(Minghui.org) Après avoir commencé à pratiquer le Falun Dafa en 1996, j’ai compris le véritable but de la vie : s’assimiler au principe de l’univers –Authenticité-Bienveillance-Tolérance–pour revenir à son vrai soi et retourner à sa véritable maison.
Je souffrais de nombreuses maladies, notamment d’une spondylarthrite ankylosante, d’une polyarthrite rhumatoïde, d’atrophie musculaire neurogène et d’une maladie cardiaque. Ma vie était pire que la mort. Un médecin m’a dit un jour que la spondylarthrite ankylosante était comme un cancer dont on ne meurt pas. J’ai commencé à faire des réserves de somnifères, pensant que si un jour je ne pouvais plus supporter cette situation, je me suiciderais.
Puis, un jour de décembre 1995, une collègue a vu à quel point je souffrais et m’a dit : « Il existe une méthode de qigong qui peut améliorer la santé. Tu veux l’essayer ? » Je lui ai demandé de quoi il s’agissait. Elle m’a répondu que cela s’appelait Falun Dafa et m’en a fait une description. Quand j’ai entendu qu’il s’agissait d’une méditation assise, j’ai dit que je ne pouvais pas le faire, car j’avais du mal à m’asseoir et à me lever. Comment aurais-je pu pratiquer ? Elle a ajouté : « Il y a aussi un livre. Pourquoi ne pas commencer par lire le livre ? »
Elle m’a apporté le livre principal du Falun Dafa le Zhuan Falun le lendemain. Quand je suis rentrée chez moi et que je l’ai ouvert, la première chose que j’ai vue était la photo du Maître. J’ai dit : « Waouh, cette personne me semble si familière ! » Je me suis précipitée chez ma voisine avec le livre et je lui ai demandé : « Cet homme ne te semble-t-il pas familier ? » La voisine était d’accord et a dit qu’il était assez jeune. Elle a également eu un exemplaire du Zhuan Falun.
J’ai commencé à le lire le jour même. Deux jours plus tard, j’ai dit à ma collègue que j’aimerais garder le livre et je lui ai demandé combien il coûtait. Elle m’a dit qu’elle avait deux autres livres : le Falun Gong et un livre d’histoires de cultivation. J’ai dit : « Je les veux tous. Apporte-les-moi, s’il te plaît. »
Mon fils et moi avons lu tous les livres à tour de rôle. Au fur et à mesure de notre lecture, nous nous sommes sans cesse dit l’un à l’autre : « C’est vraiment bien et tellement vrai ! »
À partir du jour où j’ai commencé à lire le Zhuan Falun, mon corps s’est senti plus léger sans que je m’en rende compte. Mon dos me faisait moins mal et je n’ai plus eu besoin de médicaments. Je n’avais plus besoin d’aller à l’hôpital pour me faire soigner, me faire faire des piqûres ou prendre de médicaments. Avant, j’étais assez irritable à cause de la douleur et chaque fois que je me mettais en colère, j’avais mal au dos. Mais après avoir étudié le Fa, mon caractère s’est beaucoup amélioré.
À cette époque, mon fils venait d’entrer au collège. Un jour, il est rentré de l’école et m’a dit : « Maman, tout ce que dit le Maître est vrai. » Il m’a ensuite raconté trois incidents.
Le premier s’est produit alors qu’il rentrait de l’école. Il a soudainement senti quelqu’un le pousser sur le côté de la route. À ce moment-là, une voiture est passée à toute vitesse. S’il n’avait pas été poussé, il aurait été renversé.
Dans le deuxième incident, un camarade de classe l’emmenait au musée des sciences à vélo. En chemin, le pied de mon fils s’est pris dans la roue. Six rayons se sont cassés, mais son pied n’a pas été blessé. Il a dit : « Quand j’étais petit, mon pied s’est pris dans le vélo de papa et cela m’a laissé une cicatrice que j’ai encore aujourd’hui. Cette fois-ci, le Maître a dû me protéger. »
Lorsque le troisième incident s’est produit, il était sur le point de s’asseoir lorsqu’un camarade de classe a tiré sa chaise et il est tombé lourdement sur les fesses. Tout le monde a ri. Il a simplement souri et regardé son camarade de classe, en pensant : « Merci ».
