(Minghui.org)
Je ne peux être où tu n’es pas
J’ai tant erré dans ma jeunesse,
Passant le temps, cherchant des choses insaisissables.
C’était comme attendre et désirer grandir,
alors que cela ne m’emmenait à rien.
Comme je n’avais pas d’étoiles à contempler, j’ai appris à lire, beaucoup,
pas d’épaule sur laquelle m’appuyer.
Lorsque la suffocante oppression de la liberté commença,
Je fus entraînée dans un monde désorienté.
Avec la liberté, vinrent combats et perplexité,
l’objectif initial oublié, je me suis perdue rapidement.
Jusqu’au jour où le coucher de soleil fut si radieux,
Les cieux, l’océan et la terre ne firent plus qu’un, comme si un monde doré s’était soudain formé.
Courant comme une enfant vers ses parents,
je me précipitai vers ce monde doré, me rapprochant du divin !
Quelques années plus tard c’est confirmé : tel fut le jour
où le Créateur se révéla à nouveau pour me montrer le chemin.
Le monde est un labyrinthe s’il n’est pas vu comme un piège,
Des millions d’occasions sont perdues tandis que la vérité de la vie est cachée,
Quelle chance de ne pas être abandonnée par le Créateur !
En adoptant la grande bienveillance, je me rappelle que nous sommes tous des êtres descendus de royaumes élevés !
La vie ne s’est pas poursuivie sans difficultés,
même une fois que le Fa fut devenu ma Grande Ourse.
Pourtant, les choses agréables sont encore plus gratifiantes,
et la souffrance a maintenant pris tout son sens.
Authenticité-Bienveillance-Tolérance - le Fa,
Je ne peux être où tu n’es pas.
Parfois à bout de souffle,
Déterminée pourtant à marcher jusqu’au bout de ce chemin divin, aux côtés de mes vaillants compagnons venus de lointains cosmos.
Authenticité-Bienveillance-Tolérance - le Fa,
Je ne peux être où tu n’es pas.
Comme la voile a besoin du vent pour atteindre la rive,
Comme l’homme a besoin d’un corps et d’une âme pour pouvoir rire jusqu’au bout de cette ère.
Traduit de l’anglais
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