(Minghui.org) Je suis une pratiquante de Falun Dafa vivant dans une région rurale de Chine. J’ai commencé à pratiquer au printemps 1999, mais après le 20 juillet de cette année-là, lorsque la persécution du Falun Gong a commencé, par peur j’ai arrêté de pratiquer. En 2010, à l’âge de 54 ans, j’ai été confrontée à une grave épreuve et j’ai échappé de justesse à la mort grâce au salut compatissant de Maître Li.
Ma famille travaillait dans le commerce des céréales. L’après-midi du 13 octobre 2010, j’aidais à charger du maïs. Je suis ensuite rentrée pour faire bouillir de l’eau. Alors que je sortais avec un grand bol de thé à la main, j’ai vu un gros camion chargé de maïs s’emmêler dans le tapis roulant à grains, qui mesurait 17 mètres de long, 2 mètres de large et pesait plus de 2 tonnes. Le tapis roulant s’était légèrement incliné.
Au moment où j’allais appuyer sur le bouton pour relever légèrement le tapis roulant et le dégager du camion, une autre personne a tenté de faire de même. Pour une raison inconnue, le tapis roulant ne s’est pas redressé. Au contraire, il s’est renversé et m’est tombé dessus. J’ai perdu connaissance sous le choc.
Une ambulance est arrivée et alors que les ambulanciers m’installaient à l’intérieur, j’ai repris connaissance et j’ai entendu mon mari pleurer. J’ai crié « Aïe, mon dos », puis je me suis évanouie à nouveau. Je suis restée inconsciente jusqu’à 18 heures environ. À mon réveil, j’ai vu plusieurs parents et amis en larmes autour de moi. Je ne ressentais aucune douleur, aucune peur, je n’avais aucune larme. J’avais seulement soif, alors j’ai bu beaucoup d’eau. Peu à peu, j’ai retrouvé mes esprits.
Vers 2 heures du matin, j’ai de nouveau ressenti une soif insupportable, comme si ma vie touchait à sa fin. J’ai commencé à parler à mon mari des dispositions à prendre pour ma fin de vie.
« Ramène-moi à la maison, sinon je ne pourrai plus voir notre fille cadette (elle se préparait à faire des études supérieures donc ma famille ne lui avait pas dit ce qui m’était arrivé). » J’ai dit à mon mari : « Je dois aussi t’expliquer nos comptes professionnels. » Après avoir expliqué les principaux comptes, je me suis évanouie à nouveau. J’avais l’impression d’être entrée dans un grand pot ovale, très confortable et je ne ressentais aucune douleur.
Le lendemain, vers 5 heures du matin je me suis réveillée et j’ai vu que la pièce était remplie de monde.
« Pourquoi êtes-vous là si tôt ? » ai-je demandé.
Les visiteurs ont été surpris de m’entendre parler. L’un d’eux m’a répondu : « Cela fait trois heures que nous essayons de te réveiller et nous avons presque perdu la voix. » À partir de ce moment-là, j’ai retrouvé mes esprits et j’ai commencé le processus de rétablissement.
Une infirmière m’a demandé : « Tante, savez-vous combien vous avez de blessures ? Vingt-deux au total, dont 11 fractures. Votre tête et votre visage ont été les plus touchés. »
Lorsque l’accident s’est produit, j’ai eu le visage blessé parce que je tenais un grand bol en céramique rempli de thé. Le bol s’est brisé sur mon visage et a éclaté. Mon front, mon visage, ma bouche et mon menton ont été gravement blessés, et deux de mes dents de devant ont été endommagées, l’une poussée vers l’intérieur et l’autre vers l’extérieur.
Ma lèvre inférieure était déchirée à quatre endroits, et ma tête et mon visage étaient couverts de coupures causées par les éclats de céramique, la plus profonde mesurant un centimètre de large et trois doigts de long. Cinq de mes côtes étaient cassées. L’une d’elles a perforé mon poumon, provoquant une importante hémorragie et ma cavité thoracique s’est remplie de sang.
