(Minghui.org) La chef adjointe des gardiennes a dit qu’elle pouvait trouver plein d’explications au décès d’une personne. Puis elle m’a regardée et m’a dit : « Je me demandais juste qui choisir. Je pense que tu es parfaite. »
Je ne comprenais pas ce qu’elle voulait dire… Bien plus tard, j’ai compris qu’ils avaient l’intention d’expérimenter des médicaments sur mon corps.
Il semblait qu’ils testaient les effets d’une espèce de médicament expérimental. Après avoir subi plusieurs essais cliniques, j’ai développé une neuropathie périphérique et mes organes et mes muscles se sont atrophiés.
Lorsque j’ai été libérée du camp de travail, les gardiennes étaient persuadées que je mourrais avant d’arriver chez moi. Mais à leur grande surprise, j’ai survécu.
Je crois fermement en Dafa, et après être rentrée chez moi, j’ai écouté les conférences du Maître et fait les exercices. Sans rechercher de traitement médical, je me suis rapidement rétablie. C’était un miracle médical qu’une personne dont les organes s’étaient atrophiés et qui était à l’article de la mort retrouve la santé. Les miracles et les capacités extraordinaires de Dafa se sont manifestés en moi une fois de plus !
Je suis une pratiquante de Falun Dafa âgée de 62 ans, originaire d’une région rurale. En juin 1997, j’ai eu la chance de découvrir le Falun Dafa. J’étais tellement enthousiaste. Je savais que le Falun Dafa me guiderait jusqu’à atteindre le fruit juste dans la cultivation et me permettrait de retrouver mon vrai moi originel. Du fond du cœur, je me suis dit : « Je vais bien cultiver. Je quitterai les trois mondes et je ne me réincarnerai plus jamais. »
Je ne me lassais pas de lire les livres de Dafa. Je dévorais tout, comme si j’étais affamée. Je ne voulais pas poser les livres et je les lisais les uns après les autres.
Le premier livre de Dafa que j’ai lu était Falun Gong. Je me souviens très bien que j’ai reçu le livre le matin et que j’ai appris les exercices un à quatre à partir des schémas dans le livre. Le soir même, je me suis rendue à l’étude collective du Fa dans mon village et j’ai appris le cinquième exercice. J’ai acheté les cassettes vidéo des conférences et des enseignements des exercices du Maître, ainsi que les cassettes audio des conférences du Maître, les conférences et la musique des exercices. À partir de ce moment-là, je me suis rendue tous les matins aux exercices collectifs et tous les soirs à l’étude du Fa, qu’il pleuve ou qu’il vente.
Après avoir commencé à pratiquer le Falun Dafa, mon corps a radicalement changé. Ma spondylose cervicale (aux deuxième et troisième vertèbres cervicales), mon épaule gelée, mon hypotension, ma maladie cardiaque et mes problèmes gastro-intestinaux ont tous disparu. Je me sentais en bonne santé et légère, ma peau était lisse et rose, et je marchais d’un pas léger. Un sentiment de bonheur, de joie, de confort et de sécurité remplissait mon cœur.
J’ai accidentellement lavé mes mains avec de l’acide chlorhydrique, mais je n’ai pas été blessée
Un jour, en 1998, plusieurs pratiquants et moi-même sommes allés à une étude du Fa et à un partage d’expériences chez un pratiquant. L’hôte était un homme qui utilisait plusieurs tours et fabriquait des produits liés au moulage. Il avait besoin d’une solution d’acide chlorhydrique pour éliminer la rouille et conservait un bassin d’acide chlorhydrique dans la cour.
Je suis sortie de la maison, à la recherche d’eau pour me laver les mains. J’ai vu un bassin rempli de ce que je pensais être de l’eau parmi les objets éparpillés près du mur. Même s’il y avait des sédiments au fond, la surface semblait relativement propre. Je me suis donc accroupie et je me suis lavé les mains dans le bassin.
Je me suis levée pour chercher une serviette. Bizarrement, dès que mes mains l’ont touchée, elle s’est transformée en poussière. J’étais perplexe et je me suis dit : « La serviette avait l’air en bon état, comment cela a-t-il pu arriver ? » Mes mains étaient couvertes de fibres de serviettes, et j’essayais d’essuyer une main avec l’autre quand l’hôtesse s’est précipitée vers moi.
