(Minghui.org) Je pratique le Falun Dafa depuis plus de vingt ans. Grâce à la protection, au renforcement et aux conseils compatissants du Maître, j’ai pu poursuivre ma cultivation et accomplir mon vœu préhistorique.

Le Falun Dafa m’a donné une nouvelle vie

En 1992, j’ai été mutée au service des ressources humaines du siège social de mon entreprise. Deux collègues avaient été promus dans des sociétés affiliées. Ils sont partis, mais nous n’avons pas recruté de nouvelles personnes et leur charge de travail m’a donc été transférée.

Mon mari a développé une hépatite à l’âge de 32 ans. Il était directeur du département des ventes et était souvent en déplacement professionnel. Je devais m’occuper seule de toutes les tâches ménagères. Mon enfant souffrait d’une maladie chronique. Nous avons consulté des hôpitaux locaux et des hôpitaux à Pékin. Je suis même allée dans des temples pour supplier le Bouddha de sauver mon enfant. J’ai dépensé beaucoup d’argent en frais médicaux et autres frais.

Je me sentais fatiguée et épuisée après avoir travaillé dans cette entreprise pendant cinq ans. Un jour, je me suis sentie faible, étourdie, j’avais de l’hypertension et des problèmes cardiaques. Je suis allée à l’hôpital pour passer un examen. Pendant que j’attendais le résultat du scanner, la médecin m’a montré un livre. Elle a ouvert la première page et m’a dit que c’était le Maître. Le Maître me semblait si familier. J’avais l’impression de l’avoir déjà rencontré quelque part, mais je ne me souvenais pas exactement où. La médecin a lu le sous-titre de la première page puis m’a tendu le livre. J’ai continué à lire là où elle s’était arrêtée. La médecin m’a dit que je souffrais d’hyperplasie osseuse. Je lui ai demandé si je pouvais emprunter le livre et elle a accepté. J’ai emporté le livre chez moi.

J’ai lu entièrement le livre cette nuit-là et j’ai réalisé que je l’attendais depuis longtemps. Les enseignements du Maître m’ont éveillée. J’avais trouvé le chemin de retour vers ma maison d’origine.

À l’âge de 17 ans, j’avais voulu cultiver dans les montagnes. À l’âge de 40 ans, j’étais devenue bouddhiste laïque, mais je n’avais pas de maître. Maintenant, j’avais enfin trouvé mon Maître. J’étais heureuse comme une enfant. J’ai regardé la photo du Maître dans le livre. Des larmes me coulaient sur le visage sans que je puisse les contrôler. J’ai vu la photo du Maître devenir de plus en plus grande. Ma chambre a été remplie d’une lumière dorée. La photo s’est transformée en différentes images du Maître. Le Maître m’a également permis de voir certaines de mes vies antérieures. Dans une vie, j’étais une princesse occidentale entourée de nombreuses personnes dans un jardin. Dans cette vie, je suis simple et directe, comme une Occidentale.

Je n’oublierai jamais que c’était le 11 avril 1997, jour où ma nouvelle vie a commencé !

J’ai lu le Zhuan Falun trois fois en vingt jours. Toutes mes maladies ont disparu, alors même que je n’avais pas encore commencé à pratiquer les exercices. J’étais une personne transformée. Tous les membres de ma famille ont été stupéfaits de voir mes changements. Mes parents et ma fille ont aussi commencé à pratiquer le Falun Dafa. Toute ma famille est devenue heureuse et harmonieuse. Mon mari a également bénéficié du Falun Dafa. Il s’est remis de ses maladies sans traitement médical. Merci Maître d’avoir sauvé toute ma famille !

J’ai donné le Zhuan Falun à mes collègues et amis. Certains collègues ont transmis le livre à leur famille après l’avoir lu. Pendant une pause déjeuner de trois heures, huit collègues ont regardé les conférences vidéo du Maître dans la salle de réunion et ont pratiqué les exercices au bureau. Nous avons travaillé dur et ne nous sommes jamais plaints. Mes collègues ont dit que j’étais très énergique et réconfortante. Ces deux années ont été les plus heureuses et les plus bénies de ma vie. Je regretterai toujours cette période magnifique et inoubliable !

