(Minghui.org) « La salle était pleine, mais le silence régnait, car les spectateurs avaient du mal à croire que de telles choses peuvent encore se produire. Persécuter des personnes pour leur croyance est inacceptable où que ce soit. Les gens devraient avoir le droit de choisir leur croyance. Il n’y a rien de mal dans le principe Authenticité-Bienveillance-Tolérance du Falun Gong, et les persécuter est un crime horrible », a déclaré Olayinka Quadr, un producteur de films britannique, après avoir vu le film Organes d’État à Toronto.
La conversation récente entre le dirigeant chinois Xi Jinping et le président russe Vladimir Poutine sur le fait de vivre jusqu’à 150 ans grâce à des greffes d’organes a été captée par un micro ouvert et a suscité un débat mondial. Un internaute a dit : « Il est donc vrai qu’il existe une banque d’organes en Chine, les pratiquants de Falun Gong nous ont donc dit la vérité ! » Le film Organes d’État est actuellement projeté dans les salles de cinéma de plusieurs pays. Ce documentaire dénonce le crime commis par le Parti communiste chinois (PCC) qui consiste à prélever systématiquement les organes de pratiquants de Falun Gong vivants, incarcérés pour avoir refusé de renoncer à leur croyance au cours des vingt-six années de persécution.
Le film a été projeté à Sydney, en Australie, à Auckland, en Nouvelle-Zélande, à Omiya, au Japon, et à Nitra, en Slovaquie. De fin août à début septembre cette année, il a été diffusé au Canada lors du Festival international du film de Toronto 2025, ainsi qu’à la bibliothèque Balwyn de Melbourne, en Australie. À mesure que le film est diffusé à travers le monde, de plus en plus de personnes prennent conscience que les prélèvements d’organes sur des personnes vivantes perpétrés par l’État chinois sont une réalité. Après avoir vu le film, beaucoup de gens ont dit admirer les efforts soutenus déployés par les pratiquants au cours des vingt-six dernières années pour sensibiliser le public à cette question et cela malgré la persécution.
Le film Organes d’État a été projeté le 7 septembre 2025 au York Wood Library Theatre pendant le festival international du film de Toronto 2025.
Un producteur britannique : « C’est une croyance véritable »
Le producteur britannique Olayinka Quadri a été ému par les efforts continuels des pratiquants de Falun Gong pour dénoncer la persécution : « Ils préfèrent sacrifier leur vie plutôt que de renoncer à leur foi, c’est une croyance vraie. »
Le producteur de cinéma britannique Olayinka Quadri
M. Quadri a dit qu'il ne pensait pas que le communisme pourrait anéantir Authenticité-Bienveillance-Tolérance. « La religion est un choix, et l’homme naît avec le droit de choisir. Bien que le film traite de ce qui s’est passé en Chine, il trouve un écho chez tout le monde, » a-t-il déclaré.
« J’ai eu les larmes aux yeux en regardant le film, et j’ai ressenti de la tristesse pour les victimes que je n’ai jamais rencontrées. Nous devons agir à l’échelle mondiale et veiller à ce que les droits de l’homme ne soient pas bafoués. »
Une avocate principale : Les prélèvements d’organes sur des personnes vivantes sont scandaleux
Organes d’État a été présenté le 28 août 2025 à la bibliothèque Balwyn de Melbourne, en Australie.
Maria Costas (à droite) et sa sœur ont regardé le documentaire le 28 août 2025 à la bibliothèque Balwyn.
Maria Costas est la propriétaire et l’avocate principale d’un cabinet d’avocats. Après avoir vu le film, elle a dit : « J’ai entendu parler d'Organes d’État l’année dernière lors d’un forum de questions-réponses à l’université Victoria organisé par l’avocat canadien spécialisé dans les droits de l’homme David Matas. Depuis, j’avais envie de le voir. »
La scène dans laquelle une femme crie « Falun Dafa est bon » pendant qu’on lui prélève ses organes a profondément bouleversé Mme Costas. Elle a ajouté : « Je ne pouvais pas rester assise, cette scène m’a beaucoup bouleversée. D’un point de vue juridique, cela m’a mise très en colère. » Elle a expliqué qu’elle exerçait le droit pénal international depuis plus de quinze ans.
« Je n’ai pas pu m’empêcher de pleurer vers la fin du film, tout en ressentant une colère extrême, » a-t-elle expliqué. « Beaucoup de personnes dans la salle ont pleuré en voyant la scène de torture. Je pouvais les entendre sangloter et je savais qu’elles étaient bouleversées.
« Comment cela pourrait-il ne pas rendre les gens tristes ? » a-t-elle demandé. « [Les pratiquants de Falun Gong] n’ont fait de mal à personne. Le film montre que le PCC a craint que la popularité du Falun Gong ne nuise au régime. »
Mme Costas estime que le principe fondamental du Falun Gong « Authenticité-Bienveillance-Tolérance » contraste fortement avec les principes méprisables du communisme. « Je pense que [les pratiquants de Falun Gong] sont comme des martyrs », a-t-elle exprimé, « tout comme les chrétiens au cours des trois premiers siècles, les pratiquants ont subi de la torture, mais sont restés fidèles à leur croyance.
« La douleur endurée par les pratiquants leur a permis d’atteindre un niveau supérieur, et c’est ainsi qu’ils ont pu supporter la persécution. Je crois que la discipline est bénéfique pour leur santé mentale et physique à un certain niveau, ce qui leur permet d’endurer les tortures, ce qui est incroyable. La plupart des gens mourraient de peur, mais les pratiquants sont capables de persévérer », a-t-elle affirmé.
Bien que l’histoire soit déchirante, Mme Costas a également ressenti : «de l’optimisme et de l’espoir, car c’est ainsi que la vérité se propage ».