Je me suis excusée : « Je suis vraiment désolée d’avoir abîmé la serviette. »
« Vite ! Venez vous laver les mains sous le tuyau d’eau ! » a-t-elle dit nerveusement.
Je lui ai montré mes mains propres. « Regardez, je les ai déjà lavées. »
Elle m’a tiré les bras et m’a obligée à me laver les mains à nouveau sous le robinet. Mais mes mains semblaient déjà avoir été lavées à l’eau claire.
Le Maître a dit :
« Le bien ou le mal surgit d’une seule pensée, une différence dans la pensée provoque un résultat différent. » (Quatrième Leçon, Zhuan Falun)
Je croyais qu’il s’agissait d’un bassin d’eau, alors le Maître tant miséricordieux a transformé l’acide chlorhydrique en eau et m’a sauvée du désastre ! Je suis tellement reconnaissante pour la protection du Maître !
Survivre à un accident de la route
Un soir, vers 22 h, je rentrai chez moi en scooter électrique après une réunion d’étude collective du Fa, en décembre 2021. Lorsque j’ai atteint un carrefour, j’ai entendu ce qui semblait être une voiture derrière moi. J’ai regardé derrière, mais je n’ai rien vu, alors je n’ai pas ralenti. Lorsque j’ai regardé à nouveau derrière moi, j’ai soudain vu une voiture arrêtée devant moi. À ce moment-là, je ne pouvais pas éviter la collision. J’ai rapidement tourné le guidon vers la gauche, mais ma jambe a heurté la voiture. La douleur était atroce et mon cœur battait à tout rompre. Je suis restée allongée sur le scooter, incapable de bouger.
Le conducteur est sorti de la voiture et m’a demandé si j’allais bien. « Je vais bien », ai-je répondu. « Veuillez vérifier votre voiture et me dire combien pourrait coûter la réparation des dommages. »
« Je suis content que vous alliez bien », dit l’homme. « Je peux réparer la voiture, ne vous inquiétez pas. »
Je lui ai répondu : « Je suis une pratiquante de Falun Dafa. Mon Maître nous a enseigné à être bons et à toujours penser aux autres en premier. C’est moi qui ai heurté votre voiture. Vous ne m’avez pas heurtée. » Je ne lui ai pas reproché d’avoir arrêté sa voiture au milieu de la route. J’ai essayé de lui donner le l’argent pour l’aider à payer les réparations, mais il n’en a pas voulu. J’ai insisté pour glisser 100 yuans dans sa poche.
Il m’a aidée à redresser le guidon de mon scooter électrique. J’ai ensuite repris la route de la maison en continuant à émettre la pensée droite. À la porte de l’ascenseur, j’ai appuyé mon scooter contre le mur. Ma jambe droite était comme un bâton glacé, complètement engourdie et raide de douleur. Mon cœur battait à tout rompre et j’avais l’impression que j’allais m’effondrer. Je me suis agrippée au mur avec les deux mains et je me suis lentement dirigée vers l’ascenseur. J’ai émis la pensée droite et j’espérais que mes enfants ne remarqueraient pas mes blessures.
J’ai ouvert la porte, mais je n’ai pas pu franchir le seuil de cinq centimètres de haut. À ce moment-là, mon fils est sorti de sa chambre et m’a vue. « Maman, que s’est-il passé ? » m’a-t-il demandé.
« Rien, je me suis juste cogné la jambe droite. Ne t’inquiète pas, ça va. » J’ai essayé de faire comme si de rien n’était, tandis que mon fils s’efforçait de m’aider à entrer dans la chambre.
Ma mère, mon fils et ma belle-fille m’ont entourée avec inquiétude, pensant que la blessure pouvait être grave. Ma petite-fille de dix ans m’a dit : « Grand-mère, tu sais ? Ce sont les corps de Loi du Maître qui ont bloqué la catastrophe. »
Mon fils a insisté pour m’emmener à l’hôpital. Ma belle-fille m’a dit : « Ne vous inquiétez pas, nous allons juste à l’hôpital pour faire une radiographie et voir si l’os est cassé. Il n’y a pas beaucoup de chair à l’avant de ta jambe ; elle ne peut pas supporter un choc aussi violent. Si elle est fracturée et ne guérit pas correctement, elle pourrait se déformer, ce qui pourrait même entraîner un handicap à vie. Au pire, le médecin la remettra en place et posera un plâtre ; il n’y aura ni injection ni médicament.
