Prendre du recul pour réfléchir sur moi-même et m'élever dans la cultivation

(Minghui.org) Salutations, Maître ! Salutations, chers compagnons de cultivation !

Ces derniers temps, j’ai relâché ma cultivation, ce qui a conduit à divers états négatifs, tels que de graves malaises physiques, de la fatigue, un manque de motivation pour faire les exercices, un manque de concentration pendant l’étude du Fa, un manque de concentration pendant l’émission de la pensée droite, une réticence à clarifier la vérité aux gens, et un sentiment de dépression. Néanmoins, Maître Li a toujours organisé des rencontres positives et édifiantes pour m’encourager.

J’aimerais vous raconter comment j’ai présenté le Falun Dafa et la persécution en Chine à mes clients et à d’autres personnes, et comment j’ai finalement regardé à l’intérieur et trouvé l’un de mes attachements profondément cachés à travers des problèmes persistants avec ma voiture.

Clarifier la vérité à mes clients

Cela fait environ un an que je dirige ma propre entreprise de nettoyage, dont je suis la propriétaire et la seule employée. Bien que mon travail consiste principalement à gagner ma vie, il me donne également l’occasion de parler à mes clients du Falun Dafa et de la persécution, et de leur présenter Shen Yun et Gan Jing World. J’accorde une attention particulière à l’établissement d’une relation de confiance avec mes clients, et je me soucie moins de l’argent que je gagne. Je leur offre mon soutien chaque fois qu’ils ont besoin d’aide et je fais de mon mieux pour leur donner une bonne impression des pratiquants de Falun Dafa.

Mes clients sont principalement des personnes âgées souffrant de multiples problèmes de santé, notamment un policier à la retraite, un enseignant à la retraite, un couple marié dont le mari est handicapé à cause de la polio, une infirmière, une femme célibataire de 80 ans, un père célibataire souffrant de dépression, etc. Ils connaissent désormais tous le Falun Dafa et la persécution. Je les traite avec gentillesse et patience, je réponds à leurs besoins, j'essaie d'être indulgente et je laisse leur logement impeccablement propre. Cela peut parfois être très difficile !

Un exemple : le policier à la retraite est extrêmement pointilleux, son regard est sévère et pénétrant, et il vit dans une grande maison à deux étages avec sa famille. Lorsque j’ai franchi sa porte pour la première fois avec mon matériel de nettoyage, j’étais terriblement nerveuse et je ne savais pas si je serais capable de faire le travail à son entière satisfaction. Il s’est avéré qu’il avait aussi un côté très attentionné et après avoir nettoyé pendant environ deux heures, il m’a offert un café. Agréablement surprise, j’ai accepté, et il m’a demandé de faire une pause et a commencé à me parler de la foi et du monde. J’en ai profité pour lui clarifier les faits concernant la persécution. Depuis lors, je fais le ménage chez lui toutes les trois à quatre semaines.

Pendant les trois premiers mois, j’ai eu du mal à me motiver pour y aller, parce que la maison est immense et qu’après l’avoir nettoyée, je suis épuisée. Puis j’ai réalisé que je devais changer d’attitude et voir les choses sous un angle positif. Après tout, je suis une pratiquante de Falun Dafa et je suis tout à fait capable de faire ce travail. Au lieu de m’inquiéter de l’énorme « montagne de travail », il vaut mieux me concentrer sur chaque tâche au lieu de penser à la quantité de travail qu’il me reste à faire et à la fatigue que cela représente.

