(Minghui.org) Bonjour, Maître ! Bonjour, chers compagnons de cultivation !

La présentation du Falun Dafa au monde a aidé des millions de personnes à retrouver la santé et a résolu d’innombrables conflits familiaux. À la fin de l’année 1998, j’ai commencé à pratiquer le Falun Dafa. Les douleurs nerveuses qui me tourmentaient depuis près d’une décennie ont alors disparu. Chaque jour, je me sens légère et libérée de la maladie.

En étudiant le Fa, j’ai compris qu’il y avait des raisons derrière la rancœur entre les gens et j’ai abandonné la haine que j’éprouvais envers un parent que je n’avais pas vu depuis de nombreuses années. Plusieurs générations de ma famille vivent désormais en harmonie.

Le 20 juillet 1999, le Parti communiste chinois (PCC) a lancé la persécution du Falun Dafa et a utilisé sa machine de propagande contrôlée par l’État pour diffamer Dafa. Quand j’ai vu que Dafa, qui sauve les gens, était calomnié par le PCC, j’étais très inquiète. Je voulais dire aux gens la vérité sur le Falun Dafa. Cependant, j’étais très occupée par mon travail. Je faisais des heures supplémentaires jusqu’à 19 ou 20 heures, et parfois jusqu’à 22 heures.

Voyant les pratiquants s’affairer à clarifier la vérité aux gens, je me sentais anxieuse. Les pratiquants savaient que je n’avais pas beaucoup de temps et ils préparaient des documents afin de pouvoir m’accompagner lorsque j’étais disponible dans de petits quartiers résidentiels et nous les distribuions. Cela a duré près de trois ans. Il y avait une bonne entente entre moi et mes compagnons de cultivation. Cependant, cela signifiait que les pratiquants devaient souvent prendre ma situation en considération. J’ai réalisé que je devais suivre mon propre chemin de cultivation.

Le Maître a dit :

« Disciples de Dafa, vous ne devez pas être indignes de la responsabilité grandiose qui vous a été confiée pendant la rectification de Fa, vous devez encore moins décevoir l’attente de cette partie des êtres, vous êtes déjà devenus leur seul espoir de pouvoir ou non entrer dans l’avenir, pour cela, tous les disciples de Dafa, élèves anciens et nouveaux, vous devez tous agir, commencer à clarifier la vérité sur tous les fronts. » (« Abandonner le cœur de l’homme, sauver les gens de ce monde », Points essentiels pour avancer avec diligence III)

Une cliente apprend la vérité

Une de mes clientes est une jeune femme, Mme Li. Elle m’a parlé de ses problèmes familiaux et je l’ai invitée à discuter après le travail. Elle a accepté. Je l’ai écoutée calmement me raconter comment son conflit avec sa belle-famille s’était tellement envenimé qu’ils en étaient venus aux mains. Elle était toujours de mauvaise humeur et se sentait très anxieuse. Je lui ai parlé alors des histoires de la culture traditionnelle que j’avais lues sur Minghui et j’ai analysé la situation de son point de vue. Je lui ai suggéré d’adopter les méthodes utilisées dans les histoires que je lui avais racontées pour gérer les choses, car cela pourrait avoir un impact positif. Elle a accepté et m’a dit qu’elle allait essayer de changer.

Quelques jours plus tard en fin de journée, elle est revenue me voir à mon travail. Elle m’a raconté comment, ces derniers jours, elle avait géré les choses et que les résultats étaient bons. Cependant, elle continuait à se sentir maltraitée. Je l’ai félicitée et lui ai raconté plusieurs histoires de la culture traditionnelle sur la tolérance. Je l’ai encouragée à continuer à faire ce qui était juste et elle est rentrée chez elle heureuse.

Pendant le reste du mois, Mme Li est souvent venue me parler. Elle m’a dit qu’elle se sentait détendue et à l’aise en ma présence. Je lui ai parlé du Falun Dafa et du principe Authenticité-Bienveillance-Tolérance, ainsi que de la façon dont le PCC persécute les pratiquants et invente des mensonges pour tromper les gens. Mme Li a accepté de renoncer à son adhésion au Parti.