Je les ai rassurés : « Tout ira bien. Je pratique le Falun Dafa depuis de nombreuses années et mon corps est rempli d’une matière hautement énergétique qui possède une intelligence. Même si mes os sont cassés, ils se remettront en place. »
Pendant que je parlais, j’ai enlevé mon manteau, et ma belle-fille m’a retiré mes chaussures et mes chaussettes. « Tes pieds sont glacés ! » s’est-elle exclamée en posant ses mains sur mon pied droit.
J’étais assise sur le lit et ma belle-fille était accroupie sur le sol, tenant mon pied droit à deux mains. Ma jambe était tendue. D’une manière ou d’une autre, j’ai saisi le milieu de ma cuisse et l’ai soulevée vers le haut. Nous avons entendu un craquement provenant de mon tibia, ce qui a surpris ma belle-fille, qui a poussé un cri. C’est ainsi que mon os s’est remis en place.
Comme j’avais la pensée droite et que j’avais fait le bon choix, le Maître m’a aidée. Grâce à la « collaboration » inhabituelle et involontaire entre ma belle-fille et moi, nous avons réussi à remettre mes os en place. « Apporte-moi le lecteur de musique, s’il te plaît. Je vais faire les exercices maintenant. », ai-je dit.
Ma belle-fille m’a conseillée de me reposer, mais ma mère qui n’était pas pratiquante, m’a dit : « Laisse-la faire les exercices, cela accélérera la guérison. »
Je me suis assise en position du lotus sur une seule jambe et j’ai commencé à faire le cinquième exercice. Après dix minutes, alors que je changeais la position de mes mains pour renforcer mes pouvoirs surnaturels, un courant chaud a circulé de mon genou droit jusqu’à mes orteils, harmonisant instantanément la température de mon mollet glacé. Puis, un deuxième et un troisième courant chaud ont circulé de mon genou jusqu’à mes orteils. Grâce au renforcement du Maître, j’ai terminé la méditation assise d’une heure.
La douleur m’a empêchée de dormir toute la nuit. J’ai émis la pensée droite, récité le Fa et regardé à l’intérieur. J’ai trouvé beaucoup de mes attachements. L’un de mes principaux problèmes était que je n’étudiais pas le Fa avec mon cœur, mais que je le traitais comme une simple formalité. Je souhaitais que la rectification de Fa se termine rapidement, car je ne voulais pas rester plus longtemps dans le monde humain. J’avais également peur des épreuves. En regardant plus loin en moi-même, j’ai découvert que je plaçais l’achèvement de ma cultivation comme une priorité absolue, et que je considérais le sauvetage des êtres comme une priorité secondaire.
Cette nuit-là, chaque fois que je trouvais un attachement, j’émettais la pensée droite pour l’éliminer.
Je me suis endormie quand soudain, ma jambe droite s’est mise à trembler violemment, accompagnée d’une douleur intense. Cela se produisait presque chaque fois que je m’endormais, et chaque tremblement me causait une douleur qui me transperçait le cœur. Mon esprit semblait envahi par le mot « douleur ».
Deux jours plus tard, j’ai réalisé que je ne devais pas accepter la douleur. La douleur fait partie des trois mondes. En tant que pratiquante de Dafa, les trois mondes ne me contrôlent pas. J’ai donc émis la pensée droite pour éliminer cette « douleur ».