Un jour, j’ai réalisé que ce travail était devenu l’un de mes préférés. « Encore une journée de plaisir ? » Le policier m’a accueillie en ouvrant la porte, avec un air sérieux. Il a son propre sens de l’humour, et il aime aussi me surprendre en me confiant des tâches supplémentaires, comme le nettoyage de son garage, ou une fois où l’on m’a demandé de nettoyer une grosse machine à pop-corn sur roues. Au bout d’un certain temps, il m’a fait confiance et a quitté la maison pour faire quelques courses pendant que je nettoyais. Lorsqu’il est revenu et m’a demandé comment les choses se passaient, et que je lui ai dit que je devais encore nettoyer les salles de bains et les sols, il m’a demandé en plaisantant pourquoi j’étais si lente et qu’il pensait que j’avais déjà terminé. Au début, j’ai ressenti une certaine pression, mais au bout d’un moment, j’ai compris que c’était sa façon à lui de plaisanter. Alors que je lui disais récemment que je devais augmenter un peu mes prix, il s’est exclamé : « Mais vous êtes si vieille et si lente ! Je peux trouver quelqu’un de plus jeune et de plus rapide ! Ce serait moins cher pour moi ! » J’ai répondu en souriant que je serais heureuse pour lui si c’était le cas. Il a grimacé et a fait un signe de la main. Il ne sourit presque jamais. Mais je sais qu’il m’apprécie.

Chaque fois qu’il m’offrait un café, il me racontait sa vie, qui s’est avérée assez pénible. Il aimait philosopher et nos conversations devenaient de plus en plus profondes. Lorsque la compagnie Shen Yun Performing Arts était sur le point de se produire à Jacksonville, je lui ai donné un dépliant et l’ai encouragé à assister au spectacle avec sa famille. Malheureusement, il ne l’a pas fait et j’ai demandé au Maître de lui donner une autre occasion. Un jour, alors que nous parlions de ce qui se passe dans le monde et de l’importance d’avoir une croyance, il m’a dit qu’il était catholique mais qu’il n’allait plus à l’église. Nous avons parlé de la mort et du principe selon lequel le bien est récompensé et le mal puni.

La fois suivante, je lui ai apporté l’article du Maître « Pourquoi l’humanité existe-t-elle », concernant notre dernière conversation. Il a jeté un bref coup d’œil à l’article, puis s’est assis devant son ordinateur. Quelque peu déçue, j’ai continué à nettoyer. Soudain, j’ai entendu une imprimante, et peu après, il m’a rendu l’article et une copie imprimée supplémentaire, en disant : « J’ai trouvé l’article en ligne ! Il est excellent ! Je l’ai imprimé pour ma famille, ils doivent tous le lire. Voici un exemplaire supplémentaire pour vous, afin que vous puissiez le transmettre à d’autres personnes. » J’étais stupéfaite. Alors que j’avais presque perdu espoir, un petit miracle s’est produit. Les arrangements du Maître sont fabuleux ! J’étais heureuse pour lui et pleine de gratitude pour les encouragements du Maître.

J’ai compris qu’éveiller les êtres ne se fait pas toujours immédiatement et qu'il faut parfois de la patience et du temps. J’ai également compris que je ne devais pas me précipiter, mais donner à mes clients le temps de mieux me connaître avant de leur parler du Falun Dafa. Par exemple, lorsqu’ils mentionnent ma gentillesse ou disent que je suis différente des autres, que j’ai un grand cœur ou que je ne suis pas axée sur le profit, ils peuvent l’accepter plus facilement et avec une meilleure compréhension.

Outre ma propre entreprise, je travaille le week-end en tant que sous-traitante pour une autre société, que je représente sur des stands lors de salons de l’habitat, de festivals, etc. Il y a plus d’un an, alors que j’aidais au stand de promotion de Shen Yun, j’ai rencontré la directrice de cette entreprise parce que son stand était proche du nôtre. Peu après, elle m’a engagée. Nous nous entendons très bien et l’un des propriétaires adore Shen Yun. Chaque fois qu’il s’agit de promouvoir Shen Yun, ils m’autorisent à distribuer des dépliants Shen Yun aux passants pendant que je travaille sur leur stand ! De cette façon, nous pouvons atteindre plus de gens et leur donner la chance d’être sauvés. Je suis très reconnaissante au Maître pour son arrangement ! Bien qu’il soit parfois difficile de rester dans un hall glacial toute la journée, ou à l’extérieur dans la chaleur, c’est une bonne occasion de distribuer des dépliants de Falun Dafa, de Shen Yun ou de Gan Jing World aux gens.

