(Minghui.org) J’ai 89 ans et je souffrais d’une maladie cardiaque héréditaire depuis l’enfance. Avec l’âge, elle est devenue de plus en plus grave. J’allais souvent aux urgences et je dormais tous les jours avec un oreiller facilitant la respiration. J’étais faible et je ne pouvais pas faire de travaux ménagers. Par la suite, j’ai souffert de tremblements de tête, de douleurs au dos et aux jambes, et ma main tremblait. En plus de mes propres problèmes de santé, mon mari, après avoir pris sa retraite, a lui aussi été en mauvaise santé.

Au printemps 2003, des membres de la famille de mon mari sont venus nous parler des grands changements physiques qu’ils avaient connus depuis qu’ils avaient commencé à pratiquer le Falun Gong (Falun Dafa). Ils nous ont également parlé des miracles survenus chez d’autres pratiquants de Falun Gong qu’ils connaissaient. J’étais très enthousiaste et je voulais apprendre tout de suite. Mon mari, influencé par l’idéologie athée du Parti communiste chinois (PCC) et les sciences modernes, ne croyait pas vraiment au qigong, mais grâce à la persuasion sincère de ses proches, il a accepté d’essayer.

J’ai terminé la lecture du Zhuan Falun en quelques jours seulement. Chaque phrase m’est allée droit au cœur et j’ai senti que je n’avais jamais lu un si bon livre, je savais qu’il s’agissait d’un livre céleste. Je l’ai lu plusieurs fois sans interruption et je me suis rendu compte que ce livre nous guidait vers une authentique cultivation. J’ai décidé de bien l’apprendre, de suivre les paroles du Maître et de le pratiquer jusqu’au bout.

J’ai fait de l’apprentissage du Fa et de la pratique quotidienne des exercices une partie importante de ma vie. Peu de temps après avoir commencé à pratiquer, mon corps a subi de grands changements et les maladies cardiaques, les tremblements de la tête et les douleurs au dos et aux jambes ont disparu. Je pouvais servir le thé et verser de l’eau pour les invités, et je pouvais vivre complètement de façon autonome. Je suis très reconnaissante envers le Maître.

Mon mari et les autres membres de ma famille ont été stupéfaits par les changements survenus chez moi. Mes enfants étaient soulagés de ne plus avoir à s’inquiéter de ma santé. En conséquence, mon mari, mes deux filles, mon frère et ma belle-sœur ont également commencé à pratiquer. En même temps, un groupe d’étude du Fa a été créé chez moi pour que nous puissions étudier régulièrement le Fa et échanger nos expériences en matière de xiulian.

Sortir des tribulations grâce à la pensée droite ferme

Les différents pratiquants de notre famille, avec différents niveaux de compréhension et de conscience du Fa, ont rencontré différentes épreuves ainsi que des tribulations mentales et physiques dans leur cultivation.

Dès que nous avons commencé à pratiquer, le Maître a purifié nos corps et toutes nos maladies ont disparu. Ma deuxième fille en particulier, qui souffrait d’une grave maladie cardiaque et n’avait pas pu travailler pendant plusieurs années, est redevenue normale et a pu reprendre son travail. Elle a également ouvert une petite librairie.

J’ai réalisé qu’une bonne santé est nécessaire pour se cultiver, et pas seulement pour vivre comme des gens ordinaires. Chaque pratiquant rencontrera de nombreuses épreuves et difficultés, en fonction de notre capacité à réaliser que nous sommes des pratiquants, et de notre capacité à pratiquer consciemment et sincèrement selon les critères du Fa. Tous ces aspects sont cruciaux pour les pratiquants. Pour ceux qui viennent de commencer, et qui ne comprennent peut-être pas tout à fait ce qu’est la cultivation ou comment la pratiquer, lorsqu’ils rencontrent des difficultés, ils sont enclins à avoir des problèmes.

Alors que je pratiquais depuis plus d’un an, ma deuxième fille et mon mari traversaient un karma de maladie grave. Certains pratiquants chevronnés venaient souvent étudier le Fa et partager avec nous leurs connaissances en matière de xiulian. Cependant, en raison d’un manque d’étude du Fa, ma deuxième fille avait beaucoup de conceptions humaines et ne pouvait pas utiliser la pensée droite pour faire face à ses problèmes, elle était profondément piégée dans ses émotions. En conséquence, la maladie s’est aggravée et elle est décédée en janvier 2015.