J’ai récité à plusieurs reprises le Fa du Maître :
« À présent, que ce soit une élimination de karma ou une interférence de la perversité, c’est toujours l’œuvre des forces anciennes, c’est la même chose, avec différentes appellations. Tout ce que font les forces anciennes, je le nie, je ne le reconnais pas, d’autant que les disciples de Dafa ne devraient pas être amenés à endurer de telles souffrances. » ( « Enseignement de Fa à la conférence de Fa dans la grande région de New York 2013 »)
Aller aux toilettes était un véritable défi. Je ne pouvais ni me tenir debout, ni plier la jambe, et même essayer de m’asseoir ou ramper sur le sol était difficile. J’ai essayé plusieurs fois, serrant les dents et endurant la douleur, et j’ai finalement réussi à m’asseoir sur le sol. Puis j’ai utilisé mes mains pour me soutenir et j’ai commencé à reculer. Je me suis dit : « Je ne peux pas laisser ma famille me voir dans cet état. J’ai beaucoup d’attachements, et je vais me corriger en étant guidée par le Fa. Seul le Maître me contrôle, et je suivrai le chemin que le Maître a arrangé pour moi. Personne ne peut me persécuter. »
La fois suivante, je me suis agrippée à un tabouret pour aller aux toilettes. Cette nuit-là, j’ai tellement souffert que le lendemain matin, je me sentais complètement épuisée et trop faible pour parler. J’ai alors intensifié l’émission de la pensée droite, l’étude du Fa et la pratique des exercices.
J’étais déterminée à faire les cinq exercices tous les jours, même si c’était très dur. Pour certains exercices debout, je m’appuyais contre le mur. Chaque étirement me faisait très mal à la jambe. J’ai fait le deuxième exercice, la méditation debout du Falun, assise.
Je ne voulais pas me résigner à cette situation injuste. Incapable de marcher, je m’agrippais à un tabouret en plastique. Comme ma jambe droite ne pouvait pas me soutenir, je sautillais sur une jambe. Petit à petit, j’ai essayé de mettre un peu de poids sur mon pied droit. J’ai d’abord marché sur la pointe des pieds, puis j’ai essayé de poser mon talon au sol. Mais malgré tous mes efforts, j’avais l’impression que le tendon de ma jambe droite était raccourci de plus d’un centimètre et que mon talon ne pouvait pas toucher le sol. Cela me faisait terriblement mal. Je ne pouvais pas accepter cet état de fait. J’ai continué à émettre la pensée droite pour corriger tout ce qui n’était pas droit. C’était une bataille entre le bien et le mal.
Au bout de vingt-six jours, je me suis rendue à pied à la réunion d’étude collective du Fa. Il y avait plus de 20 marches à monter chez le pratiquant, et je les ai montées en m’aidant de la rampe.
Cette année-là, ma belle-mère a passé le Nouvel An chinois chez mon beau-frère cadet. Le jour du Nouvel An, mon fils, ma belle-fille et moi sommes allés lui souhaiter une bonne année. La famille de mon beau-frère vivait au troisième étage, accessible uniquement par les escaliers. J’ai gravi les marches une à une en m’arrêtant brièvement entre chacune d’elles. Lorsque mon beau-frère est rentré et a vu mon fils et ma belle-fille, et qu’il a appris que j’étais là, il a dit qu’il était impossible que j’aie pu venir. Quand il m’a vue, il a été très surpris et m’a demandé comment j’avais fait pour monter. Je lui ai répondu que j’avais marché toute seule. Il n’arrivait pas à croire que j’étais capable de marcher et m’a demandé de faire quelques pas pour lui montrer. Je me suis donc levée et j’ai fait quelques pas. Il a ri et m’a encouragée en disant : « Maintenant, je suis convaincu ! Je suis vraiment convaincu ! »
Ils savaient que j’avais refusé de consulter un médecin après ma blessure à la jambe. Je leur avais dit que je leur ferais une surprise, mais ils ne m’avaient pas cru. Ils avaient même pris des photos de ma jambe blessée avec leurs téléphones et les avaient montrées à un orthopédiste. Le médecin avait dit qu’il s’agissait probablement d’une fracture, ou au moins d’une fissure.
Mettre fin à la persécution avec la pensée droite
En 1999, le Parti communiste chinois, dirigé par Jiang Zemin, a lancé la persécution du Falun Dafa. Je me suis rendue plusieurs fois à Pékin pour exercer mes droits légaux en tant que citoyenne. Au Bureau des pétitions, j’ai rempli un formulaire et écrit mes demandes : 1) Retirer le mandant d’arrêt contre le créateur du Falun Dafa ; 2) Libérer les pratiquants de Falun Dafa détenus ; et 3) Me donner un environnement légal pour pratiquer le Falun Dafa.