Il arrive qu’un événement soit annulé ou écourté en raison du mauvais temps. Il arrive que des clients annulent leur rendez-vous de nettoyage au pied levé, ce qui me cause des pertes financières. Cependant, dès que je laisse tomber mes inquiétudes et que je fais pleinement confiance au Maître, il s’avère que mon soutien est nécessaire de toute urgence pour un projet de Dafa ce jour-là, ou qu’il y a un endroit où je dois aller, et je rencontre d’autres personnes qui ne sont pas encore familiarisées avec le Falun Dafa. Ensuite, mon travail rattrape son retard, tout comme mes revenus.

J’ai compris que si je ne pense pas trop et que je suis capable d'abandonner mes conceptions humaines, de faire confiance au Maître, de suivre le cours des choses et de faire simplement les trois choses, tout se met en place.

J’ai travaillé dans un village de vendeurs. Après avoir installé le stand, il a commencé à pleuvoir. Comme il restait plus d’une demi-heure avant le début de l’événement, j’ai décidé de pratiquer les exercices 1, 3 et 4. Après avoir terminé, ma « voisine de stand » s’est approché de moi et m’a dit : « Je vous ai regardé faire vos exercices. Vous dégagez une forte énergie et la pluie s’est arrêtée. » Quand je lui ai présenté le Falun Dafa et demandé si elle était intéressée par plus d’informations, elle a répondu : « Oui, absolument ! »

Ma voiture m’aide à identifier mon attachement fondamental

Ma voiture étant tombée en panne il y a environ un an, j’ai acheté une Jeep d’occasion. Mais au bout de deux jours seulement, plusieurs voyants se sont allumés, et je l’ai donc ramenée pour un contrôle. Il ne semblait pas y avoir de problème grave, juste des capteurs sensibles qui étaient probablement mal interprétés par l’ordinateur. Mais un mois plus tard, le voyant du moteur s’est mis à clignoter et j’ai dû remplacer un cylindre. D’après le « lecteur de diagnostic », plusieurs réparations s’imposaient.

J’ai donc de nouveau emmené la Jeep au garage et certains capteurs ont été remplacés. Néanmoins, les voyants ont continué à s’allumer. Après une vidange d’huile et le remplacement de deux pneus, ma voiture continuait à avoir des à-coups lorsque je la conduisais.

Par prudence, j’ai fait vérifier toutes les roues, mais tout semblait aller bien, à l’exception d’un capteur de roue « mourant » (qui venait d’être remplacé !) et peut-être d’autres réparations mineures à venir. Un peu plus tard, le voyant électrique s’est allumé et j’ai réalisé que la Jeep était en surchauffe. Une vérification rapide a révélé qu’il y avait une fuite de liquide de refroidissement et que le radiateur devait être remplacé.

Le concessionnaire qui m’a vendu la voiture, et qui était aussi mon premier client pour le nettoyage, s’est senti mal et a pris en charge le coût des matériaux, de sorte que je n’ai eu à payer que les réparations.

J’ai récupéré ma Jeep dans la soirée, mais la réparation a coûté très cher, car il a fallu remplacer tout le moyeu. Cependant, les feux étaient toujours allumés, la conduite était toujours cahoteuse et la voiture semblait ne pas avoir de puissance, quelle que soit la force avec laquelle j’appuyais sur la pédale d’accélérateur. En outre, elle consommait beaucoup d’essence ! Par prudence, j’ai acheté un jeu de cylindres et de bougies au cas où il faudrait les remplacer. Ma famille et mes amis m’ont incité à chercher une autre voiture et à me débarrasser au plus vite de ce « mauvais achat ». Mais d’une part, je n’avais pas assez d’argent et d’autre part, j’avais le sentiment que cette voiture avait une relation prédestinée avec moi.

J’ai commencé à me demander si cela avait quelque chose à voir avec ma cultivation. À quoi ressemblait l’état de ma cultivation ? Je me relâchais depuis un certain temps, mon corps me faisait souvent souffrir, alors je devais me ressaisir pour faire les exercices tous les jours. J’étais souvent distraite lorsque je lisais le Fa parce que j’étais inquiète. Parfois, je n’étais pas en mesure d’émettre la pensée droite aux quatre moments globaux parce que je devais travailler. Même si j’avais l’intention de me rattraper plus tard, je n’y parvenais toujours pas. Je me sentais également de plus en plus déprimée en raison de la situation désespérée dans laquelle se trouvait mon mari, malade mental et absent. Même si j’essayais de regarder à l’intérieur et de voir les choses du point de vue du Fa, je retombais souvent dans des pensées négatives. Je me sentais comme une grenouille qui essaie de sortir d’un puits, mais qui retombe sans cesse.

