(Minghui.org) Bonjour, Maître ! Bonjour, chers compagnons de cultivation !

Je suis une pratiquante âgée de 68 ans qui a commencé la pratique du Falun Dafa en 1997. Mon mari pratique également, et notre fils, notre belle-fille et nos deux petites-filles soutiennent pleinement notre pratique. Grâce au Falun Dafa et aux bénédictions du Maître, notre famille a connu une vie harmonieuse.

1. Obtenir le Fa

Avant de pratiquer le Falun Dafa, je souffrais d’hypertension et de maux de tête fréquents. Ma belle-mère était décédée, mais je continuais à avoir des visions d’elle. Mon mari souffrait de maux de tête fréquents et était possédé par un esprit. Il devait faire des offrandes et brûler de l’encens le premier et le quinzième jour de chaque mois lunaire.

Un jour de juillet 1997, mon mari a entendu parler du Falun Gong (aussi appelé Falun Dafa) au travail et m’a emmenée à un point de pratique situé à proximité quelques jours plus tard. Tout le monde lisait à voix haute, mais comme je n’étais pas instruite, je ne comprenais pas les mots. Mon mari m’a offert un coffret de conférences du Maître sur cassettes audio et m’a conseillé de les écouter pendant qu’il travaillait. Après quelques tâtonnements avec le lecteur, j’ai finalement réussi à le faire fonctionner. Ce jour-là, je me suis endormie en écoutant, mais j’ai tout de même réussi à retenir chaque mot. Je me suis réveillée dès que le Maître a terminé. Cette nuit-là, j’ai dormi très profondément, ce qui m’a convaincue de l’efficacité de cette méthode.

Un jour, mon mari a ramené des exemplaires du Zhuan Falun. En ouvrant le livre, j’ai vu la photo du Maître et j’ai dit à mon mari : « Je l’ai vu en rêve quand j’étais petite. Il portait des vêtements jaunes. » Après avoir écouté l’enseignement du Maître, mon mari a abandonné son autel de prière et nous avons tous deux commencé à pratiquer le Falun Dafa. Au bout de quatre jours, je me sentais dans une forme physique et mentale si extraordinaire que je me suis exclamée : « Mon Dieu, cette méthode est incroyable ! »

Je n’avais suivi que deux ans de cours du soir et je ne reconnaissais pas beaucoup de caractères. Pourtant, après avoir écouté le groupe d’étude lire le Fa, j’ai été capable de lire le Zhuan Falun en seulement dix jours. Je lisais le livre à voix haute à la maison et je demandais à mon mari de vérifier si je lisais correctement. J’ai appris à lire si vite que cela ne pouvait être qu’un miracle. Le Maître a dû me l’enseigner personnellement.

2. Commencer sur la voie de la cultivation droite

Deux ans après avoir obtenu le Fa, le mal a commencé à persécuter le Falun Dafa, le 20 juillet 1999. Je ne pouvais pas comprendre. Comment une pratique aussi droite pouvait-elle être traitée ainsi ? Mon mari a été licencié peu avant le début de la persécution, et un compagnon de pratique a fait en sorte que la première photocopieuse soit installée chez nous. Mon mari a commencé à fabriquer des documents, remplissant des sacs jour après jour, que les compagnons de cultivation venaient chercher chaque soir.

Je n’éprouvais aucune peur et j’étais déterminée à faire ce qui était juste. Nous étions des gens bien qui suivions le principe Authenticité-Bienveillance-Tolérance, et le Maître avait rétabli notre santé physique et mentale, un fait indéniable. Outre la fabrication des documents, nous aidions également à les distribuer aux autres pratiquants.

J’ai installé un stand de nourriture dans un grand marché près de mon quartier. Chaque jour, je saisissais l’occasion pour clarifier la vérité sur le Falun Dafa aux personnes que je rencontrais. J’expliquais que le Maître et Dafa sont innocents, contrairement à ce que prétendent les calomnies diffusées dans les médias. Notre quartier est la zone résidentielle réservée aux employés d’une grande usine. Beaucoup de personnes que j’ai abordées étaient des cadres de cette usine, notamment le directeur du Bureau de la sécurité publique, le secrétaire de l’usine et leurs familles. Tous ceux qui passaient devant mon stand me saluaient chaleureusement, avant de dire à leurs accompagnateurs que je pratiquais le Falun Gong.

