’équité et l’intégralité de la justice. Après toutes ces années de travail, j’ai découvert que mes idéaux d’alors étaient fantaisistes. Travailler en tant que policier est plutôt un mensonge. Ils ne font que forcer des aveux, créer des affaires injustes et fausses, et agir comme un parapluie protecteur pour certaines parties prenantes puissantes. Si on veut vraiment servir la population, on ne peut pas survivre dans une telle organisation. Par exemple, lors de la relocalisation forcée et de la démolition de maisons, lorsque les propriétaires ont appelé la police, celle-ci n’est pas venue parce que les responsables locaux du PCC avaient informé la police à l’avance qu’elle devait les ignorer. Certains propriétaires ont même été battus à mort par les démolisseurs. La police n’est intervenue que lorsque les démolisseurs ont été battus, tués ou blessés. Les propriétaires ont alors fait l’objet d’une enquête pour des délits tels que l’obstruction des affaires officielles, la provocation de troubles, la blessure intentionnelle d’autrui, et ils ont été poursuivis en justice. Cependant, les actions d’autodéfense des propriétaires ont été ignorées. L’abus de pouvoir des fonctionnaires, leur manquement à leur devoir et les blessures intentionnelles causées par la démolition forcée des promoteurs ont aussi été ignorés.
« Seuls ceux qui ont vécu ces expériences savent à quel point le PCC est diabolique. Mon intention initiale de sauvegarder la justice et de protéger le peuple n’était qu’un fantasme. À partir d’aujourd’hui, je dois me séparer de façon nette des abominables bandits communistes en démissionnant des organisations du PCC. »
Il s’avère que nous sommes dans la « zone occupée »
Le 25 septembre, Li Changming, dans sa déclaration de démission du PCC, a écrit : « Je suis un chef d’entreprise à la retraite. Après ma retraite, j’ai voyagé dans toute la Chine et à l’étranger. J’ai vu des pratiquants de Falun Gong dans tous les pays que j’ai visités, ce qui représentait un contraste frappant avec la répression en Chine. Lorsque je me suis rendu au Cambodge, j’ai visité la salle commémorative du massacre des Cambodgiens et des Chinois par les Khmers rouges, le Parti communiste cambodgien. Un quart du peuple cambodgien a été tué. Je me suis rendu au Xinjiang et au Tibet, et j’ai aussi vu la persécution de la culture et des croyances par le PCC au Xinjiang et au Tibet. Les cartes d’identité sont souvent contrôlées et la reconnaissance faciale est exigée, tout comme lorsque les trois provinces du nord-est étaient occupées par le Japon pendant la Seconde Guerre mondiale. Le certificat dit de “bon citoyen” était exigé. Quelqu’un m’a rappelé que nous nous trouvions dans une zone occupée, et j’ai soudain réalisé que c’était vrai. Oui, la “République soviétique de Chine” de l’époque de Yan’an est devenue la “République populaire de Chine” en 1949. Nous sommes la troisième branche de l’Est créée par l’Internationale communiste.
