(Minghui.org) Le Parti communiste chinois (PCC) persécute le Falun Gong, également connu sous le nom de Falun Dafa, depuis vingt-cinq ans et les pratiquants du monde entier continuent de s’efforcer de mettre fin à cette persécution brutale. Pour empêcher les membres du PCC et le peuple chinois de participer à ce crime, sciemment ou non, des pratiquants en Allemagne et en Suisse ont envoyé des lettres ouvertes aux ambassades et consulats chinois dans ces pays, appelant à mettre fin à la persécution.

Le 24 juillet 2024, une pratiquante a lu la lettre ouverte adressée à Du Chunguo, consul général au consulat général de Chine à Düsseldorf, en Allemagne, puis a remis la lettre dans la boîte aux lettres du consulat.

Le 25 juillet 2024, un pratiquant a lu la lettre ouverte adressée à Tong Defa, consul général au consulat général de Chine à Munich, en Allemagne, puis a remis la lettre dans la boîte aux lettres du consulat.

Le 26 juillet 2024, un pratiquant a remis la lettre ouverte adressée à Huang Dieyang, consul général au consulat général de Chine à Francfort, en Allemagne, dans la boîte aux lettres du consulat.

Le 28 juillet 2024, un pratiquant a remis la lettre ouverte adressée à Wu Ken, ambassadeur à l’ambassade de Chine à Berlin, en Allemagne, dans la boîte aux lettres de l’ambassade.

Le 27 juillet 2024, une pratiquante lit la lettre ouverte à Berne, adressée à Wang Shiting, ambassadeur à l’ambassade de Chine à Berne, en Suisse.

Extraits des lettres ouvertes de pratiquants aux ambassades et consulats généraux de Chine

La persécution du Falun Dafa, lancée par le PCC en 1999, n’a aucune base juridique. Les pratiquants souhaitent rappeler aux ambassadeurs et consuls du PCC, par le biais de ces lettres ouvertes, de réévaluer leur attitude et leurs actions concernant la persécution du Falun Dafa, et d’envisager les conséquences considérables de leur participation à cette persécution. Les pratiquants leur rappellent également que le PCC est confronté à une pression croissante de la part du monde et ils espèrent qu’ils démissionneront bientôt du PCC.

Dans les lettres ouvertes, les pratiquants ont appelé à :

1. Garantir l’application légale de la Constitution chinoise, mettre immédiatement fin à la persécution du Falun Dafa et faire en sorte que les responsables répondent de leurs actes

Les crimes commis par le PCC contre les pratiquants sont bien connus. Le Rapport Minghui : Les 20 ans de persécution du Falun Gong en Chine recense les méthodes utilisées par le PCC pour persécuter les pratiquants sur une période de vingt ans, de 1999 à 2019, date de rédaction du rapport. Les méthodes utilisées choquent toute personne douée de justice et de conscience.

Désormais, de plus en plus de gouvernements et de politiciens élus soutiennent ouvertement les efforts des pratiquants pour mettre fin à la persécution.

La Chambre des représentants des États-Unis a adopté à l’unanimité le Falun Gong Protection Act le 25 juin 2024. Cette loi condamne le PCC pour la persécution du Falun Gong, y compris le crime de prélèvements d’organes sur des pratiquants vivants. Elle impose des sanctions aux personnes étrangères qui ont sciemment et directement participé aux prélèvements non volontaires d’organes en Chine ou qui l’ont facilité. Les sanctions comprennent le blocage des biens et l’entrée aux États-Unis.

