Mon oncle et ma tante ont changé d’avis à propos du Falun Dafa

(Minghui.org) J’ai commencé à pratiquer le Falun Dafa en 2011 après qu’on m’a diagnostiqué un cancer du sein. J’ai pu me rétablir sans aucun traitement médical. En voyant ma guérison, ma belle-mère a également commencé à pratiquer. Sa douleur persistante au dos, sa bronchectasie et son hémoptysie chronique ont été résolues. J’ai une famille assez nombreuse et beaucoup de membres de ma famille ont embrassé Dafa à des degrés divers, mais le frère de mon beau-père et sa femme – mon oncle et ma tante – sont opposés à la pratique.

Nous vivions dans le même quartier, et mon oncle est directeur d’entreprise. Le deuxième jour du Nouvel An chinois, je lui ai donné un exemplaire des Neuf commentaires sur le Parti communiste. Il a immédiatement objecté et a dit que le Parti communiste chinois (PCC) lui avait donné un salaire mensuel de plus de 10 000 yuans, donc il ne pouvait pas s’y opposer. Ma tante était arrogante, méprisait les autres et aimait les commérages. Chaque fois que je rendais visite à nos proches et mentionnais le Falun Dafa, elle se moquait de moi. Ils craignaient que ma pratique du Falun Dafa ne les affecte négativement, alors ils ont acheté une maison dans un autre quartier et ont déménagé.

En août dernier, le petit-fils de ma sœur a fêté son premier anniversaire. Au banquet, j’ai remarqué ma tante portant une robe à fleurs avec une ceinture autour de la taille. Je l’ai accueillie chaleureusement, puis me suis assise à une table à proximité. Une fois le repas fini, elle s’est approchée de moi et m’a dit : « Apprends-moi les exercices de Falun Dafa ! Je veux lire ce livre. »

J’étais surprise. Puis ma belle-mère est passée nous voir et m’a dit que ma tante souffrait de fortes douleurs dorsales dues au fait de s’occuper de son petit-fils. Sa belle-fille était mécontente de ses efforts et se disputait souvent avec elle. Elle a remarqué que ma belle-fille était si gentille avec moi et qu’elle m’avait apporté de la nourriture. J’avais l’air pleine d’énergie même si je m’occupais de mes deux petits-enfants. Elle admirait l’harmonie et le bonheur de ma famille.

Ma belle-mère leur a parlé des bienfaits de pratiquer le Falun Dafa, en s’appuyant sur sa propre expérience. Elle a dit : « J’ai plus de 80 ans, et ma voix est toujours forte et claire. Plus je vieillis, mieux je me porte. »

Mon oncle lui a demandé comment elle s’était débarrassée de sa douleur sévère au dos. Ma belle-mère a répondu : « En pratiquant le Falun Dafa ! » Il n’en croyait pas ses oreilles. Elle a continué : « Je pratique le Falun Dafa, et je suis le principe Authenticité-Bienveillance-Tolérance. Je ne vous mentirais pas. J’ai eu trois maladies graves avant que je ne pratique. La première était une douleur chronique au dos. Une année, je suis allée à l’hôpital central pour faire une radiographie. Dès que je suis sortie du taxi, je suis tombée par terre. D’autres ont voulu m’aider, mais je leur ai dit de n’en rien faire. Je suis restée au sol pendant plus de dix minutes avant de pouvoir me lever. Chaque fois que la douleur au dos revenait, je devais rester alitée pendant plus d’un mois. Cependant, après plus de dix ans de pratique du Falun Dafa, la douleur au dos n’est jamais revenue. »