Après avoir aidé Mme Li à changer sa perception de Dafa, j’ai réalisé que mon lieu de travail était mon environnement de cultivation. Non seulement je devais essayer d’être une bonne personne et de vivre selon le principe Authenticité-Bienveillance-Tolérance au travail, mais je devais aussi faire de mon mieux pour aider le Maître à sauver les gens. J’essaie désormais d’aider les personnes que je côtoie au travail et j’ai également gagné la confiance de mes clients. Ils me considèrent comme une amie à qui ils peuvent se confier. Pendant que nous discutons, je clarifie les faits concernant le Falun Dafa.

Les responsables de diverses franchises découvrent la vérité sur la persécution

L’entreprise pour laquelle je travaille possède des franchises dans toute la Chine. Chaque année, les responsables des différentes franchises participent à une réunion annuelle. Ma patronne m’a toujours demandé de l’accompagner au siège social à Pékin, car j’étais responsable de la gestion de nombreux aspects depuis qu’elle avait rejoint la franchise. Je m’occupais de tout, de la conception des publicités au marketing, des finances aux impôts, des achats aux ventes, en passant par la maintenance des équipements, le recrutement, la formation et l’accueil des visiteurs. Je gérais les affaires de l’entreprise avec minutie. Parmi les quelque 300 franchises réparties dans tout le pays, les activités de mon entreprise ont toujours été stables.

À presque chaque réunion annuelle, je rends compte au siège social. Les responsables d’autres franchises demandaient souvent à ma patronne : « Comment avez-vous recruté une employée aussi compétente ? » Pendant plus d’une décennie, les responsables de ces franchises ont toujours été curieux à mon sujet et voulaient me poser des questions. J’ai essayé de trouver une occasion de leur parler et de leur clarifier la vérité. Mais la réunion ne dure que trois jours et le programme est dense. Je ne trouvais pas le temps de leur parler de Dafa. Alors que je trouvais cela vraiment dommage, le responsable du siège social a dit aux participants à la réunion : « Vous pouvez aller dans son entreprise pour apprendre. » J’ai remercié le Maître pour cet arrangement !

Tout d’abord, une directrice originaire du Jiangsu est venue nous rendre visite. Elle est restée trois jours, visitant nos bureaux pendant la journée et discutant avec nous le soir. C’est une fonctionnaire et la franchise est son activité secondaire. La directrice adjointe qu’elle avait recrutée avait rejoint un concurrent, emmenant avec elle trois de ses meilleurs employés et de nombreux clients. Les bureaux du concurrent se trouvaient juste en face des siens, elle voyait donc son ancienne directrice adjointe tous les jours. Cette dernière ne semblait pas éprouver de remords après l’avoir vue plusieurs fois et tenait même des propos provocateurs. La directrice du Jiangsu était tellement en colère qu’elle était tombée malade pendant plusieurs jours.

Elle pleurait en me racontant ses problèmes. « Comme j’aimerais trouver une bonne directrice adjointe comme vous. » Je lui ai répondu : « Je pratique le Falun Dafa. Notre Maître nous a enseigné à être attentionnés envers les autres dans tout ce que nous faisons. Nous ne pouvons pas faire des choses qui blessent les autres. » Je lui ai dit que si le PCC ne persécutait pas le Falun Dafa et que tout le monde pratiquait Dafa, toutes les rancunes seraient résolues et son adjointe ne l’aurait pas trahie. La directrice du Jiangsu a compris que Dafa est bon.

Un jour, deux hommes sont venus sur mon lieu de travail. Ils venaient du Jiangsu et avaient entendu dire du bien de moi. Ils voulaient m’inviter à déjeuner. Je me suis dit qu’ils avaient fait un long voyage pour entendre la vérité sur Dafa. Je ne pouvais pas manquer cette occasion, alors j’ai accepté leur invitation. Pendant le déjeuner, l’un d’eux m’a dit : « Nous travaillons dans le même secteur. Nous espérons que vous pourrez nous aider à créer une nouvelle entreprise en utilisant le modèle commercial de votre lieu de travail actuel. Un mois de salaire chez nous équivaut à ce que vous gagnez en un an ici. Du moment que vous nous guidez dans les domaines cruciaux, cela n’aura aucune incidence sur votre travail actuel. »