Le 18 janvier 2024, l’Union européenne a adopté une résolution qui condamne ouvertement le PCC pour la persécution du Falun Gong et demande qu’il y soit mis fin immédiatement. La résolution appelle l’UE et ses États membres à « condamner publiquement les abus en matière de transplantation d’organes en Chine et à utiliser le régime de sanctions globales de l’UE en matière de droits de l’homme et les régimes nationaux de sanctions en matière de droits de l’homme contre tous les auteurs et entités qui ont contribué à la persécution des pratiquants de Falun Gong en Chine et à l’étranger. » La résolution souligne que les mesures de l’UE devraient inclure le refus de visas, le gel des avoirs, l’expulsion des territoires de l’UE, les poursuites pénales, y compris sur la base de la compétence extraterritoriale, et l’engagement de poursuites pénales internationales. La résolution a été transmise aux organisations de l’UE, aux gouvernements et aux parlements de ses États membres, ainsi qu’au gouvernement chinois.

Une liste d’auteurs ayant participé à la persécution des pratiquants de Falun Dafa a été soumise aux gouvernements de 44 pays le 7 décembre 2020, via la loi Magnitsky. Ces pays comprennent les « Five Eyes » (États-Unis, Canada, Royaume-Uni, Australie, Nouvelle-Zélande), les 27 pays de l’Union européenne et 12 autres pays (Japon, Corée du Sud, Indonésie, Suisse, Norvège, Liechtenstein, Israël, Mexique, Argentine, Colombie, Chili et Dominique).

Cette liste comprend 118 000 auteurs de violations des droits de l’homme en mai 2024. La loi mondiale Magnitsky sur la responsabilité en matière de droits de l’homme permet de refuser des visas à des pays et de geler les avoirs transférés par des personnes qui ont commis des violations des droits de l’homme ou qui ont été accusées de corruption. La loi s’applique au monde entier, en particulier aux membres du PCC qui ont commis ces crimes. Le 7 décembre 2020, 27 pays de l’Union européenne ont adopté cette loi qui est utilisée pour sanctionner les auteurs de violations des droits de l’homme.

2. Démissionner du PCC et de ses organisations affiliées. Tous ceux qui ont commis des crimes contre les pratiquants devront rendre des comptes

La persécution des pratiquants de Falun Dafa n’a aucune base juridique. Tout ce qui est fait sous prétexte de « réprimer » le Falun Dafa est illégal. Même si la majorité des auteurs disent avoir été contraints ou forcés de commettre ces crimes, cela ne signifie pas qu’ils ne seront pas tenus pour responsables de leurs actes. Les personnes qui ne démissionnent pas du PCC pourraient également subir des représailles pour en avoir fait partie. Ils devront tous répondre de leurs actes, qu’ils aient volontairement participé aux crimes, qu’ils les aient tolérés ou qu’ils les aient excusés, dans le passé ou dans le présent.

Il est très facile de démissionner du PCC en ligne. Jusqu’à présent, plus de 400 millions de personnes ont déclaré vouloir démissionner du PCC. Le Centre de service mondial de démissionner du PCC leur a délivré des certificats de démission.

Aucune personne qui persécute les pratiquants ne peut rester impunie. Les crimes du PCC contre les pratiquants seront encore plus exposés au monde et accéléreront très probablement l’effondrement du PCC. Comme le dit le proverbe : Le bien est récompensé par le bien, et le mal est puni par le mal ‒ quel que soit votre rang, le nombre de bonnes relations que vous entretenez, la distance qui vous sépare de la Chine ou l’argent que vous possédez.

3. Retour à l’humanité, à la tradition et aux valeurs morales anciennes et rigoureuses de la Chine

Authenticité-Bienveillance-Tolérance est un principe universel. Il n’existe pas seulement en Chine, mais aussi dans la culture et la tradition occidentale. Toute personne qui respecte ce principe aura une vie heureuse et épanouie. Lorsque le peuple d’une nation suit Authenticité-Bienveillance-Tolérance, le pays devient meilleur.

Le Falun Dafa aide les gens à croire à nouveau dans le divin. Ce n’est qu’en mettant fin à la persécution des pratiquants et à ces atrocités maléfiques, et en retrouvant la moralité, que les responsables du gouvernement chinois et le peuple chinois pourront se diriger vers un avenir radieux.

Traduit de l’anglais