Sauver un jeune homme dans la neige

Le Maître a dit :

« Clarifier la vérité, sauver les êtres, voilà ce que tu dois faire, en dehors de tout cela il n’y a rien que tu doives faire, il n’y a rien que tu doives faire dans ce monde. » (« Enseignement du Fa à la conférence de Fa de New York 2015 », Enseignement du Fa dans les conférences XIII)

Il neigeait abondamment cette nuit-là. J’ai vu un jeune homme allongé dans la neige, son vélo électrique à côté de lui. J’ai arrêté mon vélo et je me suis approchée de lui. J’ai essayé de le relever, mais il est retombé. Je lui ai tapoté le dos tout en répétant dans mon cœur les deux phrases : « Falun Dafa est bon, Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon. »

Il n’a pas repris connaissance avant un long moment. J’ai essayé de faire signe aux voitures qui passaient, espérant que quelqu’un s’arrêterait pour nous aider. Plus de dix voitures sont passées, mais aucune ne s’est arrêtée. J’ai crié « Falun Dafa est bon, Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon » et « Maître, aidez-moi. » Peu après, un jeune homme (Alan) a arrêté son vélo devant moi et m’a demandé ce qui n’allait pas. Alan a cherché le téléphone portable du jeune homme dans sa poche et a appelé un membre de sa famille. Peu après, l’un des membres de sa famille est arrivé. Alan lui a dit : « Cette femme est passée ici vers 8 heures et l’a vu allongé dans la neige. Elle l’a soutenu avec sa jambe et est restée avec lui pendant près de trois heures. »

Ils ont été très reconnaissants et m’ont remerciée encore et encore. Je leur ai dit que mon Maître nous demandait d’être attentionnés. Ils m’ont demandé qui était mon Maître. Je leur ai alors expliqué la vérité et les ai exhortés à démissionner du Parti communiste chinois (PCC) et de ses organisations affiliées. Ils ont accepté. Je leur ai également demandé d’informer le jeune homme de leur démission lorsqu’il se réveillerait. Je leur ai demandé de se souvenir que : « Falun Dafa est bon, Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon. »

Traiter tous les êtres comme des membres de ma famille

Un matin d’été en 2024, je suis descendue pour sortir les poubelles. J’ai vu Tianli avec des bandages, l’air fatigué. Elle m’a dit : « Je viens de subir une opération et je suis juste rentrée de l’hôpital. Le mari de ma sœur est décédé. Ils sont tous allés au crématorium. Je suis venue nettoyer la maison et faire les valises de ma sœur. » Je lui ai dit : « Montons à l’étage. Je vais vous aider. Vous venez de sortir de l’hôpital et vous êtes encore faible. Vous feriez mieux de prendre soin de vous. Dites-moi ce que je dois faire. Je m’en occuperai. »

Lorsque nous sommes entrées dans l’appartement de sa sœur, quatre voisins étaient déjà présents. Tous connaissaient le Falun Gong et la persécution menée par le PCC. Nous avons emballé les affaires dont ils n’avaient plus besoin et les avons jetées dans les poubelles en bas. J’ai descendu les deux dernières choses moi-même. Quand je suis remontée, j’ai entendu Tianli dire que les pratiquants de Falun Gong étaient très gentils. Les voisins ont dit : « Nous nous entendons bien avec elle. Elle est très gentille avec nous. »

J’ai saisi cette occasion pour clarifier la vérité à Tianli. Je lui ai dit que le Falun Dafa est un Fa juste qui s’est répandu dans plus de 100 pays et que le PCC a calomnié le Falun Dafa afin d’inciter la haine du peuple chinois envers le Falun Dafa. Je lui ai expliqué ce qu’était le PCC et pourquoi les gens devaient démissionner du PCC et de ses organisations affiliées. Elle a accepté de démissionner de la Ligue de la jeunesse.

Elle m’a dit que des membres de sa famille travaillaient dans les tribunaux et à la Commission des affaires politiques et juridiques. Je lui ai dit de leur dire de ne pas persécuter les pratiquants de Falun Dafa, car c’est un grand péché et qu’ils seraient bénis s’ils traitaient les pratiquants avec gentillesse.

