(Minghui.org) J’ai commencé à pratiquer le Falun Dafa en janvier 1999. Avant cela, j’étais souvent malade et je souffrais de douleurs liées à un trouble du nerf crânien. À cause des maux de tête, j’avais du mal à dormir et à manger, et j’étais également déprimée. Je ne connaissais pas le sens de la vie et j’avais l’impression qu’il n’y avait pas de joie dans la vie. La joie était quelque chose d’inaccessible.

Mon corps et mon esprit ont changé de manière significative après que j’ai commencé à pratiquer le Falun Dafa. Le mal qui m’avait torturée pendant près de dix ans a disparu et je n’ai plus eu mal à la tête. C’était vraiment rapide et efficace. Dafa est vraiment magique et grandiose ! Ce sentiment de joie est vraiment difficile à décrire avec des mots. Non seulement cela, mais le principe du Falun Dafa m’a aidée à comprendre la vérité de l’univers :

«  Zhen-Shan-Ren est le seul critère pour juger si quelqu’un est bon ou mauvais » (Première leçon, Zhuan Falun)

J’ai trouvé le vrai sens de la vie : les gens ne peuvent être vraiment heureux que s’ils sont bons et altruistes.

Dans le monde d’aujourd’hui, les critères moraux des gens sont bien inférieurs à ceux des anciens. La moralité est en déclin. Les parents travaillent dur pour élever leurs enfants, mais ils risquent de ne pas avoir une fin heureuse lorsqu’ils seront vieux. Je pratique Dafa, et Dafa nous enseigne à être de bonnes personnes et à maintenir des critères moraux élevés.

« Retourner à la tradition, c’est le chemin qui mène au Ciel. » (Créer à nouveau, Créer à nouveau, Hong Yin V)

Comme le dit le proverbe : « La piété filiale est la première de toutes les vertus », et c’est pourquoi je me dois d’être particulièrement exemplaire dans ce domaine.

J’ai commencé la pratique de Dafa juste après mon mariage. Mes beaux-parents, qui avaient plus de 60 ans, espéraient pouvoir vivre avec mon mari et moi. Personnellement, j’aurais préféré que nous vivions seuls. Cependant, Dafa nous enseigne que les pratiquants doivent être prévenants et envisager les choses du point de vue d’autrui. Si mes beaux-parents voulaient vivre avec nous, ils le pouvaient. Je leur préparais de délicieux repas trois fois par jour et je faisais le ménage en temps opportun. J’étais heureuse de faire tout ce que j’étais censée faire. Une fois, je suis allée au magasin d’un voisin et la vendeuse m’a dit : « Votre belle-mère a beaucoup de chance. Il est difficile de trouver une bonne belle-fille comme vous de nos jours. » J’ai souri. Je savais qu’elle complimentait une pratiquante de Dafa, puisqu’elle savait que je pratique le Falun Dafa.

Pour que mes beaux-parents puissent vivre confortablement et ne pas se préoccuper de choses triviales, j’ai pris en charge tous les frais de subsistance. Mon beau-père pouvait alors économiser son salaire pour lui et ses autres enfants, ce que j’ai accepté en toute tranquillité.

La maison que nous habitons avec mes beaux-parents est au nom de mon beau-père. Lorsque mon mari et moi parlions de nous marier, tout le monde, au sein et en dehors de la famille, savait que la maison du frère de mon beau-père était réservée à mon mari. Mon beau-père allait transférer le titre de propriété de la maison de son frère à lui-même, et il m’a demandé mon avis. Je lui ai répondu : « Je n’ai pas d’avis. Vous pouvez vous en occuper comme vous l’entendez. » Mon beau-père a répondu : « Alors, je ne m’inquiète pas. » Cela signifiait que nous n’aurions plus de maison à notre nom. Cela ne m’a pas dérangée et je suis restée ouverte d’esprit et sereine.

Du fait que j’ai commencé la pratique de Dafa, j’étais en bonne santé et heureuse. J’ai donné naissance à un petit garçon un an après notre mariage. Mes beaux-parents étaient très heureux. Plus tard, mon mari m’a dit en plaisantant que lorsque nous nous sommes fiancés, mes beaux-parents ayant constaté mon état physique à l’époque, ils ont même conseillé à mon mari de rompre les fiançailles. Je n’ai jamais gardé de rancune à ce sujet et je continue à bien m’occuper de mes beaux-parents. Mon mari et sa famille ont tous été témoins de mes changements physiques et moraux après avoir commencé la pratique de Dafa. Plus tard, lorsque Dafa a été persécuté, ils ont continué à croire que le Falun Dafa était bon et m’ont soutenue.

Ma belle-sœur m’a dit : « De tous nos frères et sœurs et belle-famille, c’est toi qui as le plus apporté à mes parents et le moins gagné. Mon père dit beaucoup de bien de toi. » J’ai répondu : « Je sais ce que je fais [je pratique la discipline spirituelle de Dafa]. »

J’étais bien consciente que c’était le Falun Dafa qui m’avait donné la possibilité, moi qui étais auparavant malade et étroite d’esprit, de devenir en bonne santé et ouverte d’esprit.

