Trente-deux ans de surdité guéris

(Minghui.org) Un jour après avoir commencé à pratiquer le Falun Dafa, je me suis endormie sur le canapé et j’ai fait un rêve. Dans ce rêve, la fille d’un de mes bons amis se tenait derrière moi et retirait doucement deux objets de mes oreilles et les mettait dans mes mains. Ils ressemblaient à des ficelles blanches et caoutchouteuses qui mesuraient environ cinq centimètres de long. Quand je lui ai demandé : « Qu’est-ce que c’est ? », je me suis réveillé. Une pensée m’a traversé l’esprit : « La racine de ma surdité a été enlevée. »

Je n’arrivais pas à y croire. Ma cultivation a permis à mon rêve de 32 ans de se réaliser.

Le Maître a dit :

« La cultivation dépend de soi, le gong dépend du maître. » (Première Leçon, Zhuan Falun)

Le Maître a purifié mon corps et j’ai été libérée de la maladie.

Mon mari était enthousiaste et il a appelé mon fils : « La surdité de ta mère a été guérie. Le Falun Dafa est incroyable, d’un geste de la main, Maître Li a guéri cette maladie qui durait depuis des décennies. À partir de maintenant, nous soutenons tout ce que ta mère fait dans sa discipline. »

Un soir, alors que je lisais des articles en ligne de Minghui, mon mari a reçu un appel de ma sœur, me demandant de descendre la voir. Alors que je m’apprêtais à quitter la maison, j’ai vu dans l’évier cinq poivrons verts que j’avais oublié de laver, et j’ai dit à mon mari : « Lave les poivrons, je les utiliserai plus tard. » Dès que j’ai fini de parler, il a pris un air sérieux et a parlé durement : « Tu ne fais rien de la journée, et je dois même t’aider à la cuisine. J’en ai assez. Tu as presque 70 ans et tu sors tous les jours, même par mauvais temps, ce qui m’inquiète. » Il a dit qu’il ne voulait plus vivre et qu’il m’emmènerait avec lui.

J’ai levé les yeux et j’ai vu un visage très en colère. Je me suis ressaisie, j’ai fermé les yeux et je n’ai rien dit. Je me suis souvenue de ce que j’avais lu plus tôt dans « Dissoudre la culture du parti communiste chinois », et j’ai compris que c’étaient les spectres pervers du parti communiste qui étaient à l’œuvre. J’ai demandé à mon mari de m’aider à faire la cuisine, et les forces anciennes ont exploité mon attachement au confort et ont fait ressortir la culture du PCC chez mon mari.

J’ai senti que le Maître était juste à côté de moi et j’ai cessé d’avoir peur. J’ai émis la pensée droite pour dissoudre le spectre communiste et ne pas lui permettre d’interférer.

Je suis descendue parler à ma sœur. Dix minutes plus tard, je suis rentrée à la maison et mon mari a fait comme si de rien n’était. Il était en train de couper des oignons verts et m’a demandé de les utiliser pour faire des boulettes le lendemain.

Je me sentais si reconnaissante de la protection compatissante du Maître, qui m’a permis d’aller aussi loin dans la cultivation.

Traduit de l’anglais