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J'ai appris à arrêter de suivre passivement les autres

9 décembre 2018 |   Écrit par un pratiquant de Falun Dafa de New York

(Minghui.org) Je travaille à temps plein pour NTD depuis huit ans. Il y a deux ans, si quelqu'un m'avait dit : « Tu ne cultives pas vraiment. » J'aurais pu répondre : « Alors tu ne me connais pas. Chaque fois que je rencontre des conflits, je peux regarder à l'intérieur. J'ai clarifié la vérité par le biais de reportages. J'ai mis de côté le désir d'une vie confortable. Comment pourrais-je ne pas vraiment cultiver ? »

Même si je ne voulais pas admettre que je ne cultivais pas solidement, je savais que mon progrès était très lent. Je ne savais pas trop ce qui n'allait pas, mais parfois je pensais que j'avais atteint un plateau et que ma cultivation stagnait.

J'ai souvent entendu des commentaires négatifs sur moi, ce qui m'a amené à développer des pensées négatives qui étaient très difficiles à éliminer. J'ai finalement réalisé qu'il y avait vraiment un problème avec ma cultivation.

Un jour, Tian, une pratiquante dont je n'avais pas eu de nouvelles depuis longtemps, m'a soudainement contacté. Pendant plusieurs années, elle pensait qu'elle avait échoué à un test et elle éprouvait beaucoup de remords. Elle avait l'impression d'être séparée du Maître et du Fa et elle avait cessé de lire les enseignements. Tian pleurait souvent et sentait que sa cultivation était terminée.

Elle semblait être une personne changée. Elle a dit qu'elle avait commencé à cultiver dans les petites choses et que sa cultivation était devenue solide et joyeuse. Après que nous avons parlé brièvement, elle a soudainement dit : « Je suis très inquiète pour toi. » Elle a souligné quelques-unes de mes lacunes, l'une d'entre elles étant que je suivais passivement d'autres pratiquants.

Je n'étais pas tout à fait d'accord. Je ne voulais pas admettre que je ne cultivais pas avec diligence, alors je n'ai pas pris ses paroles au sérieux.

Mais deux jours plus tard, une autre pratiquante a aussi souligné presque exactement la même chose. Elle a dit que je ne prenais pas d'initiative et que je ne faisais que suivre les autres. Je lui ai immédiatement demandé : « As-tu parlé à Tian ? Tu viens de me dire la même chose qu'elle. » Elle a répondu : « Non. Je ne la connais pas. Si nous avons toutes les deux souligné le même problème, tu devrais peut-être y faire très attention. »

Je comprends que pour les pratiquants rien n'est une coïncidence. Il était évidemment temps pour moi de m'élever, mais quel était mon problème ?

Faire attention aux petits détails

Le Maître a dit :

« Ne pense pas que ce soit nécessairement quelque chose de majeur. Tu te dis : je n'ai pas commis de grandes erreurs, je suis très ferme vis-à-vis du Fa. Mais ne sous-estime pas les petites choses. » (« Enseignement du Fa à la Conférence de Fa de la côte Ouest des États-Unis 2015 »)

J'ai réalisé que c'était mon problème. Pendant longtemps, lorsque de grands tests arrivaient, je les traitais avec sérieux, comme le devrait un pratiquant. Mais lorsque de petits problèmes apparaissaient, je répondais négligemment avec la pensée d'une personne ordinaire. À des niveaux plus profonds, il s'agissait de la question de cultiver de manière proactive ou de suivre passivement les autres.