Je ne me suis pas laissée impressionner par leur offre et je leur ai dit que je pratiquais le Falun Dafa et que je m’efforçais de tout faire selon le principe Authenticité-Bienveillance-Tolérance. Je leur ai dit que je ne pouvais rien faire qui puisse nuire à mon entreprise. Je leur ai demandé de voir les choses sous un autre angle : « Ne souhaiteriez-vous pas qu’aucun de vos employés ne fasse ce que vous me proposez ? » Ils ont ri. Je leur ai alors expliqué tout naturellement ce qu’est le Falun Dafa. Plus tard, ils sont revenus me voir et m’ont dit que leur entreprise avait été créée. Ils m’ont proposé un salaire élevé pour travailler pour eux. J’ai poliment décliné leur offre.

Une fois, je me suis rendue en voyage d’affaires dans une entreprise du Liaoning. La directrice m’a invitée à dîner. Je lui ai demandé : « Sujiatun est-il loin d’ici ? » Elle a été prise de court et m’a demandé : « Pourquoi me posez-vous cette question ? » En adoptant un point de vue neutre, j’ai répondu : « Quelqu’un m’a dit que l’hôpital de Sujiatun avait secrètement détenu de nombreux pratiquants de Falun Dafa, les avait tués pour leurs organes, puis avait incinéré leurs corps. Selon des enquêtes internationales, pendant la nuit, l’hôpital a secrètement transféré les pratiquants de Falun Dafa restants vers un autre endroit. »

Stupéfaite, elle a écarquillé les yeux et m’a dit : « Ne posez pas ce genre de questions, cela pourrait vous causer des ennuis. » Je lui ai alors expliqué ce qu’est le Falun Dafa et comment le PCC persécute les pratiquants. Elle a compris la vérité et m’a remerciée de lui avoir parlé.

Le lendemain, je devais prendre l’avion dans l’après-midi. Je suis allée dire au revoir à la responsable de la franchise du Liaoning. J’ai pris un taxi pour me rendre à la poste et j’ai commencé à discuter avec le chauffeur. Je lui ai parlé de Dafa et de la persécution des pratiquants par le PCC, y compris des prélèvements d’organes. Lorsque je suis arrivée à destination, le chauffeur avait accepté de démissionner du PCC.

J’ai posté dix lettres que j’avais préparées à l’avance pour clarifier les faits, puis j’ai pris un autre taxi pour me rendre à un autre bureau de poste. J’ai également parlé de Dafa au chauffeur. J’ai envoyé dix autres lettres par la poste à ce bureau. Ce matin-là, j’ai pris quatre taxis, trois pour me rendre à des bureaux de poste situés dans différents quartiers et j’ai envoyé trente lettres clarifiant la vérité à des fonctionnaires et des chefs d’entreprise de ma région. Le quatrième taxi m’a conduite à l’aéroport. Après avoir appris la vérité sur Dafa, les quatre chauffeurs ont choisi un avenir radieux pour eux-mêmes.

Par la suite, chaque fois qu’il y a eu de nouvelles franchises ou un problème avec une franchise, le siège social suggérait au propriétaire de la franchise de venir me voir. Je profitais toujours de l’occasion pour leur parler de Dafa.

Ma patronne est témoin de la nature extraordinaire de Dafa

Ma patronne est une femme de caractère qui excelle dans ses études et dans son travail. Elle a des points de vue uniques sur tout, mais elle est plutôt têtue. Après avoir obtenu son diplôme universitaire, elle a travaillé pendant deux ans avant de démissionner pour créer son entreprise. Elle a gagné beaucoup d’argent. Elle croit en l’existence de Dieu. La première fois que je lui ai parlé de Dafa, elle m’a dit qu’elle avait un exemplaire du Zhuan Falun (les principaux enseignements du Falun Dafa) et qu’elle l’avait lu.