L’un d’eux lui a demandé : « Nous rions tous de toi, mais tu ris aussi. Es-tu stupide ? »
Il a pensé : « Je ne suis pas stupide ». Il s’est souvenu du principe du Fa : « sans perte, pas de gain » et n’a ressenti aucune rancœur. Ce qui s’est passé ensuite a été très intéressant. La cloche a sonné et ils se sont tous assis. Environ dix minutes plus tard, le camarade de classe qui avait tiré sa chaise est tombé lorsque le pied de sa chaise s’est cassé ! C’était une chaise en métal cependant le pied s’est cassé et le camarade de classe a dû payer 8 yuans pour la réparer. C’est exactement comme ce que le Maître a dit à propos de la rétribution karmique.
Mon fils m’a alors supplié : « Maman, allons au point de pratique des exercices ce week-end. Je t’accompagnerai. »
C’est ainsi que j’ai vraiment commencé à cultiver. Mon enfant a dû m’aider à me rendre au point de pratique, mais très vite, j’ai pu me déplacer librement. Au début, je ne pouvais méditer que dix minutes. Mais cela est passé à vingt puis à trente minutes et en quelques mois, j’ai pu rester assise pendant une heure entière. Une fois, il a neigé abondamment et il n’y avait pas de bus. Je suis rentrée à pied du lieu de pratique. C’était quelque chose que je n’aurais jamais imaginé faire auparavant. Les autres pratiquants du point de pratique ont été inspirés par les changements qu’ils ont constatés chez moi. Ma famille, mes amis et mes collègues ont également été témoins des miracles de Dafa.
Supprimer des banderoles et des slogans
Lorsque Jiang Zemin, ancien dirigeant du Parti communiste chinois (PCC), a lancé la persécution du Falun Dafa le 20 juillet 1999, mon mari, pris de peur, a essayé de me persuader d’arrêter de pratiquer. Je lui ai dit : « Même si tous les autres abandonnent, moi je n’abandonnerai pas. Tu sais que le Maître m’a sauvé la vie. Je dois aller clarifier la vérité au gouvernement. Qu’y a-t-il de mal à pratiquer l’Authenticité, la Compassion et la Tolérance ? Pourquoi l’interdisent-ils ? »
Il m’a répondu : « À notre âge, tu comprends comment fonctionne le PCC ! Tu crois qu’ils vont t’écouter ? Comment peux-tu les combattre ?
J’ai répondu : « Je ne me bats contre personne. Je dis simplement la vérité. » Il a continué à dire des choses négatives. Je lui ai dit fermement : « Même si plus une seule personne dans le monde ne pratique pas le Falun Dafa, moi je le ferai. Arrête d’essayer de m’en empêcher. » Réalisant qu’il ne pouvait pas me faire changer d’avis, il s’est tu.
Je me suis jointe à d’autres pratiquants pour réclamer justice pour Dafa, empruntant la voie de la clarification de la vérité sous diverses formes. Au fur et à mesure que j’ai clarifié la vérité à mon mari, il a commencé à comprendre et à soutenir Dafa.
J’ai été illégalement condamnée et mon mari a également été envoyé dans un camp de travail. Après avoir vécu la persécution de ses propres yeux, il a perçu encore plus clairement la nature maléfique du PCC. Il m’a raconté que lorsqu’il était jeune, ses performances professionnelles étaient excellentes et les dirigeants voulaient qu’il adhère au PCC. Mais son père, qui avait souffert pendant la Révolution culturelle, s’y était fermement opposé. Finalement, sous la pression, il avait adhéré. Son père lui avait dit : « Tu le regretteras un jour. » Et maintenant, le PCC lui avait même enlevé son gagne-pain ! Lorsque le mouvement pour démissionner du PCC a démarré, il a résolument démissionné du Parti.
La police a affiché des slogans calomnieux sur le mur et une banderole sur Dafa à l’extérieur de notre maison. Ils étaient placés très haut. J’ai dit à mon mari : « Ce soir, couvrons les slogans et retirons la banderole. » Cette nuit-là, nous sommes sortis, avons recouvert les slogans maléfiques de peinture, avons retiré la banderole et l’avons jetée à la poubelle.
