« C’est ma belle-fille ! »

(Minghui.org) Ma santé s’est améliorée de façon spectaculaire quand j’ai commencé à pratiquer le Falun Dafa en 2008. Je me suis demandé pourquoi je n’avais pas trouvé un si grand Fa plus tôt. Je ne pouvais que cultiver avec diligence et essayer de rattraper les autres pratiquants.

Peu de temps après, ma famille — ayant été trompée par la propagande et le lavage de cerveau du Parti communiste chinois — a essayé de m’empêcher de pratiquer, surtout mon beau-père. Quand il a vu ma ferme détermination et que mon mari n’était pas arrivé à me persuader d’arrêter, il est intervenu personnellement.

Il m’a appelée et a dit : « Je veux te parler de la pratique du Falun Dafa. Notre famille ne veut pas que tu pratiques. » J’ai répondu : « Je comprends ce que vous ressentez. Mais je sais aussi qu’en tant que belle-fille, si je m’efforce d’être une bonne personne, vous ne vous opposeriez sûrement pas à cela, n’est-ce pas ? Je vous propose ceci : nous n’allons pas nous disputer sur ce sujet. Vous lisez le Zhuan Falun. Si après l’avoir lu, vous pensez toujours que le Falun Dafa est mauvais, j’arrêterai de pratiquer. Est-ce d’accord ? »

Il a accepté. Alors je lui ai donné le livre. Il s’est enfermé dans sa chambre et a passé deux jours à le lire. Après, il a dit : « Vas-y, pratique, mais assure-toi de ne pas sortir et de le dire à tout le monde. » J’étais tellement heureuse ! Depuis lors, j’étudie et pratique le Falun Dafa ouvertement à la maison.

Grâce à la cultivation, j’en suis vraiment venue à comprendre que lorsque les pratiquants se conduisent bien, nous incarnons en fait la vérité. Notre comportement droit sauve les êtres. Nous ne clarifions pas seulement la vérité avec des mots, mais laissons aussi ceux qui interagissent avec nous sentir sincèrement que les pratiquants sont de bonnes personnes. En nous conduisant et en mesurant toujours nos paroles et nos actions avec le Fa, nous nous engageons dans une véritable cultivation — et ce faisant, nous sauvons les gens.

Je me suis tenue à des normes strictes au fil des ans. Que ce soit physiquement ou dans mon caractère, j’ai aussi vécu de nombreux changements et des choses merveilleuses qui sont difficiles à expliquer avec des mots.

Ces dernières années, j’ai pris soin de mon beau-père, de ma belle-mère et de mon grand-oncle. Au cours de ce processus, j’ai récité le Fa de manière exhaustive et mesuré tout ce que je faisais avec le principe de Dafa, en supprimant les attachements tels que la peur de la saleté, la peur du travail acharné, me plaindre et me sentir injustement traitée. Je me suis consacrée de tout cœur à servir ces trois personnes âgées. Chaque membre de la famille et parent a dit : « Elle est différente parce qu’elle pratique le Falun Dafa. » Ils savent tous que le Falun Dafa est bon. J’aimerais partager mon expérience concernant la prise en charge de mon beau-père lorsqu’il a été hospitalisé.

Mon mari devait travailler la journée et tenir compagnie à ma belle-mère la nuit, donc j’étais la seule disponible pour rester à l’hôpital et m’occuper de mon beau-père. Après avoir été admis, il ne pouvait plus se débrouiller seul. La sœur cadette de mon mari venait le voir brièvement, mais toutes les responsabilités liées aux soins m’ont été confiées.

Je me suis tenue aux critères d’une pratiquante de Dafa et j’ai traité mon beau-père comme mon propre père, en prenant soin de lui avec minutie. Un patient dans la même salle l’a remarqué et a dit à mon beau-père : « Vous avez vraiment une bonne fille ! Ses soins pour vous viennent vraiment du cœur. Je l’ai bien observée de près — sa gentillesse envers vous est absolument sincère. Vous avez tellement de chance d’avoir une fille aussi bonne. Nous vous envions vraiment ! »

Mon beau-père a répondu : « C’est ma belle-fille, pas ma fille. Celle qui est venue hier est ma fille ! »

« Quoi ?! Avez-vous dit belle-fille ? » Les yeux du patient se sont écarquillés. « Mon Dieu ! Vous avez dû cultiver pendant plusieurs vies pour avoir une belle-fille aussi merveilleuse. Vous êtes vraiment béni. Si vous ne me l’aviez pas dit et que je ne l’avais pas vu de mes propres yeux, je ne l’aurais jamais cru ! »

Je suis intervenue : « Qu’y a-t-il de si incroyable là-dedans ? Je n’ai rien fait de spécial. N’est-ce pas comme ça qu’on devrait s’occuper d’un patient ? Les membres de votre famille ne vous traitent-ils pas de la même manière ? » Il m’a regardée avec surprise et admiration, secouant la tête et murmurant : « Ah ! Vous êtes si bonne… tellement gentille ! »

« Je pratique le Falun Dafa. Notre Maître nous apprend à être de bonnes personnes et à bien traiter tout le monde. Je n’ai fait que ce que je devais faire. » Il a été profondément impressionné. Dès lors, chaque fois que sa famille venait, il me présentait comme la belle-fille de son voisin de lit. J’en ai profité pour leur parler de la persécution et les persuader de se retirer du Parti communiste chinois et de ses organisations affiliées. Notre chambre d’hôpital a toujours été remplie de chaleur et d’harmonie.

Cet incident m’a vraiment aidée à comprendre le principe que lorsque les pratiquants de Falun Dafa se conduisent bien, ils incarnent la vérité.

Ceci est un peu de ma compréhension à partir de mon expérience de cultivation. S’il y a quelque chose d’inapproprié, veuillez me corriger. Heshi !

Traduit de l’anglais