Le Maître a enseigné :

« Il ne faut pas seulement apprendre et ne pas appliquer, il faut que tu cultives en prenant toi-même l'initiative de cultiver, il ne faut pas que tu sois entraîné à avancer passivement, ce qui se manifeste c'est toujours la question de cultiver ou non. » (« Enseignement de Fa à la Conférence de Fa de San Francisco 2014 »)

et :

« Cela peut-il aller si chaque épreuve, vous-mêmes ne pouvez pas bien la passer ?! L'esprit absent, croyant sans croire, cultivant sans cultiver, absolument pas responsable de soi-même, il pourrait atteindre la plénitude parfaite ?! » (« Enseignement du Fa à la conférence de Fa d’Australie »)

J'ai réalisé que je ne cultivais pas solidement. Peut-être que le Maître a vu mon désir sincère de m'élever. En août dernier, j'ai commencé à mémoriser le Zhuan Falun avec deux autres pratiquants. Nous mémorisons un paragraphe chaque jour. Même si cela a été lent et que nous ne sommes qu'à la Sixième Leçon plus d'un an plus tard, nous avons fait des progrès constants.

M'élever lorsque je mémorise le Fa

J'ai grandement bénéficié de cet effort de groupe visant à mémoriser le Fa. J'avais déjà essayé de mémoriser le livre par moi-même auparavant, mais à cause d'un manque de persévérance, je m'arrêtais toujours avant d'avoir terminé la Première Leçon. Nous nous aidons tous les trois et je chéris vraiment cette occasion.

En mémorisant le Fa, mon attachement à toujours vouloir obtenir du succès s'est progressivement estompé. Dans le passé, si je ne faisais pas un bon travail aux nouvelles, je devenais frustré et je commençais à me demander : « Après des années de formation, pourquoi est-ce que je suis toujours aussi peu professionnel et ne semble jamais réussir ? » Je me sentais vaincu et parfois même je voulais démissionner. J'ai vécu la même frustration lorsque j'ai essayé de mémoriser le Fa. Cependant, j'ai pensé que ce qui importait en réalité, ce n'était pas l'achèvement, mais plutôt le fait de chérir le processus de compréhension et d'éveil au Fa. Ensuite, quelle que soit la rapidité ou la lenteur de ma mémorisation, il s'agissait d'un processus d'élévation solide.

J'ai également acquis une compréhension plus profonde de l'impact de la culture du Parti communiste chinois (PCC) et de la manière dont cela se reflétait dans mon attachement à vouloir obtenir le succès instantanément. Le Maître a enseigné :

« Vous voulez tous une solution rapide, n'est-ce pas ? C'est chercher des succès rapides et des avantages immédiats. Cette façon de penser provient de la culture du Parti avec laquelle le Parti pervers vous a endoctrinés. Quoi que vous fassiez, faites-le bien. Dans le processus de faire les choses, ce qu'on regarde, c'est ton cœur, pas ta réussite elle-même. » (« Enseignement du Fa à la conférence de Fa de New York 2016 »)

Après avoir lu les enseignements du Maître, je me suis demandé : « Pourquoi sommes-nous attachés au succès rapide ? » C'est peut-être parce que le PCC nous a endoctrinés avec l'athéisme et la pensée que seuls les plus forts réussissent. En Chine, les gens évaluent généralement le succès en fonction du résultat final et personne ne se soucie de savoir si le processus était éthique ou légal. Cela incite les Chinois à se concentrer sur le succès rapide, ne se souciant que du résultat.

C'est le contraire de la façon dont nous, les pratiquants, devrions voir les choses. Le succès ou l'échec est planifié par le divin. Nous devons nous concentrer sur nos efforts avec des cœurs purs. Si notre xinxing répond au critère, nous pouvons sauver les êtres. Au cours du processus de mémorisation du Fa, j'ai progressivement été capable de gérer les échecs au travail.

De nombreux pratiquants de NTD mémorisent le Fa depuis longtemps. Quand j'ai demandé à l'une d'entre elles combien de temps cela lui avait pris pour mémoriser le Zhuan Falun, elle a répondu qu'elle ne se concentrait pas sur la mémorisation. Elle l'avait naturellement mémorisé après l'avoir lu plusieurs fois.

J'ai été très surpris parce que j'ai aussi lu le Fa. Cependant, j'ai senti que certains passages étaient difficiles à retenir. Selon moi, parce que mon esprit s'égare parfois pendant l'étude du Fa je n'ai jamais compris le sens profond de certains passages.