Lorsque j’ai appris la mort de ma fille, je me suis effondrée sur le sol. J’avais le cœur brisé et je n’arrivais pas à retenir mes larmes, mais je ne pouvais pas crier parce que mon mari était gravement malade dans son lit. Comment pouvais-je faire face à cette situation et en parler à mon mari ? N’était-ce pas une épreuve pour moi ? J’ai retenu mon chagrin et j’ai parlé à mon mari de cette affaire, afin qu’il la comprenne selon le Fa. En fait, il était au courant de l’amélioration de l’état de santé de notre fille et de la façon dont elle s’est retrouvée piégée dans ses émotions. C’est son propre chemin, et personne ne peut interférer. Mon mari s’est contenté de hocher la tête, de trembler et de pleurer. Son état s’est aggravé et il est mort en mars de la même année.

En l’espace de trois mois, j’ai perdu deux membres de ma famille l’un après l’autre. J’étais au bord de l’effondrement total. Je ne pouvais ni manger ni dormir et je ne faisais que pleurer.

Des compagnons de cultivation sont venus étudier le Fa avec moi sans relâche et m’ont aidée à comprendre cette question du point de vue du Fa.

Le Fa m’a éveillée et m’a permis de me libérer de la douleur et de sortir de cette catastrophe inattendue. Merci Maître. Je suis une pratiquante, je dois ma vie au salut du Maître ; sans le Maître, je n’existerais pas. Ma fille et mon mari étaient destinés à être avec moi dans cette vie, mais ils ont leur propre destin. Même si j’étais triste, je savais qu’ils avaient tous deux étudié le Fa et cultivé et pratiqué, même s’ils n’ont pas achevé leur chemin, ce qui était leur propre choix. Le Maître a pris de bonnes dispositions, alors qu’est-ce que je ne peux pas laisser tomber ? J’ai regardé le portrait du Maître et j’ai dit : « Je suis votre disciple, et mon choix est de suivre le Maître jusqu’au bout de ma cultivation et de ne pas abandonner à mi-chemin. Je chérirai cette occasion de cultiver et pratiquer et de bien faire ce qu’un disciple de Dafa doit faire, afin d’être à la hauteur de votre salut compatissant. »

Mes enfants voulaient rester avec moi à tour de rôle, mais je leur disais que j’avais un Maître, que j’étais une pratiquante et qu’il ne m’arriverait rien. Ainsi, je vivais seule, et mon emploi du temps quotidien était assez organisé. Je me levais tôt pour faire les exercices, nettoyer la maison, étudier le Fa après le petit déjeuner et réciter Hong Yin. L’après-midi, j’étudiais les autres enseignements du Maître. Si le temps le permettait, je poussais une charrette sur le bord de la route et je m’y assoyais pour émettre la pensée droite, et si je pouvais engager une conversation, je parlais aux gens du Falun Dafa et de la persécution.

Il y a plusieurs écoles près de chez moi et il y a un carrefour avec une circulation intense, avec beaucoup de gens qui vont et viennent. J’ai eu cette pensée dans mon cœur de demander au Maître de me renforcer : « Je veux sauver les gens avec la pensée droite, éliminer les facteurs maléfiques derrière eux, les libérer du contrôle des esprits maléfiques du PCC. » Je leur offre ma bienveillance pour qu’ils aient une chance d’être sauvés et de devenir des êtres bons dans le futur.

Renforcer la pensée droite pour surmonter le karma de maladie

Depuis que j’ai commencé à pratiquer le Falun Dafa, j’ai connu des épreuves et des tribulations, petites et grandes, et j’ai pu les traverser sous la protection de la compassion du Maître.

Un jour, j’ai soudain ressenti des douleurs cardiaques, des difficultés à respirer et des sueurs. Je ne pouvais plus tenir debout et je me suis laissée tomber par terre. Inconsciemment, j’ai rampé vers la porte, avant de soudain le réaliser et de me demander pourquoi j’avais rampé vers la porte. J’avais peur que personne ne sache que j’étais morte à la maison. C’est une conception humaine. Je ne veux pas de cette pensée humaine. Je suis une pratiquante. Je suis une élève du Maître.