Tianli a acquiescé et a dit qu’elle se souviendrait de mes paroles et qu’elle transmettrait le message.

Le Maître l’a sauvée

Le 30 avril 2024, vers 17 heures, j’ai frappé à la porte de ma voisine sans raison particulière. Ling (pseudo) m’a ouvert la porte. Elle semblait faible et très essoufflée. Je lui ai tapoté le dos. Je lui ai demandé de répéter avec moi les deux phrases « Falun Dafa est bon, Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon ». Elle s’est sentie mieux après un moment. Puis elle a vomi du sang.

J’ai demandé à notre voisin Da Hai et à sa femme de venir. Nous avons également appelé la fille de Ling. Quand ils sont arrivés, nous avons vu que les yeux et la bouche de Ling étaient sans vie. Nous avons alors répété tous les trois les deux phrases et supplié le Maître de l’aider. Rapidement, sa bouche et ses yeux sont revenus à la normale.

La fille de Ling est arrivée à 20 h. Nous lui avons raconté ce qui était arrivé à sa mère. À 20 h 30, Ling était presque complètement rétablie. Nous étions heureux pour elle. Ling a dit deux fois « Merci Maître ».

Xiao Yue est ma voisine. Elle est très gentille. Toute sa famille a démissionné du PCC et de ses organisations affiliées.

En avril 2024, elle est tombée et s’est blessée au genou dans un supermarché. Après son opération, je suis allée la voir et lui ai apporté un lecteur MP3 et un casque. Je lui ai fait écouter les conférences audio du Maître et lui ai demandé d’écouter le Fa du Maître avec un esprit concentré, et que le Maître prendrait soin d’elle.

Je suis allée la voir tous les jours. Parfois, j’achetais des collations pour sa mère. Elle a écouté le Fa du Maître tous les jours et son état s’est amélioré de jour en jour. Elle était de bonne humeur et heureuse.

Deux mois plus tard, elle pouvait marcher avec des béquilles. Un soir qu’elle s’entraînait à marcher avec ses béquilles, je suis descendue et je l’ai aidée. Je lui ai dit : « S’il te plaît, n’utilise pas tes béquilles. Je vais t’aider à t’entraîner à marcher. » Pendant que nous marchions, nous avons répété les deux phrases. Je l’ai aidée à marcher pendant un moment puis elle a pu marcher toute seule. Les membres de sa famille étaient très heureux. Xiao Yue m’a remerciée à maintes reprises. Je lui ai dit : « C’est le Maître qui t’a aidée. Remercie le Maître. » Elle a répondu : « Merci Maître. »

Traiter les agents de la sécurité avec gentillesse

Notre groupe d’étude du Fa se réunit chez moi depuis dix-sept ans. Chaque fois qu’un nouvel agent de la sécurité commence à travailler dans notre quartier résidentiel, je lui explique la vérité.

Un jour, j’étais dans la salle des agents de la sécurité. Quelqu’un a mentionné que l’agent de la sécurité n’avait pas de couverture dans sa chambre. Je lui ai apporté une couverture neuve. Je lui ai dit : « Il fait de plus en plus froid. Utilisez cette nouvelle couverture. » Il m’a remerciée abondamment.

Au printemps suivant, lorsque sa femme a lavé la housse de la couverture, ils ont découvert que la couverture était toute neuve. Je lui ai dit que ma fille me l’avait donnée. Il m’a dit : « Vous avez mentionné des démissions. Aidez-moi à démissionner de l’organisation affiliée au PCC, les Jeunes Pionniers. »

Il était de bonne humeur après avoir quitté le PCC. Il n’avait jamais pris de documents de clarification de la vérité auparavant, mais cette fois-ci, il m’en a pris quelques-uns et m’a demandé d’en donner un exemplaire à un autre voisin. Il m’a dit : « Tout le monde dit que vous êtes une bonne personne. Vous traitez tout le monde avec gentillesse. » Un autre agent de la sécurité m’a dit : « De toutes les personnes ici, vous êtes celle qui comprend le mieux la vie. »

Traduit de l’anglais