À cette époque, je me contentais de clarifier la vérité et je n’avais pas encore commencé à persuader les gens de démissionner du Parti communiste chinois (PCC), de la Ligue de la jeunesse communiste et des Jeunes Pionniers. Je leur conseillais de se souvenir de la phrase « Falun Dafa est bon » pour éviter d’être éliminés en cas de catastrophe. « Ne persécutez pas le Falun Gong, cela ne vous apportera rien de bon. J’en ai fait l’expérience moi-même : pratiquer le Falun Gong est bon pour la santé. » Généralement, les gens acceptaient de suivre mon conseil.

Début 2003, A Jing, une pratiquante, a été accusée à tort et illégalement détenue pour avoir distribué des documents de clarification de la vérité à ses connaissances. Lorsque j’ai croisé le supérieur d’A Jing, je lui ai dit : « Les pratiquants de Falun Gong sont tous de bonnes personnes. » Il m’a répondu : « Ma sœur, tu sembles être une bonne personne. Ce que tu dis est vrai. Quand le robinet du bureau a commencé à fuir, tout le monde l’a ignoré, sauf A Jing, qui l’a fermé. » J’ai également rencontré la femme du supérieur et l’ai persuadée : « Ne laissez pas votre mari se salir les mains dans cette persécution. Libérez A Jing sans signaler l’affaire aux autorités supérieures. » Elle a répondu : « D’accord, j’en parlerai à mon mari. »

À partir de 2004, mon mari et moi parcourions chaque jour la ville à vélo pour clarifier la vérité. Nous empruntions la route principale jusqu’au centre-ville, faisions le tour du quartier, puis revenions sur nos pas, en parlant à toutes les personnes que nous rencontrions. Parfois, nous garions nos vélos devant le grand centre commercial et distribuions des documents de clarification de la vérité. Certaines personnes réagissaient négativement : « Oh mon Dieu, vous osez distribuer ça ? » Je répondais : « Nous faisons cela pour vous sauver ! »

Un soir, je suis allée avec un groupe de pratiquants coller des affiches de clarification de la vérité. Nous les avons collées sur les poteaux téléphoniques et les arbres de la rue principale. Une pratiquante âgée a ensuite été arrêtée. Lors de son interrogatoire, elle a dit que c’était moi qui lui avais donné les affiches.

Le lendemain, les policiers ont perquisitionné illégalement mon domicile. Lorsque le chef policier m’a ordonné de les suivre, j’ai rétorqué : « Pourquoi ? Quelle loi ai-je enfreinte ? » Une fois dans leur voiture, j’ai murmuré : « Maître, bénissez votre disciple. » J’ai dit au chef policier : « Vous dites que le Falun Gong est mauvais, et pourtant on continue à le pratiquer. Pourquoi le Parti communiste persécute-t-il les gens bien ? Avez-vous des preuves ? »

Lorsque mon mari est venu me rendre visite, le chef policier s’est exclamé : « Vous, les pratiquants de Falun Gong, pourquoi êtes-vous si déterminés à continuer : « Je lui ai répondu : « Les pratiquants d’autres disciplines profèrent des injures et jettent des pelures de pastèque partout. Nous, nous arrivons, ramassons les pelures, les jetons à la poubelle, nous essuyons les mains avec des mouchoirs en papier et remettons les mouchoirs sales dans nos poches avant de commencer nos exercices. Vous l’avez constaté vous-même. Avons-nous l’air de mauvaises personnes à vos yeux ? » Il a répliqué : « Nous le savons bien. » J’ai alors rétorqué : « Alors laissez-nous rentrer chez nous. »

Au moment de mon arrestation, j’avais dans ma voiture, celle que j’utilisais pour aller travailler, un paquet de documents de clarification de la vérité. Une mère de deux enfants tenait le stand voisin du mien, et je lui donnais un coup de main quand elle était occupée. Lors de mon arrestation, cette jeune femme a pris le sac contenant ces documents dans ma voiture et l’a gardé précieusement pendant plus d’un mois.