J’ai eu une fois l’occasion d’être seule avec elle. Je lui ai expliqué ce qu’est Dafa en partant du principe Authenticité-Bienveillance-Tolérance. Elle m’a regardée et m’a dit : « Je ne fais jamais de mauvaises choses. Le PCC interdit aux gens de pratiquer, mais vous insistez pour pratiquer et vous dites même à tout le monde à quel point c’est bien (le propriétaire de la franchise à Shenyang lui avait parlé de moi). Vous allez avoir des ennuis. » J’ai essayé plusieurs fois de lui expliquer la vérité, mais elle évitait le sujet.

Un soir d’hiver, peu après 20 heures, ma patronne m’a invitée chez elle pour discuter d’une affaire très urgente. Je me suis assise dans sa voiture, puis elle a roulé à toute vitesse. Soudain, un conducteur ivre dans la voiture devant nous a changé de direction et a percuté notre voiture. Tout s’est passé si vite, j’ai perdu connaissance.

Quand j’ai repris conscience, je ne savais pas où j’étais. J’ai essayé d’ouvrir les yeux, mais j’avais tellement mal à la tête que j’avais envie de vomir. J’ai fermé les yeux et j’ai pensé : « Où suis-je ? Pourquoi ai-je si mal à la tête ? » Puis j’ai pensé : « Je suis une pratiquante de Falun Dafa, pourquoi aurais-je mal à la tête ? » J’ai fermé les yeux et j’ai récité trois fois : « Falun Dafa est bon, Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon. » Ma tête a cessé de me faire mal. J’ai ouvert les yeux et dès que j’ai bougé le haut de mon corps, la douleur m’a donné l’impression que mon torse s’était retourné et renversé. J’ai récité la phrase trois fois de plus et mon corps a cessé de me faire mal. Je me suis redressée et j’ai essayé de lever les jambes. La douleur dans mes jambes m’a fait transpirer à grosses gouttes et j’ai de nouveau eu envie de vomir. J’ai rapidement récité la phrase et la douleur dans les jambes a cessé. J’ai bougé mon corps et j’ai essayé de voir où j’étais, mais ma vision était floue. Je ne retrouvais pas mes lunettes.

À ce moment-là, j’ai entendu quelqu’un dire : « Vite, regardez ! La personne dans la voiture s’est réveillée ! » J’ai essayé de pousser la portière (la voiture était complètement déformée par la collision) et je suis sortie. J’ai vu qu’il y avait une longue file de voitures devant et derrière la mienne et je ne voyais pas la fin. Un groupe de personnes s’est rassemblé autour de moi. J’ai demandé à un homme devant moi : « Où sommes-nous ? Que s’est-il passé ? » La femme à côté de lui a répondu : « Regardez votre voiture ! » J’ai vu que le capot et le pare-brise avaient disparu. J’ai tout de suite compris que nous avions eu un accident sur le chemin de la maison de ma patronne. Je me suis retournée pour voir comment elle allait, mais il n’y avait personne au volant. J’ai demandé à l’homme : « Où est la conductrice ? » Il a pointé du doigt vers le sud et m’a répondu : « Elle ne trouvait pas son téléphone portable et elle est partie dans cette direction pour chercher une cabine téléphonique. »

Je suis passée devant la file de voitures et j’ai trouvé la cabine téléphonique publique. Ma patronne avait fini de passer son appel et était affalée dans la cabine. Elle n’avait même pas la force de payer l’appel. J’ai payé et j’ai essayé de l’aider à retourner à la voiture, mais elle ne pouvait plus bouger les jambes. Elle ne pouvait pas se lever et tout son corps tremblait de douleur. Je n’avais pas d’autre choix que de la porter sur mon dos et de retourner lentement à la voiture. Le corps de ma patronne était affaissé contre moi et sa tête pendait sur mon épaule pendant que nous attendions l’arrivée d’un membre de sa famille.