Les médecins se sont concentrés sur le fait de me sauver la vie et n’ont pas prêté beaucoup d’attention à mes blessures aux côtes, qui ont pour la plupart été laissées de côté pour guérir naturellement. J’ai maintenant des côtes mal alignées ou qui se chevauchent, ainsi que certaines qui sont correctement alignées. Je peux les sentir avec la main.
Ma jambe droite était fracturée sous le genou et ma jambe gauche présentait des fractures comminutives (fragments multiples ou éclats) du bassin au genou, tandis que mon bassin était fracturé à deux endroits. À ce jour, mon bassin reste déplacé, mais je peux marcher normalement.
Mon omoplate gauche a également été fracturée et ma colonne lombaire a été brisée dans l’accident. Elle a guéri toute seule par la suite, mais une vertèbre chevauche une autre d’environ 2,5 cm, ce qui ce qui m’a fait perdre 2,5 cm.
Pendant la phase de convalescence, mon visage était déformé et ensanglanté, ce qui était difficile pour les autres de me regarder. La patiente à côté de moi, âgée d’une quarantaine d’années, avait été blessée dans un accident de moto. Elle souffrait beaucoup et pleurait et criait sans cesse. Je ne ressentais aucune douleur due à mes blessures, ce qui en surprenait plus d’un.
Même si je ne ressentais aucune douleur, j’ai eu plus de 38o C de fièvre pendant environ quarante jours. Un matin, dans un rêve, j’ai entendu un pratiquant de Falun Gong m’appeler par mon nom. Vers 9 heures ce matin-là, ce pratiquant est venu me rendre visite. Des larmes ont coulé sur mon visage, comme si je retrouvais un être cher après une longue séparation.
Quatre mois plus tard, lorsque j’ai quitté l’hôpital, tous les médecins et infirmières du service d’orthopédie étaient stupéfaits de ma guérison rapide après des blessures aussi graves.
De retour chez moi, je me suis dit : « D’autres personnes hurlaient de douleur pour une seule blessure, pourquoi n’ai-je ressenti aucune douleur après avoir été si gravement blessée ? » Soudain, je me suis souvenue du Maître : « C’est le Maître qui m’a sauvée la vie et qui a enduré toute la douleur à ma place, même si j’avais été une disciple si décevante. »
J’ai donc dit à mon mari que je voulais reprendre la cultivation dans Dafa et je lui ai demandé de me rendre les livres de Dafa qu’il avait cachés. Il ne s’y est pas opposé et m’a donné les livres.
Comme je ne pouvais toujours pas me lever pour faire les exercices, je me suis concentrée sur la lecture du livre principal du Falun Dafa le Zhuan Falun. En moins d’une semaine, j’ai pu marcher avec des béquilles. Ensuite, le Maître a commencé à purifier mon corps et j’ai eu la diarrhée pendant près de deux mois. Même si je pesais moins de 40 kilos, je restais de très bonne humeur et remplie d’énergie. Je pouvais marcher un kilomètre avec des béquilles sans me sentir fatiguée. Ma famille et mes amis trouvaient cela incroyable.
Cinq mois plus tard, je n’avais plus besoin de béquilles et ma santé a continué de s’améliorer. Un pratiquant plus âgé m’encourageait souvent, ce qui m’a aidé à renforcer ma confiance dans la cultivation.
Comme je passais plus de temps à étudier le Fa et à élever mon xinxing, ma santé s’est également améliorée et je suis revenue à la normale. Pour les médecins, mon rétablissement était miraculeux. Ils pensaient tous que j’allais mourir ou finir infirme et clouée au lit. Aujourd’hui, je n’ai pratiquement plus de cicatrices sur le visage ; la cicatrice sur la lèvre est à l’intérieur de ma lèvre inférieure donc cachée ; et mes cheveux couvrent les cicatrices sur ma tête.