Un an plus tard, j'ai le sentiment que mon xinxing est stable et je n'attends plus que les conflits s'intensifient pour regarder à l'intérieur. Dès que de « petits problèmes » surgissent, je m'examine immédiatement.

Un jour, alors que je méditais, je me suis senti très serein et paisible. Je sentais que c'était mon vrai moi, mais j'avais aussi la sensation d'avoir une coquille dure. Plus tard, quand j'ai émis la pensée droite, j'ai réalisé que la coquille était faite de conceptions acquises et de divers attachements humains. Mon vrai moi brise cette coquille.

Rien n'est fortuit

Le Maître a enseigné :

« Mais c'est le xiulian, que signifie “sans omission” [Wu Lou] ? Il n'y a pas de choses mineures. » (« Enseignement du Fa à la Conférence de Fa de la côte Ouest des États-Unis 2015 »)

Je crois comprendre que certains de nos plus grands attachements se reflètent dans des choses apparemment minimes. Par exemple, certains jours, j'ai le sentiment que je n'ai pas très bien mémorisé le Fa, mais il est temps de parler au téléphone avec les deux autres pratiquants. Je ne veux pas dire : « Je ne suis pas encore prêt. » Au lieu de cela, je commence à réciter avec eux et je regarde le livre quand je ne me souviens plus de la phrase suivante. Ils ne le savent pas et pensent que je l'ai très bien mémorisé. En fait c'est comme tricher pendant les examens. Ce qui est caché derrière ma tromperie et ma dissimulation, c'est l'attachement à me faire valoir et la peur de la critique.

J'ai entendu deux personnes parler des problèmes causés par un autre pratiquant et leur discussion était plutôt négative. Je n'étais pas d'accord, pensant que ce n'était pas vraiment un problème, car je le faisais de cette façon et il n'y avait rien de mal à cela. Je me sentais mal à l'aise, mais je me suis vite rendu compte que cette pensée n'était pas juste et je l'ai éliminée.

Dès que j'ai éliminé cette pensée négative, une autre pensée a fait surface : « Comment peuvent-ils commenter les gens de façon aussi négative ? » Je n'ai pas cherché à l'intérieur et j'ai laissé ma plainte grossir. À la fin de la journée, je me suis calmé et je me suis demandé : « De quoi te plains-tu ? Quels sont tes attachements qui ont été touchés par leurs commentaires ? » J'ai commencé à regarder en moi-même pour voir pourquoi j'étais dérangé.

J'ai finalement réalisé que j'avais aussi le même problème dont ils parlaient. Je m'étais immédiatement défendu, car je ne voulais pas reconnaître mon problème. Le fait que je sois si préoccupé par leur attitude et si désireux de me défendre, indique que je me valide par mon travail.

Un autre exemple est qu'un jour j'ai remarqué qu'une personne avait besoin d'aide, alors j'ai interrompu ce que je faisais et je l'ai aidée. Plus tard, je l'ai entendue se plaindre que je ne l'avais pas vraiment aidée. Je sentais que sa critique était injuste. Pourquoi n'avait-elle pas apprécié d'être aidée ? Puis je me suis souvenu des paroles du Maître :

« Aussi grandes que soient les injustices, vous arrivez à les traiter avec un cœur tranquille, vous arrivez à rester inébranlable et vous n'essayez pas de vous trouver des excuses, pour de nombreuses choses vous n'avez même pas besoin d'en débattre. C'est parce que rien n'arrive par hasard sur votre chemin de cultivation et pratique. Peut-être que dans vos discussions avec les autres, les facteurs qui vous touchent ou bien qui touchent vos intérêts et provoquent des conflits sont amenés par le Maître. » (« Enseignement de la Loi donné à Manhattan », Enseignement de Fa dans les conférences X)

J'ai réalisé que c'était arrivé afin d'exposer mes attachements à ne pas accepter les critiques et à chercher une récompense, même si c'est un simple « merci ». Ce sont des motifs égoïstes. Ces incidents n'étaient pas mineurs.