Au bout de vingt minutes, son mari et ses deux frères sont arrivés. Ils l’ont aidée à monter dans la voiture et je les ai suivis. Nous sommes allés à l’hôpital. Ma patronne a été conduite dans une salle où elle a subi un examen médical complet. J’ai attendu dans la salle d’attente. Son mari et ses frères n’arrêtaient pas de me demander de me faire également examiner, mais j’ai refusé. Ils étaient inquiets et m’ont dit que j’étais trop têtue. Ils m’ont également dit que beaucoup de gens disaient être bien après avoir eu un accident de voiture, mais décédaient deux jours plus tard. Il y a beaucoup de cas de ce genre et ils ont insisté pour que je me fasse examiner par les médecins afin qu’ils soient rassurés. Ils voulaient me forcer à entrer dans la salle d’examen.

J’ai compris qu’ils essayaient simplement d’être responsables. Je n’avais jamais eu l’occasion de leur parler de Dafa et ce soir-là était l’occasion pour eux de découvrir que le Falun Dafa est bon. Je leur ai dit : « Je pratique le Falun Dafa. Après l’accident, j’avais mal partout, mais après avoir récité “Falun Dafa est bon, Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon”, je me suis sentie bien. Je suis sûre que tout ira bien. Je ne ressens aucune gêne. J’ai porté votre sœur depuis la cabine téléphonique, qui se trouve à plus de 400 mètres du lieu de l’accident. »

Ils m’ont regardée et le frère m’a dit : « Votre teint est en effet magnifique, vous avez bonne mine. » Ils ont cessé d’insister pour que je passe un examen médical. En effet, mon teint est généralement un peu jaune, mais ce soir-là, il était effectivement rosé.

Après l’examen, nous sommes allés chez ma patronne. Il était déjà minuit passé. Nous sommes restées dans la même pièce et elle s’est allongée sur le lit. Je l’ai aidée à prendre ses médicaments, puis je me suis assise sur le lit et j’ai émis la pensée droite. C’était la première fois que j’émettais la pensée droite devant ma patronne. J’ai pensé que je devais lui montrer ouvertement que j’étais une pratiquante.

Le lendemain, à 3 h 40 du matin, j’ai fait les cinq exercices et j’ai émis la pensée droite à 6 h. Ma patronne s’était réveillée dans la douleur et ne pouvait pas sortir du lit. Après m’avoir vue terminer d’émettre la pensée droite, elle m’a demandé : « Tu ne souffres vraiment pas ? » J’ai répondu : « Non, je ne ressens aucune douleur. » Elle ne m’a pas crue et m’a dit que lorsque la voiture avait été percutée, ma ceinture de sécurité n’était pas attachée. Elle m’avait vue être éjectée par la collision et ma tête heurter le pare-brise. La moitié de mon corps était en dehors de la voiture et j’avais failli être éjectée hors de la voiture. Mais pour une raison inconnue, comme si une force me retenait, je suis revenue sur mon siège. Elle aussi a perdu connaissance après m’avoir vue revenir sur mon siège. Quand elle s’est réveillée, elle a vu ma tête pendre et j’étais inconsciente.

Elle savait que je n’avais pas passé d’examen médical et elle s’inquiétait pour moi. Elle n’a pas bien dormi cette nuit-là, car elle souffrait beaucoup. Elle m’a vue faire les exercices debout et la méditation assise et elle n’arrivait pas à y croire. Elle m’a regardée et m’a dit : « Comment se fait-il que ta tête soit si résistante ? Tu as heurté le pare-brise et tu n’as pas été blessée ? » Elle voulait voir si j’avais des blessures sur le corps. Je lui ai montré mon corps et elle était stupéfaite : « Il n’y a pas une seule ecchymose ! » Elle m’a montré ses blessures et j’étais choquée. À l’exception de son visage, tout son corps était couvert d’ecchymoses, en particulier ses jambes. C’était tellement noir que c’en était effrayant. Il n’y avait pas un seul endroit de son corps où la peau était normale. Pas étonnant qu’elle n’ait pas pu dormir !

