"Utiliser la raison pour prouver la Loi, utiliser la sagesse pour expliquer clairement la vraie image, utiliser la compassion pour que la Loi soit immensément répandue et pour donner le salut aux gens de ce monde" (Rationalité)


Promulgation de la loi en Afrique : Johannesburg et Pretoria (II)

[Minghui Net]

Après les activités à Durban, trois d’entre nous sommes allés à Johannesburg, la plus grande ville d’Afrique du Sud. Il est dit qu’à Johannesburg la population chinoise est d’environ 100 000h. En arrivant dans le Chinatown, nous avons dit à un patron de magasin que nous voudrions faire connaître le Falun Gong dans la ville. De façon étonnante il nous dit " Pourquoi venez-vous si tard ? Le gouvernement chinois a repris depuis longtemps sa propagande. Beaucoup de gens ne vous comprennent pas. Cela aurait été mieux que vous veniez plus tôt ! "Nous étions surpris d’entendre ses remarques. En nous remémorant notre cultivation de ces dernières années, on peut penser qu’il y a tellement de choses nous aurions dû faire mais que nous n’avons pas fait. Nous avions manqué de compréhension envers la loi et de cœur pour avancer assidûment dans notre cultivation. Est-ce une des raisons pour laquelle la perversité s'est si répandue ? Le Maître dit :  "Pendant ce sabotage pervers, les Chinois sont les plus grandes victimes " (prédication de la Loi à la Conférence d'échange des expériences du Xiulian de Falun Dafa au Canada en 2001 ) ". Notre cœur a toujours de la peine quand nous lisons ceci. Que cela soit à l’intérieur ou a l’extérieur de la Chine, combien de personnes au cœur juste ont été dupées par les mensonges ? 

Plus tard, nous avons contacté deux des plus gros journaux locaux en chinois et nous les avons invités à venir voir nos classes de pratique dans le Chinatown le lendemain. Comme c’était la première fois que le Falun Gong était introduit dans la communauté chinoise, les journaux ont accepté avec joie notre invitation. Cette nuit-là, pendant la méditation, nous avons délibérément renforcé nos pensées pour éradiquer la perversité dans le quartier. Le jour suivant les journalistes sont venus. Après avoir lu avec attention les posters et après avoir interviewer deux pratiquants chinois, ils nous ont dit que les articles paraîtraient prochainement dans le journal. Quant nous avons mis des posters dans la rue, beaucoup de personnes sont sorties des magasins pour les lire. Nous avons découvert que certain chinois connaissait déjà la vérité sur le Falun Dafa, et nous témoignèrent de la bonté et du respect. Quelques-uns nous ont demandé de leur montrer sur-le-champ les exercices. Beaucoup d’entre eux semblaient prédestiné à obtenir la loi. Si nous échouons à faire connaître la loi, il se peut qu’il y en ait qui perdent l’opportunité de se cultiver. Si nous avions fait connaître la loi plus tôt à ceux qui étaient prédestinés, il aurait été possible qu’ils puissent devenir des particules dans la période de rectification de la loi.

De plus, nous avons présenté une lettre et donné de la documentation au bureau du gouverneur et avons aussi déposé des livres de Falun Dafa au bureau de l’ancien président Mandela. Puis nous avons contacté les universités.

Nous sommes ensuite allés à Pretoria, la capitale d’Afrique du Sud, pour donner de la documentation aux officiels du gouvernement. En arrivant, nous sommes allés au bureau du président. Nous y avons présenté une lettre et exprimé le souhait de rencontrer des officiels du département des affaires étrangères. Le secrétaire du ministre nous a dit que le ministre était occupé ce jour-là et qu’il ne pouvait pas nous recevoir, mais que l’on pouvait prendre rendez-vous. Nous devions partir ce jour-là et il nous semblait que nous n’aurions pas la possibilité de rencontré quelqu’un. Nous avons alors laissé de la documentation à un officiel. Il nous a dit qu’il y avait une personne au département responsable des affaires chinoises et qu’il pouvait nous arranger un entretien avec lui. Dix minutes plus tard il revint et nous donna le nom et l’adresse de la personne.

Nous avons eu une longue discussion avec le responsable des affaires chinoises et son assistant. Ils ont apprécié entendre notre version des faits. C’est notre espoir qu’ils puissent comprendre ce qui est vraiment arrivé aux pratiquants du Falun Gong en Chine et qu’ils nous aident à arrêter les violations des droits de l’homme là-bas. Un pays, un gouvernement ou un individu, après avoir appris la vérité, peut faire un choix, donc peut déterminer son futur. En tant que pratiquant du Falun Dafa, nous nous devons de leur faire connaître la vérité.

En quittant le ministère des affaires étrangères, nous avons rencontré des officiels de l’ambassade chinoise. Nous avons saisi l’opportunité de clarifier la vérité. En tant que pratiquants, où que nous soyons, nous nous devons de protéger la loi.

L’Afrique du sud doit tenir un grand festival national des arts. Nous avons obtenu la permission d’y présenter le Falun Dafa. Mais, nous avons besoin de plus de pratiquants et nous espérons que ceux qui le peuvent, puissent venir nous aider pour ce festival. Le festival national sud africain des arts aura lieu du 28 juin au 8 juillet.

Article daté du 10 juin 2001