Je me sentais parfois mal à l'aise en voyant que les paroles et les actions des gens n'étaient pas alignées avec le Fa ou qu'elles reflétaient la culture du Parti. Quand je me suis demandé si j'avais aussi ces problèmes, la réponse a été affirmative.

Le Maître a enseigné :

« Quoi qu'il en soit, en tant que pratiquant, il faut considérer un problème à la manière d'un pratiquant et avec l'esprit d'un pratiquant, il ne faut absolument pas réfléchir avec l'esprit des gens ordinaires. Rien de ce que vous rencontrez n'est simple, ni n'arrive par hasard, ni n'est une chose des gens ordinaires. C'est assurément lié à votre cultivation et pratique et à votre élévation. » (« Enseignement de Fa à la Conférence de Fa à la ville de Los Angeles »)

Se rappeler de sauver les êtres

En tant que journaliste, je rencontre beaucoup de gens. Je réalise profondément que le fait que nous, les disciples de Dafa, réussissons ou non a une incidence réelle sur le fait que les gens soient sauvés.

Le Nouvel An et les autres jours fériés, nous enregistrons les personnes souhaitant de joyeuses fêtes au Maître. Beaucoup de gens ordinaires que j'ai interviewés sont des membres de famille de pratiquants reconnaissants envers le Maître et Dafa. Certains ont pleuré et d'autres ont dit attendre le retour du Maître en Chine.

La qualité de nos médias est importante. Un expert de Chine m'a dit : « Nous regardons tous NTD. Vous êtes formidables. Continuez votre bon travail ! » Cependant, un touriste que j'ai rencontré en Chine a dit des choses négatives. Je sentais que ses commentaires négatifs signifiaient qu'il y avait quelque chose à cultiver chez moi.

Le Maître a dit :

« Ne soyez pas comme les outils de propagande du parti pervers. Cela ne va pas de s'éloigner de la vérité quand vous décrivez des événements dans l'espoir d'atteindre tel ou tel effet. Laissez le reportage atteindre l'effet qu'il doit atteindre. Ne déformez pas consciemment la vérité. Vous perdriez de la crédibilité. » (« Enseignement de la Loi lors d’une réunion de NTDTV » dans Enseignement de Fa dans les conférences [IX])

Le fait de rapporter les nouvelles est une occasion de pratiquer l'Authenticité. Je fais de mon mieux pour vérifier tous les détails et assurer la précision. Rendre compte des nouvelles est également un processus d'élimination de la culture du Parti, sans exagérer ni utiliser de flatteries sans sincérité, ce qui est la façon de parler du Parti.

Notre mission chez NTD est « pure authenticité, bonté et beauté » et notre objectif est de sauver les gens. Les reportages sont aussi un processus de se débarrasser de la sentimentalité et de ne pas travailler en fonction de ses intérêts personnels.

Le département des nouvelles a commencé à produire une série, l'année dernière, intitulée Un siècle de désastres rouges, qui retrace l'histoire de l'assassinat et de la persécution du peuple par le PCC. Les reporters d'autres projets ont trouvé de nombreuses personnes ayant connu les mouvements politiques et ont recueilli des interviews de valeur. Une autre pratiquante a passé des heures à lire les documents historiques, en plus de son travail quotidien d'information et de ses responsabilités familiales. J'ai fait quelques épisodes, mais la production était assez difficile. Nous avons terminé la première saison à la fin de l'année dernière. Cette année, le superviseur n'a pas insisté pour produire la deuxième saison en raison de la charge de travail et du manque de ressources humaines. Je ne l'ai pas demandé non plus, car j'avais peur des défis. Je sentais que je n'étais pas assez au courant des événements historiques et que la production serait trop de travail.