Je savais que je devais lui dire que le Falun Dafa est vraiment une pratique spirituelle de haut niveau. Ce n’est que lorsqu’une personne croit vraiment en Dafa qu’elle sera protégée en cas de danger. Je lui ai raconté le miracle que j’avais vécu après m’être réveillée et avoir récité « Falun Dafa est bon, Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon ». Je lui ai dit : « Tu as vu que j’ai été repoussée sur mon siège. C’est mon Maître qui m’a sauvée. Si j’avais été éjectée de la voiture, je serais morte. Même si tu souffres, tes organes internes et tes os vont bien, tu as donc aussi de la chance. C’est parce que tu as déjà lu le Zhuan Falun. Le Maître t’a également protégée. »

Je lui ai suggéré de relire le Zhuan Falun sans aucune idée préconçue. Elle a accepté. Cette fois-ci, elle a écouté ce que je lui disais sans m’interrompre. Je savais qu’elle avait vraiment entendu les faits concernant Dafa. Ce matin-là, après avoir préparé un petit-déjeuner rapide et donné des médicaments à ma patronne, je suis retournée au travail.

Je suis allée travailler pendant plusieurs jours tandis que ma patronne restait chez elle. Personne ne savait que nous avions eu un accident de voiture aussi grave. Au bout d’une semaine, j’ai voulu trouver le temps de parler davantage de Dafa. Après le travail, je suis retournée rendre visite à ma patronne. Les ecchymoses sur son corps n’avaient pas complètement disparu et elle souffrait encore. Elle était encore faible. Cette nuit-là, nous avons parlé jusqu’au petit matin. J’ai évoqué la démission du PCC. Plus tard, je lui ai apporté un exemplaire des Neuf commentaires sur le Parti communiste à lire. Cette fois, elle a compris que le PCC est un démon qui cherche à détruire l’humanité.

Mes collègues voient comment je me comporte

Peu à peu, mes collègues ont compris que je pratiquais le Falun Dafa et que je pensais toujours aux autres. J’étais alors directrice adjointe, au-dessus de tout le monde à part ma patronne. Il y a beaucoup de choses que ma patronne n’a pas à décider, car je m’occupe de tous les aspects de l’entreprise. J’essaie d’organiser le travail en tenant compte des employés et ils m’en sont reconnaissants.

Presque tous les autres lieux de travail exigent que les employés fassent des heures supplémentaires, mais le personnel de mon entreprise rentre tôt chez lui et évite les heures de pointe. Je choisis de rester plus tard et de travailler sur des rapports, tels que les budgets financiers. Je gère les erreurs commises par les employés, l’organisation du travail pour le lendemain, etc. Je garde toujours le sourire lorsque je traite les conflits entre employés ou les plaintes déraisonnables des clients. J’applique les principes du Fa et je gère les choses de manière appropriée, en utilisant des principes que tout le monde peut comprendre. Une fois, j’ai entendu trois employés discuter à voix basse : « Pensez-vous qu’unetelle (en parlant de moi) pourrait un jour se mettre en colère ? »

Une fois, un client a fait une scène sur notre lieu de travail parce qu’il n’avait pas reçu un petit avantage. Il a réprimandé le personnel de tous les services et a même arraché la ligne téléphonique. Lorsque mes employés n’ont plus été en mesure de gérer la situation, ils sont venus me voir. J’ai souri et j’ai dit au client : « Il n’y a pas lieu de vous énerver autant. Ce n’est pas bon pour votre santé. Nous pouvons discuter de la situation. » L’homme m’a montrée du doigt avec colère et m’a dit : « Vous pouvez encore rire ! Dans un instant, je vais vous faire pleurer ! » Je l’ai regardé calmement dans les yeux et lui ai répondu : « Que je pleure ou que je rie, cela ne résoudra pas le problème. Je suis la responsable ici. Allons dans mon bureau pour discuter ; c’est seulement ainsi que nous pourrons résoudre le problème. »

Il s’est plaint avec colère que notre personnel ne lui avait pas donné ce qu’il avait demandé. Je lui ai parlé pendant plus de deux heures. Je lui ai proposé plusieurs options et il en a choisi une. Cependant, au final, il a voulu aller trop loin. Il nous a demandé de lui verser 5000 yuans pour le dédommager de son préjudice moral, sinon il nous poursuivrait en justice. Je lui ai dit : « Vous avez choisi une solution que je vous ai proposée. Quant à l’indemnisation de 5000 yuans, réfléchissez-y raisonnablement. Vous pouvez venir nous voir à tout moment. » Je pensais lui parler de Dafa une fois qu’il se serait calmé.

