(Minghui.org) Le site Internet chinois de Minghui a publié un « Appel à contributions pour célébrer la Journée mondiale du Falun Dafa 2024 » le 26 février et à nouveau le 13 mars. Je me suis demandé si c’était parce qu’il n’y avait pas assez d’articles soumis ou parce que certains pratiquants avaient des difficultés avec Internet. De nombreux pratiquants, moi inclus, sont intimidés ou retenus par leurs notions humaines. C’est pourquoi j’aimerais partager mon expérience concernant la rédaction d’un partage.
Lorsque j’étais à l’école, j’avais de violents maux de tête chaque fois que nous devions rédiger une dissertation. Le professeur nous demandait d’écrire huit cents mots, et j’avais du mal à répondre à cette exigence.
Après être devenu un pratiquant de Dafa, j’enviais ceux qui étaient capables d’écrire des articles et des poèmes. Je voulais écrire, mais je ne savais pas du tout comment commencer. Au fil des années, ma compréhension des principes du Fa s’est approfondie et j’ai acquis plus d’expérience dans la cultivation. Au début, c’était difficile, car il y avait beaucoup de choses que je voulais inclure, mais je ne savais pas par où commencer. La plupart du temps, mes notions humaines me retenaient. Je pensais que je n’avais pas la capacité d’écrire, alors j’abandonnais avant même de commencer.
Une année, j’ai eu de nombreux problèmes parce que je passais beaucoup de temps à jouer sur mon téléphone portable. Je voulais partager mon expérience et rappeler aux gens de faire attention à ce problème, mais je n’avais jamais écrit d’article de partage auparavant. Alors que devais-je faire ?
Je me suis souvenu que le Maître avait dit :
« La cultivation dépend de soi, le gong dépend du maître. Tout ce que vous pouvez faire, c’est de le souhaiter et d’y penser ; celui qui le réalise vraiment, c’est le maître. » (Deuxième Leçon, Zhuan Falun)
J’ai réalisé que je devais demander au Maître de m’aider et de ne pas abandonner, même si cela semblait difficile. Je voulais faire une percée et cesser de penser que je n’étais pas capable d’écrire. Je me suis calmé et je me suis remémoré mes expériences. J’ai écrit les grandes lignes de ce que je voulais y mettre, j’ai ajouté des détails et j’ai terminé l’article. Je l’ai lu plusieurs fois et j’ai traduit en mandarin les parties rédigées en dialecte local. Après l’avoir relu plusieurs fois, j’ai estimé qu’il était prêt à être envoyé. Je ne me souciais pas de savoir s’il serait publié ou non, car je ne me considérais pas comme un bon écrivain.
Je ne sais plus combien de temps s’est écoulé avant que je ne remarque que mon article avait été publié sur le site Internet de Minghui. Bien qu’il ait été publié, mon cœur n’a pas du tout été touché.
Je suis toujours terrifié chaque fois que Minghui lance un appel pour des articles. J’ai hésité après avoir vu la notification de l’année dernière « Appel à contributions pour la Journée mondiale du Falun Dafa » et j’ai fait un rêve. Dans ce rêve, je me trouvais dans une salle de classe où tout le monde était occupé à écrire quelque chose. Certains avaient déjà soumis leur dissertation, et beaucoup avaient presque terminé. J’étais assis là, regardant autour de moi, un morceau de papier brouillon à la main. J’étais angoissé et je me demandais pourquoi il n’y avait pas de feuilles à carreaux.
J’ai parlé à d’autres pratiquants et ils m’ont dit que le Maître me disait peut-être d’écrire un article de partage ! Cela m’a motivé à écrire et à soumettre mon article l’année dernière.
Chaque fois que j’écris un article de partage, je le vois comme une occasion de surmonter des choses et d’élever mon xinxing. J’ai dû supprimer mes attachements à la paresse, à l’anxiété, à l’agitation, à l’impatience et au fait de ne pas vouloir être dérangé.
J’étais un peu déprimé de ne pas avoir pu me débarrasser de mon karma de maladie ces deux dernières années. Avant le Nouvel An chinois de cette année, j’ai cru voir un article que j’avais écrit l’année dernière pour le Fahui de Minghui. J’ai commencé à pleurer. Je n’ai pas été assidu dans ma cultivation, mais le Maître m’a encouragé en me montrant l’article que j’avais écrit. Je n’ai donc pas hésité cette année. Le Maître m’a donné la sagesse et j’ai tout de suite trouvé un titre. J’ai écrit l’article rapidement, je l’ai relu attentivement, je l’ai révisé plusieurs fois et je l’ai soumis.
Je suis reconnaissant au-delà des mots. Merci, Maître ! Je voudrais également remercier les pratiquants qui ont soumis leurs articles et les éditeurs pour leurs efforts. Ces articles m’ont beaucoup aidé sur le chemin de la cultivation.
Traduit de l’anglais
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