Le lendemain, la police est venue et a exigé de savoir qui avait fait cela. Je leur ai dit : « C’est vous qui avez affiché cela devant ma porte ? Si vous recommencez, j’afficherai le mien par-dessus le vôtre. Si vous avez le droit de les afficher, moi aussi. Si vous pensez que ce n’était pas correct, alors vous devriez nettoyer cela. » Le lendemain matin, j’ai vu le directeur du quartier mener trois personnes pour gratter les slogans.
Le pouvoir de la pensée droite manifeste des capacités divines
J’ai été arrêtée et emmenée dans un centre de détention. La police m’a emmené à l’hôpital pour un examen médical et m’a menottée. Sur le chemin du retour, ils n’ont pas réussi à déverrouiller les menottes. Un policier a dit qu’il allait chercher une autre clé. À ce moment-là, j’ai réalisé que je ne devais pas porter de menottes du tout ! Avec cette pensée, j’ai simplement glissé mes mains hors des menottes. Les policiers étaient stupéfaits. À partir de ce moment-là, ils m’ont traité avec plus de respect et ne m’ont plus menottée.
Une autre fois, j’ai été envoyée dans un centre de lavage de cerveau. Il se trouvait à l’intérieur d’un hôtel et deux personnes me surveillaient toutes les nuits. L’une d’elles a même déplacé un lit devant la porte pour m’empêcher de partir. Je leur ai expliqué la vérité. Au début, elles ne voulaient pas m’écouter. Peu à peu, elles ont commencé à comprendre, même si elles me parlaient encore à voix basse par peur. L’une d’elles m’a dit : « Nous ne faisons que notre travail. Nous n’avons pas le choix. »
Le neuvième jour, je me suis dit : « J’ai pratiquement fini d’expliquer la vérité ici, il est temps de partir ! » J’ai émis une pensée droite puissante : « À midi, pendant l’heure mondiale où les pratiquants émettent la pensée droite, que ceux qui me surveillent s’endorment. » J’ai également demandé l’aide du Maître.
Le déjeuner était généralement servi à midi, mais ce jour-là, il a été servi plus tôt. Après avoir mangé, j’ai émis une pensée droite : « Qu’ils s’endorment rapidement ! » Et c’est ce qui s’est passé. J’ai regardé dehors et tout le monde était allé dans sa chambre pour faire la sieste. J’ai émis une autre pensée : « Que le hall d’entrée soit vide. » Je suis sortie, je n’ai vu personne à la réception et la porte principale était grande ouverte ! Avec l’aide du Maître, je suis sortie sans encombre du centre de lavage de cerveau.
À un autre moment, j’ai surmonté un karma de maladie avec une pensée droite. Un jour, ma jambe a soudainement commencé à me faire très mal. La douleur s’est aggravée jusqu’à ce que je ne puisse même plus marcher. Deux grosses bosses sont apparues en haut d’une de mes cuisses. Bientôt, mes deux jambes en étaient couvertes. D’un point de vue médical, il s’agissait probablement d’un problème lymphatique. Au début, je me suis dit : « J’ai créé tellement de karma au cours de différentes vies et j’ai eu des lacunes dans ma cultivation. Peut-être que c’était simplement le karma qui était éliminé. » Je l’ai donc enduré passivement.
En étudiant le Fa, je me suis soudainement éveillée. J’ai identifié beaucoup de mes attachements : la peur, le désir de me mettre en valeur, la compétitivité, la recherche du bonheur, etc. Les forces anciennes utilisaient mes attachements pour me « tester », pour m’interférer, pour me piéger, afin que je ne puisse pas sortir et accomplir ma mission en tant que pratiquante de Falun Dafa. Elles essayaient de me détruire. Je ne pouvais pas les reconnaître et je devais les nier complètement.
Le lendemain matin, quand je me suis réveillée, les bosses avaient disparu et tout était revenu à la normale. Les larmes aux yeux, j’ai remercié le Maître.
Au cours de ces vingt-neuf années, Dafa m’a changé de multiples façons. Aujourd’hui, j’ai enfin pris ma plume et écrit ceci pour valider Dafa avec mes expériences personnelles et exprimer ma gratitude à notre grand Maître compatissant !
Traduit de l’anglais
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