« Un rocher ancien portant les caractères “Le Parti communiste chinois périra” a été découvert dans la province du Guizhou. Les experts ont vérifié qu’elle avait été formée naturellement, ce qui correspond à la volonté du ciel ! Le PCC est en train d’être désintégré par le divin, comme la peste, les conditions météorologiques extrêmes, etc. Ici, je déclare solennellement que le serment que j’ai fait dans l’ignorance lorsque j’ai levé la main droite pour me consacrer entièrement au PCC est invalide. Je suis un citoyen chinois, pas un descendant de Marx et de Lénine, et je ne périrai pas avec le Parti pervers. Je veux vivre pour moi-même et pour ma famille et mes amis bien-aimés. Pour assister à la disparition du PCC pervers, ne vous laissez pas déconcerter par une prospérité superficielle : les autoroutes, les TGV et les aménagements paysagers. La moralité et le système juridique se sont complètement effondrés et la corruption est omniprésente. Je fais partie du système et je sais que le PCC n’a pas de solution au chaos actuel. Il ne peut que bloquer désespérément l’information et utiliser sa machine de propagande pour laver le cerveau des gens. Une fois le pare-feu détruit, je suis fermement convaincu que le Parti se désintégrera dans les six mois. J’espère une désintégration pacifique, sans guerre ni chaos, juste une transition pacifique. Que Dieu bénisse la Chine ! »
En septembre de cette année, Zhou Shuoguo a aussi fait une déclaration sur son expérience personnelle : « Le 1er juillet 2024, à mon insu, j’ai été entraîné par le service de planification de l’entreprise pour tourner une vidéo sur la construction du Parti. On a demandé à tout le monde de s’aligner, de faire semblant d’adhérer au PCC, et de serrer les poings pour prêter allégeance au Parti pervers. La vidéo a été distribuée par l’entreprise. Notre entreprise était à l’origine une entreprise privée et n’avait rien à voir avec le PCC. Toutefois, ces dernières années, les entreprises privées ont aussi été obligées de créer des branches du Parti et de faire diverses fausses déclarations. L’entreprise a aussi été contrainte de tourner la vidéo sur la construction du Parti. Cela montre que la soi-disant loyauté et l’enthousiasme envers le Parti sont factices et que tout le monde fait de fausses déclarations. Je ne suis pas membre du Parti et je n’ai pas l’intention d’y adhérer. Je regrette profondément de ne pas avoir réalisé que les prétentions superficielles étaient aussi très dangereuses. Je déclare par la présente que les serments figurant dans la vidéo sont tous faux. Je jure de tracer une ligne claire entre le Parti pervers et moi-même et déclare que je démissionne de la Ligue de la jeunesse communiste et des Jeunes Pionniers que j’ai rejoints et que je serai un Chinois droit. »
Démissionner du Parti
Le 2 septembre, une femme nommée Niannian a écrit : « Je suis une jeune mère enceinte d’une vingtaine d’années. Après ces années d’épreuves, j’ai le sentiment que la propagande du PCC trompe les gens, ce qui entraîne un désordre dans la société et l’économie. De nombreux jeunes sont au chômage et les gens vivent dans la pauvreté. J’espère que cette organisation maléfique s’effondrera bientôt. Je déclare que je démissionne des Jeunes Pionniers et de la Ligue de la jeunesse communiste que j’ai rejoints quand j’étais enfant, et que je serai une Chinoise droite. Je prie pour que le divin nous bénisse, moi et mon futur bébé, et que nous soyons sains et saufs. »
Le 9 septembre, Donghua, du Hebei, a écrit : « Moi, Donghua, je déclare solennellement que je démissionne des Jeunes Pionniers. J’ai été endoctriné par le Parti athée. Après avoir regardé le film Autrefois nous étions divins, j’ai compris que le divin a toujours existé, donc je dois être une bonne personne. À partir de maintenant, je déclare solennellement que je démissionne des Jeunes Pionniers. »
Xiaolian, qui se trouve aux États-Unis, a annoncé son retrait du PCC le 15 septembre. Elle a déclaré : « J’ai vu le défilé du Falun Gong aujourd’hui et j’ai senti que les États-Unis étaient très libres. Je déteste le Parti communiste chinois. Il n’y a pas de groupe de ce type [en Chine] pour exprimer des opinions différentes. Je déclare que je démissionne des Jeunes Pionniers que j’ai rejoints. »
Le 17 septembre, Liu Ming a publié une déclaration disant : « Je suis un vétéran avec quarante ans d’adhésion au Parti. Le Parti communiste ne sert pas le peuple et est corrompu. Je déclare que je démissionne du PCC et de ses organisations affiliées. »
Le 11 octobre, Daji, du Heilongjiang, a écrit : « Je suis un employé retraité d’une société de transport au sein du Bureau des transports. Il y a sept ou huit ans, mon supérieur m’a demandé d’intercepter les pratiquants de Falun Gong dans les bus longue distance afin qu’ils ne puissent pas adresser de pétition au gouvernement. Aujourd’hui, je comprends la vérité sur le Falun Gong, je me repens de mon comportement passé et je présente mes excuses à ces pratiquants de Falun Gong. Je déclare solennellement que je démissionne de la Ligue de la jeunesse communiste et des Jeunes Pionniers du PCC, que je romps complètement avec le PCC et que je choisis un avenir meilleur. »
Traduit de l’anglais
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