(Minghui.org) Trois conseillers municipaux japonais se sont rassemblés devant l'ambassade de Chine à Tokyo le 5 août 2024 pour demander la libération de Mme Liu Cong, la sœur d'une résidente japonaise, qui a été arrêtée en Chine et détenue en raison de sa croyance dans le Falun Gong, une discipline méditative et spirituelle ancestrale que le régime communiste chinois persécute depuis 1999.
Le 12 juillet 2024, la police a arrêté Mme Liu, originaire de la ville de Huludao, dans la province du Liaoning, lors d'une arrestation collective. Elle est depuis détenue au centre de détention de la ville de Huludao.
La sœur de Mme Liu, Mme Liu Xiyue, résidente japonaise, travaille sans relâche pour obtenir sa libération. Elle espère que la pression exercée par la communauté internationale pourra contribuer à améliorer la situation des droits de l'homme en Chine. Elle exhorte également les personnes de bonne volonté à s'informer sur la persécution du Falun Gong et sur la nature perverse du PCC.
Le 5 août 2024, Mme Liu Xiyue, ainsi que Hiroaki Maruyama, conseiller municipal de la ville de Zushi et représentant du réseau Stop Medical Genocide, Seiji Mizushima, conseiller municipal de la ville de Chinosaki ; et Tomoyuki Ogisu, conseiller municipal de la ville de Yokkaichi, ont lu des lettres ouvertes au gouvernement chinois devant l'ambassade de Chine, exhortant le régime à cesser immédiatement la persécution du Falun Gong, à libérer tous les pratiquants illégalement détenus et à mettre fin à la pratique odieuse du prélèvement d'organes sur des pratiquants en vie.
Hiroaki Maruyama (au centre), conseiller municipal de la ville de Zushi, lisant sa lettre.
Le conseiller Maruyama s'est dit très préoccupé par le cas de Mme Liu Cong. Il a fermement condamné le PCC pour le piétinement des droits de l'homme et le génocide des pratiquants de Falun Gong par le prélèvement d'organes. Il a appelé la communauté internationale à se joindre à lui pour condamner la persécution.
Seiji Mizushima (au centre), conseiller municipal de la ville de Chinosaki, lisant sa lettre
Le conseiller Mizushima a déclaré qu'il avait entendu parler depuis longtemps de la persécution. Il a voulu faire ce qu'il pouvait pour aider les pratiquants et prendre leur défense.
Tomoyuki Ogisu (au centre), conseiller municipal de la ville de Yokkaichi, lisant sa lettre
Le conseiller Ogisu a ajouté que le prélèvement d'organes sur les pratiquants de Falun Gong constituait une grave violation des droits de l'homme. Il s'agit d'un meurtre qui ne peut être toléré. Il reconnaît que, bien qu'il y ait de plus en plus de preuves et de recherches sur le prélèvement d'organes, ce crime n'a pas été largement rapporté en raison de l'influence du PCC sur les médias japonais. « De nombreux Japonais ne savent toujours pas grand-chose sur les pratiquants de Falun Gong. Ils doivent savoir qu'il s'agit d'une grande communauté de cultivation de 100 millions de pratiquants. »
Mme Liu Xiyue lisant sa lettre
Mme Liu Xiyue a déclaré qu'après avoir adopté le Falun Gong, sa sœur était devenue plus calme et plus paisible. Elle a été arrêtée et harcelée à plusieurs reprises depuis le début de la persécution en 1999. Pourtant, elle n'est pas la seule de la famille à avoir été visée pour sa pratique du Falun Gong. Son mari, M. Luan Changhui, ingénieur naval, purge toujours une peine de quatre ans d'emprisonnement.
Mme Liu Xiyue a expliqué qu'après son arrestation, sa sœur avait entamé une grève de la faim pour protester contre la persécution, et qu'elle craignait que sa sœur ne subisse des tortures physiques et mentales pendant sa détention. Elle a demandé au PCC de libérer sa sœur et tous les autres pratiquants de Falun Gong détenus pour leur croyance. Elle a appelé les peuples du monde à travailler ensemble et à aider le peuple chinois à avoir une société pacifique où chacun jouit de la liberté de croyance spirituelle.
Un membre de la Chambre des conseillers : La persécution n'aurait pas dû avoir lieu
Après avoir lu les lettres ouvertes devant l'ambassade de Chine, Mme Liu et les trois conseillers municipaux ont rendu visite à plusieurs membres de la Chambre des conseillers et les ont informés de l'état actuel de la persécution du Falun Gong en Chine.
Le conseiller Maruyama a déclaré : « J'espère travailler avec les membres de la Chambre des conseillers et identifier certaines mesures à prendre par le gouvernement japonais pour contrecarrer la grave persécution du Falun Gong par le Parti communiste chinois. »
Satsuki Katayama (à gauche), membre de la Chambre des conseillers du Japon, reçoit des informations de Mme Liu Xiyue.
Satsuki Katayama, membre éminent de la Chambre des conseillers, a déclaré à Mme Liu : « Je sais que la persécution dure depuis un quart de siècle. Je regrette que nous n'ayons pas été suffisamment sensibilisés à cette question. La persécution n’aurait pas dû avoir lieu. Je vous encourage à poursuivre le combat, vous avez tout mon soutien. »
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Traduit de l’anglais
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