Voyant qu’ils écoutaient attentivement, ma belle-mère a poursuivi : « La deuxième était une hémoptysie due à une bronchectasie. Je crachais du sang quand j’étais fatiguée de travailler dans les champs. J’en voulais souvent à ton frère de ne pas m’aider. Après m’être disputée avec lui, mon état s’est aggravé. C’était comme si un couteau me tranchait la gorge. La troisième maladie était le zona. Vous connaissez le Dr Xu de notre village, n’est-ce pas ? Sa femme est morte de cette maladie, et il est médecin ! Mon cas était grave. J’avais des ampoules partout autour de la taille, et c’était incroyablement douloureux. Elle (se référant à moi) est restée avec moi, et nous avons lu le Fa et fait les exercices. Je n’ai pas pris de médicaments pendant vingt et un jours et j’ai récupéré. Ce sont mes expériences personnelles. Je me sens en bonne santé et légère. Je me sens toujours pleine d’énergie maintenant, et je ne blâme plus ton frère. Cette pratique est incroyable. Tu devrais lui demander un exemplaire du livre (Zhuan Falun) ! »

Quand je suis rentrée chez moi le soir, j’ai appris que ma tante avait demandé à mon mari comment j’allais. Mon mari a répondu : « Très bien. Vous savez tous qu’elle était médecin, mais elle ne pouvait pas sauver sa propre vie. Le médecin de l’hôpital à Pékin a dit que son taux de survie n’était que de 15 %. Au cours des quatorze dernières années, elle n’a pas pris une seule pilule. Notre famille a une vie trépidante, mais elle est la plus travailleuse parmi nous. Je ne l’ai jamais entendue se plaindre des difficultés ou du fait qu’elle était fatiguée. La belle-mère et la belle-fille s’entendent bien, et mon fils et ma belle-fille sont très respectueux envers elle et mes parents. Elle ne se compare jamais avec mes trois autres frères. Elle a invité mes parents chez moi pour le Nouvel An. Voyant que mes parents vieillissent, elle est retournée dans notre ville natale en juin pour rénover la maison qu’elle a achetée pour eux. Mon père a dit qu’il voulait vraiment vivre quelques années de plus, vu que ses enfants sont gentils avec eux. Les gens autour de nous disent qu’ils peuvent sentir l’harmonie dans notre famille. »

J’étais tellement heureuse que ma tante ait hâte de lire le Zhuan Falun. J’ai promis de lui apporter le livre avant le dîner et de lui enseigner les exercices. Quand nous sommes arrivés à l’hôtel vers 16 h, mon oncle et ma tante étaient déjà là. Mon oncle a dit : « Ta tante ne dîne jamais. Nous ne serions pas venus si elle n’avait pas voulu apprendre les exercices avec toi. »

J’ai souri à mon oncle et j’ai répondu : « C’est génial ! Mais d’abord, tu devrais démissionner du PCC (et de ses organisations affiliées). Alors seulement tu pourras recevoir la protection du divin ! » Mon oncle et ma tante ont souri et dit qu’ils le feraient.

Je lui ai appris le premier et le quatrième exercices. Elle les a rapidement assimilés et a dit qu’elle se sentait détendue. Je lui ai dit que la grande voie est simple et directe, mais qu’elle ne devrait pas faire les exercices dans le but de guérir sa maladie. Je lui ai suggéré de lire le Zhuan Falun en premier lieu. Cela pourrait l’aider. Ce livre est précieux ! J’ai promis de lui rendre visite dans deux jours. Elle a dit : « Je me souviendrai de tout ce que tu as dit ! »

Quand nous avons fini de faire les exercices et que nous sommes revenues, le banquet était presque terminé. Tout ce que je pouvais entendre, c’était tout le monde parler du Falun Dafa. Ma plus jeune belle-sœur lui a dit sincèrement : « Cette pratique est géniale ! C’est incroyable ! Vous devriez également réciter “Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon ! Falun Dafa est bon !” plus souvent. » J’étais tellement soulagée d’entendre cela.

J’avais déjà clarifié la vérité à presque tout le monde lors du banquet, ainsi qu’à certains membres de la famille qui n’ont pas pu y assister. La plupart d’entre eux savent que le Falun Dafa est bon. Je continuerai à travailler dur, à toujours me souvenir que je suis une pratiquante, et à cultiver avec diligence, afin que plus de gens puissent comprendre la vérité, s’assimiler au Fa et entrer dans le nouvel Univers. Je suis reconnaissante pour la compassion et le salut du Maître !

Traduit de l’anglais