Le personnel du Bureau des pétitions s’est entendu avec le personnel du mon bureau de liaison local à Pékin. J’ai été arrêtée et ramenée. J’ai ensuite été envoyée dans un camp de travail forcé pendant trois ans.
Ayant enduré diverses formes de torture et d’administration forcée de substances inconnues dans le camp de travail, j’ai refusé de renoncer à pratiquer Dafa. Chaque jour, je récitais le Fa et essayais de faire les exercices. Sous les ordres des gardiennes, certaines détenues torturaient à plusieurs reprises les pratiquantes qui refusaient de renoncer à leurs croyances. On nous a gavées de poudre de piment, qui nous brûlait la gorge, nous faisant nous tordre de douleur sur le sol. Les détenues nous étranglaient également, nous bâillonnaient avec des serviettes et nous frappaient à plusieurs reprises.
J’ai averti la chef adjointe des gardiennes qui menait les passages à tabac : « Si cela continue, l’une de nous mourra. Comment l’expliquerez-vous ? »
La chef adjointe des gardiennes a dit qu’elle pourrait trouver plein d’excuses si l’une de nous venait à mourir. Puis elle m’a regardée et m’a dit : « Je me demande juste qui choisir. Je pense que tu es parfaite. »
Je ne comprenais pas ce qu’elle voulait dire. La chef de service a fait un geste comme si elle me faisait une piqûre, en disant : « Tu désobéis, n’est-ce pas ? Attends deux jours, et tu auras des piqûres. Ce n’est que bien plus tard que j’ai compris qu’ils allaient utiliser mon corps pour des expériences médicales.
À partir de ce jour-là, deux toxicomanes désignées ont été chargées de m’apporter mes repas et mes boissons, et mon urine a été conservée séparément. J’ai été emmenée à l’hôpital où on m’a injecté des substances inconnues. Quelques jours plus tard, j’ai été conduite dans un bâtiment nouvellement construit, mais inutilisé au sein de l’hôpital. Deux personnes vêtues de blouses blanches, de chapeaux blancs et de grands masques se sont penchées par la fenêtre et m’ont prélevé du sang. Quelques jours plus tard, à l’hôpital, elles ont testé mon temps de réaction. Elles m’ont fait asseoir devant ce qui ressemblait à une machine de jeu d’arcade, m’ont montré une boule lumineuse et m’ont demandé d’appuyer sur un bouton chaque fois que je voyais une boule lumineuse.
Une autre fois, toujours dans cet hôpital, elles ont fixé une pince reliée à un ordinateur à un point d’acupuncture sur ma main. J’ai immédiatement senti un puissant courant électrique frapper mon cerveau, comme un marteau électrique, chaque coup étant plus fort que le précédent. Le choc était indescriptible. On dirait qu’elles testaient les effets d’une substance expérimentale. Après avoir subi plusieurs essais cliniques, j’ai développé une neuropathie périphérique et mes organes et mes muscles se sont atrophiés.
Une gardienne du camp de travail m’a parlé quand personne d’autre n’était à proximité. Elle a dit: « Tu n’as pas trouvé ça bizarre ? Tu es la deuxième personne au monde à avoir cette maladie incurable, tu es la deuxième au monde ! Tu ne l’avais pas avant ! »
Je réagissais lentement, mes traits étaient déformés, mes membres déformés, et j’ai failli devenir aveugle. J’ai également perdu la mémoire. Mon cœur battait à toute vitesse, j’avais du mal à respirer et mon corps tout entier était froid. Je ne pouvais plus bouger, je m’accrochais à la vie avec mon dernier souffle. Mon corps était en proie à une douleur atroce, comme si on grattait mes os et arrachait mes tendons. J’avais l’impression que de l’acide sulfurique traversait mon corps de temps en temps, ou que des courants électriques le traversaient. Tout mon corps était pris de convulsions et ma tête me faisait atrocement souffrir, comme si on la ciselait. À chaque vague de douleur, mes muscles faciaux, mes yeux et ma bouche se contractaient.