Mon esprit s’est éclairci et j’ai demandé l’aide du Maître. Un passage du Fa m’est alors venu à l’esprit :

« Quand vous vous sentirez au plus mal, cela signifie qu’une chose parvenue à l’extrême se transforme en son contraire ; tout votre corps va être purifié, il doit être totalement purifié. » (Deuxième Leçon, Zhuan Falun)

C’était l’indication du Maître, et le Maître me donnait un nouveau cœur. En pensant à cela, j’ai lentement grimpé sur un petit tabouret et j’ai mis en route la vidéo des conférences du Maître à Jinan. La douleur devenait plus légère au fur et à mesure que je regardais. Lorsque je suis arrivée à la quatrième conférence, tous ces mauvais symptômes ont disparu. J’étais tellement heureuse que j’ai éclaté en sanglots, remerciant le Maître de m’avoir donné un nouveau cœur et une nouvelle vie.

J’ai senti que plus je pratiquais le Falun Gong, plus les exigences du Fa étaient élevées et strictes. Un jour, j’ai commencé à avoir mal au dos et je ne pouvais pas bouger mon dos ni même m’allonger sur le lit à cause de la douleur atroce. J’avais également mal au cœur. J’ai cherché en moi ce que j’avais fait qui n’était pas conforme au Fa, mais je n’ai rien trouvé. J’ai réussi à faire les mouvements des exercices malgré la douleur, j’ai étudié le Fa, j’ai récité le Fa et j’ai écouté les enregistrements des enseignements du Maître.

Je souffrais trop pour cuisiner, alors je mangeais quelques bouchées des restes de riz quand j’avais faim, et quand j’avais sommeil, je m’agenouillais sur le bord d’une pile de couettes et je fermais les yeux pendant un certain temps. Au bout de cinq jours, j’ai appelé ma fille, une compagne de cultivation, et je lui ai demandé de m’aider à trouver les failles dans mon xiulian.

Nous avons étudié le Fa ensemble. Lorsque j’ai commencé à pratiquer le Falun Gong, chaque fois que je rencontrais du karma de maladie, tant que je pensais que j’étais une pratiquante et qu’il s’agissait de l’élimination du karma, je passais à travers. Mais pourquoi ne pouvais-je pas le faire cette fois-ci ? Ma fille m’a demandé de vérifier mon état de xiulian et j’ai réalisé que je m’étais relâchée. Parfois, mon esprit s’interrogeait lorsque je lisais le Fa, et parfois je cherchais le confort dans la vie.

Ma fille m’a rappelé que deux nouveaux pratiquants avaient l’habitude de venir chez moi pour étudier le Fa. Après un certain temps, je leur ai dit qu’ils pouvaient étudier chez eux puisqu’ils vivaient loin. Elle m’a dit que comme j’étais responsable du groupe d’étude du Fa, j’avais la responsabilité de rassembler les gens et de stimuler l’élévation. Ils demeuraient effectivement loin, il fallait plus de trois heures de voyage aller-retour, mais c’est bien qu’ils aient voulu venir, et n’est-ce pas l’arrangement du Maître ? Mais je les ai fait fuir et j’ai déçu la confiance que le Maître avait en moi. Ma peur des ennuis et mon irresponsabilité ne sont-elles pas à l’origine d’une maladie aussi grave ? C’est la façon dont le Maître m’aide à m’éveiller.

Sans tarder, j’ai appelé les deux pratiquants et les ai invités à revenir dans notre groupe d’étude du Fa. Le jour même, mon mal de dos a disparu et je pouvais m’allonger dans mon lit la nuit pour dormir.

Être un pratiquant authentique avec un esprit droit et ferme

J’ai toujours eu le sentiment que le Maître m’avait donné trop de bénédictions, mais que je n’avais pas fait grand-chose, que je n’avais pas respecté les critères et les exigences du Fa. Je vais chérir cette occasion de me cultiver. Je sais très bien que le Fa est sérieux et que je ne peux qu’avancer, pas reculer, et c’est mon engagement sur le chemin de cultivation afin que mon comportement soit digne du titre de « disciple de Dafa ».