Il n’est jamais revenu. Sa femme est venue me voir et s’est excusée en son nom. Elle m’a dit qu’il avait trop honte pour venir me parler.

Ma façon d’agir est guidée par les principes du Falun Dafa. Mes collègues l’avaient remarqué et j’ai compris qu’il était temps pour moi de leur parler de ma croyance. Je choisissais un moment opportun, discutant le plus souvent en tête-à-tête. Tout le monde a accepté la vérité et presque tous ont démissionné du PCC. Ils ont également accepté avec joie le porte-bonheur que je leur ai donné.

Une jeune employée voulait se marier, mais sa famille s’y opposait. Elle s’est confiée à moi en larmes à plusieurs reprises et me demandait conseil. Je lui ai dit que les relations entre les gens étaient prédestinées. Les membres d’une famille se réunissent à partir de relations nouées dans des vies antérieures et je lui ai suggéré de laisser les choses se faire naturellement.

Un après-midi, cette employée m’a appelée sur mon téléphone, en pleurs. Elle m’a dit que son petit ami avait été renversé par une voiture. C’était très grave, il était inconscient et hospitalisé. Le médecin avait dit qu’il risquait de rester handicapé à vie. Elle m’a demandé ce qu’elle devait faire. Je l’ai consolée en lui disant : « Ne t’inquiète pas, tu te souviens de la phrase que je t’ai dite ? “Falun Dafa est bon” ? » Elle a répondu : « Oui. » Je lui ai dit : « Pourquoi ne pas la dire à ton petit ami et lui demander de se souvenir que le Falun Dafa est bon. Il l’entendra. » Elle a accepté.

Le lendemain matin, l’employée m’a appelée pour m’annoncer une bonne nouvelle : « Mon petit ami s’est réveillé. Il a entendu ce que je lui avais dit, il se souvient que Falun Dafa est bon, Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon. C’est vraiment extraordinaire. Quand j’ai regardé mon petit ami et récité la phrase, les mots sont apparus devant mes yeux. C’est vraiment le Fa de Bouddha ! » J’étais ravie et je l’ai encouragée à continuer à lui réciter la phrase.

Un mois plus tard, la jeune employée et son petit ami, désormais rétabli, m’ont apporté des fruits pour me remercier. Elle m’a raconté un incident qui s’était produit trois jours auparavant. « Nous nous promenions dans le parc et avons vu un sac sur un banc. Il contenait plus de 2000 yuans et des adresses, mais aucun numéro de téléphone. » Ils ont décidé de rendre le sac à son propriétaire. Après plus de trois heures de recherche, ils ont trouvé la maison du propriétaire.

Le propriétaire cherchait son sac avec angoisse. Quand il a vu le jeune couple lui rendre son sac et constaté qu’il ne manquait rien, il était tellement reconnaissant qu’il a voulu leur donner de l’argent. Ils ont refusé. L’employée a dit au propriétaire et à sa famille : « Ma collègue pratique le Falun Dafa. Elle ne garde jamais l’argent qu’elle trouve et elle dépense même son propre argent pour aider les diplômés universitaires qui viennent d’entrer sur le marché du travail. Si je ne l’avais pas vue faire cela, je n’aurais pas rendu l’argent. Mon petit ami vient de sortir de cet hôpital. Il a dépensé beaucoup d’argent pour ses soins médicaux et il manque d’argent ! »

J’étais heureuse pour eux et je les ai félicités pour ce qu’ils avaient fait. Ils m’ont également annoncé une autre bonne nouvelle. Grâce à cet accident, leurs familles avaient compris à quel point ils s’aimaient et avaient donné leur accord pour leur mariage. Je leur ai sincèrement souhaité tout le bonheur possible. Ce sont là les bénédictions de Dafa !

Après avoir créé un environnement propice pour parler de Dafa aux gens au travail, mes heures de travail ont été réduites de manière inattendue. C’est comme si tout dans notre environnement soutenait nos trois choses à faire : notre travail et notre cultivation ne font plus qu’un.

(À suivre)

Traduit de l’anglais