Cela ne pouvait pas continuer ainsi ! Soudain, j’étais absolument certaine que mes problèmes de voiture avaient quelque chose à voir avec ma cultivation. Pourquoi les mécaniciens n’arrivaient-ils pas à résoudre le problème, et pourquoi les phares restaient-ils allumés malgré plusieurs réparations ? On aurait dit qu’ils n’avaient pas trouvé la cause du problème. À ce moment-là, c’était comme si j’étais frappé par un marteau : était-ce parce que je n’avais pas encore trouvé mon attachement fondamental ? Mais quel était mon attachement fondamental ?

J’ai décidé de prendre un peu de recul, de prendre du temps et de sérieusement regarder à l'intérieur. Je me suis souvenue d’une conversation que j’avais eue avec mon fils il y a quelque temps. Le Maître utilise souvent la bouche de mon fils pour me donner un avertissement. Alors que nous parlions récemment du Falun Dafa, mon fils m’a dit : « Tu te concentres souvent sur le côté négatif des choses. Même si tu cultives, tu n’es pas vraiment heureuse. Je pense que tu utilises Dafa pour être heureuse. Tu peux méditer toute la journée, mais cela ne t’aidera pas si tu ne changes pas de l’intérieur. »

Ses mots m’ont frappé comme un marteau, et j’ai immédiatement reconnu qu’il s’agissait d’une indication du Maître. J’ai expliqué que le Falun Dafa était la voie que je devais suivre et que je devais faire les trois choses pour accomplir mon vœu, et que c’était seulement grâce à la pratique que j’avais tant d’énergie et un corps sain.

Mais quelque chose n’allait pas, alors j’ai regardé à l’intérieur. La cultivation est une chose sérieuse. Il avait raison, je me plaignais beaucoup, au lieu de prendre les choses à la légère et de me comporter comme une pratiquante.

Pourquoi me sentais-je heureuse et épanouie lorsque je travaillais sur des projets liés à Dafa ou que je participais à des activités liées à Dafa, alors que je me sentais souvent déprimée dans ma vie quotidienne ? Pourquoi me cultivais-je ? Utilisais-je vraiment Dafa pour combler un vide en moi et me libérer de la maladie ? Si c’était le cas, je n’étais pas une vraie pratiquante ! La pratique du Falun Dafa semblait me donner un sentiment de sécurité, comme une sorte d’assurance-vie. Pourquoi cherchais-je la sécurité ? Il y avait en moi une peur profondément ancrée qui se manifestait par plusieurs peurs : la peur de l’existence, la peur d’être rejetée, la peur d’échouer et de ne pas bien faire mon travail, la peur de l’isolement et de la solitude, la peur que mes enfants se perdent dans la grande cuve de teinture de la société et ne soient pas sauvés, la peur de commettre des erreurs et d’échouer dans la cultivation. Peut-être avais-je encore d’autres peurs que je n’avais pas identifiées.

Bien que cette peur ait été exposée auparavant, je n’ai pas vraiment essayé de l’éliminer. Je me rends compte aujourd’hui que la peur est la cause de mon relâchement et de ma dépression. Elle est également à l’origine de ma jalousie, de mon ressentiment, de ma combativité, de mon zèle, de mon impatience et de mon attachement aux sentiments humains. J’ai également découvert un attachement au temps qui, à son tour, a renforcé ma peur.

J’ai probablement considéré Dafa avec une sorte d’émotion humaine, tout en m’accrochant à mon attachement fondamental et à d’autres attachements. Il semble que quelque chose en moi ne veuille pas lâcher les choses humaines et s’efforce toujours de mener une vie confortable dans le monde séculier.