J'ai récemment trouvé des commentaires laissés par un téléspectateur l'année dernière. Il a beaucoup écrit, disant qu'il avait ressenti une profonde douleur pour le peuple chinois après avoir vu ces faits historiques. Il a demandé aux autres internautes de « dire à tout le monde de regarder ce documentaire historique ». Il a également converti toutes les vidéos en fichiers audio de petite taille et les a téléchargées pour qu'elles soient téléchargées par des Chinois.

D'après ses paroles, je pouvais voir qu'il n'était pas un pratiquant. Cette personne ordinaire aidait les autres à apprendre la vérité. Mais moi, un disciple de Dafa, je n'étais ni pressé ni inquiet, attendant passivement que le superviseur dise quelque chose avant de faire quoi que ce soit, même si j'étais pleinement conscient de l'importance de cette série spéciale.

Le Maître a enseigné :

« Bien sûr, quand il n'y a pas d'activités collectives, les disciples de Dafa doivent prendre l'initiative de faire des choses pour sauver les êtres. Vous ne devez pas attendre les arrangements du coordinateur pour ces choses-là. » (« Enseignement de la Loi à la Conférence de Loi de New York 2010 », Enseignement de Fa dans les conférences [XI])

Permettez-moi maintenant de revenir à l'incident dont j'ai parlé au début de mon partage.

L'année dernière, deux pratiquants m'ont envoyé des messages SMS en moins d'une semaine, soulignant le même problème, à savoir que je suivais passivement dans le projet de média. Je n'ai pas cherché à l'intérieur, alors il m'a fallu un an pour comprendre ce qu'ils essayaient de dire.

Derrière cette tendance passive, il y avait un égoïsme rusé. J'avais toujours attendu que le superviseur me confie des tâches, car je sentais que de cette façon cela me causerait moins de conflits. Si je faisais des suggestions, le superviseur les utiliserait-il ? Si ma suggestion n'était pas bonne, développerait-il une mauvaise opinion de moi ? Ce fort attachement à l'autoprotection m'a fait échapper à ma responsabilité de sauver les gens.

Après avoir réalisé cela, j'ai pris l'initiative de suggérer de produire la deuxième saison. Le superviseur a estimé que c'était vraiment nécessaire, alors nous avons commencé tout de suite.

Le Maître a enseigné :

« Pourquoi les disciples de Dafa font-ils des médias ? Sauver les gens. Ne l'oublie pas, tu dois sauver les gens, bien gérer un média a pour objectif de sauver les gens. Clarifier la vérité, sauver les êtres, voilà ce que tu dois faire, en dehors de tout cela il n'y a rien que tu doives faire, il n'y a rien que tu doives faire dans ce monde. »(« Enseignement du Fa à la conférence de Fa de New York 2015 »)

Je suis plein de respect quand je vois des compagnons de cultivation en train de nettoyer le sol ou occupés dans la cuisine et ceux qui travaillent à la vente par tous les temps. Nous avons tous la même mission : aider les médias à réussir, aider le Maître dans la rectification de Fa et sauver les êtres.

J'ai encore beaucoup d'attachements et je sais que je ne les ai pas tous trouvés. Je ferai de mon mieux pour cultiver solidement.

Si d'autres pratiquants ont le sentiment que leur cultivation s'élève trop lentement et ne savent pas comment faire une percée, je recommande de mémoriser le Fa.

Le Maître a dit :

« … lorsque cela vous paraît impossible à faire, ou si on dit que c'est difficile à faire, essayez donc pour voir si c'est vraiment impossible. Si vous pouvez vraiment y arriver, vous découvrirez qu'après avoir passé sous l'ombrage des saules, il y a l'éclat des fleurs et un autre village à l'horizon ! » (Zhuan Falun)

Merci Maître ! Merci compagnons de cultivation !

Veuillez par compassion signaler toute lacune dans mon partage.

(Présenté au Fahui de NTD et Epoch Times 2018)

Traduit de l'anglais au Canada