À l’époque, les pratiquants en difficulté venaient chez moi plutôt que de rentrer chez eux. Après qu’une pratiquante a eu des problèmes, sa sœur a refusé de la laisser rentrer chez elle. Je me suis portée volontaire pour lui trouver un endroit où vivre, et elle m’a proposé de me rendre la pareille en s’occupant de ma belle-fille pendant son accouchement. J’ai refusé son offre. « Ta maison est trop ouverte, et de plus, tu entreposes également des documents pour clarifier la vérité. » Je l’ai plutôt hébergée chez ma mère, dans une autre ville.

Un jour, nous avons trouvé quatre slogans diffamatoires envers le Maître sur un mur. À la faveur de la nuit, nous avons, à trois, recouvert ces slogans de peinture à l’aide de rouleaux trempés dans la peinture. Comme ce mur donnait sur la rue principale, les passants ne cessaient de s’arrêter, et certains commentaient même : « Peindre si tard ! »

Les policiers ont commencé à harceler ma famille après que nous ayons porté plainte contre Jiang Zemin (ancien dirigeant du PCC) pour avoir initié la persécution du Falun Gong. Un jour, six ou sept policiers ont frappé à ma porte et ont exigé de me voir. Quand j’ai demandé : « Que se passe-t-il ? », ils ont répondu : « Vous portez plainte contre Jiang Zemin ? » J’ai répondu oui et leur ai expliqué comment mon hypertension et mes problèmes de santé avaient disparu grâce à la pratique de Falun Gong. Le diabète de mon mari a été guéri et nos enfants continuent de soutenir notre pratique. Même ma mère a dit : « Quand je vous regarde, je vois un couple parfait. Je suis totalement rassurée, même si ma fille est mariée loin de nous. Vous êtes tous les deux des parents aimants et vous respectez vraiment les préceptes de la méthode. »

J’ai dit à mon mari que nos vies ont été prolongées par le Maître et qu’elles sont destinées à la pratique spirituelle et à sauver les êtres. Nos vies pourraient être en danger si nous ne respections pas les enseignements, ne serait-ce qu’un jour. Nous nous efforçons d’étudier le Fa avec diligence et de cultiver notre croyance. Nous privilégions avant tout la bonne gestion de notre foyer afin de pouvoir sauver des vies en toute sérénité. Mon fils nous a soutenus en disant : « Maman, quoi que tu décides, c’est bien. Sois droite dans tes pensées et tes actions, et fais attention. »

Sous la protection bienveillante du Maître, notre vie s’est déroulée sans encombre. Mon fils s’est engagé dans l’armée et a réussi l’examen médical du premier coup, sans avoir recours à des cadeaux ni à des pots-de-vin. Après sa démobilisation, le comité de quartier a tenté d’abuser de son autorité et a refusé de lui trouver un emploi. Lorsque je les ai interpellés en leur demandant : « De quel droit ? », leur représentant a exigé que j’arrête la méthode, faute de quoi ils refuseraient d’embaucher mon fils. J’ai rétorqué : « Vous savez que j’ai eu des problèmes de santé, n’est-ce pas ? Je ne signerai aucun document m’engageant à renoncer à la méthode. »

Mon fils a d’abord été affecté au Bureau des transports, mais ses supérieurs lui ont réclamé 80 000 yuans de pots-de-vin. Face à son refus, il a été démis de ses fonctions. Il a ensuite trouvé un poste dans une entreprise commerciale. Après avoir obtenu son diplôme d’ingénieur, il a été promu directeur. Il est rapidement devenu très recherché par de nombreux fonctionnaires.

3. Pensées et actions droites pour sauver des êtres

Mon mari et moi partons chaque matin clarifier la vérité. Lorsque nous décidons de rester à la maison pour étudier le Fa, nous ressentons un malaise. J’ai dit à mon mari : « Que chacun se retire ou non du PCC est son choix, mais que nous, nous cherchions à clarifier la vérité, c’est notre responsabilité. Nous ne pouvons pas abandonner ceux qui ont des liens prédestinés. » Vous trouverez ci-dessous quelques témoignages issus de notre travail de clarification de la vérité.

