Le Maître veille toujours sur moi

(Minghui.org) J’ai commencé à pratiquer le Falun Dafa le 29 juillet 1998 et j’ai maintenant 76 ans. Avant de commencer à pratiquer, j’avais de nombreuses maladies, notamment des maux de tête, des problèmes d’estomac, des maladies cardiaques et une cholécystite. La maladie de peau que j’ai contractée à l’âge de 14 ans provoquait d’importantes démangeaisons. J’ai souffert d’innombrables épreuves pendant plus de trente ans. Vingt jours après avoir commencé à pratiquer le Falun Dafa, toutes mes maladies avaient disparu.

En 2020, mon fils a fait des affaires sur un campus universitaire et je suis restée avec lui. J’étais anxieuse lorsque j’ai réalisé que de nombreux étudiants ne connaissaient pas la vérité sur la persécution. J’ai affiché « Falun Dafa est bon, Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon » sur les poteaux électriques derrière l’école. Le service de sécurité du campus m’a vue et m’a emmenée au poste de police de l’école. Dès que je suis entrée, j’ai dit : « Soyez gentils avec les pratiquants de Falun Dafa et vous serez bénis. » Lorsqu’ils m’ont interrogée, j’ai dit : « Le Falun Dafa est noble et est pratiqué dans plus de 100 pays et régions du monde. » Ils ont contacté le poste de police local et se sont rendus à mon domicile situé à 50 kilomètres pour le fouiller, mais ils n’ont rien trouvé.

J’ai été inscrite sur la liste noire du Parti communiste chinois (PCC). La veille des deux conférences prévues en 2021 (le Conseil politique du peuple et la Conférence nationale du peuple), la police a perquisitionné mon domicile et a pris mes livres de Dafa et d’autres objets. À 11 heures ce soir-là, j’ai été envoyée à l’hôpital pour un examen médical. Ma tension artérielle a été mesurée à plusieurs reprises et elle était de 220, de sorte que le centre de détention a refusé de m’admettre. Le lendemain, j’ai passé une IRM et on m’a dit qu’il y avait une grosse tumeur sur mon foie.

Cet après-midi-là, on m’a de nouveau envoyée au centre de détention. J’ai demandé à l’agent : « Je ne vous en veux pas. Pourquoi insistez-vous pour m’envoyer au centre de détention ? » Il m’a répondu : « Si tu ne veux pas y aller, je leur dirai de ne pas t’admettre. » J’ai compris : « Seul ce que dit le Maître compte. » Le centre de détention a refusé de m’admettre. Lorsque je suis retournée au poste de police, il était temps pour les agents de quitter leur travail. Ils m’ont renvoyée chez moi. Six ou sept agents se tenaient là, et je leur ai dit : « Être gentil avec Dafa vous apportera des bénédictions. »

Après mon retour à la maison, la ville a été fermée en raison de la pandémie de COVID, et cette mesure n’a été levée que deux mois plus tard. J’ai été accusée d’avoir distribué des informations sur le Falun Dafa et j’ai été emmenée au parquet et au tribunal. Le procès a eu lieu le 6 septembre 2021. On m’a ordonné de plaider coupable et d’accepter la peine. J’ai dit que je n’étais pas coupable. Je n’avais rien fait de mal dans ma vie alors comment pourrais-je être coupable ? J’ai aussi dit que je n’avais pas pris une seule pilule depuis plus de vingt ans. Le président du tribunal a demandé aux juges d’écrire ce que j’avais dit. Même si je n’ai pas plaidé coupable, j’ai été illégalement condamnée à deux ans de prison et on m’a extorqué 2000 yuans.

En octobre 2023, la police m’a emmenée à l’hôpital pour un nouvel examen médical. Ma tension artérielle était de 229 et j’étais diabétique. Le médecin a dit que mon taux de glycémie était trop élevé. J’ai dit que le Falun Dafa subissait une injustice ; si tout le monde pratiquait le Falun Dafa, la police ne serait plus nécessaire. Les gens se contrôleraient eux-mêmes et ne feraient pas de mauvaises choses. Ne serait-ce pas une bonne chose ? Après l’examen médical, le tribunal intermédiaire m’a demandé de signer le document. J’ai dit : « Ma détermination à cultiver Dafa ne changera jamais. Je ne signerai rien. » Ils sont partis.

Un jour de janvier 2024, il neigeait abondamment. La police m’a emmenée à l’hôpital pendant la journée et m’a fait rester au centre de détention cette nuit-là. Ils ont dit que l’examen médical n’était pas complet. Ils m’ont de nouveau emmenée à l’hôpital le lendemain, malgré la neige abondante. Ils m’ont emmenée à l’étage et au rez-de-chaussée pour différents examens. Ils m’ont dit que la grosse tumeur sur mon foie avait disparu, mais que ma tension artérielle était toujours supérieure à 200. Le centre de détention a refusé de m’admettre et m’a renvoyée chez moi.

Après mon retour à la maison, j’ai regretté une chose : lorsque j’ai été envoyée au centre de détention, la pièce était remplie d’agents, mais je n’ai pas pensé à leur dire : « Ne persécutez pas le Falun Dafa. Le Falun Dafa est une méthode noble et vertueuse, et les injustices dont il fait l’objet seront réparées à l’avenir. »

En avril, la police est venue à mon domicile et m’a demandé si j’avais été hospitalisée. J’ai répondu : « Cela fait plus de vingt ans que je n’ai pas pris de médicaments et que je n’ai pas été à l’hôpital. » Ils ont pensé que comme j’étais vieille, je devais être malade. Ma tension artérielle était élevée, plus de 200 pendant plus de trois ans, mais je vivais bien et la grosse tumeur avait disparu, ce qui était vraiment incroyable.

Je suis infiniment reconnaissante envers le Maître pour sa protection compatissante ! Merci à mes compagnons de cultivation pour leur aide.

Traduit de l’anglais