La torture inhumaine me causait une douleur insupportable à chaque instant, mais j’avais une pensée ferme : « Je ne mourrai pas. » Alors que je souffrais physiquement et mentalement à l’extrême, que mes organes et mes muscles s’atrophiaient et que j’étais à l’article de la mort, je ne me suis jamais demandé s’il s’agissait d’une maladie, si je devais rechercher un traitement médical ou si j’allais mourir.
Lorsque j’ai été libérée du camp de travail, les gardiennes étaient persuadées que je mourrais avant d’arriver chez moi. Mais à leur grande surprise, j’ai survécu.
De retour chez moi, avec ma foi inébranlable en Dafa, j’ai écouté les conférences du Maître et fait les exercices. Sans recourir à aucun traitement médical, je me suis rapidement rétablie. C’était un miracle médical qu’une personne dont les organes s’étaient atrophiés et qui était à l’article de la mort retrouve la santé. Les miracles et les capacités extraordinaires de Dafa se sont manifestés une fois de plus en moi !
À plusieurs reprises, quelque chose est venu pour prendre ma vie. Par exemple, j’ai soudainement senti que tout commençait à tourner. J’ai immédiatement dit : « Je n’autoriserai pas les forces anciennes à me perturber ! » Puis j’ai commencé à réciter les mots pour émettre la pensée droite. Avant d’avoir terminé, tout était revenu à la normale.
Une autre fois, je dormais quand j’ai vu un homme debout à côté de mon lit qui disait : « Tu dois mourir. » À ce moment-là, ma tête a commencé à s’engourdir.
« Non, je ne mourrai pas ! » ai-je crié. Je me suis brusquement redressée dans mon lit. J’ai posé ma main droite sur ma poitrine et j’ai commencé à prononcer les mots pour émettre la pensée droite. Avant d’avoir terminé, l’homme avait disparu. Ma tête semblait normale. Je me suis allongée et je me suis rendormie.
Les épreuves sont passées comme une rafale de vent, et je m’en suis bien sortie.
Je ne me vante pas. C’est le Maître qui a dissipé ces tribulations pour moi. Si le Maître n’avait pas supporté mon karma, aussi lourd que des montagnes et aussi haut que le ciel, comment aurais-je pu rester en vie ? Je voulais partager mon expérience pour dire au monde entier : « Le Maître est formidable ! Le Fa est formidable ! » Je ne peux remercier le Maître qu’en accomplissant bien les trois choses !
Le Maître a résolu mes dettes karmiques
Après mon accident de la route en 2021, j’ai fait un rêve. Dans ce rêve, j’étais assise dans une fosse creusée, exactement comme celles creusées pour les enterrements à la campagne. J’ai levé les yeux et j’ai vu des monticules de terre entourant la fosse. Un homme d’une cinquantaine d’années était assis en face de moi, tenant dans chaque main deux paquets de petites boules rondes, plus petites que des balles de ping-pong, qui étaient enveloppées dans un filet. Un paquet était rose et l’autre bleu clair. Ses pensées m’ont fait comprendre que cela suffirait à me tuer. Je n’ai ressenti ni ressentiment ni grief. Je pensais simplement qu’une fois qu’il m’aurait enterrée, je mourrais. Puis j’ai entendu une voix masculine au-dessus de moi qui disait : « Monte ! » Sans avoir l’impression de grimper, je me suis relevée de la fosse pour atteindre le sommet du monticule. L’homme a dit : « Achète quelque chose pour eux. » Bizarrement, j’avais soudainement beaucoup de bougies dans ma poche, alors j’ai sorti les bougies rouges claires et j’en ai donné deux à chacune des cinq ou six personnes qui allaient m’enterrer vivante.
Les bougies symbolisent la lumière. J’ai compris que c’était le Maître, avec sa grande compassion, qui m’avait sauvée et avait résolu mes dettes karmiques. Le Maître a équilibré le ressentiment envers ceux à qui j’avais fait du mal dans mes vies antérieures, afin qu’ils acceptent de me pardonner. Dafa leur a apporté la lumière, tout comme à moi. Je m’en souviendrai toujours : chérir les autres, c’est aussi me chérir moi-même.
Je m’incline avec gratitude devant la grâce infinie et bienveillante du Maître.
Traduit de l’anglais
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