Offrir le salut aux êtres

Dafa exige que nous nous cultivions tout en nous conformant le plus possible à la société ordinaire, tout en maintenant de bonnes relations avec notre famille et dans la société. Je m’occupe bien des membres de ma famille et je travaille également à temps partiel pour contribuer aux besoins de la famille. Je travaille toujours sur ma cultivation afin de poser de bonnes fondations.

Je sais que les pratiquants de Dafa ont une mission historique : clarifier la vérité et sauver les êtres. Bien que le Falun Dafa soit une méthode qui enseigne aux gens à être gentils, il subit une injustice sans précédent. Parce que j’ai personnellement bénéficié du Falun Dafa, je veux faire comprendre aux autres à quels points le Falun Dafa est merveilleux et les sensibiliser à la persécution perpétrée par le Parti communiste chinois (PCC), afin qu’ils ne soient pas induits en erreur par les mensonges du PCC et qu’ils n’aient pas d’avenir.

Depuis de nombreuses années, jour après jour, année après année, je clarifie la véritépour sauver des gens chaque fois que j’en ai le temps et l’occasion. Je clarifie la vérité aux gens dans les villages, aux gens qui vont au travail, aux amis et les invités lors de rassemblements, ainsi qu’aux gens qui ne font que passer. Clarifier la vérité et sauver les êtres est le sens de ma vie et ma plus grande joie. La reconnaissance et les louanges que les personnes sauvées m’accordent après avoir compris la vérité m’encouragent à faire preuve de diligence. Leur appréciation me réjouit, mais je leur dis de remercier Maître Li pour leur salut. Je suis heureuse qu’ils aient été sauvés et je suis touchée par leur gentillesse.

Des choses étonnantes se sont produites lorsque j’ai fait cela. Une fois, j’ai parlé longuement à une femme de la manière dont le Falun Dafa enseigne aux gens à être gentils et bons, de ses effets miraculeux pour guérir les maladies et rester en forme, de la fausse propagande des médias du PCC, des auto-immolations de la place Tiananmen mises en scène par le PCC, des prélèvements forcés d’organes approuvés par le PCC, du fait que Dafa s’est répandu dans le monde entier et du mouvement pour se retirer du PCC et des organisations qui lui sont affiliées. Enfin, je lui ai conseillé de démissionner du PCC, ce qu’elle a accepté avec plaisir. Lorsque je lui ai parlé du pseudonyme que j’avais trouvé pour elle, elle a ri et m’a dit : « C’est mon vrai nom ! » J’ai trouvé cela incroyable et je lui ai dit : « Vous avez vraiment une affinité prédestinée. Quelle coïncidence ! »

Une autre fois, je me rendais au marché pour clarifier la vérité. En descendant, j’ai constaté qu’il faisait froid, je suis donc remontée et j’ai enfilé un gros manteau. Cependant, j’avais laissé dans la poche de mon autre veste le stylo et le papier que j’utilisais pour noter les noms des personnes qui démissionnaient, et je ne m’en suis rendu compte qu’une fois arrivée au marché. J’avais prévu de parler d’abord à deux personnes, pour ne pas oublier deux noms, et d’aller ensuite dans un magasin relativement éloigné du marché pour acheter du papier et un stylo. J’ai rapidement convaincu deux personnes de se retirer. Le pseudonyme que j’ai donné à l’une d’entre elles était « Mengxiang » (qui signifie « Rêve »). J’ai eu peur de les oublier et j’ai répété les deux pseudonymes en chemin. Quand je suis arrivée au supermarché, j’ai vu que le nom du supermarché était « Mengxiang ». Je me suis dit : « Maintenant, je n’oublierai plus. Merci, Maître, pour vos encouragements. » Après avoir acheté du papier et un stylo et noté les noms, je suis retournée au marché pour clarifier la vérité.

Le chemin de cultivation et le salut des gens sont des activités bien remplies, mais aussi épanouissantes et joyeuses. Cependant, il y a aussi des moments où les pratiquants ne sont pas dans un bon état de cultivation, et lorsqu’ils ne peuvent pas bien maîtriser leur xinxing, leur humeur en sera également affectée. Lorsque cela se produit, le Maître utilise des êtres pour nous rappeler à l’ordre. Je sais que sauver les êtres est une grande responsabilité, et chaque fois que cela se produit, j’ajuste rapidement mon état de cultivation et je vais sauver les gens. Chaque fois, après avoir clarifié la vérité, je rappelle aux gens qui comprennent la vérité : « Dans les moments critiques, assurez-vous de maintenir des pensées droites envers Dafa ! » Certaines personnes se sont retournées après s’être éloignées et ont dit : « Vous devez continuer, vous aussi ! » Cela m’a fait pleurer. Les êtres sont si précieux ! Si je ne les sauve pas, comment pourrais-je les regarder en face ?

Je peux maintenant gérer mon temps de manière à avoir plus de temps pour sauver les gens. Pour reprendre les mots de mon mari, tout va bien tant que je peux bien vivre ma vie. Oui, c’est aussi la voix d’un être qui comprend vraiment la vérité. Sans le salut de Dafa, je n’aurais pas tout ce que j’ai aujourd’hui, y compris ma vie. J’ai une gratitude infinie envers le Maître pour son salut et ses soins compatissants. Je serai certainement plus diligente, je me cultiverai bien et je sauverai plus de gens. C’est la plus belle récompense pour Dafa et pour le Maître.

Traduit de l’anglais