Depuis le décès de mon mari, je vis seule, je prends soin de moi et j’essaie de ne pas déranger mes enfants. Car ce que nous pratiquons, c’est de penser aux autres et non à nous-mêmes. Mes enfants m’ont demandé si je me sentais seule et si j’avais besoin de quelqu’un pour s’occuper de moi. Je leur ai répondu que, bien que j’aie presque 90 ans, le Maître m’a donné une si bonne santé, que je peux tout faire et que je n’ai pas besoin qu’on s’occupe de moi. Mon emploi du temps est bien rempli. Plutôt que de me sentir seule, j’ai l’impression de manquer de temps. Je leur ai également dit que s’ils avaient des difficultés, je pouvais essayer de les aider.

J’ai surmonté de nombreuses épreuves ces dernières années, pour la plupart physiques, mais je ne voudrais pas que mes enfants le sachent. Je suis une pratiquante de Dafa, ce sont mes propres obstacles et difficultés, et ils n’ont pas besoin d’être connus ni de les inquiéter. Ainsi, quel que soit le symptôme physique qui revenait au cours du processus d’élimination du karma, je continuais à cuisiner et à faire tout ce que je devais faire, et je gardais toujours une image positive devant eux, en utilisant mes propres actions pour maintenir l’image d’un pratiquant de Dafa. Je me suis rendu compte que la bonne image d’un pratiquant peut également jouer un rôle en sauvant les êtres afin qu’ils puissent voir la beauté du Dafa.

Cependant, en raison de ma faible qualité d’éveil, il m’arrivait parfois, lorsque je rencontrais des problèmes, de ne pas pouvoir regarder immédiatement à l’intérieur, ce qui m’empêchait de passer les tests et de m’élever à temps

Par exemple, quelques jours avant les fêtes du Nouvel An chinois, lorsque j’ai ouvert la porte, j’ai vu une vieille cuvette de toilette pleine de taches et de saletés placée devant chez moi. Elle était toujours là trois jours plus tard. À ce moment-là, je ne pouvais plus le tolérer et j’ai pensé qu’il s’agissait d’une brimade. C’était presque les fêtes de fin d’année et quelqu’un avait placé un objet aussi sale devant chez moi. J’étais vraiment en colère, mes mains tremblaient, tout comme ma tête. J’ai poussé de côté la cuvette avec beaucoup d’efforts.

Le lendemain, j’ai commencé à avoir mal au genou gauche, puis de plus en plus mal et je tremblais. Je ne pouvais pas méditer et j’avais du mal à marcher. Je n’ai même pas réalisé que c’était un test pour moi, que c’était l’occasion d’élever mon xinxing. Cette épreuve s’est prolongée pendant les fêtes de fin d’année.

J’ai étudié le Fa et lu les nouvelles conférences du Maître, et je me suis finalement réveillée. Le progrès de la rectification de Fa a atteint un tel point, pourquoi est-ce que je subissais encore de si grandes tribulations ? J’ai calmé mon esprit et j’ai vérifié sérieusement et soigneusement mon récent état de xiulian, et j’ai trouvé beaucoup de problèmes.

Tout d’abord, je n’avais pas été stricte avec moi-même dans mon xiulian, et je n’avais pas été capable de considérer toutes les choses avec lesquelles j’entrais en contact comme faisant partie de mon xiulian. De plus, lorsque mes voisins ont fait des commentaires sur mon apparence plus jeune et sur le fait que j’étais encore capable de vivre seule et de prendre soin de moi, j’ai développé une certaine complaisance et une mentalité de me faire valoir.

La vieille cuvette placée devant ma maison n’était pas accidentelle. J’aurais dû saisir cette occasion pour éliminer mes attachements à la propreté et à l’égoïsme. Mais je ne l’ai pas fait. Au lieu de cela, j’ai considéré la personne qui l’avait placée là comme un mauvais être humain et je lui ai gardé rancune. C’est loin des exigences du principe Authenticité-Bienveillance-Tolérance.