Un an plus tard, lorsque je me suis rendue à l’hôpital pour faire retirer les plaques métalliques de mes jambes, le médecin traitant n’en croyait pas ses yeux : j’étais en excellente santé, sans séquelles de mes multiples blessures graves.
« Vous êtes vraiment un miracle médical ! C’est vraiment un miracle ! » s’est-il exclamé avec enthousiasme.
Plusieurs années après, j’ai eu deux nouvelles fractures aux jambes lorsque je me suis retrouvée coincée entre un tricycle électrique et un mur. Un côté de mon corps était couvert de bleus et j’avais une longue entaille au bras mais les blessures ont guéri très rapidement. Le Maître m’a sauvé une nouvelle fois.
À partir de septembre 2019, mon mari n’a plus été capable de prendre soin de lui-même après avoir subi trois accidents vasculaires cérébraux. Je me suis occupée de lui quotidiennement jusqu’à son décès en juin 2022. Pendant cette période, un autre miracle s’est produit.
Mon mari ne pouvait ni s’asseoir ni s’allonger sans aide. Un après-midi, alors qu’il était assis sur le canapé, il a voulu s’allonger sur le matelas posé à même le sol dans le salon. Son jeune frère était justement en visite et l’a aidé à se déplacer jusqu’au matelas. Puis il est parti. Plus tard, mon mari m’a dit : « C’est tellement plus confortable d’être allongé ici mais qui va m’aider à remonter sur le canapé ? »
« Je vais le faire », lui ai-je répondu. Mon mari pesait plus de 70 kilos et moi moins de 50 kilos.
« Tu es si menue. Comment vas-tu pouvoir me soulever ? »
« Mon Maître m’aide », l’ai-je rassuré en commençant à le soulever, tenant ses jambes avec mon bras droit et son dos avec mon bras gauche. J’avais l’impression de porter un petit enfant lorsque je l’ai délicatement déposé sur le canapé.
« Waouh ! C’est incroyable ! Étonnant ! » s’est exclamé mon mari, surpris.
Chaque fois que je l’emmenais à l’hôpital du district pour qu’il soit soigné, le médecin me disait : « Ne vous donnez plus la peine de venir ici. Il est en fin de vie. »
Quand je l’emmenais à l’hôpital municipal, les médecins me disaient également : « À quoi bon chercher à le soigner ? Il va bientôt mourir, peut-être même avant untel dans votre village. » Cette personne a eu un accident vasculaire cérébral et est décédée après quarante jours de coma. Mon mari a vécu encore deux ans. Le Maître a prolongé sa vie.
Au cours des deux dernières années de sa vie, j’ai eu de nombreuses occasions d’élever mon xinxing. À cause de sa maladie, mon mari était devenu assez irritable et perdait souvent son sang-froid pour des choses insignifiantes. J’ai maintenu mon xinxing et je ne me suis jamais disputée avec lui.
Il était comme un grand enfant et dès qu’il entendait parler d’un endroit où l’on pouvait soigner sa maladie, il me demandait de l’y emmener pour se faire soigner. Pour qu’il soit heureux, je faisais tout selon ses souhaits, même si je savais que ce serait une perte de temps et d’argent.
Chaque fois qu’il voyait quelque chose qu’il aimait manger, il le demandait sans se soucier du prix et je répondais toujours à ses souhaits. Il a dépensé toutes nos économies mais cela ne m’a pas dérangée. Dafa m’a permis d’abandonner les intérêts matériels, a élargi mon cœur et mon esprit, et m'a transformée en quelqu'un qui vit pour le bien des autres.
Ces derniers temps, mon chemin spirituel se densifie. J’ai presque 70 ans mais je rayonne de santé et ne montre aucun signe de vieillissement. Chaque jour, j’accompagne ma petite-fille à l’école et je vais la chercher après les cours. Je m’occupe de toute la lessive, de la cuisine et des autres tâches ménagères sans me sentir fatiguée. Tout cela m’a été accordé par Dafa et le Maître. Merci bienveillant Maître. Merci chers compagnons de cultivation.
Traduit de l’anglais
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