Un enseignant remercie les pratiquants de Falun Gong pour leurs efforts soutenus
Michael Kulkewycz a regardé Organes d’État à la bibliothèque Balwyn de Melbourne, en Australie, le 28 août 2025.
Michael Kulkewycz a été enseignant dans un collège. Après avoir vu le film, il a compris comment le PCC avait lancé une persécution brutale contre les pratiquants de Falun Gong.
Il a dit : « Pour moi, c’était difficile à regarder parce que ce n’est pas de la science-fiction ou une histoire inventée, mais ce qui se passe réellement. Alors quand j’ai entendu les faits, cela m’a fait me sentir très mal, surtout après avoir vu que tant de personnes avaient été tuées.
« Un régime comme le PCC veut contrôler les gens par la peur. Car dès que les gens sont contrôlés par la peur, il peut faire tout ce qu’il veut. Je trouve cela terrible et effrayant. »
Il a appelé le gouvernement australien à agir et à faire pression sur le PCC. Il a précisé : « Cela ne devrait pas concerner uniquement l’Australie, mais tous les pays devraient agir ensemble pour faire pression sur le PCC, en lui disant qu’il doit respecter les droits de l’homme, se soucier de son peuple et des citoyens du monde entier. De cette façon, de telles tragédies ne se reproduiront plus. »
Il a été impressionné par la persévérance des pratiquants : « Cela prouve que leur cultivation leur donne le courage et la force de continuer. »
« Le Falun Gong est un mode de vie qui prône la confiance, la compassion et la bonté. Mais je pense qu’il y a quelque chose de plus profond qui les soutient : une croyance fondamentale et des bases solides. Ils savent qui ils sont et comprennent qu’un impact individuel peut se combiner pour former une force. »
Le gouvernement australien devrait officiellement diffuser Organes d’État
« Je me sens tellement chanceux d’avoir pu voir ce film aujourd’hui, » a dit Ming après le visionnement. Il avait déjà entendu parler du film. Après avoir vu le documentaire dans son intégralité et en avoir compris les détails, il a été très ému.
« J’ai vu à quoi ressemblent les prélèvements forcés d’organes sur des personnes vivantes, ce qui est choquant et donne à réfléchir. J’espère que cela cessera. Y mettre fin sera bénéfique pour l’humanité », a ajouté Ming. « Un organe coûte une vie. Prélever un organe signifie tuer une vie, cela ne devrait pas exister dans une société civilisée. »
Ming a fortement suggéré au gouvernement australien de « diffuser ce film publiquement dans un grand cinéma afin que les gens sachent ce qui s’est passé ». Il a également exhorté le gouvernement à boycotter le PCC.
Il a souligné l’importance d’aider le peuple chinois à comprendre ce que le PCC a fait aux pratiquants de Falun Gong dans le cadre de la persécution : « La communauté internationale devrait travailler ensemble pour que le peuple chinois soit informé de cela. Je sais que la plupart des gens en Chine ne savent pas ce qui arrive aux pratiquants dans le cadre de la persécution, car la propagande du PCC est trop puissante. Nous devons faire savoir aux gens ce qui s’est réellement passé dans le cadre de la persécution, et ce film le fait. »
Les pratiquants de Falun Gong n’abandonnent jamais
Max Xu, un immigrant chinois au Canada a dit : « Je n’arrive pas à croire ce que j’ai vu, et je n’ai pas pu m’empêcher de pleurer. Nous sommes tous trop gentils pour admettre que le mal existe. Le PCC n’a aucune limite. Il tue son propre peuple sans sourciller. Le PCC est un démon, et il transforme ses adeptes en démons également. »
M. Xu a ajouté qu’il respectait la protestation pacifique du Falun Gong qui dure depuis vingt-six ans : « Ils ne cèdent pas et continuent à dénoncer les crimes commis par le PCC. Nous devons informer davantage de personnes sur la véritable nature du PCC et réveiller ceux qui y croient encore. De cette façon, nous pourrons désintégrer le PCC. »
Li, originaire de la province chinoise du Heilongjiang, a expliqué avoir ressenti de la tristesse et un pincement au cœur après avoir vu le film : « Un musée de Harbin conserve des archives sur les expériences menées par les Japonais sur les Chinois lors de leur invasion de la Chine. Je ne m’attendais pas à ce que les Chinois fassent la même chose à leurs compatriotes. Même si je refusais d’y croire, cela s’est produit. Ce film devrait être largement diffusé afin que davantage de personnes soient informées de ce qui se passe et qu’il ait un impact international pour que ces crimes cessent. » Il a ajouté qu’il en parlerait à ses connaissances et contribuerait à sensibiliser l’opinion publique.
Chen, qui a émigré de Chine à Toronto, a dit qu’elle était reconnaissante envers le réalisateur d’avoir tourné ce documentaire, qui lui a permis de mieux comprendre les crimes commis par le PCC : « Dans les années 1930, le Japon a envahi la Chine et l’armée japonaise a massacré de nombreux Chinois. Aujourd’hui, c’est le gouvernement chinois et le PCC qui massacrent le peuple chinois. Le PCC est une organisation antihumaine. »
Le 3 septembre, le gouvernement chinois a organisé un grand défilé militaire, qui a permis au monde entier de voir le côté riche et puissant de la Chine. Elle a précisé que ce que les gens ne voyaient pas, c’était la souffrance du peuple chinois : « Le défilé militaire est ironique. Le PCC utilise [l’armée] pour massacrer le peuple chinois. »
Elle a demandé à la communauté internationale de prêter attention aux violations des droits de l’homme en Chine : « Il est de la responsabilité de chacun de défendre les victimes et de leur permettre de se faire entendre. »
Traduit de l’anglais
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