La peur de l’existence et du rejet était profondément ancrée en moi à cause de mon enfance difficile, et c’est aussi la raison pour laquelle j’étais jalouse. Depuis toujours, j’aspirais à une famille intacte, mais j’ai vécu le contraire. Après avoir divorcé de ma mère, mon père s’est remarié et a élevé deux fils, que j’enviais. Alors qu’ils menaient une vie de famille harmonieuse et partaient en vacances chaque année, j’ai grandi sans père et vécu avec ma mère, qui était pleine de peurs. Mon environnement était très déprimant. Aujourd’hui encore, il m’arrive de regarder des familles heureuses avec un cœur mélancolique. Je ressens alors un sentiment de culpabilité, car mes enfants ont également grandi sans père, et je n’ai donc pas fait mieux que mes parents.

Je crois que la peur est mon attachement fondamental et qu’elle me fait me sentir indigne d’être une pratiquante de Falun Dafa. Mon état d’esprit m’empêche de devenir une véritable pratiquante. Il est temps de laisser tomber cet obstacle et de m’apprécier moi-même et la cultivation !

Après cette prise de conscience, j’ai appelé mon concessionnaire et j’ai demandé un autre diagnostic pour mon véhicule. Il m’a recommandé un garage en particulier, je m’y suis donc rendu et j’ai demandé un rendez-vous. Le mécanicien m’a semblé peu aimable et bref, et je n’ai pas eu un bon pressentiment. Mais j’ai eu l’impression qu’il était tout simplement sous pression et surchargé de travail, après tout, il ne s’agissait que d’un contrôle et non d’une réparation.

Pendant ce temps, je cherchais d’autres failles dans ma cultivation. Moi aussi, il m’arrivait d’être impatiente et dure envers les autres lorsque j’avais trop à faire.

Finalement, le mécanicien a trouvé le problème : il s’agissait d’un module, d’un ordinateur qu’il fallait remplacer. Le module actuel ne fonctionnait plus, ma voiture ne lisait plus rien et c’est pour cela que les feux restaient allumés.

Je me suis senti soulagée. Mais il m’a dit qu’il ne pouvait pas garantir que la pièce serait disponible et qu’elle pourrait coûter 1000 dollars. Il a également précisé qu’une fois la pièce réparée, il était possible que la transmission doive être remplacée prochainement, car la voiture avait déjà 10 ans, et que cela coûterait encore plus cher.

Mon esprit s'est vidé. Quel cauchemar ! Lorsque j’ai demandé le coût du diagnostic, il m’a dit que c’était gratuit. Je l’ai remercié et lui ai promis de revenir pour lui donner au moins un pourboire. Il avait l’air fatigué et je savais qu’il travaillait dur pour gagner sa vie.

Je suis revenue comme je l’avais promis et je lui ai également donné un exemplaire des documents de clarification de la vérité, qu’il a accepté avec plaisir.

Entre-temps, mon concessionnaire a commandé le module nécessaire et a fait en sorte qu’il soit remplacé par un autre mécanicien. Mon concessionnaire a pris en charge le coût de l’ensemble de la réparation et, lorsque j’ai insisté, il m’a serré dans ses bras et m’a dit que tout allait bien. Il a également remplacé les bobines d’allumage et les bougies. En échange, j’ai nettoyé sa maison gratuitement, et tout le monde était content.

Aujourd’hui, ma voiture roule comme si elle était neuve. Dès que j’ai regardé à l’intérieur et que j’ai trouvé mes attachements fondamentaux, le problème fondamental de ma voiture a également été résolu.

Rien dans notre cultivation n’est accidentel, et même les choses que nous utilisons tous les jours sont liées à notre cultivation. Merci, Maître, de ne pas m’avoir abandonné, moi, votre élève qui progresse très lentement dans la cultivation. Merci, Maître, pour vos conseils et votre compassion sans limite !

C’est ma compréhension actuelle à mon niveau limité. Je continuerai à travailler à bien faire les trois choses, à m’aligner sur le Fa et à me cultiver solidement, afin de pouvoir suivre la rectification de Fa, d’accomplir mon vœu et de rentrer chez moi avec le Maître.

(Article sélectionné présenté à la conférence de partage d’expériences 2025 en Floride)

Traduit de l’anglais