Clarifier la vérité à mes pairs

Un jour, j’ai croisé une femme marcher avec son enfant et je l’ai saluée chaleureusement : « Ma sœur, vous avez l’air si énergique ! À qui est cet enfant ? » Elle m’a répondu que c’était l’enfant de sa fille. J’ai poursuivi : « Ma sœur, du fond du cœur, je souhaite que vous soyez en sécurité. Souvenez-vous que “Falun Dafa est bon, Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon”, et vous serez sauvée en cas de malheur. Pourquoi je vous dis ça ? Regardez les campagnes des trois anti et des cinq anti, la Révolution culturelle et le massacre des étudiants le 4 juin. Le Ciel anéantira le PCC pour ses crimes, et démissionner vous assurera la sécurité. Avez-vous déjà adhéré au Parti ? » Elle m’a regardé et a dit : « Non, jamais. » J’ai poursuivi : « Sincèrement, je ne vous souhaite que du bien ; sinon, je ne vous dirais pas cela. » Touchée par ma sincérité, la femme a dit : « Oui, je suis membre, puisque je suis cadre », et elle a accepté de démissionner.

Un jour, alors que je sortais d’un petit supermarché, une femme m’a abordée : « Ma sœur, votre manteau est magnifique ! J’en ai un aussi, et il vous va très bien. » Quand je lui ai demandé où elle avait acheté son manteau, elle m’a répondu : « Je l’ai acheté à Baoding. » J’ai répondu avec étonnement : « Quelle coïncidence, j’ai aussi acheté le mien à Baoding. Nous étions destinées à nous rencontrer. Du fond du cœur, pour assurer votre sécurité, souvenez-vous que “Falun Dafa est bon, Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon” afin que vous ne soyez pas éliminée lorsque le désastre frappera. Le ciel détruira le PCC pour ses crimes. Les campagnes des trois anti et des cinq anti, la Révolution culturelle et le massacre des étudiants universitaires du 4 juin n’en sont que quelques exemples. Démissionner du PCC garantira votre sécurité. Avez-vous déjà adhéré au Parti ? » Elle a répondu : « Je suis membre de la Ligue de la jeunesse. » Je lui ai conseillé : « Je vais vous aider à démissionner du Parti en soumettant votre nom en ligne. Récitez souvent “Falun Dafa est bon, Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon”, surtout lorsque vous ne pouvez pas dormir la nuit. Cela vous aidera certainement. » Elle m’a remercié avec gratitude : « Vous êtes si gentille. »

Clarifier la vérité aux personnes âgées

J’ai rencontré un couple âgé. Quand j’ai demandé son âge à la dame, elle m’a répondu : « Devinez mon âge ! » Je lui ai répondu : « Vous êtes tellement énergique, vous devez avoir environ 70 ans ! » Elle m’a répondu : « J’ai 85 ans et mon mari en a 87. » Je me suis adressée au vieil homme : « Mon oncle, à votre âge, qu’est-ce que vous n’avez pas vécu ? Les campagnes des trois anti et des cinq anti, la Révolution culturelle, le massacre des étudiants universitaires du 4 juin... Le ciel va détruire le PCC pour ses crimes. Les pratiquants de Falun Gong sont des gens bien, tandis que “l’incident de l’auto-immolation de Tiananmen” a été mis en scène par le PCC. » Il m’a regardée et a acquiescé : « Je crois ce que vous dites. C’est exactement comme ça que le Parti communiste agit. » Quand je lui ai conseillé de démissionner du Parti pour assurer son avenir, il a accepté. Le vieil homme m’a volontairement donné son nom complet pour que je puisse soumettre sa démission. Sa femme a également ajouté : « Je suis aussi membre du Parti. Nous sommes tous les deux cadres. » La tante m’a alors donné son vrai nom pour démissionner du PCC.

Un jour, j’ai engagé la conversation avec un employé sur un chantier près de la rivière. Il m’a dit qu’il avait pris sa retraite de l’armée de Dalian, et je lui ai alors dit la vérité sur le PCC. Il a rapidement accepté de démissionner du PCC. Un autre jour, j’ai vu une dame âgée monter péniblement les marches à l’entrée d’un supermarché. Je me suis approchée d’elle et lui ai dit : « Ma sœur, laissez-moi vous aider. » Elle m’a remerciée pour ma gentillesse, après quoi je lui ai clarifié la vérité sur le PCC. Elle a rapidement accepté de démissionner du PCC. Comme le dit mon mari : « Il faut aborder les gens avec des intentions sincères pour les sauver. »

