Le réveil d’une passagère face à la tromperie du PCC

(Minghui.org) Voici une expérience que j’ai vécue en prenant le bus il y a quelques années.

Ma fille avait loué un nouvel appartement dans une autre ville. Il lui manquait une grande cuillère de cuisine, alors elle m’a demandé de lui apporter des cuillères, des bols et d’autres ustensiles supplémentaires. J’ai rempli deux sacs lourds et suis montée dans un bus. Le bus était rempli, mais j’ai réussi à me frayer un chemin jusqu’à l’arrière et suis restée debout.

Lorsque le bus s’est arrêté à une station, un homme assis à côté s’est levé pour descendre. Je me suis déplacée vers sa gauche, ce qui m’a facilité la tâche pour prendre son siège une fois qu’il était parti. Mais juste à ce moment-là, une passagère près de la porte a remarqué qu’il se levait et a poussé les gens devant elle pour atteindre le siège libre. Remarquant son anxiété, j’ai décidé de la laisser prendre le siège, même si je portais une lourde charge.

La femme semblait avoir environ 60 ans. Alors qu’elle se pressait, je gardais le siège vide pour elle, « S’il vous plaît, asseyez-vous ! » Elle avait les mains vides et s’est assise sans dire un mot. J’avais 58 ans à l’époque, et si je n’avais pas pratiqué le Falun Dafa, je ne lui aurais pas offert la place. Avant de commencer à pratiquer, je détestais qu’on profite de moi et j’avais une forte mentalité compétitive. Mais Maître Li exige que nous considérions d’abord les autres lorsque nous faisons des choses.

Après que le bus a roulé pendant un certain temps, une femme élégamment vêtue avec des cheveux teints en blonds s’est tournée vers moi et m’a demandé : « Vous portez tous ces sacs lourds. Pourquoi n’avez-vous pas pris cette place ? »

J’ai répondu : « J’ai vu qu’elle poussait les autres passagers de côté, alors j’ai pensé que je la laisserais avoir cette place. » Elle m’a demandé où je descendais. J’ai répondu, « Au terminus ».

« Le terminus est à cinquante minutes. Ce siège devrait être le vôtre. Vous transportez toutes ces choses lourdes ! »

Lorsque le bus est arrivé à un autre arrêt, le passager assis à côté d’elle est descendu. Elle a dit : « Venez vous asseoir ! Avec toutes ces affaires, ce siège aurait dû être le vôtre. » Je l’ai remerciée et lui ai dit que c’était d’accord. Elle m’a demandé : « Avez-vous une croyance ? » J’ai mentionné que je pratiquais le Falun Dafa. Ne m’ayant pas entendu clairement, elle a répété : « En quoi croyez-vous ? »

J’ai répondu : « C’est le Falun Dafa ! »

En entendant cela, elle a commencé à crier : « Grande imbécile, vous êtes une grande imbécile ! » Ses mots m’ont surprise. Quand les autres passagers l’ont entendue, tout le monde est devenu silencieux. La femme a remarqué : « Si le gouvernement ne vous permet pas d’y croire, pourquoi le faites-vous encore ? »

Elle a ensuite fait des remarques diffamatoires qui faisaient écho à la propagande du Parti communiste chinois (PCC). J’ai répondu : « Il s’agit de la liberté de croyance. Le Falun Dafa est une pratique bouddhiste qui cultive l’Authenticité, la Bienveillance et la Tolérance. » Mais elle m’a interrompu et a continué à tenir des propos irrationnels pour me faire taire.

J’ai répondu : « Nous essayons toujours de faire le bien pour les autres où que nous soyons ! » Mais elle a continué à crier. À ce moment-là, je me suis dit : « Je ne discuterai pas avec elle, et je ne laisserai pas ses émotions m’affecter. » J’ai ensuite commencé à émettre la pensée droite pour éliminer les éléments maléfiques qui la contrôlaient.

Quand elle s’est calmée, j’ai dit : « Si vous aviez le choix, préféreriez-vous vous lier d’amitié avec quelqu’un qui complote contre vous, ou avec quelqu’un qui pense toujours à vous en premier et vous souhaite le meilleur pour vous-même? »

Elle a marqué une pause avant de s’exclamer : « À partir de maintenant, je ne tolérerai personne qui dit que le Falun Dafa est mauvais ! » Puis elle s’est tapoté le torse et a lâché : « Falun Dafa est bon ! Falun Dafa est bon ! »

Quand le bus est arrivé à son arrêt, elle s’est levée et s’est dirigée vers la porte. Quand elle s’est retournée, elle a fait un signe de la main, j’ai souri et j’ai fait un signe en retour. Après être descendue, elle a continué à regarder par la fenêtre, alors j’ai de nouveau fait signe. Elle se comportait comme une vieille amie, réticente à se séparer. J’étais si heureuse pour elle de voir qu’elle avait une attitude positive envers Dafa. Puissent tous les êtres découvrir la vérité sur Dafa et s’éveiller !

Traduit de l’anglais