En novembre de l’année dernière, j’étudiais le Fa avec ma fille et une autre pratiquante. Ma fille était au milieu d’un test de xinxing. Quelqu’un de sa belle-famille avait perdu de l’argent et on la soupçonnait de l’avoir pris. Elle estimait que sa réputation avait été entachée. Je me suis soudain souvenue que lorsque j’étais jeune, ma belle-mère avait perdu de l’argent et on m’avait soupçonnée de l’avoir pris. J’étais également pleine de ressentiment. Plus tard, le voleur a été arrêté et il a été prouvé que je n’avais pas pris l’argent. Je pouvais comprendre la frustration de ma fille. Je lui ai raconté mon incident, en essayant de la réconforter et de ne pas le prendre à cœur. En tant que pratiquants, nous devrions être capables de prendre les choses avec légèreté, sinon cela affecterait notre cultivation.

Bien que j’aie conseillé à ma fille de ne pas prendre l’affaire personnellement, ce qui s’était passé il y a des dizaines d’années m’a encore remué l’esprit. Quelques jours plus tard, lorsque nous nous sommes retrouvées toutes les trois pour étudier le Fa, ma fille a de nouveau mentionné ce qui lui était arrivé, et qu’elle avait mal à la tête chaque fois qu’elle pensait avoir été lésée, ce qui l’empêchait d’étudier le Fa et de faire les exercices. Je me suis éloignée pour aller chercher quelque chose, et quand je suis revenue, elles chuchotaient encore toutes les deux, et ma fille essuyait ses larmes. Je me suis enflammée tout d’un coup, les accusant et leur disant d’aller discuter ailleurs, et j’ai dit d’autres mots désagréables.

Elles étaient choquées et confuses. L’autre pratiquante m’a demandé : « Pourquoi êtes-vous si en colère ? Dites-moi simplement ce que j’ai dit ou fait qui n’est pas dans le Fa. Vous ne devez pas être en colère. » Mes mains et ma tête tremblaient à nouveau. Voyant que j’étais si émotive, elle a dit quelques mots à ma fille et est partie.

Ma fille s’est tournée vers moi et m’a dit : « Qu’est-ce que tu fais ? Es-tu encore une pratiquante ? Pourquoi es-tu si impolie et en colère ? Qu’avons-nous fait de mal toutes les deux ? » Cette série de questions m’a laissée perplexe.

Pourquoi étais-je si irrationnelle et impulsive à ce moment ? N’était-ce pas une manifestation de mon côté démoniaque ? En étudiant le Fa et en regardant à l’intérieur, j’ai réalisé que c’était en touchant ces attachements dont j’aurais dû me débarrasser. Comment se fait-il que ce qui est arrivé à ma fille et à moi soit si semblable ? Ne s’agit-il pas d’utiliser la situation de ma fille pour déterrer les rancœurs et les griefs enfouis au fond de mon cœur depuis de nombreuses années et les éliminer ?

Je n’avais tout simplement pas évacué les pensées pleines de griefs et de ressentiment d’il y a des années, et la jalousie et l’émotion à l’égard de ma fille sont également ressorties. C’est pourquoi j’étais si irrationnelle et je parlais avec des mots blessants, ce qui n’est pas du tout le cas d’une pratiquante. Je dois me débarrasser de la nature démoniaque et cultiver la nature de bouddha.

Après avoir réalisé cela, mes jambes et le bas du dos ne me faisaient plus mal, et mes mains et ma tête ont cessé de trembler. Ma fille a également réussi son test de xinxing. J’ai invité l’autre pratiquante chez moi et je me suis sincèrement excusée auprès d’elle. Elle m’a répondu : « Il n’y a pas lieu de présenter des excuses, nous sommes toutes des pratiquantes. C’est en fait une bonne chose pour nous de nous tempérer les uns les autres, et pour moi de découvrir ce que je dois abandonner dans le xiulian. »

Nous rencontrons tous des épreuves et des tribulations dans la cultivation, et ce sont toutes de bonnes choses. Le Maître nous a laissé ce format d’étude collective du Fa dans la cultivation : pour que nous étudiions le Fa ensemble, que nous nous encouragions mutuellement, que nous échangions nos expériences et que nous éliminions les conceptions humaines dans cette Terre pure, afin que nous puissions avancer plus solidement et achever notre cultivation plus rapidement.

Ce qui précède est ce que j’ai réalisé à mon niveau, veuillez me corriger si quelque chose n’est pas conforme au Fa.

Merci, Maître, pour votre salut compatissant !

Traduit de l’anglais