Clarifier la vérité au Bureau de la sécurité publique

Un jour, alors que je faisais des courses dans un centre commercial, j’ai aperçu un petit garçon à quelques mètres de moi et je me suis exclamée : « Waouh, cet enfant est tellement mignon ! » Ma remarque a incité son grand-père à dire à l’enfant : « Salue cette grand-mère. » J’ai compris qu’il travaillait dans la police, car sa ceinture portait le symbole du bureau, et j’ai saisi l’occasion pour lui dire la vérité sur le Falun Dafa. « Mon frère, j’ai des mots sincères à te dire. As-tu entendu parler de démissionner du PCC et de ses organisations affiliées pour sauver ta vie ? Souviens-toi “Falun Dafa est bon, Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon”, et tu auras un avenir radieux. » Il m’a regardé et m’a demandé : « Sais-tu où je travaille ? » J’ai répondu : « Quel que soit ton travail, je pense que tu es une personne bonne et bienveillante. Tu mérites d’être sauvé, c’est pourquoi je te dis cela. » « Voudriez-vous dire à votre service de ne pas persécuter les pratiquants de Falun Dafa. »

Nous avons discuté un moment après avoir acheté nos articles. Je lui ai conseillé : « Traitez les pratiquants de Falun Dafa avec gentillesse afin de vous assurer un avenir radieux. » Il a accepté. Quand je lui ai demandé s’il voulait utiliser son vrai nom ou un pseudonyme pour démissionner du PCC, le grand-père a répondu : « Utilisez mon vrai nom, pourquoi utiliserais-je un pseudonyme ? Je n’ai rien à craindre. En fait, les autres agents doivent m’écouter ! » J’ai alors découvert qu’il était le chef de la police.

Un jour, un visiteur venu d’une autre ville s’est rendu au marché pour acheter de la nourriture. Il s’est arrêté devant mon étal et a dit : « Je vais acheter chez cette dame, son étal et ses produits ont l’air propres. » Après avoir fait ses achats, je lui ai demandé de rester un moment. Il m’a répondu qu’il ne pouvait pas rester longtemps, car il venait de Shijiazhuang. Je lui ai demandé avec désinvolture : « Pourquoi êtes-vous ici ? » Il m’a répondu : « Je suis policier, je suis ici pour partager avec d’autres mon expérience de l’arrestation des pratiquants de Falun Gong. » Je lui ai fait remarquer : « Mais les pratiquants de Falun Gong sont des gens bien. » Il m’a répondu : « Nous le savons, mais ce sont les ordres d’en haut. Nous devons les suivre, sinon nous ne serons pas payés. » Après lui avoir expliqué les avantages de démissionner du PCC, l’homme a rapidement accepté de le faire. Il a commenté : « Mon fils ne croit pas que “l’auto-immolation de Tiananmen” ou tout autre incident soit vrai. » J’ai répondu : « L’incident de l’auto-immolation de Tiananmen était faux. Nous ne tuons pas les êtres vivants, alors pourquoi nous tuerions-nous nous-mêmes ? Le suicide est un péché grave. » L’homme a été surpris : « Vraiment ?! » J’ai répondu : « Voyez par vous-même. Cet incident a été mis en scène. » Je lui ai remis des documents expliquant la vérité et lui ai conseillé de les montrer également à sa femme.

Le lendemain, il a accompagné sa femme jusqu’à mon stand, a jeté un coup d’œil autour de lui, puis a dit à sa femme : « Laisse cette grande sœur te parler du Falun Gong pour que tu puisses démissionner du PCC. »

Clarifier la vérité partout où je vais

Lorsque ma mère a été hospitalisée à l’hôpital du district, j’ai profité de chaque occasion pour expliquer la vérité sur le Falun Dafa à tous les médecins et infirmières que j’ai rencontrés. Je les ai également aidés à démissionner du PCC et de ses organisations affiliées.

Juste avant son opération, j’ai dit à ma mère : « Maman, n’aie pas peur. Souviens-toi que “Falun Dafa est bon, Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon”, et que Maître Li Hongzhi te protège. » Ma mère a acquiescé sans hésiter, tandis que les autres patients du service s’émerveillaient : « Pratiquer le Falun Gong a des bienfaits ! » Lorsque ma mère a séjourné dans une maison de retraite, j’ai clarifié la vérité sur le Falun Dafa au directeur et au personnel, dans l’espoir d’assurer leur sécurité à l’avenir.

Merci, Maître, pour votre salut compatissant !

Traduit de l’anglais